L’ex-entraîneur de l’équipe nationale de boxe nous écrit
L’ancien entraîneur de l'équipe nationale de boxe nous écrit :
L’ancien entraîneur de l'équipe nationale de boxe nous écrit :
J'aime bien la chute… A aucun moment je n’ai emprunté un vocabulaire «fallacieux» pour justifier «le fiasco de Londres». Car les boxeurs algériens n’étaient pas diminués, physiquement et techniquement parlant, comparativement à leurs adversaires. La preuve : les boxeurs algériens étaient les seuls Africains à avoir atteint le cap des quarts de finale, contrairement à 2008 où un boxeur de l’île Maurice est revenu avec la médaille de bronze autour du cou. Bref, il faut reconnaître que les boxeurs algériens ont été lésés par un arbitrage qui veut asseoir une suprématie évidente et dans laquelle l’Europe, l’Asie et l’Amérique se distinguent. Cela est la justification fournie par nos soins. Quant aux autres points cités par Réda B., à l’instar des «primes et salaires», nous les avons certes énumérés car ce sont des facteurs exogènes mais limitant. Aussi, Réda B. doit revenir quelques mois avant la participation aux Jeux olympiques de Londres pour se rendre compte qu’Azzedine Aggoune a relevé tous ces points et en a parlé. Il a même écrit une lettre au ministre de la Jeunesse et des Sports d’alors et dans laquelle il lui fait part de son intention de démissionner du poste et ce, à cause de la situation socioprofessionnelle des boxeurs. Ceci étant, j’invite Réda B. à revoir l’histoire. L’histoire… récente et après avoir aiguisé sa plume pour enfin «pondre» un article dans lequel il chute… mal.
Azzedine Aggoune
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