Transfert de Soudani : La FIFA confirme la plainte de l’ASO contre Vitoria Guimaraes
La plainte portée par l'ASO Chlef (Ligue 1 algérienne de football), devant la fédération internationale (FIFA) contre le club portugais de Vitoria Guimaraes, au sujet des indemnités non encore perçues du transfert de Hilal Soudani l'été dernier, a été confirmée par l'instance mondiale, rapporte vendredi le site Blogolo.fr.
La plainte portée par l'ASO Chlef (Ligue 1 algérienne de football), devant la fédération internationale (FIFA) contre le club portugais de Vitoria Guimaraes, au sujet des indemnités non encore perçues du transfert de Hilal Soudani l'été dernier, a été confirmée par l'instance mondiale, rapporte vendredi le site Blogolo.fr.
«Aujourd’hui, la plainte que nous avons déposée contre le Vitoria Guimaraes pour le non aiement du transfert de Hilal Soudani a été confirmée par la FIFA» a indiqué la même source, citant une déclaration du président de l’ASO Chlef, Abdelkrim Medouar.
Le président du champion d'Algérie en titre, a expliqué au site que la FIFA va poursuivre la procédure.
«Maintenant, c'est à l'instance mondiale de trancher sur la question. Nous n’avons pas d’autres solutions car c’est un problème de club à club».
Meilleur buteur lors de l'exercice précédent (18 buts), Hilal Soudani, avait été transféré à Vitoria Guimaraes l'été dernier, après une série de négociations entre les dirigeants des deux clubs, au terme desquelles, il était convenu que l'ASO bénéficie de la somme de 600.000 euros, en guise d'indemnités du transfert, mais le club algérien n'a pour l'heure pas reçu le moindre centime.
«Nous n'avons rien reçu. Aucun versement n'a été effectué», déplore Medouar.
«Je ne pensais pas rencontrer ce genre de problèmes en Europe, mais ce qui est fait est fait… On a pourtant tenté de trouver un arrangement avec les Minhotos et régler le problème à l'amiable avec le président Macedo, mais il n'a pas pu tenir ses promesses. Et à la fin du mois, il y aura un nouveau président à Guimaraes et, nous, nous devons faire valoir nos droits», a souligné Medouar.