Des Algériens à la solde du sionisme s’attaquent à l’Armée nationale populaire
La spectaculaire prise d’otages d’In Amenas, dans le sud-est algérien, réveille les vieux démons. D'anciens activistes du FIS dissous réinvestissent en cette circonstance dramatique les plateaux de télévisions qui émettent de l’étranger, non pas pour exprimer leur compassion avec les victimes de la barbarie terroriste, mais pour dénigrer l’institution militaire. Rien d’étonnant, quand on sait la haine qu’ils éprouvent envers tous ceux qui défendent la démocratie et la modernité. Ces ennemis de la république, qui veulent imposer aux Algériens un mode de vie moyenâgeux qu’ils refusent à eux-mêmes, profitent de l’avènement d’Al Magharibia, cette chaîne créée par les milieux sionistes, qui diffuse à partir de leur capitale mondiale, Londres, qui est financée en partie par des Qataris et dans laquelle l’un des fils d’Abassi Madani détient des actions. Se succédant sur les plateaux de cette télévision qui sert de relais à la propagande sionisto-salafiste, ces anciens du FIS dissous, au disque totalement rayé, reproduisent la même théorie du complot des «services secrets» pour expliquer la tragédie du site gazier d’In Amenas. Pour eux, l’attaque a été perpétrée par l’armée. Autrement dit, l’Algérie se serait attaquée à ses propres intérêts. Ali Benhadj, ex-numéro 2 de ce parti intégriste responsable de la mort de dizaines de milliers d’Algériens, ne voit aucunement cette agression comme un acte terroriste, cela quand des experts en la matière parlent carrément d’un acte de guerre en ce sens que l’attaque ciblait une installation qui représentait 20% des exportations algériennes en gaz naturel. Ces mêmes individus, qui se pavanent dans les salons de l’Occident et qui baignent dans un luxe parfois démesuré, mènent depuis le début du mois courant des attaques en règle contre l’Algérie et son armée qui vient de repousser une agression planifiée à l’étranger en abattant tous les terroristes et en n’enregistrant aucune perte dans ses rangs. Parmi ces défenseurs du terrorisme international, il y a Ahmed Zaoui, qui circule avec un faux passeport sud-africain et qui a tenté de s’installer illégalement en Nouvelle Zélande. Pour se permettre un exil doré, il aurait même collaboré avec les services secrets américains et vendu certains de ses soi-disant «frères de lutte». Autres énergumènes payés pour pérorer sur cette chaîne spécialisée dans l’intox et le mensonge, Larbi Zitout, cofondateur de l’association Rachad, un succédané du FIS dissous, Mohamed Bourzame ou encore Ahmed Chouchane. Leur point commun : ils ont tous trahi leur patrie sous le couvert d’une opposition au pouvoir en place. Leur but : affaiblir l’armée pour permettre à leurs proxénètes d’installer les islamistes à El-Mouradia.
Sonia B.
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