Les Français stupéfaits par la disproportion de la réaction du gouvernement contre Dieudonné
La France officielle et médiatique est prête à se mettre à quatre pattes pour faire plaisir aux lobbies sionistes. Elle vient, une nouvelle fois, de le démontrer en réagissant telle une vierge effarouchée à des propos prétendument antisémites prononcés par l’humoriste Dieudonné. Elle est, en effet, prête à fouler aux pieds le sacro-saint principe de la liberté d’expression, cher au «monde libre» et qu’elle brandit pourtant à tout-va pour s’adonner à ce qui s’apparente à une véritable chasse à l’homme contre l’artiste. Et c’est l’icône de l’extrême droite au sein du Parti socialiste au pouvoir, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, que le gouvernement français envoie à l’attaque. Dans l’impossibilité d’interdire de manière directe les spectacles de Dieudonné, ce qui est inconstitutionnel, le département que dirige M. Valls a préparé une circulaire pour «faciliter» la tâche aux maires et préfets. L’entourage du ministre va-t-en-guerre a, d’ailleurs, expliqué qu’il «n’est pas juridiquement possible de décréter une interdiction au niveau national», mais que les préfets «auront pour consigne d’apprécier s’il y a nécessité ou non de le faire dans leur département, en fonction des risques de troubles à l’ordre public». Voilà donc l’astuce toute trouvée. Sous le prétexte d’empêcher la «banalisation des propos antisémites», la circulaire est, à l’évidence, destinée à interdire par le biais des maires et préfets la production de l’humoriste qui s’apprête à lancer sa tournée jeudi à partir de Nantes. Dans le Journal du dimanche, Manuel Valls n’hésite pas à dégainer. «Contre lui (Dieudonné, ndlr), il faut mener un combat politique de mobilisation de la société.» Tout y est dit, ou presque. M. Valls, comme touché dans son amour-propre, va, ainsi, jusqu’à presque lancer un appel au meurtre, en suppliant toute la société française de se mobiliser et de s’élever contre un homme, un seul. Mais comme un pied de nez à tout ce remue-ménage du gouvernement, ce sont pas moins de 5 000 personnes qui sont attendues jeudi au Zénith de Nantes pour le spectacle de Dieudonné. La disproportion de la réaction officielle et des médias français n’a, visiblement, pas échappé aux internautes français. A travers leurs commentaires aux articles parus dans la presse française et consacrés au sujet, l’on déduit aisément que l’opinion publique de l’Hexagone commence à comprendre l’étendue de la mainmise des lobbies sionistes sur les institutions françaises, mais aussi sur les médias de leur pays. Morceaux choisis de ces réactions que l’on peut retrouver par exemple sur le site du journal électronique spécialisé en économie Les Echos (Lien :http://commentaires.lesechos.fr/commentaires.php?id=0203223036923#co214560). «Personnellement, je suis l’un des nombreux fans de Dieudonné, et je me marre en voyant tout le monde suivre ce que les médias nous sortent comme bêtise. Peut-on encore rire de tout dans ce pays ? J’ai l’impression que oui, sauf sur la communauté juive. Et pourtant, rire, ce n’est pas une chose mauvaise, il me semble», assure un de ces internautes qui se fait appeler JeyThePimp. «Comment peut-on interdire à quelqu’un de travailler ? Je ne suis pas fan de Dieudonné mais, malheureusement, en France on a le droit de parler de tout, sauf des juifs. C’est devenu une communauté qui crée des lois pour la servir. Où est notre démocratie monsieur Valls ?» s’interroge un autre, alors qu’une troisième personne se montre encore plus consternée : «Ça suffit, ça déborde, on commence à en avoir marre de tout ce raffut pour un homme et cette communauté qui voudrait être dominatrice car martyre perpétuelle à les entendre, ils ont confisqué la dernière guerre, sur 55 millions de victimes, seuls les leurs sont comptabilisées dans les perpétuels articles sur eux. Stop ça suffit.» Serait-ce le début de la fin pour cette domination des lobbies sionistes sur l’Hexagone ? Rien ne sera en tout cas comme avant, puisque l’opinion publique française semble avoir tout compris.
Amine Sadek
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