Les attentats en France et le «qui tue qui»
Il était 11h30 quand deux individus armés ont fait irruption au siège de l’hebdomadaire Charlie Hebdo. L’un des deux vide son chargeur sur la salle de rédaction pleine de journalistes : Cabu, Charb,Tignous et Wolinski, les quatre grands dessinateurs du journal, atteints par les balles s’écroulent, morts sur le coup. D’autres journalistes s’effondrent ainsi que le garde du SPHP. Quelques instants plus tard, les deux auteurs ripostent contre le policier qui jette son vélo et crie aux assaillants : «Arrêtez-vous !» Les deux hommes quittent leur véhicule et se dirigent vers le policier, un premier coup, il tombe blessé, il voit un des assaillants se rapprocher, il crie «Allah Akbar» pour montrer qu’il est musulman, mais le coup de grâce est parti. Sept autres personnes sont blessées dont quatre très grièvement, évacuées vers les urgences. Les deux auteurs rejoignent leur véhicule, une Citroën, sans se précipiter, et démarrent. A la porte de Pantin, après avoir percuté un pylône, ils braquent un automobiliste et repartent à bord d’une Clio grise… pour disparaître dans la nature. Selon un témoin, les deux auteurs étaient accompagnés de trois autres individus. Un autre dira le contraire. La manière d’agir et de tenir les armes, la démarche et le comportement des deux assaillants étaient semblables à celles des «mostaârabine israéliens» du Mossad qui opéraient dans les quartiers arabes. D’autres témoins ont déclaré que les deux auteurs, en quittant le siège du journal, ont crié «Mohamed est vengé. Allah Akbar». Alors qu’une employée de Charlie Hebdo déclarait que les assaillants se revendiquaient d’Al-Qaïda. Trop de zones d’ombre enveloppent cet attentat. Un autre fait intrigant c’est celui de l’intervention télévisée du chef de l’UMP, Nicolas Sarkozy. Parmi tous les chefs de parti qui patientaient avant d’intervenir, Sarkozy était le premier à exprimer son opinion ! Rappelons-le, juste avant les élections présidentielles françaises, Merah Mohamed est sorti de sa réserve, il tue deux légionnaires d’origine arabe, et des enfants et l’instit juifs, qui sont issus d’une famille antisioniste. Merah a agi pour propager la peur parmi les Français pour qu’ils reconduisent Sarkozy ou voter pour l’extrême droite. Pour connaître les commanditaires de ces attentats, il faut retourner au voyage effectué par Merah en Israël, qu’il a rejoint en passant par le Pakistan, histoire de brouiller les pistes. Merah en Israël, c’est avec l’accord du Mossad. La méthode employée par Merah n’est pas la méthode des groupes islamistes. Les islamistes n’opèrent jamais sur les lieux de leur résidence ou repli, ensuite, ils n’agissent jamais en solo, et après chaque attentat, ils quittent la ville. Merah semblait très à l’aise, si ce n’est l’arrivée du Raid à son appartement, et là aussi il a été surpris, il demande de parler avec son officier du DCRI, et comme par hasard, cet officier est nommé Hassen. Est-il juif ou musulman ? C’est la première fois que le Raid patiente plus de 30 heures, avant d’entrer en action, bizarre, personne n’a soulevé de questions. Le Raid avait reçu des ordres d’attente, puis Merah reçoit une communication lui ordonnant de quitter l’appartement par le balcon arrière, et c’est au moment où il était accroché avec ses deux mains au balcon qu’un sniper le tua. La question reste posée, pourquoi les autorités algériennes avaient refusé son inhumation en Algérie ? Il est franco-algérien, son père est en Algérie. Nos services de sécurité sont les plus spécialisés dans la chasse au Mossad, c’est une pratique laissée par les pionniers de la SM, depuis les années cinquante. Le sinistre général Edmond Jouhaud, né à Oran, en parallèle de ses fonctions d’officier supérieur de l’armée française, était le chef de la cellule du Mossad en Algérie et les sinistres membres de l’OAS ne seraient jamais arrivés à assassiner les Algériens et les Français si ce n’était certains juifs d’Algérie qui avaient rallié cette sinistre organisation. Encore, ce sont les héros algériens qui ont mis un terme aux pratiques criminelles du Mossad en France. Reste maintenant à authentifier le film amateur qui montre les deux auteurs quittant le siège du journal et les cris entendus. Sont-ils vrais ou s’agit-il d’un montage d’images et de dialogue monté au préalable ? S’agit-il vraiment d’un groupe islamiste, ou un autre complot du Mossad au moment où Israël se trouvait coincé par l’ONU et le TPI ? L’hésitation de cibler les deux policiers à l’entrée du siège laisse planer un doute sur l’origine islamiste des auteurs. D’autant plus que ceux qui étaient à proximité n’avaient pas entendu dire «Allah Akbar» ! Le Mossad préparait des attentats au nom de groupes islamistes, dont l’objectif est de contrecarrer la position de l’Assemblée française qui a voté à deux reprises pour la reconnaissance d’un Etat Palestinien, et à l’ONU pour mettre fin à l’occupation, dont les Etats-Unis, le Canada et l’Australie avaient voté contre. Depuis la France est ciblée par le Mossad. Donc, le terrorisme est condamnable quels que soient sa nature et ses origines, mais arriver à trouver des témoins après chaque coup qui déclarent avoir entendu dire «Allah Akbar» fait planer le doute. Les deux réveillons de la Noël et de la Saint-Sylvestre se sont passés dans le calme, alors que les églises et les maisons de culte se trouvaient isolées, ces deux nuits. Le Mossad est capable pour raison d’Etat d’exécuter des attentats meurtriers, voir même l’assassinat du Premier ministre israélien Isaak Rabin. Rien ne fait reculer les sionistes.
En 2000, le Mossad avait créé un département «islamiste» chargé de former de faux imams, de faux muphtis, de faux théologiens de l’islam, des faux salafistes, et de faux musulmans, pour tromper le monde musulman et le monde chrétien. Israël a misé sur la France, le lobby sioniste de France domine sa politique et il est le faiseur des présidents, aucun candidat ne peut être élu s’il ne passe pas par le sinistre Crif, les Jacobins, et Tel-Aviv. Le 4 janvier dernier, le journal israélien France Israël publie un article dont le contenu et le sujet sont une accusation directe de la France.
Cheikh Hamdane