Un chercheur algérien fait une découverte en nanotechnologies

Contrairement au persiflage dont ils sont régulièrement l’objet, des chercheurs algériens qui trouvent… on en trouve et dans le domaine le plus en pointe qui soit : les nanotechnologies. Selon Hafid Aourag, directeur général de la recherche scientifique, un chercheur algérien de l’université d’Annaba a fait une découverte dans les nanotechnologies qui lui a valu les félicitations de l’OMPI (Organisation mondiale de la propriété intellectuelle). Une délégation de cette institution internationale fera le déplacement à Annaba dans ce but. Cela prouve que les conditions d’exercice de la recherche en Algérie sont réunies. Bien que le concept de «fuite des cerveaux» soit de plus en plus remplacé par celui de «mobilité de chercheurs» comme le fait remarquer Hafid Aourag, une tendance au retour en Algérie a été observée récemment. Le directeur général de la recherche scientifique évalue à une centaine le nombre de chercheurs qui étaient en Europe et aux Etats-Unis et qui sont maintenant dans les laboratoires en Algérie. Selon lui, ils sont satisfaits des conditions qui leur ont été offertes, du même niveau de ce qu’ils avaient là où ils étaient. Il n’y a pas de raison pour un chercheur de rester à l’étranger, disent-ils. Il fait savoir que 200 autres chercheurs qui sont actuellement dans les pays du Golfe ont fait des demandes pour retourner en Algérie. Hafid Aourag estime à moins de 10 000 chercheurs algériens le nombre de ceux qui sont encore à l’étranger. La majorité d’entre eux travaillent conjointement avec les nationaux pour développer plusieurs choses dont des projets structurants. Ces compétences interviennent dans l’enseignement à l’université, dans l’encadrement des chercheurs et des enseignants au niveau des laboratoires de recherche. En Algérie, le nombre de chercheurs permanents est de 2 066, très peu si on compare avec les 350 000 que compte la France.
Cherif Brahmi et Mohamed El Ghazi
 

Comment (9)

    BOUAFIA Ammar
    8 janvier 2013 - 20 h 35 min

    Est ce possible d.envoyer un
    Est ce possible d.envoyer un message a notre chercheur ALGERIEN sur une affaire de recherche qui est tres importante dont je lui dois du grand respect mon tel 0661893236 OBJET de ce sujet comme suit je possede une GEOPYSIQUE HUMAINE du pouvvoir de detection petrole et gaz grace au don du bon DIEU et a mon experience de de 30 annees d.experiences avec les plus grandes societes petrolieres du monde ARCO americaine et BP anglaise salutations et merci

    Anonyme
    25 novembre 2012 - 2 h 25 min

    vous parlez d’un programme de
    vous parlez d’un programme de mobilité des chercheurs, vous avez envoyé des senior à la place des jeunes pour faire des soldes ici en France avec les milles euros(de bourse) ou j’en sais pas comme bien que vous offrez à ces vieux de l’ancien système !!!!!!!!!nous on est devenu chercheur grâce à nos propre moyen au début de notre cursus ici avant que la France prend le relai pour nous financer pour accéder au savoir pas comme votre système qui est basé sur hna fi hna que de bla bla

    Anonyme
    1 octobre 2012 - 20 h 58 min

    Des chercheurs qui trouvent
    Des chercheurs qui trouvent ….on en trouve , mais des journalistes qui informent on en cherche désespérément!

    AnonymeKELAM
    1 octobre 2012 - 10 h 57 min

    voila nous sommes dans la
    voila nous sommes dans la cours des grands ,cela réchauffe le coeur.il y a aussi les ultra sons qui sont intéressant a faire valoriser dans le secteur de la recherche ou de son applications .

    zawali bachdjarah
    1 octobre 2012 - 9 h 16 min

    rien d’intéressant dans cet
    rien d’intéressant dans cet article, que du publireportage pour ce dit « chercheur »,article sans valeur informative…
    quant à ça « .. Cela prouve que les conditions d’exercice de la recherche en Algérie sont réunies »…on a fait tous l’université et on sait tous qu’il n’y a que du pipeau… vous m’énervez et me fatiguer en même temps!!.

    Anonyme
    30 septembre 2012 - 21 h 05 min

    Tous le monde, y compris nos
    Tous le monde, y compris nos grands responsables tels que M. AOURAG savent qu’il n’y pas de conditions de recherche en Algerie. Et ils claironnent le contraire. Pas d’eau dans de nombreuses universités, pas de toilettes utilisables en toute sécurité, la plupart des appareils nécessaires pour la recherche sont en panne ou tombent en panne frequement, des budgets insignifiants, …..
    Il faut être culotté pour dire qu’il y a une recherche productive en Algerie!
    Mais la devise des nommés parachutés  » plaire à leurs bienfaiteurs » .

    meniri mestariAnonyme
    30 septembre 2012 - 17 h 51 min

    article interessant !
    article interessant !

    Anonyme
    30 septembre 2012 - 16 h 30 min

    bonjour
    la fuite en avant

    bonjour

    la fuite en avant continue, Mr Aourag nous avait fait un constat d’échec de la recherche en mois de juin passé lors d’une réunion et maintenant il nous vend le contraire …

    alors! parlez nous un peu de cette fameuse découverte … pour en savoir plus !

    Anonyme
    30 septembre 2012 - 13 h 22 min

    – l’article parle de tout
    – l’article parle de tout sauf de la découverte … !!! vous faîtes parler ce directeur surtout de la situation des chercheurs algériens que de sa découverte …

    – pourquoi cette comparaison avec … la France ? il n’y a vraiment rien à comparer … parce qu’il n’y a rien qui puisse être comparé … comme il n’y a rien de commun entre la France et l’Algérie dans ce domaine !!!

    – l’assertion « Cela prouve que les conditions d’exercice de la recherche en Algérie sont réunies. » est tout à fait gratuite et ne tient, contrairement à son insinuation, à aucune démonstration…

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