Avec une cuillère et un soutien-gorge, les idiots qui partent en Syrie pour le «djihad»
Un phénomène a été constaté par l'armée syrienne à chaque fois qu’un groupe de terroristes est abattu : ces derniers portaient sur eux, chacun, une cuillère et des sous-vêtements féminins. L'énigme n'a trouvé de solution que lorsqu’ un détachement militaire syrien a réussi un coup de filet dans le milieu de ces «djihadistes» où tout un groupe a été arrêté. Questionné à ce sujet, les pseudo-«djihadistes» ont répondu que la cuillère servait à manger dans le paradis, tandis que les sous-vêtements féminins sont réservés aux «Houriate» du paradis qui vont rencontrer les «martyrs djihadistes». Cette histoire nous rappelle celle vécue en Algérie pendant que nous combattions les terros, ceux qui étaient abattus dégageaient une odeur de parfum naturel, alors que leurs plaies ne saignaient pas. Comment ? La maffia qui les a recrutés leur faisait avaler un flacon de parfum naturel, c'est-à-dire du «mesc», en leur mettant dans le crâne qu'ils vont aller au paradis bien parfumés. Mais la réalité diabolique était qu’un terroriste tué et abandonné sur le terrain, lorsqu'il sera découvert par la population, il continue même après plusieurs jours à dégager l'odeur du parfum. Ainsi, les gens croiront qu'ils sont bien des martyrs. Toutes les combines sont utilisées par les hordes sanguinaires du terrorisme.
A. Ben