Festival de Timgad : Bentorki appelle les médias et les investisseurs privés au secours

 Le commissaire du Festival international de Timgad et directeur de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), Lakhdar Bentorki, a invité, samedi à Batna, les investisseurs privés et les médias à promouvoir cette manifestation annuelle. Animant un point de presse à quelques heures de la soirée de clôture de la 34e édition du festival, Bentorki a insisté sur le rôle de la presse locale et nationale dans la promotion des potentialités touristiques, culturelles et du patrimoine qui, selon lui, constituent autant d'atouts attractifs pour les touristes nationaux et étrangers. Il a déploré l'absence d'actions de sponsoring par les opérateurs locaux et le manque d'infrastructures d'hébergement et restauration de qualité pour l'accueil des hôtes de la région. Bentorki a aussi regretté le fait que le théâtre de plein air qui accueille le festival ne soit exploité que dix jours seulement durant l'année bien que sa réalisation ait coûté plusieurs millions de DA, faute d'une dynamique culturelle permanente autour du site archéologique de Timgad. A une question relative à l'ouverture du festival aux artistes locaux, le commissaire du festival a souligné que cette manifestation, la «seule à dimension internationale et à l'échelle nationale, impose, de par sa nature, d'accorder plus d'intérêt aux artistes étrangers». Il a assuré, toutefois, les artistes de la région de la disponibilité de l'ONCI à programmer une semaine de la chanson auressienne à Timgad. Le ministère de la Culture a accordé tout le soutien nécessaire pour la réussite de ce festival «destiné à renvoyer la belle image du pays», a affirmé Bentorki.
R. C.
 

Comment (2)

    Antar
    15 juillet 2012 - 18 h 59 min

    De grâce ne ramenait plus les
    De grâce ne ramenait plus les artistes étrangers contre des sacs d’argent du peuple. Personne n’a demander de spectacle musical. On demande le couffin du Ramadhan ya si Bentorki

    Antar
    15 juillet 2012 - 10 h 19 min

    Qu’on cesse de gaspiller
    Qu’on cesse de gaspiller l’argent du peuple pour le Chtih et Rdih, consacrez cet argent pour le couffin du Ramadhan . Cette année le nombre a fortement grimpé Plus de 10 millions d’Algériens ont besoin de ce couffin et pour toute l’année. Politique des prix, politique du commerce oblige !

    Aussi c’est la troisième année que le ministre du commerce parle sans réagir sur le terrain. Les commerçants nous ont sucé le sang. surtout les barbus !

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