Trop tard ?

Par Kamel Moulfi – Quand, au début des années 1990, l'Algérie lançait alerte sur alerte à propos du danger terroriste auquel elle faisait face seule, les capitales occidentales, dans une attitude lâche, préféraient fermer les yeux sur les massacres qui endeuillaient notre pays, croyant à tort qu'en agissant ainsi, elles allaient s'épargner les foudres de ces hordes sauvages. Si Washington et ses alliés avaient écouté l'Algérie à ce moment, les groupes terroristes auraient été décimés il y a longtemps. La lâcheté des dirigeants des pays occidentaux les a conduits jusqu'à armer les terroristes pour soi-disant renverser les régimes dictatoriaux arabes, alors qu'en fait, ils n'ont fait qu'aggraver la situation qu'ils tournent à leur profit, puisque le terrorisme islamiste leur permet d'entretenir la guerre hors de leurs frontières, de sauver l'industrie de l'armement de la banqueroute et de faire s'entretuer les musulmans et les Arabes entre eux. Mais ils constatent maintenant, un peu tard pour eux, qu’il y a un problème. L’auteur de la tuerie au Musée juif de Bruxelles, le 24 mai, est un Français parti, avec l’aide et la complaisance de qui on sait, faire le djihad en Syrie, dans les rangs de Daech, pour renverser le «régime de Bachar Al-Assad». Jusque-là c’est bon pour Hollande et Fabius, mais ça se corse quand le djihadiste décide de revenir combattre les kouffar (impies) chez eux. Et cette idée trotte sans doute dans la tête de milliers de djihadistes originaires de pays occidentaux qui pensent au retour et au terrorisme à semer en France, en Grande-Bretagne… A cet «aléa», qui effraie tant les Occidentaux, il faut ajouter le risque imprévu que le djihad de Daech s’étende aux pays du Golfe, alliés de l’Otan et des Etats-Unis dans la région. On comprend alors la panique qui s’est emparée de Kerry qui découvre subitement le côté «abominable» de Daech et lance – plus de vingt ans après les SOS de l’Algérie – des cris d’alerte tardifs pour circonscrire Daech dans les territoires qu’il occupe et l’empêcher d’étendre ses nuisances aux pays occidentaux, pour terroriser leurs populations, et aux alliés dans le Golfe, pour renverser leurs régimes. Trop tard ?
K. M.
 

Comment (12)

    Ahmed/Anonyme
    9 septembre 2014 - 18 h 55 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 9. septembre 2014 – 16:38
    .
    « Par Anonyme (non vérifié) | 9. septembre 2014 – 13:34
    Il faut poster les sources de vos infos plus ou moins suspectes qui sentent la propagande mekhzénistes…,
     »

    En effet, c’est un article publié par …….Hichem Aboud!

    elkhayam
    9 septembre 2014 - 16 h 31 min

    Pour l’occident tant que
    Pour l’occident tant que l’islam est la solution pour ces peuplades sanguinaires fanatisées et la charia poussée au paroxysme de la barbarie soit appliqués dans les pays arabo musulmans, ça va et c’est gérable de loin, mais une fois ça déborde chez eux. Alors on tire la sonnette d’alarme pour combattre ce danger apocalyptique, pas pour l’éradiquer de la surface de la terre mais juste pour l’endiguer à des frontières bien précises qui délimitent le monde libre du monde sauvage et barbare. Lepen avait bien dit « …mais si ! J’aime les arabes mais chez eux… ». Maintenant l’Occident est fasciné par l’islam et la charia mais appliqué et vécu le plus loin de chez lui, à la limite de la rive sud de la méditerranée.

    Mohamed el Maadi
    9 septembre 2014 - 15 h 56 min

    Trop tard ?
    Trop tard et cela

    Trop tard ?

    Trop tard et cela va leur couter chère d’avoir financé ,armé ,organisé de départ de la France vers la Syrie (en y envoyant des gamines sans scrupules et surtout avoir facilité la sortie de territoire a de jeune fille adolescente pour qu’elle assouvisse les envie de leur protegé) . Il parle de l’Algérie comme étant le maitre des groupes terroriste en Afrique du Nord, mais eux font pire. Comment nous le savons et bien l’armée syrienne a mis la main sur des terroristes et ils ont parlé. Mohamed Merrad a bien raconté qu’il a été envoyé en Algérie par les services secret Français, mais a expliqué qu’il ne pouvait pas rejoindre les maquis, car la sécurité Algérienne était partout. Et nous savons également ce que vous faite en France, car l’Algérie a pris des mesures pour se protéger !
    Il serait bien qu’en France, nous nettoyons déja des compatriotes très peu fiables surtout les surveiller a l’intérieure du pays quand ils vienne en vacances.Normalement quand un franco algérien décide de venir au pays les personnes qui le reçoivent doivent allez au commissariat et signaler sa présence et qu’a chaque fois qu’il sort d’une wilaya doit se rendre également dans un commissariat pour dire chez qui il va et d’ou il vient c’est la procédure . C’est à la famille de faire les démarches car si vous ne le faite pas et qu’il se passe quelque chose la justice peut vous comndamné pour  » délit d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » passible de la peine de mort mais comme elle n’est plus appliquer chez nous c’est 30 ans de prison maximun

    Anonyme
    9 septembre 2014 - 15 h 38 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 9. septembre 2014 – 13:34
    Il faut poster les sources de vos infos plus ou moins suspectes qui sentent la propagande mekhzénistes, des preuves svp de ce que vous raconter avec vos postes fleuves nauséabonds. Des infos postés sur les sites et qui ne comportent pas les sources, sont nulles et non avenues. La plupart sont des infos qui proviennent de la propagande marocaine ou des sites islamistes terroristes.

    Anonyme
    9 septembre 2014 - 14 h 38 min

    Graves révélations du Daily
    Graves révélations du Daily Star : 600 soldats britanniques forment les terroristes de Daech.
    Implication des services secrets américains, britanniques, français et israéliens dans la création de cellules prétendument islamistes, pour affaiblir les Etats de la région et faire main basse sur leurs richesses pétrolières et gazières.
    C’est un véritable pavé dans la mare qu’a jeté le quotidien britannique The Daily Star sur l’implication des services secrets occidentaux dans le soutien logistique au terrorisme islamiste qui ravage actuellement le monde musulman.
    Se basant sur ses propres investigations et citant des sources du renseignement britannique, le journal affirme que les terroristes islamistes responsables d’atrocités en Irak sont formés par d’anciens membres de l’armée britannique.
    Les sources sur lesquelles s’appuie le journal assurent avoir repéré des «similitudes» entre les extrémistes islamistes et l’armée britannique dans leur mode opérationnel et leur organisation.
    Le Daily Star précise, en effet, que 600 terroristes britanniques combattant pour le groupe terroriste Daech (Etat Islamique) sont commandés et formés par des musulmans ayant un passé militaire en Grande-Bretagne. La source citée par le journal ajoute que les services secrets britanniques (MI6) et américains (CIA) ont intercepté des écoutes et des échanges d’emails dont le contenu suggère que plusieurs anciens membres de l’armée britannique se battent en Irak.
    Les formateurs des groupes islamistes armés ont, d’après le journal, servi dans des unités de l’armée régulière ou dans l’armée territoriale britannique.
    La même source assure que des gens parlant «avec un accent anglais» et «utilisant le jargon militaire» s’occupent de la formation de base des groupes islamistes en Irak et en Syrie. «Ils utilisent les mêmes techniques et les exercices – en particulier la manipulation d’armes et les tactiques – que l’armée britannique», ajoute-t-on. «Nous avons reçu des informations qui montrent que beaucoup de jeunes hommes britanniques qui sont allés se battre en Syrie et en Irak reçoivent une formation militaire d’autres ressortissants britanniques.» Cette même source relève que les recrues qui ont rejoint Daech devaient avoir un niveau «assez décent» avant d’être autorisées à prendre part à une bataille.
    On leur apprend, par exemple, comment conserver des munitions en évitant de prendre pour cible des objectifs hors de portée. Selon le journal, ces recrues ont également reçu des instructions sur la façon de planifier et de mener des embuscades contre des patrouilles diurnes et nocturnes.
    Ces faits viennent une nouvelle fois démontrer l’implication directe des services secrets occidentaux dans l’encouragement du terrorisme islamiste à travers le monde.
    Le temps commence, en tout cas, à donner raison à tous ceux qui exprimaient des soupçons sur cette implication des services secrets américains, britanniques, français et surtout (ndlr) israéliens dans le soutien et l’encouragement à la création de cellules prétendument islamistes, mais qui ne sont là que pour affaiblir les Etats de la région et de là permettre à l’Occident de prospérer en faisant main basse sur les richesses pétrolières et gazières de ces pays.

    Anonyme
    9 septembre 2014 - 14 h 24 min

    L’Algérie confrontée à une
    L’Algérie confrontée à une menace d’infiltration à ses frontières
    La zone frontalière entre la Libye, la Tunisie et l’Algérie est une nouvelle source d’inquiétude pour les responsables de la sécurité de ces trois pays, les conduisant à coordonner leurs efforts pour endiguer les menaces.

    L’information répandue par la presse tunisienne évoquant des tunnels de contrebande reliant l’Algérie, la Libye et la Tunisie, qui auraient été découverts récemment, a alerté les trois pays.
    les forces de sécurité algériennes s’étaient emparées de plusieurs de ces prétendus passages souterrains et les avaient neutralisés.
    Le ratissage de ces tunnels pourrait prendre plusieurs jours, selon la source, qui a en outre signalé la présence de mines antipersonnel placées par des terroristes à divers endroits de ces tunnels.
    Mais le ministère de l’Intérieur tunisien a catégoriquement démenti ces allégations, déclarant que ces informations étaient « dénuées de tout fondement » et particulièrement improbables compte tenu de la géographie de la région.
    Du côté officiel algérien, on ne commente pas cette information. Mais « en off », on n’écarte pas la possibilité que des tunnels soient creusés et utilisés par des terroristes.
    « Vous savez, dans les forces secrètes algériennes, les groupes terroristes ont toujours creusé des tunnels, depuis l’époque du Groupe islamique armé (GIA) au début des années 90. Mais ce qui est inquiétant ici c’est qu’on parle de Palestiniens et de Syriens qui seraient impliqués et que l’EI en serait l’instigateur. Si cela se vérifie, cela voudrait dire que la région devrait faire face à deux ennemis : AQMI et l’EI, » a confié une source sécuritaire sous couvert d’anonymat.

    Cette même source a rappelé l’arrestation, le mois dernier, d’une centaine de Syriens entrés an Algérie avec des téléphones portables et des appareils GPS. Ces Syriens auraient avoué avoir été envoyés par l’État islamique pour suivre des entraînements dans des camps de groupes terroristes dans le sud de la Libye, avant de rejoindre l’Europe pour y commettre des attentats.
    Les forces de sécurité ont rapporté plusieurs tentatives d’infiltration sur le territoire par les groupes terroristes les plus sanguinaires de la région, via les frontières sud-est. L’objectif est d’installer un État islamique.
    La recrudescence des activités terroristes en Tunisie cette année, revendiquée par al-Qaida, indique que les extrémistes cherchent à s’implanter dans le « no man’s land » qu’est devenu le sud libyen.
    Dans les régions frontalières algériennes, l’armée a déployé quelque 14 000 soldats, mais les populations locales restent sceptiques.

    « C’est une zone qui vit de la contrebande et personne, en dehors des contrebandiers, ne connaît les accès de part et d’autre. Si l’armée étouffe les contrebandiers, ces derniers pourraient s’allier aux terroristes, comme ce fut le cas au nord du Mali, » a averti Amara Bekari, un commerçant de la ville d’El Oued.

    Le trafic entre la Tunisie et l’ouest de la Libye, en particulier, et même au nord, vers Tebessa, ne s’est jamais arrêté et c’est même développé au fil des jours, et beaucoup de personnes ne vivent que par la contrebande et ne peuvent imaginer qu’un jour elles devraient changer d’activité, a-t-il poursuivi.

    Dans cette large bande frontalière, tout passe, depuis toujours : drogue, or, armes, produits alimentaires, immigrés clandestins, et ce sont les passages empruntés par les contrebandiers que les groupes terroristes suivent.

    Selon Bachir Menasria, chauffeur de taxi qui faisait la navette entre l’Algérie et la Tunisie, « les gens n’ont aucune autre activité économique, alors ils risquent leurs vies ».

    Anonyme
    9 septembre 2014 - 12 h 34 min

    La main tendue d’Alger aux
    La main tendue d’Alger aux Frères musulmans libyens
    Après le leader islamiste tunisien Rached Ghanouchi, Alger s’apprête à accueillir l’ex président du conseil militaire libyen et ancien responsable d’Al-Qaeda Abdelhakim Belhadj. Tout en réprimant les anciens militants du FIS sur son territoire, le régime algérien tend la main aux leaders islamistes de la région pour trouver, à tout prix, les moyens d’enrayer la crise libyenne. L’Algérie joue également un rôle de sous-traitant incontournable pour la France qui s’inquiète que l’actuelle percée djihadiste en Afrique et dans le monde arabe n’entraîne des attaques sur son territoire.
    Selon le site eremnews relayé par le quotidien algérien Al-Khabar, le très controversé Abdelhakim Belhadj, ex-président du conseil militaire libyen, se rendra dans les prochains jours à Alger. Cette visite a pour but, selon les mêmes sources, d’étudier avec les autorités algériennes les voies et moyens de mettre un terme au chaos qui prévaut depuis quelques mois en Libye.
    Alger tend la main aux islamistes
    Dans un entretien accordé au même site eremnews, Abelhakim Belhadj a déclaré que sa visite n’aura pas de caractère officiel et se limitera à des rencontres avec des responsables algériens en ajoutant qu’il avait déjà effectué une visite semblable dans un passé récent au cours de laquelle il avait rencontré des responsables algériens, aux ministères des affaires étrangères et de l’intérieur.
    La visite de ce vétéran de la guerre d’Afghanistan, ancien responsable du mouvement Al-Qaeda à Bagdad et compagnon d’Abou Mossab Al-Zerqaoui, marque un véritable tournant dans la stratégie algérienne en matière de traitement du dossier des islamistes. Tout en continuant de réprimer les anciens militants du FIS en les privant de leurs droits civiques et politiques, vingt-deux ans après l’arrêt du processus électoral qui allait amener le parti d’Abbassi Madani (exilé, aujourd’hui, au Qatar) au pouvoir, le régime algérien entretient de bons rapports avec le parti Ennahda du tunisien Ghannouchi. Ce dernier a été accueilli il y a quelques jours en grandes pompes par le président Bouteflika, pourtant très souffrant et mal en point physiquement. De même, l’entente est bonne avec le libyen Belhadj considéré jusqu’à une date très récente comme un dangereux terroriste que la CIA avait arrêté en 2003 à Bangkok et livré aux services secrets libyens de Kadhafi après l’avoir interrogé et torturé. Parallèlement à ces bonnes relations avec les islamistes tunisiens et libyens, Alger a été la première à accueillir le maréchal égyptien Abdelfattah Sissi après son coup d’Etat contre Omar Morsi, le premier chef d’Etat élu d’Egypte, issu du mouvement des Frères Musulmans longtemps réprimé en Egypte.
    Diviser pour mieux régner
    Pour nombre d’observateurs, Alger sous influence française servirait de sous-traitant pour Paris qui a besoin de garder une porte ouverte sur les mouvements islamistes en Afrique et dans le monde arabe en cette période trouble où la déferlante islamiste marque des points à travers le monde arabe mais aussi dans certaines pays occidentaux dont la France où de nombreux réseaux dormants risquent de passer à l’attaque très prochainement. Alger a déjà l’expérience dans ce domaine en faisant du mouvement Hamas (actuellement MSP) du défunt Mahfoud Nahnah, un allié utile pour contrer le FIS suite au coup d’Etat de janvier 1992. Le mouvement Hamas a même siégé à l’Assemblée Nationale et au gouvernement que ce soit sous Zeroual ou sous Bouteflika au moment où le pouvoir en place disait mener une guerre impitoyable contre les Islamistes. Pourtant des dissidents du FIS ont obtenu des postes ministériels (Omar Guechi, Sassi Lamouri et Ahmed Merani), tout comme des membres de la direction du Hamas et du mouvement ennahda après s’être débarrassé de son fondateur Abdallah Djaballah). C’était une manière pour le pouvoir algérien de récupérer une partie du mouvement islamiste et d’approfondir les divergences existantes entre ses différentes tendances.
    Aujourd’hui, Alger, joue la carte de la récupération à l’échelle maghrébine en amadouant les plus modérés face aux radicaux faisant comme si le projet islamiste s’inspirait de sources différentes.

    00213
    9 septembre 2014 - 12 h 22 min

    S’il y a bien une chose
    S’il y a bien une chose qu’ils ont réussi c’est se faire courtiser pour régler les conflits qu’ils ont créé et qu’ils attisent sournoisement.
    Les miliciens de Fajr Libya c’est une version libyenne de l’EIIL irakienne avec le même mode opératoire et le même but sauf que le gâteau est pour l’Europe.
    Les mouvements des troupes extrémistes en Libye comme en Irak sont tellement stratégiquement précises qu’ils ne peuvent être que conseillés par une intelligence occidentale et coordonner par satellite.
    D’ailleurs l’approvisionnement en armement ultramoderne ne peut que confirmer la mise en place d’un schéma logistique tellement efficace et discret, qu’il ne peut être que l’œuvre de services gouvernementales disposant de très importants moyens.
    Au final les pays voisin de la Libye comme de l’Irak quémandent une intervention de l’OTAN.
    On ne peut donc plus parler d’interventionnisme pré-colonial mais bien d’une assistance à la demande des pays directement concernés.
    .
    C’est pourquoi je ne crois ni au retournement saoudien ni à la prise de conscience américaine à l’image du sois-disant changement de cap politique du fils Al thani qui en réalité continue les basses œuvres de son père avec plus de tact.
    Tout continue à rentrer dans l’ordre des objectifs préalablement assignés.
    Cependant je pense que certains hauts responsables des pays impliqués de prés ou de loin commencent à se rendre compte qu’ils jouent un peu trop prés du feu.
    La puissance des stratèges est telle, qu’ils ont créer une force, une contre-force, son opposition et sa contre-opposition à l’échelle internationale.
    (CNT -> Groupe d’Haftar -> Milice de Benghazi -> Fajr Libya)
    A travers le sacro-saint principe de maintien destructeur :
    Je soutien X puis Y et l’inverse en maintenant l’égalité et tout le monde se détruit pour que Z sort.(z comme zionism)
    .
    Les conseillers du groupes imperialiste qui est derriere cette strategie satanique savait deja dés 2011 quels sont les ressources le sminieres, à quel endroit, comment les exploité, avec qui, sur quel debvouché, pour en faire quoi.

    Ahmed/Anonyme
    9 septembre 2014 - 11 h 46 min

    LU
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    Décidément, le

    LU
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    Décidément, le président américain Barack Obama doit faire partie des fous. Son fameux plan et sa coalition contre l’etat islamique est, à n’en pas douter, une petite folie douce. Comment comprendre ce plan de 3 mois mis sur pied pour « éradiquer » la vermine terroriste sans se déployer en Syrie ? Hé bien, il a trouvé la parade. Accrochez-vous.

    Le plan de Barack Obama qui sait très bien que les terroristes de l’EI vont tous fuir vers la Syrie pense qu’il est urgent -un rêve soit hypocrite soit utopique-, qu’il faut néanmoins les combattre. Comment ? N’ayant pas d’idée, il a suggéré qu’il faut qu’au sol, puisque que la coalition ne va procéder que par des bombardements, qu’il y ait des troupes locales au sol. C’est le cas en Irak avec l’armée irakienne et les peshmergas.

    Mais, en Syrie, il dit que la force au sol doit être composée des anti-Assad et des anti-djihadistes pouvant lutter contre l’EI. Parce que, pense-t-il, il y a des différences ? Dites encore qu’il n’est pas fou. A moins que ce ne soit un plan B pour envahir la Syrie en prétextant que ce sont des combattants anti-Assad alors que ce sont des mercenaires américains…

    Ahmed/Anonyme
    9 septembre 2014 - 11 h 44 min

    LU
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    USA contre l

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    USA contre l EIIL? Sans Blague!

    Croyez vous que les USA avec les Britanniques MI 6 et son officine occulte l OSDH , l Otan et la misérable complicité de François Sarkosy et de Nicolas Hollande qui se sont tous cassés le c…pour fabriquer le monstre l EIIL puis croyez qu ils vont le détruire du jour au lendemain…Vous vous gourrez le doit dans l oeil ….

    Vous vous gourrez le doit dans l oeil surtout que les « oeuvres » du Fiston Monstre EIIL dépassent ce qui était attendu et prévu de lui . Au fond des fabriquants de ce Fiston, ils se disent:Chapeau l artiste Califa Machin…Mieux ou pire que toi, il n y en a pas…

    Rien n empêche que leur bébé, une fois a servi et qu il est au chômage technique donc il n a plus personne à tuer ni à détruire que Papa jette, ce bébé, avec l eau dans un égoût…bien mérité …

    Obama a déclaré le 28 Août 2014:les USA n ont pas encore une stratégie établie contre l EIIL.
    Gros menteur va!! Bien sûr que les USA en ont une, non pas contre l EIIL mais plutôt en faveur de la poursuite des « oeuvres « de l EIIL..

    En tout état de cause, sur le terrain aucun militaire ni français ni amériacain n y mettrait le pied..Les Papas ne veulent pas des morts de chez soi, zéro mort de chez soi et au diable et à la peste les irakiens et les syriens, moins il y en a mieux ça vaut… surtout qu on a occupé les deux alliés de la Syrie (Iran et Russie..) par des bagarres d arrière basse cour…

    Ahmed/Anonyme
    9 septembre 2014 - 11 h 32 min

    C’est de l’esbroufe.
    Cela ne

    C’est de l’esbroufe.
    Cela ne les inquiète pas du tout puisque Daech et autres sont leurs créations.
    Chacun sait qu’il suffit de ne pas les armer et les financer pour que tout s’arrête en une semaine!
    Le calcul de ces géniteurs est tout autre car la stratégie érigée pour le MO reste intacte. Ce n’est pas quelques dissidents de ces groupes qui vont faire changer leurs stratégies et leurs objectifs.
    Ils cherchent seulement à neutraliser une faction de Daech en l’éloignant de l’Irak vers la Syrie qui est un objectif qui s’éloigne de plus en plus.
    Un énième mensonge diversion.

    ABDELLAOUI MOKDAD
    9 septembre 2014 - 10 h 27 min

    QUI SÈME LE VENT, RÉCOLTE LA
    QUI SÈME LE VENT, RÉCOLTE LA TEMPÊTE.

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