Le RND tiendra son congrès les 26, 27 et 28 décembre 2013

Le 4e congrès du Rassemblement national démocratique (RND) se tiendra les 26, 27 et 28 décembre 2013. C’est le secrétaire général par intérim du RND, Abdelkader Bensalah, qui l’a confirmé aujourd’hui lors de la cérémonie d’installation de la commission nationale de préparation de ce congrès dont il est le président. Selon lui, le choix de cette date a été approuvé par les membres du conseil national réunis hier en session extraordinaire à Zéralda. Bensalah a également mis en place un groupe de travail chargé d’élaborer la première mouture du règlement intérieur qui sera soumise demain à l’approbation des membres de la commission de préparation du congrès. Pour Bensalah, «le RND s’oriente, désormais, avec force et conviction vers une autre étape importante et cruciale, le quatrième congrès». «L’instance technique nationale a accompli sa mission», a-t-on indiqué dans la déclaration finale sanctionnant les travaux du conseil national. Ce dit conseil a assuré avoir tenu compte de deux principes essentiels, à savoir «le respect des fondements du parti et l’application de son programme politique ainsi que la prédominance des choix de rassemblement, de cohésion et d’unification des rangs». «Ces deux principes visaient à préserver les acquis et le patrimoine militant que le RND a arrachés avec mérite depuis sa création. Ils visaient aussi à défendre la position prédominante du parti sur la scène politique, consacrée par les performances électorales réalisées lors des élections des Assemblées populaires communales et de wilayas, des élections législatives et à l’occasion des renouvellements partiels des membres du Conseil de la nation», a-t-on ajouté. Le RND de Bensalah semble ainsi franchir la première étape vers le 4e congrès sans couacs. Les redresseurs, représentés par leur chef de file Yahia Guidoum, ont-ils accepté le fait accompli ?
Sonia B.

Comment (2)

    le Naïf
    21 juin 2013 - 20 h 11 min

    M. Boubakeur Benbouzid ou le
    M. Boubakeur Benbouzid ou le retour de l’enfant prodigue.
    Cela va certainement permettre à cette association à caractère politique de reprendre sa véritable dimension. Non pas celle, bien sûr, que le lui a permis le hasard politique d’être et de devenir telle qu’elle on a cru qu’elle fût. Le philosophe Jean Guitton disait « Nul n’est vraiment ce qu’il est que lorsqu’il est ce qu’il doit être »
    Cette faveur politique ne lui a-t-elle pas valu, au passage, en quelques mois de création, et pendant des années, d’obtenir gratis une majorité des voix d’électeurs fictifs pour « disposer du pouvoir » , de le servir et de s’y complaire avec la permission de se sucrer. Le coucou de la fin de mission du Rnd a-t-il sonné ?
    Des militants, obsédés par des intérêts qui leur sont tombés du ciel, ont cru à l’incroyable. Que cette association dans laquelle ils se sont engouffrés uniquement par rente politicofinancière est-elle devenue pour eux, par un tour de magie, une réelle force politique représentative ? Balivernes ! Dites plutôt une vache laitière !
    Sans l’appui et le secours de la chance, ce soi-disant parti politique appelé RND reviendra-t-il à sa plus simple expression. Un grand homme politique algérien a d’ailleurs bien explicité la définition du contenu de son sigle. R. veut dire : Rana, N. veut dire Naklou, et D veut dire Dima.
    Les dissensions qui rongent actuellement les militants du Rnd sont-elles une concurrence de qui entre eux servirait le mieux les intérêts de l’Algérie ou leurs propres intérêts personnels. Soyons sérieux ! Se marre-t-on de qui !
    C’est tout comme la charmante Louisa Hannon chef du PT lorsqu’elle fût utilisée comme une hase (femelle du lièvre) dans les dernières élections présidentielles. A l’issue du scrutin, a-t-elle crut à tort ou à raison de s’y opposer à ses résultats qui l’ont bien défavorisé. C’est alors qu’une voix s’est élevée pour lui répondre : « Madame a-t-elle vraiment cru un instant qu’elle allait devenir un chef d’Etat ! »

    Cette façon de voir les choses ou de continuer à les entreprendre comme si de rien n’était, n’est-elle pas désormais l’œuvre d’un esprit étroit qui n’arrive plus à s’accommoder au mouvement du schéma politique de la planète.
    Quel que soit l’issue de la guerre mondiale – qualifiée de douce par les cannibales occidentaux dévoreur de la chair humaine – dont la Syrie et son peuple en sont les victimes ; depuis plus de deux ans, la configuration du monde ne sera plus la même.
    Ne faut-il pas s’adapter « algériennement » à cette nouvelle situation avant qu’il ne soit imposé bon gré mal gré à notre pays un modèle qui ne servira pas les intérêts du citoyen algérien mais plutôt le citoyen venu d’une « autre planète ».
    Si la nouvelle physionomie du système politique en Algérie devrait être dictée extra-muros cela veut dire que le citoyen algérien doit se préparer à subir les affres d’un printemps dont il ne sera pas du tout à l’origine mais il sera par contre son carburant.
    Le citoyen-combustible détruira alors tout sur son passage. Il ne sera pas seul. Les djihadistes, et autres sérials killers, bourrés de pétrodollars, agissant- ironie du sort – sous la bannière étoilée de l’oncle Sam seront à ses côtés pour lui prêter main forte.
    Le faux-frère musulman président Morsi l’égyptien qualifié par les siens de Chef d’Etat fantoche, ne s’était-il pas allié avec Israël et l’Amérique pour rompre ses relations diplomatiques avec la Syrie et envoyer des djihadistes semé la mort et la désolation dans son pays. Ce pays ne constitue-t-il pas pourtant le prolongement stratégique de la sécurité de l’Egypte.
    Leur boussole détraquée les dirigera-t-elle un jour vers la mosquée « Katchaoua » en Algérie qui l’a prendront au lieu et place de celle d’Al Aqsa en Palestine occupée. Comme Ce fût le cas de la mosquée des omeyades en Syrie. Il y a plus de deux ans ce pays jouissait d’une stabilité et sécurité meilleure que celle de l’Algérie dont le terrorisme n’a toujours pas cessé de faire des victimes depuis 30 ans.
    Et puis tout à basculer pour les raisons que l’on sait. L’Algérie n’a-t-elle pas quelques similitudes ? Et comme si pour nous endormir, certains ne cessent de nous chanter que ce genre de risque l’Algérie s’en est débarrassée à jamais.

    Ce n’est pas l’enthousiasme d’une maîtrise –virtuelle – non encore perceptible sur des terrains laissés à l’abondant qui empêcherait ses germes – déjà habilement parsemés là où il faut – de naître puis de se produire et de se reproduire, à grande échelle pour semer la ruine au nom de la démocratie et des droits de l’homme.
    Peut-être quelques autochtones n’ont pas encore « évidemment » perdu l’esprit, le courage et la dignité de leurs papis. Les forces du mal leur pardonneraient-elles leur rêve continu dans les nuages quand ils causent tous seuls ainsi, bien sûr que si, sachent-elles bien que personne n’a le temps de les écouter, pour que leurs plans anti-algériens soient perturbés ou remis en cause !

    Nacer
    21 juin 2013 - 15 h 12 min

    bensalah est 100% algerien,
    bensalah est 100% algerien, sifaoui le lâche lui a collé une étiquette pour un but bien connu, et svp arrêtez votre régionalisme (kabyle, chaoui,…) nous sommes tous des algeriens…

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