Abassi-Betchine : la symbiose

Par M. Aït Amara – Un leader salafiste installé dans l’émirat du Qatar qui fait l’éloge d’un ancien chef des services secrets tortionnaire, sur une chaîne de télévision basée à Londres et financée par les services d’espionnage marocains et dont les propos sont repris par un journal algérien inféodé à la secte égyptienne des Frères musulmans et à l'AKP turc d'Erdogan. Cherchez l’erreur ! Sur Al-Magharibia, l’ancien président du FIS dissous, Abassi Madani, vole au secours du général Mohamed Betchine dont il dit qu’il aurait œuvré à «éteindre le feu» au début des années 1990. Un pyromane qui flatte un pompier, c’est du jamais vu ! Tous ces déballages, censés apporter des éclairages à une opinion publique déboussolée, confirment, en définitive, ce que le général Khaled Nezzar soutient mordicus depuis des années : il y a bel et bien eu des tractations secrètes entre les dirigeants du FIS et certains responsables politiques et sécuritaires de l’époque pour enterrer la République. Des tractations qui étaient menées dans des bureaux calfeutrés et qui devaient aboutir à un gentleman’s agreement pour le partage du pouvoir entre ceux qui crient en chœur à l’«atteinte à la démocratie» suite – Dieu merci ! – à l’arrêt de l’infâme processus électoral en janvier 1992. L’intervention d’Abassi Madani a le mérite, en tout cas, d’attester ce deal funeste entre, d’un côté, les islamistes qui auraient eu la mainmise sur le Parlement, le chef du FFS qui aurait occupé le perchoir et Chadli Bendjedid qui aurait été cloué à son poste en dépit du slogan trompeur «mesmar Djeha lâzem yetna’ha !»(*), brandi par les hordes fanatisées du binôme Abassi-Benhadj dans la rue qui leur servait de moyen de pression dans cette turpide entente républicide. Ces «accords de Yalta» ont été avortés grâce à la vigilance d’une armée foncièrement républicaine et, il faut l’admettre, à la sagesse de feu Chadli Bendjedid qui a choisi de partir de son plein gré, non sans avoir, au préalable, placé le chef de la Garde républicaine sous les ordres du ministre de la Défense nationale, évitant ainsi au pays d’entrer dans une guerre civile – comprise dans son sens le plus large – aux conséquences désastreuses.
M. A.-A.
(*) L’inamovible Président doit être déboulonné.

Comment (28)

    kouider
    19 janvier 2016 - 6 h 56 min

    Je crois que le désastre a eu
    Je crois que le désastre a eu lieu avec les 200 000 morts.

    sami
    18 janvier 2016 - 22 h 13 min

    Grand Dieu,pour le Salut de
    Grand Dieu,pour le Salut de notre pays,nous devons éradiquer tous les islamistes algériens dont par un seul n’oeuvre pour notre épanouissement.Ils roulent pour les ennemis de notre pays ,pour ceux qui veulent maintenir notre pays dans le dénuement culturel,social et économique et tout celà avec la bénédiction de nos gouvernants qui sont capables de pacter avec le diable pour leur survie.
    Makri,djaballah,abassi,l’ex-chef de l’exHamas,benhadj sont des ennemis motels de notre peuple.Ils appliquent un agenda concocté dans les capitales emiraties,et turques.Ils ont réussi en partie à faire de notre société une société où règne l’intolérance,la médiocrité,la laideur,la clochardisation et l’obscurantisme avec pour corollaire la roqia.Le tout béni par le pouvoir en place.Bien qu’ils n’aient pu s’accaparer du pouvoir politique (Grâce au valeureux Nezzar et ses collaborateurs,sans oublier le vaillant peuple de Kabylie qui fût et reste un obstacle aux visées. destructrices des islamistes),ces islamistes ont réussi a radicaliser les algériens et à instaurer une république islamiste (qui n’a rien à voir avec la Grande République Islamique d’Iran qui défie les occidentaux
    par ses réalisations technologiques et militaires.) gouvernée par le clan bouteflika.Beaucoup de signes nous laissent penser que nos gouvernants restreignent nos libertés,nous imposent un style de vie contraire à nos valeurs et nos aspirations mais qui s’inscrivent dans le sens voulu par nos islamistes et leur mentors moyens orientaux.Pourquoi nos pouvoirs publics n’ont pas réhabilité nos lieux de culture et d’ouverture sur le monde (salles de cinéma,théâtres,tous détruits durant la décennie noire).Pourquoi avoir cessé sur les vols d’Air Algerie (même sur les vols transcontinentaux) de servir des boissons alcoolisés etc..contraignant même nos hôtes étrangers à s’abreuver de jus et d’eau minérale.Les compagnies de nos voisins ne sont pas tombées si bas. L’interdit ne règle jamais rien.Pour l’instant il n’y a que notre Pasionaria Louisa qui tente de sortir les algériens du coma dans lequel le pouvoir et les islamistes les a plongé.

    faridus
    18 janvier 2016 - 21 h 21 min

    Par Djaffar, 18-01-2016
    Par Djaffar, 18-01-2016 15:07
    M. Djaffar
    • C’est vrai ce que vous dites. On ne peut nier la malheureuse et dramatique affaire qui a consisté à obliger les étudiants à régler leurs billets de voyage en devises. On ne peut pas non plus ni la comprendre, ni l’excuser. C’était effectivement non seulement une erreur, mais une faute.
    • La corruption est inhérente au système et au régime en cours depuis le 5 juillet 1962. Chadli, n’en est pas le père. Sans la corruption, ce système et ce régime n’auraient pas existé. Au contraire elle a été généralisée à tout le pays, et s’est étendue comme une toile d’araignée à toutes les administrations, afin de permettre au pouvoir d’exister et de durer. Les corruptibles et les corrompus se livraient à ce sport devenu national, et tous voulaient que ça continue. Tout le monde déplorait et se plaignait de la corruption, mais tous, et l’Etat aussi, ne la dénonçaient que du bout des lèvres. Je ne suis pas en train d’innocenter ou de lui trouver des excuses ; il n’était qu’un requin comme les autres. La corruption était quelque chose de naturel et de vital dans le système. Et ça continue, jusqu’à maintenant.
    • L’épisode de Mitterrand, son premier voyage en 1981 en Algérie, a été l’occasion pour le président français, de souffler à Chadli la ligne et la feuille de route pour jeter le pays au fonds du puits, sous l’égide de « l’Islamisme »n complice et allié du président français. Il y a des livres et des livres à écrire sur ce tragique épisode.
    • Cher Djaffar, je n’ai pas dit que Chadli était le président idéal que l’Algérie a eu. Il y a encore beaucoup de choses malheureuses à dire sur son « règne », beaucoup plus que les 2 points que vous avez soulevés. Je voulais faire la part des choses et lui reconnaitre ce qu’il y a eu de positif. Mais il n’y a pas eu que du positif, ce que vous me faites remarquer à juste titre, et merci. Salutations.

    mouatène
    18 janvier 2016 - 20 h 55 min

    Monsieur Ait Amara bonsoir.
    Monsieur Ait Amara bonsoir. je vous dis bravo !!! ce que vous relatez est à 90 % vrai. sauf que chadli est parti de son plein gré. et celui qui voudrait l’affirmer encore n’est qu’un menteur ou un ignorant. ne faites pas confiance aux anciens copins ou collègues qui ne cessent de se renvoyer la balle maintenant parceque eux meme ignorent beaucoup de choses. allez chiche !!! ya t’il un parmi eux qui pourrait nous dire pourquoi chadli a limogé messaadia ? je vous garanti que non. un seul peut le dire mais il n’osera pas parler. les vérités ne sont pas toujours chez le grand. elle est souvent en bas.

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 18 h 33 min

    Par Réda (non vérifié) | 18.
    Par Réda (non vérifié) | 18. janvier 2016 – 18:25

    A Mr Ait Amara .. S il vous plait dites la vérité avis lecteurs pour l histoire .. Abassi est au Qatar car le président Boutef qui a supplie l Émir du Qatar cheikh Hamed de lui accordé l asile au Qatar pour éviter à le gérer d une capitale européenne en l occurence Londres. Boutef était durant sa traversée du désert conseiller de l émir comme il était le conseiller de cheikh Zayed que Dieu ait son âme . Donc arrêter de faire croire que c est le Qatar qui a ouvert ses portes à ABassi c est Boutef qui a supplier l ex émir d accueillir Abassi .. Autre chose pourquoi quand le général Nezzar a donné l interview à échorok vous n avez rien dit de ce journal intégriste selon vous?
    __________

    à partir de Qatar le terroriste Abassi est plus facilement gérable. On le d’éclanche comme on veut et quand on veut.

    Réda
    18 janvier 2016 - 17 h 25 min

    A Mr Ait Amara .. S il vous
    A Mr Ait Amara .. S il vous plait dites la vérité avis lecteurs pour l histoire .. Abassi est au Qatar car le président Boutef qui a supplie l Émir du Qatar cheikh Hamed de lui accordé l asile au Qatar pour éviter à le gérer d une capitale européenne en l occurence Londres. Boutef était durant sa traversée du désert conseiller de l émir comme il était le conseiller de cheikh Zayed que Dieu ait son âme . Donc arrêter de faire croire que c est le Qatar qui a ouvert ses portes à ABassi c est Boutef qui a supplier l ex émir d accueillir Abassi .. Autre chose pourquoi quand le général Nezzar a donné l interview à échorok vous n avez rien dit de ce journal intégriste selon vous?

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 17 h 19 min

    Les multiples interventions
    Les multiples interventions médiatiques provoquent naturellement un débat sur la décennie noire.
    Traite-t-on réellement des questions de fond ? . Car on oriente le débat de sorte à ce que les questions essentielles ne soient pas évoquées. Et si le peuple algérien ne veut pas être leurré tout le temps, pour reprendre la citation d’Abraham Lincoln, il est temps qu’il se réveille et qu’il s’approprie le débat.

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 17 h 17 min

    La polémique récente,
    La polémique récente, démontre que la société n’est pas prête à accueillir un tel débat. D’ailleurs, le débat sur les questions douloureuses échappe entièrement au contrôle du peuple. Bien qu’on puisse commenter les déclarations des uns et des autres, personne ne sait comment le débat va évoluer, ni qui donne le ton et surtout à quel moment on siffle la fin de la récréation.
    Et pourtant, s’il y a une chose dont le pays a vraiment besoin, c’est de crever l’abcès.
    En effet, on ne peut pas remonter le temps jusqu’à 1962 pour empêcher les putschistes de prendre le pouvoir, mais une telle connaissance sensibilisera les Algériens sur les procédés à bannir en vue de parvenir au pouvoir. Pour cela, il faudrait que le débat soit encadré et ne débouche pas sur des dérapages. En 15 ans, sous la présidence de Bouteflika, l’Algérie a engrangé près de 1000 M$. Hélas, une année après l’effondrement des prix du pétrole, les dirigeants recourent à l’austérité. Au lieu de rendre le tablier en avouant son échec, le régime se croit l’unique alternative. Et c’est justement cette conception du pouvoir qui est le véritable problème politique en Algérie.

    mohamed el Maadi
    18 janvier 2016 - 15 h 03 min

    Le deal le mot est lâché car
    Le deal le mot est lâché car c’est ce que je constate au pays politiquement.c’est dans cette optique qu’il faut analysés les attaque contre le général Nezzar qui désolé du terme n’a jamais voulu (…) .Tout le reste est enfumage et calomnie.Enfin tout ce deal finira par la perte de l’Algérie qui deviendra une province saoudienne sous la botte du Maroc.

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 14 h 46 min

    Merci Général NEZZAR de nous
    Merci Général NEZZAR de nous avoir sauvés de ces assassins. L’Algérie et son peuple vous doivent leur salut.

    karim
    18 janvier 2016 - 14 h 30 min

    Et oui ,les bourreaux et les
    Et oui ,les bourreaux et les assassins finissent toujours par s’entendre en se tarissant d’éloges.L’assassin Abassi Madani,aprés avoir été responsable de milliers de morts en Algérie,voila que l’Émirat du Qatar ,dont le régime est loin d’etre démocratique,le récompense en lui accordant un éxil doré.Sa place devrait etre dans une prison;décidement le crime à grande échelle paie.

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 14 h 22 min

    On m’a raconté,apres le coup
    On m’a raconté,apres le coup fumeux du laser divin,qu’un pauvre illuminé est parti avec des photos de l’évènement vers l’arabie saaoudite,arrivé en larmes à l’aéroport de djeddah en montrant ces photos aux autorités aéroportuaires et expliquant que dieu (soubhanouhou) est entré en contact avec le FIS, il fut bien sur arrété et les photos confisquées à ces conccurents nouveaux des détenteurs du fonds!!!!!

    Djaffar
    18 janvier 2016 - 14 h 07 min

    @Par faridus (non vérifié) |
    @Par faridus (non vérifié) | 18. janvier 2016 – 9:50

    Chadli a été le père de la corruption en Algérie, c’était lui qui avait imposé aux étudiants Algériens non boursiers à l’étranger d’acheter leurs billets en Algérie en devises beaucoup s’étaient retrouvé bloqué en Algérie et ont raté leurs études, il était comme une bague dans les doigts de Mitterrand qui lui imposait ce qu’il voulait.

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 11 h 45 min

    L arrêt du processus
    L arrêt du processus electoral a été fait à la demande du peuple qui est sorti en masse pour le reclamer après les fraudes gigantesques du FIS dans les APC qu il detenait.
    Il fallait sauver l Algerie de ce parti et de ses militants obscurantistes devenus par la suite de vrais criminels.
    Heureusement que des gens courageux ont pris la decision de l arrêt du processus electoral, car que serait devenu l Algerie ???.un iran bis??une arabie saoudite bis???
    Vive les forces progressistes et le peuple avec son armée qui ont résisté à cette horde qui voulait prendre le pouvoir au nom de la religion.

    dz
    18 janvier 2016 - 11 h 30 min

    En deux mots:
    ABASSI + ses

    En deux mots:

    ABASSI + ses complices gradés = Terrorisme = Assassinats = Tueries = 200000 victimes = Destruction du pays

    Ça mérite bien une autre condamnation plus sérieuse pour rendre justice à l’Algérie.
    Ce satan de Madani mérite plus de 12 ans. La guillotine est plus.

    DZDZ
    18 janvier 2016 - 11 h 20 min

    ABASSI L’ASSASSIN:
    Tu es un

    ABASSI L’ASSASSIN:

    Tu es un vulgaire terroriste qui a trouvé protection chez ses amis terroristes.

    Ferme ta gueule ya Abassi. Tu n’as aucun droit de parler de l’Algérie.
    Fakou ya l’escroc. Tu défends ceux qui t’ont aidé à détruire l’Algérie. Des vendus, des traitres de ta trempe.

    VIVE LES JANVIÉRISTES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    kahina
    18 janvier 2016 - 11 h 11 min

    Que fait ce sanguinaire

    Que fait ce sanguinaire terroriste de Abassi Madani à Qatar. Comment est-il parvenu à sortir de l’Algérie.
    Il faut le rapatrier et le mettre dans un sous-sol. Il n’a pas encore payé pour le mal qu’il a fait au pays.
    Il faut le juger, même à 99 ans.
    Abassi est un assassin et ses plans diaboliques contre l’Algérie sont toujours en cours.

    UN GRAND MERCI aux généraux qui ont su arrêter les manigances de ce vieux démon de Madani…Un satan-traitre au vrai sens du mot. Que l’enfer t’emporte ya abassi le tueur d’Algériens, et qu’il emporte tes complices avec toi.

    Algérienne
    18 janvier 2016 - 11 h 01 min

    Nous sommes des témoins

    Nous sommes des témoins vivants de la décennie noire du début jusqu’à la fin.

    Une question qui mérite d’être posée.

    Pourquoi Chadli a t-il laissé les barbus en habits afghans occuper et paralyser Alger pendant plusieurs jours sans bouger??

    Qui est derrière le spectacle-Laser. Pendant le rassemblement du terroriste Abassi, ses lieutenants et ses adeptes le NOM D’ALLAH s’affiche dans le ciel…Quel miracle provoqué par des mains voulant enfoncer l’Algérie un peu plus dans la barbe de MADANI.

    Abassi avait ses complices….Heureusement que NEZZAR a tranché. MERCI!!

    krimo45
    18 janvier 2016 - 10 h 42 min

    tout le monde semble
    tout le monde semble retrouver sa mémoire.j’aimerais bien qu’on donne la parole à Bensaad de l’université d’Aix en Provence pour qu’il nous raconte ses souvenirs concernant le général Betchine.

    soleil
    18 janvier 2016 - 10 h 08 min

    Le silence est d’or,la parole
    Le silence est d’or,la parole est d’argent.no comment

    Nourdine
    18 janvier 2016 - 9 h 47 min

    Monsieur Ait Amara, il
    Monsieur Ait Amara, il fallait titrer « symbiose et offensive ». Depuis le Décès de Mr A. Ahmed, nous constatons ici et là l’ouverture de boites de pandore en écho à celle du Sinistre chef de l’Ais avec son congrès de Jijel. On passe du droit au retour du fis à l’erreur de l’arrêt du processus électoral passant complètement que les islamistes ont pris les armes contre la république avant le processus électoral (Affaire Bouyali etc), pendant (l’affaire de Guemmar), après (300.000 algériens assassinés – ne pas oublier ceux qui en souffrent encore) jusqu’à aujourd’hui comme en témoignent les rapports de l’ANP. Cela n’est fortuit ni gratuit, les états majors (les officines bien évidemment) préparent 2017.

    A défaut de présenter des programmes politiques et des projets de société, ils déversent leur fiel sur ce que fait ou a fait l’Algérie indépendante et je soupçonne certains de vouloir refaire le scrutin d’autodétermination.

    Ils nous fabriquent un habitus pour les élections présidentielles, leur priorité détruire l’image des patriotes
    tout est bon à dire car personne ne leur demande de preuves et en sus ils plaignent du manque de liberté d’expression. Ils oublient un facteur : le Peuple n’est pas dupe.

    En attendant le regard impartial des historiens, mon regard se tourne vers l’Europe qui protège les criminels du fis et intente des procès à des généraux algériens. Je sais qui « aime » l’Algérie.

    L’habitus que vous asseyez nous inculquer ressemble étrangement à celui de Fafa en face du peuple en lutte pour sa liberté, les mêmes réflexes et la même litérature.

    faridus
    18 janvier 2016 - 8 h 50 min

    A USMS 08: 01
    • C’est vrai

    A USMS 08: 01
    • C’est vrai USMS, Chadli a laissé raconter des blagues à son sujet et son prétendu manque de culture, mais en homme de classe ne s’est pas rabaissé à traîner devant les tribunaux de pauvres imbéciles, ou des gens qui ont cru sincèrement et de bonne foi en la Liberté d’expression officiellement promise. C’est un homme modeste mais ferme, digne de respect et de considération.
    • On disait qu’il n’était pas très instruit. Cela reste à vérifier, mais en tout cas il a agi en Homme d’Etat et fait pour la liberté et le pays, PLUS que ceux qui, aujourd’hui ne se gênent pas pour étaler leurs supposées grande culture, érudition, ferveur religieuse, patriotisme, esprit démocratique et autres vertus imaginaires.
    • Ne pas oublier surtout qu’il a mis fin à la longue détention de Benbella, (depuis le 19 juin 1965), alors qu’il avait toutes les raisons, justifiables ou pas, de se méfier et d’être prudent en le maintenant emprisonné.
    • L’autre « geste » à mettre sur le crédit d’honneur de Chadli, de feu Monsieur le président Chadli, c’est la suppression de l’humiliante, l’injustifiable, la soviétique, la scélérate mesure obligeant les citoyens à demander une AUTORISATION DE SORTIE, ministérielle ou préfectorale pour quitter le territoire nationale.

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 8 h 05 min

    Un beau navire navigue sur
    Un beau navire navigue sur une belle mer calme, le ciel est dégagé et ensoleillé, les voiles gonflent sous l’effet du vent qui souffle dans la direction souhaitée, bref, tout va pour le mieux, le « Capitaine » du navire est content, « son Equipage » l’est aussi, les « Passagers » mènent la belle vie, peu soucieux de ce qui se passe au niveau plus haut …
    Soudain, le ciel devient sombre, les nuages grossissent et deviennent menaçants, le ciel gronde, la pluie, le tonnerre, les problèmes commencent, se suivent, s’amplifient, jusqu’à atteindre la réalité que tout le monde redoutait, mais à laquelle personne ne s’y est préparé : LE NAVIRE VA COULER …
    Le « Capitaine » est « absent », son « Equipage » fait « Tout » et « Rien »., les « Passagers » redoutent le Pire … ET A UN MOMENT BIEN PRECIS, LES « RATS » COMMENCENT A SORTIR POUR FUIRE LE BATEAU. Mais fuir où en pleine mer ? Certainement vers leur perte.
    Donc questions :
    1 – Quel est ce BATEAU ?
    2 – Qui est le CAPITAINE ?
    3 – Qui son l’EQUIPAGE ?
    4 – Qui sont les PASSAGERS ?
    5 – Et Qui sont les RATS ?

    fatigué
    18 janvier 2016 - 7 h 36 min

    dites moi qui est l’ennemi de
    dites moi qui est l’ennemi de mon ennemi et je comprendrai que c’est mon ami.
    Nezzar est définitivement mon ami.

    USMS
    18 janvier 2016 - 7 h 01 min

    Donc MONSIEUR CHADLI n’était
    Donc MONSIEUR CHADLI n’était pas aussi stupide que le prétendaient certaines « têtes pensantes » de l’ALGERIE. ALLAH YARAHMEK YA CHADLI. Tu as permis aux ALGERIENS de connaître un grand mieux par rapport à ce qu’ils vivaient sous Benbella et Boumédiéne.

    SEDDIKI AISSA
    18 janvier 2016 - 6 h 57 min

    Salem,
    Depuis l’indépendance

    Salem,
    Depuis l’indépendance il n’est question que de règlements de comptes. Le peuple algérien est habitué et usé. Ce que craignait Mr Nezzar fini par arriver. Tous l’accuse de désastror national. Il l’aura entendu de son vivant. Par ailleurs, dites nous qui n’est pas inamovible en Algérie ? …Si demain tout vire au cauchemar quelle constitution sautait être respecter au point d’empêcher
    l’écroulement de toute édification étatique , que le peuple exaspéré aura voulu ? ….
    Salem

    Anonyme
    18 janvier 2016 - 6 h 40 min

    Comme s’il y avait une
    Comme s’il y avait une sèparation des pouvoir et fonctions! Le magma Baath Fln unit les tribus arabes au pouvoir, du FIS aux militaires. Voilà ce qui ressort de cette diatribe qui n’a rien de politique mais juste la distribution de la rente. Le FIS ne vient pas du ciel mais de l’intèrieur du FLN.Ne nous inventez pas une tradition qui n’a jamais fait place depuis 1962. L’unique lecture est celle de la nècessaire option civilisationelle altèrnative: l’arabislamisme est l’unique responsable dans tout cela.

    simple justiciable
    18 janvier 2016 - 4 h 45 min

    Une militarisation de la

    Une militarisation de la politique et sa livraison à la religion, c’est de l’obscurantisme garanti. Il va falloir sortir l’Algérie de ces deux obstacles majeurs pour assister à l’émergence de la démocratie.

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