Le réveil des caciques

Par Karim Bouali – L’annonce surprise par Sellal de la candidature de Bouteflika à un quatrième mandat a révélé – pour les observateurs les plus perspicaces, ce fut plutôt une confirmation – un côté curieux de la vie politique dans notre pays. Cette annonce a sonné comme un réveil pour sortir de leur sommeil les caciques de l’opposition, mais issus directement du système ou l’ayant bien servi à un moment ou à un autre de leur carrière politique, même si leur apparition dans le décor du pouvoir a été furtive. C’est comme s’ils ne voulaient pas rater le rendez-vous médiatique quinquennal des élections présidentielles qui leur permet de revenir au-devant devant de la scène pour exprimer leur «opinion». Après Ali Yahia Abdennour, Ahmed Taleb et Rachid Benyellès, c'est au tour de Mouloud Hamrouche, Saïd Sadi et Bouguerra Soltani de se montrer. Ils ont fait savoir qu'ils ne sont pas candidats, sauf Hamrouche dont c’est, visiblement, le tour de maintenir le suspense sur ses intentions : présenter sa candidature ou s’interroger sur l’après 17 avril, boycotter ou appeler à une «transition douce»…. Pourquoi tous ces hommes politiques de premier plan éprouvent-ils le besoin, précisément maintenant, de dire ce qu’ils pensent de la candidature de Bouteflika alors que pour certains d’entre eux, ils se sont plutôt distingués par une absence inexplicable de la vie du pays à des moments où il fallait se manifester pour éclairer l’opinion et la mobiliser ? La logique de leur activité politique relève du mystère. Une chose est sûre, ce qui les a fait bouger subitement est la candidature de Bouteflika, sinon ils en seraient encore à leur hibernation. Les jeunes qui attendent de ces aînés un peu plus qu’un «communiqué commun» ou une «lettre à l’opinion publique», à lire dans les journaux ou sur les sites électroniques, en sont pour leurs frais. Car pendant ce temps, le camp présidentiel, comme on l’appelle, continue d’occuper le terrain politique qu’il n’a jamais abandonné, instrumentalisant tout ce peut lui servir comme institutions officielles, faisant fi des oppositions conjoncturelles et passagères. Au mépris de tout.
K. B.
 

Comment (11)

    spiegel
    26 février 2014 - 23 h 17 min

    COUP D’ETAT

    Opération

    COUP D’ETAT

    Opération Gibraltar

    ALGÉRIE

    Dans la nuit du 18 19 Juin à 1:45 du matin, quatre officiers armés de fusils et de mitrailleuses envahissent la résidence privée du président algérien Ben Bella au cinquième étage de la Villa Joly à Alger.

    Les quatre – chef d’état-major le colonel Zbiri, chef du renseignement Djellal, Major Chabou et un autre officier de la « armée populaire » algérien – avaient ordre d’arrêter le chef de l’Etat.

    Ben Bella dormait en pyjamas rayés, ses poings serrés. Le chef du personnel l’a réveillé: « Monsieur Ahmed, vous n’êtes plus le président de l’Algérie! Vous pouvez vous detendre maintenant. … »

    Le Putsch d’Alger avait surpris tout le monde a l epoque. C est juste maintenant qu on vient d apprendre grace a un conspirateur algérien, que le Putsch contre le président et héros national Ben Bella n’a pas étonné: le président français Charles de Gaulle, car il etait au courant bien avant.

    Le motif du Putsch était le plan de Ben Bella à limoger ses puissants adversaires politiques au sein du Cabinet – Le ministre de la Défense le colonel Houari Boumédiène, 40, et ministre des Affaires étrangères Abd el-Aziz Bouteflika, 30 ans. Le président a souhaité que les deux ministres soient limoger lors d’une réunion spéciale du Bureau politique du FLN.

    Boumedienne et Bouteflika ont ete vite informés. L informateur etait un vieux copain guerre de Boumedienne le chef d’état-major le colonel Tahar Zbiri, qui a ete choisi par Ben Bella en tant que nouveau ministre de la Défense.

    Le ministre de la Défense a décidé d’agir rapidement. À la Villa de la Major AL Mendjelf, se réunissent, sous la direction de Boumedienne, les adversaires de Ben-Bella, a savoir: Major Slimane, Ministre de l’Intérieur Ahmed Medeghri, le ministre des Affaires étrangères Bouteflika, Capitaine Athmane D., conseiller technique dans la défense.

    Les six conspirateurs étaient des amis proches. Pendant la guerre, ils avaient travaillé ensemble dans la ville frontalière tunisienne de Ghardimaou le siège de l’Armée de libération algérienne sous chef d’état-major de Boumediene.

    Avec Mocha et cigarettes américaines Boumedienne a commencé dons discour avec des accusations violentes contre Ben Bella. Il a accusé le président d etre responsable de la croissance des difficultés économiques et la corruption dans l’état.

    En politique étrangère, le colonel se plaignait des «alliances hypocrites et contre nature» que Ben Bella avait fait. La rupture des relations diplomatiques avec l’Allemagne de l’Ouest en suivant Nasser était une erreur monumentale » parce qu’elle prive l Algérie d un credit bancaire important. « Mes frères », déclara Boumedienne avec fermeté, « le temps est venu … et de faire le nécessaires pour sans trop perdre de temps, chasser Ben Bella et ses sbires par la force. »

    L operation a reçu le nom de code « Jebel Tarik » (Gibraltar) – à la mémoire des conquêtes arabes glorieuses du passé.

    La décision des six conspirateurs ete que le « jour J », le jour du Putsch, doit avoir lieu avant le 29 Juin, jour de la conférence afro-asiatique prévue à Alger, qui pourrait faire gagner du prestige supplémentaire a Ben Bella. Chose qu il fallait empecher.

    Soudain Boumedienne avait des préoccupations. « Qu’est-ce que la France va faire? » Et il se demande: « Il est possible que la France – au moins temporairement -, fait suspendre l aide financiere, – de Gaulle n’aime pas qu il soit mit devant le fait accompli. »

    Major Slimane recommanda d’envoyer un émissaire vers Paris et contacter directement le gouvernement français. Capitaine Athmane D. se rappela qu’il avait rencontré en Août 1964, le Secrétaire Tricot du ministère de la Défense. Ils étaient devenus amis; Tricot l’ avait invité à dîner dans son appartement et de parler « du mal du pays »…l’Algérie.

    Les conspirateurs ont décidé Athmane doit immédiatement se rendre à Paris. Contrat officiel: les négociations sur l’admission des jeunes algériens dans les écoles militaires françaises. Sa véritable mission: explorer l’attitude de la France au coup d’État planifié.

    Au début de Juin l’envoyé de Boumedienne a expliqué a un haut fonctionnaire du gouvernement français le plan des conspirateurs du coup d’Etat algérien. Le capitaine a assuré au nom de son patron (Boumédiène) que les rebelles voulaient poursuivre la coopération avec la France et protéger les intérêts français en Algérie.

    Le 10 Juin le général de Gaulle a envoyé deux diplomates pour remercier Boumédiène pour ses assurances. Capitaine Athmane D. a appris que la France ne s’ingère pas dans les affaires intérieures de l’Algérie, que le général de Gaulle, cependant, avec le souhait d « évité, chaque effusion de sang inutile ».

    Athmane télégraphié immédiatement à Alger « . L enfant Tarik est nee aujourd’hui a 17 heures. Mama avait enduré une sévère douleur. Mais les supporta avec bravoure… »

    Le 11 Juin le capitaine revint à Alger. Le jour même , il a fait rapport sur sa mission. dans la salle des cartes-major général de l ANP. Athmane: « Le gouvernement français ne fera pas de problemes. »

    Un grand nombre de conspirateurs, qui s’étaient rassemblés dans la salle des cartes. Boumedienne avait partager son secret avec des officiers de premier rang. Tous se sont félicités du fait que l’armée prendrait encore un fois un rôle crucial dans la direction du pays. Parmi les nouveaux conspirateurs étaient: Tahar Zbirt, le chef d’état-major de l ‘ »Armée nationale populaire », Colonel Slimane Hoffmann, un ancien officier de l’armée française et fils adoptif d’un ancien légionnaire étranger (qui elle doit son nom allemand), il est de avec sa division ses Panzer, le «fer de lance de la révolution», Major Chabou, également un ancien officier français, Major Djellal, directeur du service de sécurité militaire et «Grand Inquisiteur, l’armée algérienne, et sa chasse inlassable pour les dissidents et les libéraux lui ont valu le surnom de« McCarthy Algérie « .

    Colonel Boumedienne distribua a chacun des dirigeants son rôle dans le scenario du « jour J ». Les différentes phases de son plan opérationnel ont ete approuvés par les conspirateurs en levant la main:

    – L’action commence dans la nuit du Vendredi 18, samedi 19 Juin, a 1:45

    – L encerclement de la Ville par les unités blindées de la Hoffmann devrait être terminé à 0:30

    – Occupation de tous les points stratégiques:

    Points de la ville, les bâtiments publics, les ministères, le bureau de poste central, les centrales électriques, l’Amirauté et le palais du gouvernement et de la radiodiffusion.

    – A 01h45: Arrestation du président Ben Bella et le président de l’Assemblée nationale, Hadj Ben Alla, qui sont tous deux conduit immédiatement à l’aéroport « Maison-Blanche ». De là, un avion militaire les transporte vers l’oasis saharienne de Tamanrasset, où ils seront en garde à vue dans un département de l Armée.

    L’opération «Tarik » s’est déroulé comme prévu – à l’exception des deux arrestations. Ben Bella a d’abord essayé de dissuader les dirigeants du coup d’Etat avec des discours patriotiques. Ensuite, l’ex-chef de l’Etat a frappé avec ses poings.

    Dans cette bagarre Ben Bella a été légèrement blessé au bras droit. Une balle perdue l’a frappé, les rebelles ont dit plus tard l’arme d’un de ses propres gardes du corps. Dr Dimitri Bascheff, un médecin bulgare a été appelé à rejoindre l’ex-président.

    Avec une heure de retard, arriva le prisonnier Ben Bella, ayant son bras droit en écharpe noire, escorté par des jeeps avec des fusils, des mitrailleuses, à l’aérodrome. Une « Ilyushin 18 » était déjà en attente, un cadeau de Khrouchtchev à l’ancien chef de l’Etat pour le transporter à son exil temporaire a Tamanrasset.

    A 02h30 horloge l avion decola. Le président du Parlement Ben Alla, un ancien officier de l’armée française, qui devait etre le deuxième prisonnier a prendre cette avion, n’était pas là. Au moment de son arrestation par trois officiers de l’armée algérienne, Ben Alla s est barricadé dans son appartement et a livrer une résistance farouche jusqu’à sa mort au milieu de sa famille, sa femme et ses six enfants.

    Six heures plus tard, le monde a appris la nouvelle que savait le gouvernement français des semaines auparavent : L’Algérie a un nouveau maître, le colonel Houari Boumedienne. Le colonel se fit Premier ministre et ministre de la Défense, le siege du président est resté vide.

    De Gaulle, quand a lui, a présenté son butin de guerre du Putsch a son peuple: Un nouvel accord pétrolier, qu Paris a signe avec Boumedienne, qui garantie a la France de laisser l OR noir du Sahara dans la zone monétaire du franc francais pour au moins les 15 prochaines années.

    Ben Bella avait menacé avant sa chute, de nationaliser les installations pétrolières françaises dans le Sahara.

    * Safir Gharzali: « Premier Réeit du renversement de Ben Bella, » dans « France-Soir ».

    Victime du coup d’Etat : Ben Bella

    Putschiste : Boumédiène avec complicite du président de la France

    Conspirateurs : Slimane

    «Maman a eu beaucoup de douleur »

    DER SPIEGEL 37/1965

    Tous droits réservés

    http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-46274062.html

    ahmed
    26 février 2014 - 20 h 28 min

    Depuis quelques temps nous
    Depuis quelques temps nous pataugeons dans l’incertitude politique avec ces présidentielles. Chaque groupe, mouvement ou clan voudrait imposer son homme à la tête du pays en excluant les autres renvoyant aux calendes grecques le vote, le choix des citoyens ; traduisant ainsi que tous ne croient pas aux élections mais à la fraude qui a toujours entachée les scrutins.
    Ce qui arrive actuellement est la suite logique de 36 ans d’exclusions des cadres, des élites. Les meilleurs cadres, de niveaux universitaires, des entreprises publiques, de la fonction publique mais aussi des institutions n’ont jamais été autorisés à dépasser le poste de sous-directeur, de chef de département, de chargé d’études, de chef de service. Seuls les « khobziztes » (comme on dit), les soumis, les dociles, les obéissants, les serviles passent, obtiennent les avantages et les promotions.
    De toute ma carrière dans la fonction publique et les entreprises, je n’ai jamais vu un cadre, reconnu pour ses compétences, son sérieux et son honnêteté, dépasser les postes cités !! J’ai même vu un, ingénieur de son état, « bloqué » dans son poste de « chef de service » dans une grande entreprise d’Etat durant toute sa carrière au « motif », gardé secret, « méritant, mais ne peut être remplacé». Lorsqu’il a «découvert» cela sur sa fiche il a fait valoir ses droits à la retraite «proportionnelle» pour s’installer à son compte. Dans une institution, on s’est même permis de nommer « directeur régional » un jeune nouveau venu ( de 8 ans d’expérience au total dont 5 ans dans cette institution) au lieu de ces chefs, des cadres universitaires, de 20 ans d’expériences (dont 12 ans dans cette même institution). Pourquoi ? Parce qu’il est parent à une « ponte » du pouvoir, du système.
    En fait, c’est général ; c’est tous les secteurs qui sont touchés depuis plus de 30 ans. Toutes les compétences avérées sont systématiquement écartées, cernées ou laminées au point où la majorité a fait valoir ses droits à la retraite (vite acceptée), mais recrutés ailleurs haut la main. Après 36 ans dans cette politique d’exclusion il est logique que l’Algérie se retrouve sans élite, sans compétence en fonction, sans relève !! –
    Tous ceux qui s’exhibent actuellement, encore responsables ou en retraites, pour se porter candidats à la présidentielle ou pour soutenir, ont participé à cette politique d’exclusion ou qui l’on encouragé.
    Devant ce vide il est évident que ce soit les « caciques » qui reviennent pour prétendre au pouvoir jusqu’à leur mort. Ils ont presque tous plus de 75 ans d’âge et comme ils sont du même moule, ils se considèrent comme complémentaires et jamais concurrents ; pourvu que le pouvoir reste entre eux avec ses privilèges et ne soit pas transmis à d’autres générations. C’est la même logique que dans les systèmes autoritaristes révolus tel l’URSS.
    Même s’ils voudraient le transmettre, ils ne trouveront pas d’élites compétentes disponibles pour les relever.
    Nous sommes bien dans l’impasse totale.
    Aussi bien Bouteflika que les autres candidats, que l’on met en avant, font partie du même système nuisible qui ne se perpétue que par l’exclusion et la rente. Tous ne pourront pas le changer même si chacun gouvernera avec 3 mandats successifs, car ce système est corrompu. Il corrompt l’homme. Tout dirigeant ne peut le devenir sans ce système. Un cercle vicieux infernal dont la cause principale est cette funeste rente dont la gestion reste et restera problématique ; jusqu’à sa disparition un jour!!!

    mouloud
    26 février 2014 - 16 h 51 min

    tout ce que hamrouche a à
    tout ce que hamrouche a à faire si il n’est pas aussi imbu de sa personne et si il ne prend pas les algériens pour des assistés et d’assumer sa prise de position et de demander à tout les algériens de voter pour Benflis. Je ne suis pas un fan de Benflis loin de là, mais si il s’engage devan,t les électeurs si il est élu a changer la constitution et à organiser des législatives anticipées pures au profit des partis politiques alors oui je vote ! c’est celà que Mr Benflis doit dire et faire au plus vite ! tous les autres partis politiques devront alors suivre, ils auront leur chance….on ne peut pas briguer la présidence avec 4 députés ! benflis en a eu 15000 d’élus ! c’est celà la réalité, un pari, une promesse de changement pour le futur ! on vote pour le futur pas pour le passé !

    smain
    26 février 2014 - 16 h 19 min

    On ne peut être pleinement un
    On ne peut être pleinement un homme politique et rester longtemps coupé de son peuple. Après une ou plusieurs décennies d’éclipse, sans relais au sein de la population, comment prétendre convaincre et mobiliser les masses : ils auraient pu être wali, président d’APC, auparavant ; ils auraient étaient mieux connus par l’électorat qui pourrait avoir la preuve de leur engagement sur la base de leur action et non seulement de leur parole ou leur passé.

    RAMO
    26 février 2014 - 16 h 02 min

    IL EST OU LE SAUVEUR DE
    IL EST OU LE SAUVEUR DE L’ALGÉRIE DE LA PREMIÈRE HEURE POURQUOI IL NE ‘S EXPRIME PAS? NOUS VOULONS TOUS AVOIR SON AVIS,CAR NOUS L’AVONS TOUS SUIVIS AVEUGLEMENT DANS DES MOMENTS TRÈS DIFFICILE.

    Anonyme Patriote
    26 février 2014 - 14 h 21 min

    Pour faire échec à la mafia
    Pour faire échec à la mafia qui a pris l’Algérie en otage signez svp contre une 4e mandat pour Bouteflika qui détruit l’Algérie depuis 1999.

    http://www.avaaz.org/fr/petition/Monsieur_de_president_de_la_republique_Abdelaziz_Bouteflika_Nous_vous_appelons_a_renoncer_au_quatrieme_mandat/?ccBbdbb

    Mohamed el Maadi
    26 février 2014 - 14 h 04 min

    Ils sont tous complices et ce
    Ils sont tous complices et ce qui est véritablement un scandale dans ce pays personne dans la classe politique a de la fierté pour l’Algérie et son image a l’extérieur.Je ne serais pas plus royaliste que « le roi » et de toute façon si vous vous opposer à ce quatrième Mandat on vous délégitime en tant qu’algérien.Le pays s’est dévoilé comme une dictature a mon grand regret. Oui, je l’avoue, j’ai été naïf, je pensais connaitre la mentalité algérienne, mon logiciel s’est arrêtez en 54 et je ne connais plus ce pays, car l’histoire a été falsifier et nos idéaux ( le culte de la personnalité n’a jamais été une tradition chez nous) ont été tout simplement balayer.Comme en France ,l’Algerie est dirigé par un lobby qui ne lâchera rien et je m’inquiète pour les Algériens qui au pays se voit nier dans leur revendication.Beaucoup sont parties dans les années 90 et une nouvelle classe partira après boutéflika et la c’est la mort physique de ce pays
    Le peuple a mon grand regret s’est islamisé idéologiquement, c’est a dire soumis et leur modèle, c’est le Qatar et l’Arabie Saoudite qui les méprises profondément. Enfin moi s’est fini l’Algérie, je n’y mettrais plus les pieds. Je ne me reconnais plus dans ce pays, mais j’aiderais les algériens patriotes à défendre leur pays avec mes moyens.
    Une pensée profonde a mes frères kabyles le reste continuez à vous renier, mais vous le paierez très cher !

    raselkhit
    26 février 2014 - 11 h 11 min

    La classe politique encore
    La classe politique encore une fois démontre sa nullité et surtout sa totale incompétence Bouteflika avait annoncé à Sétif son départ donnant le temps nécessaire à tous ces incapable l’opportunité de se préparer et de mobiliser pour leur candidature .Mais cette classe connaissant sa propre incapacité ont fait semblant d’attendre que Bouteflika annonce son retrait alors que son discours de Sétif était on ne peut plus clair . C’est suite à l’incurie de cette classe politique que c’est en désespoir de cause que le Président rempile Voyant que cette classe politique est incapable d’affronter les urnes encore une fois il se sacrifie toujours fidèle à son serment pour éviter le vide politique qu’ils désiraient

    Anonyme
    26 février 2014 - 11 h 05 min

    said ne pouvait ordonner à
    said ne pouvait ordonner à sellal de déclarer la candidature de son frère sans le ok de fafa ; ce n’est qu’une étape d’un programme précis conçu et mis en œuvre par le clan avec la bénédiction de fafa qui tient l’essentiel : « la prise en charge médicale du président  » au grand dam des caciques qui sont déboussolés par l’âge, la maladie et la mauvaise foi de ceux qu’ils ont intronisé ;

    Mahmoudi
    26 février 2014 - 9 h 25 min

    En ordonnant à Sellal
    En ordonnant à Sellal d’annoncer, contre vents et marées, la candidature de son frère à Oran, Said Bouteflika et les aventuriers du clan présidentiels et leurs complices des autres institutions de la Républiques, notamment de l’ANP, ont voulu mettre le pays devant un fait accompli très très dangereux.

    La majorité du peuple algérien a été traumatisée par cette annonce et l’ont senti comme un défi et une humiliation pour l’Algérie et le peuple algérien, à qui ils veulent imposer un moribond dans l’incapacité physique, mentale et morale d’assumer ses fonctions depuis presque une année et qui est devenu la risée des médias privés algériens et étrangers.

    Les Algériens et les Algériennes sauront faire échec au coup de force des aventuriers du clan présidentiel et de lerus complices.

    aliasdar
    26 février 2014 - 9 h 19 min

    vous les gens de la presse
    vous les gens de la presse ,vous etes aussi responsables qu’eux,il fallait les reveiller,et insister sur eux pour qu’ils inteviennent dans le debat depuis bien longtemps,pour preparer ce RDV,ce n’est pas dans le temps mort qu’on arrive à se rattraper,tt le monde a misé sur une non candidature de boutef,et bien c fait.à la prochaine monarchie

Les commentaires sont fermés.