Macir Vie membre de l’Organisation des assurances africaines
Macir Vie annonce son adhésion à l’Organisation des assurances africaines (OAA), dans un communiqué parvenu à la rédaction. L’adhésion de l’assureur algérien a été approuvée lors de l’Assemblée générale organisée par cette dernière qui s’est déroulée le 11 mai dernier à Marrakech, au Maroc. Macir Vie est la première compagnie algérienne d’assurance de personnes à devenir membre de l’OAA. En tant qu’acteur économique majeur, l’adhésion de Macir Vie à l’OAA a pour objectif principal d’«enrichir ses partenariats et de développer ses coopérations avec le reste des pays africains», note le communiqué. «Cette adhésion s’inscrit dans notre volonté de développer des échanges fructueux, des idées et des expériences, c’est aussi une occasion propice pour tisser de nouvelles relations d’affaires et développer celles qui existent déjà», souligne le communiqué de Macir Vie, premier assureur privé national spécialisé dans l’assurance de personnes. «Par ailleurs, il s’agit aussi d’une opportunité bénéfique et pour Macir Vie et le reste des compagnies algériennes d’assurance de personnes, puisque l’organisation œuvre pour la promotion de la coopération interafricaine et le développement d’une industrie saine de l’assurance et de la réassurance en Afrique», relève encore le communiqué. A travers ce partenariat, Macir Vie pourra faire bénéficier ses collaborateurs de formations sur les nouvelles techniques actuarielles au niveau de l’OAA qui dispose d’un partenariat privilégié avec la Banque mondiale. Les assureurs et réassureurs des pays africains membres de l’OAA, ainsi que leurs partenaires, se regroupent chaque année pour débattre de la situation de la profession et fluidifier le transfert de compétences avec une dimension continentale, ce qui permet de mieux étudier, comprendre et maîtriser les risques. Selon une communication faite par l’UAR en 2008, l'OAA œuvre aussi à faire de la prévention et l’assurance des moyens efficaces, aux fins de prévenir et de protéger les populations africaines des risques que présentent les bouleversements climatiques, le déséquilibre de l’écosystème, la sécheresse et d’autres situations extrêmes.
Lina S./C. P.