Soutenir la candidature d’Abdelmadjid Tebboune à la présidence de la République

Tebboune 5e mandat présidentiel
Abdelmadjid Tebboune. D. R.

Une contribution de Nouara Bouzidi – Il y a quelques années, j’avais écrit un texte pour que nous refusions la mascarade du 5e mandat présidentiel de feu Bouteflika. Je ne renierai pas une seule ligne de ma prise de position : on nous menait vers la folie politique, vers la démesure d’un groupe de gourmands sots et aveugles. C’était un appel, parmi plusieurs, pour que les patriotes algériens aux responsabilités ne nous laissent pas nous vautrer à adorer un cadre, pour qu’ils se solidarisent afin de donner à notre peuple un avenir digne de son histoire.

Dans une situation pareille, il ne nous faut aucunement prêter attention aux mensongères leçons de morale des pays qui avaient fait la promesse de «plus jamais ça», il faudra plutôt considérer les anciennes traditions humaines. La tradition chinoise ancienne parle de mandat céleste : le peuple d’un pays doit suivre son vicaire (aujourd’hui le roi ou le président d’un pays) tant que celui-ci bénéficie du mandat du Ciel. L’expression n’est pas naïve, ni ridicule, mais profonde. Le peuple d’une nation se doit de suivre son représentant tant que celui-ci est juste et responsable, tant que celui-ci tient la route, la seule qui vaille : celle du juste milieu. Seule la justice est la véritable guidance qui mérite notre soutien. L’outrecuidance de la faction de Bouteflika était telle que le mandat du Ciel devait leur être unanimement retiré : toute cette clique insatiable devait partir. Nous n’étions pas les sous-hommes d’une faction mafieuse, mais le peuple de tout un pays. Que cette bande de profonds égoïstes (contre les vies des Algériens) réponde de ces sorties de route n’était que justice. Ce n’est pas fini : nous attendons la mise en cause de tous ceux, sans aucune exception, qui auront dilapidé ou pris à leur compte l’argent de l’Algérie pour le compte de leurs viscères et de leur petit monde. Cet argent et ces biens ne leur appartenant pas, il doit être entièrement restitué aux finances de la nation algérienne.

Le Hirak, pour la partie que nous connaissons, était un rassemblement populaire indispensable, bénéfique, salvateur. Le refus du 5e mandat était celui du peuple algérien, celui du bon sens. Si certains ont souhaité le détourner de son élan premier, cela ne doit étonner personne : les retors, carriéristes avides et autocrates fainéants, aiment tirer les marrons du feu, c’est même leur marque de fabrique. Dieu soit loué, ils n’y sont pas parvenus et notre vigilance doit rester intacte. Notre patience avait atteint ses limites, ces personnes irresponsables ne pensaient qu’à leur ventre tout en oubliant le ventre historique duquel ils sont normalement pourtant issus. Tant de retards ont été accumulés du fait de ces «citoyens» algériens, irresponsables, égoïstes et affamés, que l’on retrouve à chaque cycle historique de notre pays. Ils doivent, tant qu’il est encore temps, cesser leur errance et leurs prédations car une lutte sans merci contre leur corruption morale devra leur être présentée.

Puis, un autre texte concernant les élections de décembre 2019 a suivi : il considérait que ce qui se passait ne respectait pas les règles de la préparation des élections, il évoquait le principe de la règle. J’avais écrit ceci, car je pensais, à ce moment précis, que cette élection présidentielle (était) sans avenir et que nous devions probablement revivre une redite de ce qui s’abattit sur notre pays après 1988. Pour ma part, je n’ai pas voté aux élections présidentielles de 2019 qui ont mené Tebboune aux responsabilités présidentielles. J’ai suspendu mon jugement. Redoutant une nouvelle errance politique, je suis restée dans le silence et l’observation de la situation. La décennie noire a été une tragédie pour notre pays. Les mauvais souvenirs empêchent la naïveté. Finalement, nous étions peut-être condamnés à nous livrer une guerre de pouvoir entre nous, pour le malheur de nous tous et pour le bienfait de pays voisins proches ou lointains lorgnant les richesses de notre pays et souhaitant nous faire gagner la ligue des pays persécuteurs et moralisateurs. Nos «concitoyens» égoïstes de l’époque Bouteflika et les étrangers prédateurs sont semblables en tout point : notre pays n’existe pas pour eux, il n’est vu comme un magasin de richesses. Or, notre pays est autre chose qu’un magasin : il est partie prenante de nos corps, de nos cœurs et de nos enracinements familiaux, l’attachement à notre pays coule dans notre sang. Lui porter atteinte, c’est nous dévitaliser tous. Ces Algériens inconséquents en ont-ils consciences ? Savent-ils réfléchir en dehors de leur seule petite personne ?

Nous pouvions penser que le mouvement populaire du Hirak était enfin le réveil de notre peuple, nous pouvions aussi penser que sa fin était une manœuvre contre le destin de notre pays. La mobilisation du peuple algérien a été notre plus grande respiration depuis la fin de la décennie noire : ne nous laissons plus prendre par les querelles de chapelles ; ne nous laissons plus voler notre attention par les polémiques stériles ou par les distractions vaines ; ne cherchons plus dans le régionalisme des fausses réponses pour de vraies questions de réappropriation culturelle ; ne laissons plus aux faussaires, aux charlatans et aux laboratoires politiques étrangers manipuler et défigurer la religion musulmane.

Tant d’attentes et d’espérance depuis ces années de malheur et de terreur.

Certes, c’est prévisible, les presses de certains pays inamicaux à l’égard de notre pays ressortent encore et encore leurs antiennes sur l’Algérie. Elles radotent continuellement, avec obsession, et présentent une image de l’Algérie qui n’existe que dans leurs fantasmes et leur mépris sans fond. Sans le sujet «Algérie», ces «presses» ne pourraient pas travailler, la thématique «Algérie» leur sert de caisse de résonance et de tiroir de caisse. Ils alimentent une haine qu’ils sont prompts à projeter sur l’objet de leur mépris. Ne les écoutons pas : ignorons leurs mensonges, méprisons leur mépris. Cela fait des lustres que ces presses mainstream ont quitté le champ du réel. Voir l’Algérie avec leurs lunettes, c’est non seulement se tromper de réel, mais nous empêcher de croire en notre pays, en ses potentialités. C’est, comme le dirait la formule psychologique consacrée, du gas-lighting de masse, par voie médiatique.

Pendant le Hirak, nous ne pouvons voir que ce qui nous était accessible, le reste nous dépassant. Que s’est-il passé entre temps ? Tant de choses. Pour ce qui nous concerne, seule la réalité objective compte : la présidence d’Abdelmadjid Tebboune est en train de changer notre pays et enfin nous rassembler : nous avons perdu tant d’Algériens durant la décennie noire, tant de potentialités humaines, tant d’intelligences, tant de compétences. Sa présidence est pour notre peuple une source de réconfort, de compétences et de confiance. Nous découvrons, jour après jour, un président, des responsables et des citoyens algériens qui œuvrent et font avancer notre pays. Que demander de plus ? C’est la seule route à prendre, les autres sont des impasses, nous l’avons suffisamment appris. Cela est suffisant : travailler de concert, travailler honnêtement les bienfaits de notre terre, récolter le fruit honnête de nos œuvres.

Si se mobiliser contre les mauvais chefs est une obligation morale pour tout peuple dans toute nation qui se respecte, suivre les vrais chefs, les justes et les rassembleurs, les compétents, est aussi un devoir, une évidence morale. La mémoire est majeure dans les temps que nous vivons présentement. Nous avons besoin de nous rappeler du combat de nos chouhada, ils nous ont permis de ne pas être les fantômes du colonialisme, spoliateur, hédoniste et méprisant, dans notre propre pays. En tant qu’Algériens, notre rejet n’a jamais concerné les Français en tant que personnes ou en tant que peuple, mais l’immonde idéologie colonialiste qui les a considérablement abîmés et dont ils ne mesurent pas encore l’ampleur et la dévastation. Nos compatriotes doivent aussi garder en vue le futur : celui de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Ensemble, nous avons besoin de soutenir nos responsables actuellement aux affaires de notre nation. La population algérienne doit être lucide et raisonnable, opter pour le travail de tous avec tous, dans les familles, dans les amitiés, dans les corporations de métiers. Nous n’avons pas d’autre solution : la vraie réussite ne peut être qu’individuelle et collective à la fois.

Maintenant, un mot concernant la diaspora algérienne : elle aura besoin de courage et de mesure, de savoir reconnaître les dangers qui pourraient la guetter. Je l’appelle à réaliser et à accomplir, avec mesure, respect, clairvoyance et sagesse sa part dans le destin de l’Algérie. Toute la diaspora algérienne, partout dans le monde, doit se rappeler et ne pas oublier que ceux qui sont restés, et restent, en Algérie sont ceux qui ont gardé la maison Algérie pendant qu’ils évoluaient ailleurs.

Aux Algériens vivant en Algérie et n’ayant jamais quitté leur pays, je leur demande de savoir de ne pas avoir peur de perdre leur place, de ne pas s’inquiéter des différences nées de l’immigration, mais de leur apprendre, aux Algériens nés dans la diaspora, comment ils pourraient faire pour travailler avec eux pour le bien de notre pays, comment ils pourraient partager leurs forces et se former ensemble, les uns avec les autres, les uns pour les autres, pour éviter les séparations nées des rivalités et des différences de surface. L’amour de l’Algérie l’exige en chacun de nous tous.

Aucun chantier humain juste n’est impossible, jamais. L’heure est pour tous advenue : retrousser nos manches et travailler tous ensemble, sur tous les plans, pour réaliser ce qui incombe à notre temps et à notre génération. Comme le disait notre regretté Frantz Fanon : «Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir».

Au lieu de nous chamailler sur des différences, entretenues, y compris par des laboratoires politiques (la décennie noire était un laboratoire politique criminel, il suffit de voir ce qui s’est passé depuis, dans de nombreux pays, pour le comprendre) nous devons opter pour les liens familiaux qui existent entre nous et oser sortir des habitudes confortables : apprendre les langues de tous les Algériens, ne pas faire de l’usage d’une des langues une identité excluant les autres Algériens, et ce quelle que soit la langue. Ce sujet est important, car fonctionnel pour le long terme. Nous aurons besoin d’entamer ce projet de réappropriation culturelle linguistique : que chaque personne de la diaspora, comme tout Algérien, puisse parler et écrire la langue arabe, les parlers berbères de notre pays.

Je nous appelle tous à la créativité et à l’innovation pour travailler ensemble, dans nos familles, dans nos relations, dans nos villages ou villes familiaux. Pour ce qui nous concerne, le recours à la métaphore de la ruche coule de source : certes, les abeilles sont très petites, mais en raison de leur organisation collective, immense, solidaire et structurée, elles créent un chef-d’œuvre : le miel. Soutenir la souveraineté de l’Algérie et solidariser le peuple algérien pour son pays, dans son entièreté sont, et resteront, notre horizon.

Je nous appelle à nous souvenir qu’un peuple peut se faire voler sa terre et que la force de la défense militaire est un devoir et une nécessité, pas un caprice. En ces heures, un peuple cher à nos cœurs vit une colonisation aussi abjecte que délirante, il court le risque d’être effacé des peuples du monde avec le «silence» des pays donneurs de leçons «double standard», ses enfants meurent, la guerre sévit et la justice internationale ne s’applique pas au vu et au su de tous. Nous souvenir toujours que la position de principe de l’Afrique du Sud, de l’Irlande, de l’Algérie et de nombreux au niveau international, en ces temps effroyables, est pour nous tous une question d’évidence. La dignité humaine est non négociable. Le colonialisme est dans ses fondements une entreprise criminelle, mensongère et spoliatrice.

Je nous appelle, aussi, à nous souvenir des sacrifices de notre armée nationale populaire, qui, par sa lutte contre le terrorisme durant la décennie noire, a défriché le terrain et nous permet de vivre ces instants. Si la table est aujourd’hui servie, chaque compatriote doit s’en souvenir, c’est en raison du combat de l’Armée nationale algérienne pour la sécurité de notre territoire national et de notre nation. Personne ne regarde les armées qui ont déstabilisé des pays étrangers du «Sud global», mais on se demande pourquoi l’Armée algérienne se permet le droit de protéger son pays : ce simple constant révèle la folie raisonnante en cours.

J’appelle notre président de la République, Si Abdelmadjid, à continuer à nous rassembler, comme il sait si bien le faire, tel un bon père de famille soucieux de la paix entre ses fils et ses filles.

Oui, pour ceux qui croient en Dieu, il ne faut pas en avoir honte et oser le dire : nous prions Dieu pour notre Président et tous nos responsables de valeur. Pour qu’ils accomplissent leur charge. Dans nos prières, nous demandons que Tebboune pour qu’il reste insensible aux tentations du pouvoir tout en l’exerçant efficacement. Nous souhaitons qu’il reste avec nous, à la direction du pays, et qu’il continue à semer la coopération et la concorde, entre ses collaborateurs, entre nous, qu’il continue son travail pour notre pays.

Nous avons une autre demande : nous souhaitons que Tebboune prépare et forme les hommes et les femmes qui, plus tard, suivront ses pas, ceux de Liamine Zeroual et ceux de feu Si Houari Boumediene. Cet héritage de caractères sera, pour les hommes et les femmes qui auront la charge de conduire le pays, un semis de graines de compétences, d’efficacité, d’affection profonde pour le peuple algérien et de fidélité à l’Algérie.

Nous demandons à tous nos responsables de continuer dans leur coopération, de ne pas se faire piéger par les passions et les ambitions personnelles, de ne pas rentrer dans des luttes idéologiques ou des luttes de personnes vaines, de ne pas empêcher les talentueux parmi nous de nous en faire profiter. Chaque homme doit se souvenir que son pire ennemi est lui-même : l’envie est la mère des crimes, l’homme accompli est celui qui sait la maîtriser. Nous attendons beaucoup de vous tous, tous nos responsables, à tous les niveaux. C’est votre devoir : accomplissez-le pour le bien de l’Algérie et de son peuple.

Pour qu’Abdelmadjid Tebboune puisse continuer son travail et être le premier d’entre nous à nous rassembler, rassemblons-nous pour la reconduction de son mandat à la tête de notre nation.

N. B.

Ndlr : Les avis exprimés n’engagent que l’auteur et ne sauraient être considérés comme constituant une prise de position du site.

Comment (34)

    Anonyme
    6 septembre 2024 - 21 h 47 min

    Vous avez droit de vs posez ces questions déjà en tant qu homme libre et citoyen algérien mais vous omettez un point , qu un mandat présidentiel dure cinq ans et que le presdt sortant au départ de son premier mandat à rencontrer bcp d obstacles au sein de son premier gouvernement et au au début du deuxième ensuite la issaba du moins son résidu ou ce qui reste a tout fait les deux premières années pour saboter la gouvernance de Tebboune, j ai au départ reproché au presdt par la voie de ce site électronique qu il limogeait bcp et nommait bcp mais les exemples ne manquent pas ,les coupures d eaux , la poste et le manque de liquidités ect ect sans compter les ordres non respectés sois par des ministres des walis des directeurs d entreprises publiques, les exemples ne manquent pas non plus , de HT fonctionnaires limogés et d autres renommés, il a fallu aussi l accompagnement du chef d état major pour l épaulé contre ttes atteintes ou éviter le pire afin de e pas réitéré le passé noir de la corruption massive des HT dignitaires pour certains en prison actuellement. ET il a pris de bonnes mesurés Tebboune déjà le fait de ne plus importer ce qu on peut fabriquer chez nous, de donner à la jeunesse et aux algériens la liberté d entreprendre, il y a aussi le facteur de la crise internationale et la guerre en Ukraine qui a permis à l Algérie une croissance positive et des projets qui étaient gelés ont repris de plus belles , essaie aussi d attirer des investissements étrangers au pays, là où ça gazouille moins c est dans l’investissement hors hydro carbures des pays européens et c’est aussi pour ça que l Algérie sous le mandat Tebboune veut revoir avec l UE le commerce entre ces deux parties.
    responsabilité propre oui et non , il venait d endosser ce costume de presdt au départ de son mandat et ne le portant pas bien le costume de président à son début, on va dire qu il a commencé comme un diesel , l Algérie dans l ensemble de porte bcp mieux qu hier à l interne comme à l international même si des voix à torts ou à raisons et elles sont libres de désapprouvé la politique de Tebboune mais bcp l apprécie aussi en interne et à l externe. Je vous rejoins sur l état de droit et tout le monde en Algérie dans son fort intérieur ou pas y aspirent, tu peux mettre n importe quel présidents même élu dans la tte transparence et démocratiquement, il rencontrera les mêmes problèmes et n effacera pas les vingt années de Bouteflika qui a encouragé presque tt un peuple à l incivilité et pire parfois, ensuite notre peuple aussi à une responsabilité dans ces lacunes sua connu le pays, JFK disait bien aux Américains regarder ce que vous pouvez faire pour votre pays et pas l inverse, pensez vous un instant que le peuple algérien est prêt à entendre ça venant de Tebboune, c est pas JFK et nous sommes loin d être américain , c’est bien d essayer de penser comme eux de vouloir faire comme eux mais faut il en avoir les moyens e à tt les niveaux et de relever les manches pour construire notre pays et le rendre grd et puissant. .Oui on change pas d un coup de baguette tout un peuple du jour au lendemain et surtt le nôtre à moi qu on fasse semblant de pas savoir ce qu on n est où et de vouloir usurper d autres modèles occidentaux qui eux connaisse la démocratie et l état de droit depuis des siècles, on commence on essaie mais faut du temps et sachant qu en vérité Tebboune a pleinement exercé plus ou moins pdt ces 3 dernières années positivement par ces mesures et la conjoncture actuelle mondiale qui nous est bénéfique pour le moment et donc je pense perso après ça engage que moi de lui redonner notre confiance ‘e renouveler 5 ans pour y arriver non seulement a rendre l Algérie plus attractive et sereine pour les algériens inch Allah et de nous installer un état de droit. La démocratie a été volée aux français tt récemment mais c est un autre sujet. Tebboune a forcément ces responsabilités mais elles sont aussi partagées avec le peuple indirectement qui lui le premier a accepté ttes ces dérives depuis plus de vingt ans. Les saboteur ou les corrompus, le parlement qui est lui élu par ce peuple à lui de légiféré des lois compromettantes, je pensais à la déclaration des biens avt prise de fonction quelqu elle soit et c’est bien au peuple de demander des comptes avant tout. Après on a droit de ne pas être d accord avec ce que je dis mais moi aussi je suis un homme libre et algérien qui aime son pays et son peuple malgré certaines mauvaises habitudes de certains qui sont nombreux qd même et je ne pense pas perso qu une loi pourrait les arrêter. Avoir de mauvaises habitudes pdt des années alors il est très très difficile à les enlever vous en conviendrez, en tt cas je le pense mais c’est mon ressenti personnel. Kheil inch’Allah pour le pays et son peuple.
    Bonne continuation à vous.

    Anonyme
    6 septembre 2024 - 16 h 34 min

    J’ai fait mon devoir de citoyen mais je viens de voir une vidéo de Rfi sur youtube forcément d un professeur algérien au service de la France car il a oublié l histoire de la colonie française en voulant l épargner mais frappe fort sur l armée algérienne et le pouvoir en place. Un vrai paillasson . C est fou qd même le nombres d algérien( es) qui jouent les harkis, je le vois rarement pour les autres nationalités

    Laptop
    6 septembre 2024 - 11 h 13 min

    Un oubli dans mon précédent post.
    Une grande fierté en ce qui concerne le retour de la diplomatie algérienne
    à l’international, continental et régional.

    On a des victoires mais aussi des échecs, comme tous les pays
    tant que ce n’est pas une diplomatie de tweets éphémères sur X
    comme le voisin de l’Ouest, mdr.
    Il manquait un peu d’humour dans mon précédent post, c’est fait now.

    On peut pas tout gagner mais en être conscient, c’est le plus important.
    Ce qui est certain c’est que notre pays, l’Algérie soit présente sur toute
    la planète, on laisse la Lune au voisin del’Ouest, mdr.

    Anonyme
    6 septembre 2024 - 10 h 40 min

    Magnifique message Mme Bouzidi. Quel sens de la balance… ! J’approuve complètement. Nous sommes partis voter en famille,

    Laptop
    6 septembre 2024 - 10 h 15 min

    Le Hirak a abouti avec la démission de Feu Bouteflikab (+ sa issaba).
    Et c’était ce que je voulais et je n’étais pas d’accord avec ce qui c’est passé
    dans le prolongement avec les tordus dont les discours n’avaient aucun sens,
    ni même un programme, pour l’Algérie mais 10 ans plutôt (2009).

    C’est fait et j’étais hyper content en 2019. Toute ma famille et moi-même,
    on a pas voté en 2019.

    Par contre toute ma famille et moi-même, on a suivi Mr le président Tebboune
    et son programme malgré le Covid (dont notre président malade).
    On est tous satisfait dans ma famille en Algérie, France, Angleterre, etc
    et Allemagne ( ma famille et moi-même) des avancées de l’Algérie
    pendant son premier mandat et on souhaite tous
    que notre président Tebboune finissent ce qu’il a commencé.
    On a déjà été voté pour notre président Tebboune.
    Il a remis l’Algérie sur les rails et je veux voir la suite
    sachant qu’il y a encore beaucoup à faire mais on ne peut rattraper
    la décennie noire et les 20 années de feu Bouteflika en un seul mandat.

    Perso, je suis satisfait par Tebboune.
    Vive l’Algérie – Vive le peuple algérien au pays et d’ailleurs.

    Alif
    4 septembre 2024 - 17 h 34 min

    Un président n’est pas n’importe qui en raison de l’ampleur et de la complexité de ses responsabilités. En tant que chef de l’État, il incarne non seulement la direction politique du pays, mais aussi son image sur la scène internationale. Sa fonction implique la gestion des affaires courantes, la formulation des politiques publiques, et la prise de décisions qui affectent la vie de millions de citoyens.

    Il doit naviguer à travers des défis économiques, sociaux et géopolitiques complexes, en équilibrant les intérêts divers des différentes parties de la société. De plus, il est responsable de la représentation du pays dans les relations internationales, ce qui requiert des compétences diplomatiques et une compréhension approfondie des dynamiques globales.

    Le président doit également faire preuve de leadership inspirant, d’intégrité, et de résilience pour guider le pays à travers les crises et les périodes de changement. Ces exigences font que le rôle dépasse largement celui de la simple administration ou gestion quotidienne, exigeant une vision stratégique, une compétence élevée, et une capacité à influencer positivement le cours de l’histoire nationale.

    Chark
    4 septembre 2024 - 17 h 25 min

    Soutien total à notre président , pour conduire l’Algerie dans le progrés , la sécurité , la paix , et la prospérité , notre président a toutes les qualités requises pour naviguer dans les eaux troubles du contexte international dégradé , dans lequel un nouvel ordre multipolaire est entrain d’émerger ( Eurasie vs Occident ) Bonne chance à Mr Abdelmadjid Tebboune .

    lhadi
    4 septembre 2024 - 16 h 45 min

    Si la divulgation de certains faits nous permets d’y voir plus clair, il est de notre devoir d’écrire la vérité, même si celle-ci nuit d’une manière ou d’une autre aux individus concernés. Toutefois, il importe d’ éviter que la franchise ne crée des tensions et des divisions inutiles. Il s’agit là d’un danger dont la jeune nation algérienne, soumise au diktat d’un système bicéphale d’un autre temps, ne pourra plus se permettre.

    Le citoyen algérien que je suis fera son devoir de républicain. Il ira mettre l’enveloppe dans l’urne pour ne pas laisser des bellicistes assoiffés de sang précipiter un peuple, bouillonnant de colère, dans des actions qui transformeraient notre pays en une tragédie nationale.

    Pour autant, il convient de ne tirer aucune satisfaction de la gouvernance actuelle. Elle est la plus évidente et la plus flagrante preuve de la défaillance d’un système d’un autre âge – ce que les algériens, qui aiment leur pays, peuvent voir -.

    Il serait donc très raisonnable de se consacrer encore et toujours à l’avènement de la démocratie qui apportera de vrais changements politiques, économiques, sociaux et culturels, des changements tangibles qui contribueront à restaurer la dignité du peuple algérien qui souhaite prendre son destin en main.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Antisioniste
    4 septembre 2024 - 8 h 46 min

    Je n’ai pas voté la dernière fois, et il y’a de grandes chances pour que je ne vote pas cette fois ci. Toute fois je me demande s’il est nécessaires d’appeler à un soutien massive a Monsieur Tebboun pour un deuxième mandat. Car au vu de ce qu’il a réalisé lors de sa présidence est certainement très louable, sans oublier de préciser qu’on n’a pas encore quelqu’un de mieux que lui a l’heure actuel. Alors en attendant que les choses change je crois qu’il est préférable qu’il reste, et j’espère que lors de son deuxième il enclenchera le changement nécessaires souhaité qui fera que n’importe quel algérien/algérienne digne de ce nom puisse avoir une chance de devenir président de ce grand pays, a la seule condition qu’il/elle soit porteur d’un projet bénéfique, et qu’il/elle a le courage de faire et dire ce qu’il faut quand il le faut.

      Anonyme
      4 septembre 2024 - 9 h 42 min

      « il y’a de grandes chances pour que je ne vote pas cette fois ci »

      donc autant ne rien souhaiter et rester dans ton coin,
      nous avons une conjonction des astres unique et vous faites la fine bouche… ok, bon courage
      vivre sa vie c’est avoir des engagements et ne pas rester passif et en plus prétendre désirer et vouloir que ça se change, c’est un mind-set handicapé que tu as

        Samsam
        5 septembre 2024 - 11 h 01 min

        Bin moi j’ai voté et j’ai emmené mes enfants voter nous voulons voir Monsieur TEBOUN terminer ses projets pour l’Algerie, pour l’instant nous n’avons personne qui peut faire mieux que lui , j’ai grand espoir pour mon pays .

      cher @Antisioniste
      4 septembre 2024 - 11 h 49 min

      Je crois que c’est insulté l’intelligence, la compétence et la stature d’homme d’Etat de nombreux algériens patriotes que d’affirmer « qu’il ‘y a pas encore quelqu’un de mieux que Tebboune à l’heure actuelle pour gérer le pays » . Vous vous trompez largement et vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de personnalités politiques et autres qui peuvent être à la hauteur de cette noble tâche d’Homme d’Etat !

    Alif
    3 septembre 2024 - 23 h 26 min

    Le candidat à sa propre succession se présente avant tout comme un gestionnaire compétent, mais un Président de la République ne peut se limiter à ce rôle. Il ne s’agit pas d’être un simple gestionnaire, comme pourrait l’être un préfet, mais d’incarner un leader capable de définir un cap pour la nation et de tracer des perspectives ambitieuses pour l’avenir. Un Président doit inspirer, orienter et donner une vision à long terme pour le pays. Quelle est aujourd’hui la perspective à 30 ans pour notre pays ? Où allons-nous et quelle est la vision pour les générations futures ? Il est temps de dépasser la simple gestion pour retrouver une ambition nationale qui nous projette vers un avenir durable et prometteur.

      Anonyme
      4 septembre 2024 - 7 h 42 min

      N’importe quoi. Le prototype de la pensée qui ne sait pas ce que veut dire vision, étapes, procédures, pré-requis, modes opératoires.
      Avec des gens comme vous « faut que » « y’a qu’à » on montera pour retomber.
      Le président dont tu parles n’est pas un préfet seulement, c’est un homme qui a acquis de l’expérience, de l’expertise et un savoir-faire. Donc à vouloir courir plusieurs lièvres à la fois, on n’atteint aucun objectif, à vouloir aller trop vite sans préparer les gens, on se sabote.
      Personne ici ne sait déjà gérer sa propre vie et la capitaliser, mais tout le monde est capable de conseiller des personnes qui sont sur le terrain depuis plus de 40 ans ?!!
      C’est quoi ce truc ? cette façon de penser immature ?
      Pour faire un individu qui voit clair : il faut déjà 40 ans de préparations, alors ce n’est pas avec les fanfarons planqués comme toi, qu’on arrivera à quoi que ce soit.
      Quand quelqu’un sait faire et est meilleur que toi, inspires-toi de ses efforts pour toi-même.
      Ce post est le plus hors-sol qu’on peut lire.

    Anonyme
    3 septembre 2024 - 16 h 56 min

    Elle a écrit quand ? Je ne l’ai jamais lu dans AP.

    Abou Stroff
    3 septembre 2024 - 15 h 32 min

    « Soutenir la candidature d’Abdelmadjid Tebboune à la présidence de la République » titre N. B.

    j’ai la nette impression que ce slogan ressemble étrangement, dans le fond, au geste de l’hurluberlu qui s’est prosterné devant le portrait de Tebboune.

    En effet, que suggère N. B., sinon que Tebboune est quasiment irremplaçable au même titre qu’un démiurge sans lequel nous ne serions rien ?

    En termes crus, N. B. ne nous pousse t elle pas à aduler, pour ne pas dire adorer, Tebboune sans lequel l’Algérie ne serait ni un Etat, ni une Nation ?

    Je pense que la position de N. D. s’inscrit, parfaitement, dans la « culture » générée par le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui nous a réduits à des tubes digestifs ambulants doublés de zombies* décérébrés.

    En effet, reconnaissons :

    – qu’un tube digestif ambulant, incapable de se prendre en charge, doit, nécessairement aduler, pour ne pas dire caresser dans le sens poil, celui qui le nourrit en lui offrant des miettes de rente.
    – qu’un zombie décérébré, incapable de réfléchir par lui même, doit nécessairement compter sur autrui pour que ce dernier réfléchisse à sa place.

    Par conséquent, Tebboune qui veut construire une Algérie nouvelle doit, à mon humble avis, rejeter et l’appel de N.B. et le comportement du jeune hurluberlu qui s’est prosterné devant son portrait.

    Cependant, question à un doro :

    le geste de Tebboune va t il mettre fin à ce comportement d’un autre âge si les bases du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation ne sont détruites ?

    Réponse gratuite : bien sûr que non, et lorsque Tebboune et les autres candidats à l’élection présidentielle promettent monts et merveille aux algériens lambda, n’est ce pas la manière optimale de réduire ces derniers à ………………….des tubes digestifs ambulants doublés de zombies décérébrés ?

    Wa el fahem yefhem.

    * définition de zombie: un mort sorti de sa tombe et rendu esclave d’un sorcier vaudou

    à l'attention de Nouara Bouzidi
    3 septembre 2024 - 14 h 05 min

    Chère compatriote Nouara Bouzidi , avec tout mon respect, *je crois qu’il est plus juste de dire que le Hirak est un mouvement populaire pas seulement pour exiger le refus du 5e mandat de Bouteflika, mais pour un changement de régime politique, de système de gouvernance réalisable après une période de transition démocratique inclusive et concertée, pour aboutir à une justice indépendance et la construction progressive d’un Etat de droit ! Si le régime avait été changé dans ce sens , là on peut soutenir d’une manière transparente et légitime le candidat Tebboune ( …..ou un autre candidat même si c’est un ancien haut gradé de l’armée à la retraite) !

    Mais de là à soutenir à tout prix le candidat Tebboune alors que rien n’a changé sur le plan de la gouvernance, c’est juste donné un sorte de coup d’épée dans l’eau ! J’aime bien Tebboune et pourquoi pas un deuxième pour lui , j’aime aussi notre ANP , mais de là à %accepter la fatalité , en tant que citoyen libre et patriote, je ne ne suis pas prêt de gober tout. Mes respects

      Djazairia
      3 septembre 2024 - 19 h 35 min

      Il n’y a que les aveugles et les ingrats et les makhzanis et les jaloux qui ne voient pas le changement positif de M. Tebboune, et heureusement qu’ils ne sont pas natifs de ce pays et qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes.

        @Djazairia
        3 septembre 2024 - 19 h 59 min

        Cher Djazairia , je ne suis ni aveugle, ni ingrat, ni makhzani, ni jaloux, et si tu relis attentivement mon post tu déduiras en principe que je ne veux que du bien pour mon pays et que je suis patriote ! Il faut arrêter avec les clichés lancés ç tout va et les conclusions déplacées ! Je suis ALGERIEN autant que toi et ce que j’ai dit n’a rien à voir avec la haine ou le harkisme , bien au contraire !

          Anonyme
          4 septembre 2024 - 9 h 46 min

          rien n’a changé sur la gouvernance…?
          on a compris, le plus gros problème c’est des gens comme toi, pas capable de distinguer les différences, pas capable d’être raisonnable, qui veulent tout, tout de suite, sans rien faire
          ce sont seulement les algériens comme toi qui bloquent le collectif, le mental faible, pas autonome, mais qui critique tout tout le temps. bof bof.
          Tebboune agit et doit faire avec des gens comme toi
          et toi tu agis comment ?

          Beneddine
          4 septembre 2024 - 16 h 00 min

          Franchement vous servez a quoi.. qu’avez vous fait de bien pour l Algérie, tu es née pessimiste et tu partira pessimiste..

    Chaoui
    3 septembre 2024 - 12 h 57 min

    Y’a si Nouara Bouzidi :

    J’approuve et adhère à ton appel.

    En fait, il faudrait être insensé et aveugle pour ne pas voir que nous sommes sinon des dizaines de millions d’Algériens l’immense majorité à le soutenir pour qu’il ‘rempile’ et reste à la tête de notre Pays.

      Institut de sondage ?
      3 septembre 2024 - 15 h 53 min

      cher @Chaoui , est ce que tu possèdes un institut statistique ou de sondage pour affirmer qu’il y a des dizaines de millions d’Algériens ou l’immense majorité du peuple qui soutiennent Tebboune pour qu’il reste à la tête de notre Pays ?

        Djamila
        3 septembre 2024 - 19 h 38 min

        Va voir d’abord dans ton makhzen s’il y a un institut de sondage. Jaloux et vive M. Tebboune

    Anonyme
    3 septembre 2024 - 12 h 54 min

    Tebboune le visionnaire , vrai reconnaisse vrai !

    Anti-BOBARDS
    3 septembre 2024 - 12 h 53 min

    Nouara B. Aurait dû poster sa contribution dans « Echaab », « Ennasr » ou « El Djoumhouria ». C’est mieux, car cette « contribution » peut lui apporter une certaine reconnaissance, surtout avec d’autres personnes intéressées par son SUJET.

    Laissons nos valeureux, nos héros CHOUHADA en paix et n’abordons pas le nom de notre ANP dans toutes les matières & conversations. Quant à mon père, il est décédé en 2013 et mon unique appartenance & adhésion sont exclusivement pour mon DRAPEAU DZ. Et nul n’est plus HAUT que NOTRE DRAPEAU.

    Matelot
    3 septembre 2024 - 12 h 28 min

    Avec t tout mon respect au 5 mandat tout le monde était contre…meme ceux qui se sont sucrer avec l a argent des Algeriens pendant 20 ans
    Tout le monde a grimpé sur la vague Comme on disait à Alger
    Il y a des gens braves qui se sont opposés des la fin du second Mandat de BOUTEFLIKA quand il a changé la constitution
    Notamment le brave général toufik
    Se réveiller aux Tirs aux buts c est facile

    Mohamed El Maadi
    3 septembre 2024 - 12 h 27 min

    Soutenir la candidature d’Abdelmadjid Tebboune à la présidence de la République est l’évidence même. Même si son excellence, Abdelmadjid Tebboune, n’a pas le pouvoir ni la prétention de multiplier les pains de la croissance et de la compétitivité algérienne, ses mesures témoignent d’efforts significatifs. Si la continuité de ces efforts est préservée, l’Algérie sera à même de relancer l’idée d’indépendance et de souveraineté, face à des économies africaines souvent leurrées par des promesses, notamment celles du Maroc, qui s’implante dans des organisations africaines en profitant de la naïveté des dirigeants.

    Cependant, cette naïveté a un prix : celui de l’exploitation, trop souvent oublié par l’Occident. Elle se manifeste à travers des abus inacceptables, notamment l’exploitation sexuelle d’enfants et de jeunes filles adolescentes, qui finissent dans des situations désespérées, passant de Bujumbura à Libreville, voire à Yaoundé.

    Il est vrai que certains diront que Tebboune n’est pas la meilleure solution, et j’avoue avoir des réticences, le trouvant parfois trop innocent ou mal conseillé. Cependant, nous n’avons pas d’autre cheval de bataille. Pour l’Algérie, il est crucial de faire front et de soutenir le président algérien. C’est une obligation de se rassembler derrière lui, car c’est en unissant nos forces que nous pourrons espérer construire un avenir meilleur pour notre pays.

    Lin
    3 septembre 2024 - 11 h 37 min

    Soutenir Madgid Tebboune : Un Acte de Résistance et de Détermination pour Sauvegarder l’Héritage des Martyrs et l’Indépendance Inébranlable de l’Algérie !

    Soutenir la candidature de Madgid Tebboune, c’est bien plus qu’un simple choix politique : c’est un engagement ferme envers la mémoire des chouhada, ces héros qui ont sacrifié leur vie pour arracher l’Algérie aux griffes de l’oppression coloniale française.

    Chaque voix en faveur de Tebboune est un rappel puissant de la lutte héroïque menée pour la liberté, un refus catégorique de laisser ce précieux héritage être dilué ou trahi.

    En optant pour Tebboune, nous faisons le choix de continuer à ériger un rempart contre toute tentative de vassalisation étrangère.

    C’est offrir aux générations futures un pays dont l’indépendance est préservée, une nation qui ne courbera jamais l’échine devant des influences extérieures.

    C’est garantir que l’esprit du patriotisme algérien reste pur, inviolé, et que l’Algérie demeure souveraine, libre de tracer son propre chemin, en accord avec les sacrifices de ceux qui ont versé leur sang pour sa liberté.

    Ainsi, soutenir Madgid Tebboune, c’est s’assurer que l’Algérie continue de porter haut les valeurs de la révolution, dans un monde où l’indépendance et la souveraineté sont constamment menacées.

    C’est faire preuve de résistance et de détermination pour que les clés de notre avenir ne soient jamais remises entre les mains de forces étrangères, mais restent fermement entre celles du peuple algérien.

    ✍️ Lin

    Abou Stroff
    3 septembre 2024 - 11 h 08 min

    « Pour qu’Abdelmadjid Tebboune puisse continuer son travail et être le premier d’entre nous à nous rassembler, rassemblons-nous pour la reconduction de son mandat à la tête de notre nation. » conclut N. B..

    je pense qu’un naïf, pour ne pas dire, un niais comme mon auguste personne, risque de poser, à la suite du pamphlet de N. B., la question à un doro suivante:

    puisqu’il est question de se rassembler pour la reconduction du mandat de Tebboune, pourquoi N. B. ne propose t elle pas aux deux autres candidats, de se retirer de la course et de se mettre au service de Tebboune pour réaliser un rassemblement à 100%?

    réponse gratuite: je pense que N. B. croit en la venue du messie et ce messie, selon N. B. est déjà parmi nous puisque, au regard de sa prose elle nous désigne Tebboune comme étant le messie.

    bizarre, bizarrement bizarre, n’est ce pas?

    Lin
    3 septembre 2024 - 11 h 08 min

    🚩 Soutenir Madgid Tebboune : Un Acte de Résistance et de Détermination pour Sauvegarder l’Héritage des Martyrs et l’Indépendance Inébranlable de l’Algérie !

    Soutenir la candidature de Madgid Tebboune, c’est bien plus qu’un simple choix politique : c’est un engagement ferme envers la mémoire des chouhada, ces héros qui ont sacrifié leur vie pour arracher l’Algérie aux griffes de l’oppression coloniale française.

    Chaque voix en faveur de Tebboune est un rappel puissant de la lutte héroïque menée pour la liberté, un refus catégorique de laisser ce précieux héritage être dilué ou trahi.

    En optant pour Tebboune, nous faisons le choix de continuer à ériger un rempart contre toute tentative de vassalisation étrangère.

    C’est offrir aux générations futures un pays dont l’indépendance est préservée, une nation qui ne courbera jamais l’échine devant des influences extérieures.

    C’est garantir que l’esprit du patriotisme algérien reste pur, inviolé, et que l’Algérie demeure souveraine, libre de tracer son propre chemin, en accord avec les sacrifices de ceux qui ont versé leur sang pour sa liberté.

    Ainsi, soutenir Madgid Tebboune, c’est s’assurer que l’Algérie continue de porter haut les valeurs de la révolution, dans un monde où l’indépendance et la souveraineté sont constamment menacées.

    C’est faire preuve de résistance et de détermination pour que les clés de notre avenir ne soient jamais remises entre les mains de forces étrangères, mais restent fermement entre celles du peuple algérien.

    ✍️ Lin

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