C’est Lévy qui a tué Chokri
Le terroriste Bernard-Henri Lévy, c’est ainsi que doit être appelé cet instrument qu’Israël a utilisé pour mener son entreprise de déstabilisation des pays arabes dans le cadre de l’alliance diabolique entre les sionistes et les wahhabites. Tout ce qui s’est passé depuis que les Occidentaux, à son instigation, ont commencé à intervenir dans cette partie du monde, dévoile le caractère criminel de ce pseudo-intellectuel. Les victimes en sont les peuples arabes d’abord, mais aussi les citoyens de pays occidentaux dont les dirigeants se sont coalisés pour semer le désordre et le chaos en Libye, en Tunisie, en Egypte et en Syrie, avec l’ambition d’étendre leur opération à l’Algérie. Le premier choc fut ressenti lors de l’attaque, le 11 septembre, du consulat américain à Benghazi qui entraîna la mort de l’ambassadeur des Etats-Unis, puis, tout récemment, impact direct de la situation en Libye, l’agression contre le complexe de gaz algérien de Tiguentourine (In Amenas) et la prise d'otages qui coûtèrent la vie à 37 étrangers qui travaillaient sur ce site. Et maintenant, c’est l’assassinat d’une figure marquante de l’opposition populaire en Tunisie, Chokri Belaïd. Derrière tous ces crimes, il y a l’œuvre de Bernard-Henri Levy, le terroriste. La communauté internationale et les peuples arabes, en premier lieu, doivent engager les démarches pour le traduire devant les juridictions internationales compétentes qui traitent des affaires de terrorisme. Les intellectuels, les syndicalistes, hommes politiques, journalistes et plus généralement tous ceux qui se sentent révoltés par les agissements du terroriste BHL et de leurs conséquences non seulement dans les pays touchés par le pseudo-printemps arabe mais aussi dans le Nord-Mali, doivent lancer une pétition internationale pour le traîner devant les tribunaux et le juger pour incitation au terrorisme.
Karim Bouali
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