Conférence internationale sur la cybercriminalité le 24 juin à Alger

«Les enjeux de la sécurité internet», «Les risques liés à l’utilisation d’internet», «Les enjeux socio-économiques de la cybercriminalité», «Internet et le droit : les évolutions et difficultés du droit face aux phénomènes internet», «Les solutions institutionnelles à la sécurité Internet», «La lutte contre la cybercriminalité par les institutions internationales». Ce sont là quelques-uns des grands thèmes qui seront abordés le 24 juin prochain à l’occasion d’une conférence internationale sur la cybercriminalité qu’abritera l’hôtel El-Aurassi d’Alger. A l’origine de cette rencontre internationale, qui se tient sous le slogan «Ensemble combattons les dérives d’internet», le World Trade Center Algérie (WTCA), avec le concours de l’Association algérienne des fournisseurs de services internet (AAFSI). Selon les organisateurs, «cet événement vise à faire partager par les différents participants des informations sur des domaines ayant trait à l’édifice réglementaire mis en place pour prévenir et combattre toute dérive en la matière, ainsi qu’aux techniques d’investigation y afférentes». La rencontre tend aussi, d’après les mêmes sources, à permettre une bonne compréhension de l’aspect légal et technique, de débattre des enjeux économiques majeurs et de tirer profit des expériences des autres pays. Elle sera marquée par la présence d’un parterre très varié d’experts nationaux et internationaux, de représentants d’institutions et d’entreprises, mais aussi des organisations internationales. Les travaux de la rencontre seront menés autour de trois panels traitant des différents volets de la problématique. Le premier est consacré à «l’écosystème cybercriminel», le second aux «dispositifs juridiques et judiciaires de la lutte contre la cybercriminalité» et le dernier au «management et organisation de la sécurité de l'information». Cette conférence internationale intervient à point nommé pour débattre d’un phénomène de plus en plus menaçant pour les institutions, mais aussi pour les entreprises et les particuliers. Il ne va pas sans rappeler que l’Algérie fait partie des pays les plus vulnérables aux attaques cybercriminelles, comme cela avait été démontré récemment par le rapport annuel de Symantec qui classe l’Algérie à la cinquième place des pays africains les plus exposés au risque de sécurité sur Internet.
Amine Sadek
 

Comment (3)

    Karl Lawson
    27 mai 2013 - 7 h 30 min

    Tout le monde est complice de
    Tout le monde est complice de ce sabotage, de ces malversations, et de la fragilisation du pays qui peut ruiner sa défense.

    Le ministère concerné est incompétent, Le Bureau RH est une affaire de région. Et les fonds ont tendances à faire du « Float » Beaucoup n’ont aucun diplôme. A part des « Vrais » faux baccalauréats, si ce n’est des attestations « Bidons » comme Ait-ramdane, Bouchama, Ruissi, Benflis, Baroudi, Ameziane et Benhamida

    L’ARPT c’est la même chose en plus réduit. Il faut des personnes qualifiés! Pas des voleurs et des trabendistes ignares, régionalistes et incultes!

    Sinon on va se retrouver avec des individus drogués, et transformés en cannibales comme en Syrie dans les rue d’Alger! Juste à cause de voleurs et menteurs sans foi ni loi!

    Adel A KHALEF
    26 mai 2013 - 17 h 57 min

    Les responsables numéro UN de
    Les responsables numéro UN de ce problème c’est l’ ARPT, encore une fois c’est a eux ses incompetants a mettre en place la technologie PKI pour sécuriser le web en Algérie, je ne cesserai jamais de le répéter. Aux dernière nouvelles, l’ARPT n’ont même pas encore établie les spécifications techniques de leur cahier de charges pour lancer l’avis d’appel d’offre qui faut pour l’acquisition de la PKI…Ils attaquent le secteur des TIC et le Ministère MPTIC mais la plus grosse médiocrité crasse réside croyez moi en l’ARPT, nul part ailleurs.

    maleh
    26 mai 2013 - 16 h 04 min

    héhéhé, réparez vos
    héhéhé, réparez vos canalisations d’abord, bande de « m’as tu vu? » égoïstes!!!

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