Les Russes mettent en garde contre une nanocatastrophe mondiale

Un effrayant rapport intitulé «Red Alert» (alerte rouge), rédigé par la ministre de la Santé russe, Veronika Skvortsova, sur les mystérieux décès de près de 200 enfants dans l'Etat du nord de l'Inde, le Bihâr, révèle que le monde vient de subir sa première «nanocatastrophe» et prédit un avenir «apocalyptique qui impliquerait la nanotechnologie». Cette dernière qui se consacre à l'étude de la manipulation de la matière à l'échelle atomique et moléculaire est considérée comme une technologie clé pour l'avenir. Par conséquent, plusieurs Etats ont investi des milliards de dollars pour leur développement, à commencer par les Etats-Unis avec 3,7 milliards de dollars, l'Union européenne avec 1,2 milliard de dollars et le Japon avec 750 millions de dollars. Dans son rapport, la ministre de la Santé a fait état de «signaux extrêmement troublants» dans l'Etat du Bihâr, en Inde, lorsque 18 enfants meurent dans la même journée du 16 juin. Ce qui porte le nombre de morts de cette «maladie mystérieuse» à 174. Des sources non officielles portent, quant à elles, le nombre à 203. La fermeture de deux usines de textiles dans le Bihâr n'est pas une coïncidence, selon la ministre, car travaillant sous contrat avec l'université de connaissance Aryabhatta, laquelle est l'un des principaux centres de recherche pour les nanotechnologies en Inde et où les textiles sont imprégnés avec des nanoparticules d'argent. «Le rapport entre les décès d'enfants et la fermeture de ces deux usines réside dans les eaux usées industrielles, où ces enfants jouaient, s'exposant à des niveaux élevés de nanoparticules d'argent, lesquels ont conduit à l'effondrement de leur système immunitaire», a expliqué la ministre russe. Plusieurs centaines de produits de consommation contiennent des nanomatériaux et leur identification n'est pas évidente, car les Etats et notamment les Etats-Unis, ont refusé de mettre des étiquetages d'avertissement. Identifiés comme étant un «risque de base» qui a le potentiel de détruire la vie humaine sur une échelle inimaginable, les recherches effectuées par la North Carolina State University, publiées la semaine dernière, viennent confirmer cette thèse. Une nouvelle menace guette l’humanité.
Mohamed El-Ghazi
 

Commentaires

    Algeria007
    28 juin 2012 - 22 h 44 min

    Un test grandeur nature pour
    Un test grandeur nature pour une nouvel arme américaine?
    Ça ne serait pas la première fois qu’ils exterminent des indiens.

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