Polaschik et Emié chez Bouterfa : les négociations sur l’exploitation du gaz de schiste ont-elles repris ?

Le ministre de l'Energie, Noureddine Bouterfa. New Press

Le ministre de l’Energie, Noureddine Bouterfa, s’est entretenu ce mercredi successivement avec l’ambassadrice des Etats-Unis et l’ambassadeur de France à Alger. L’objet des entretiens a porté, essentiellement, sur la coopération dans le domaine des hydrocarbures et des énergies renouvelables, et sur l’intérêt des entreprises, américaines et françaises, à participer dans le prochain appel d’offres pour l’investissement dans les énergies renouvelables qui sera lancé prochainement. Les termes des discussions attestent que les chancelleries américaine et française ont bien choisi le moment pour relancer les négociations avec l’Algérie au sujet des investissements dans le domaine des énergies renouvelables, mais qui, dans les faits, concernent principalement le pétrole et le gaz de schiste. Un projet que le gouvernement Sellal avait promis de relancer, après la vague de contestation qui a secoué, en 2015, plusieurs villes du Sud.

Au cours de sa visite à Moscou, fin avril dernier, le Premier ministre avait déclaré que son gouvernement était en train d’étudier le développement de cette énergie non conventionnelle, en assurant que l’Algérie était le deuxième ou troisième pays en termes de volumes de gaz de schiste, et que notre pays pouvait «vraiment trouver un moyen de coopérer (avec la Russie) dans ce domaine». Cela dénote à quel point le gouvernement est déterminé à concrétiser ce projet.

Il est aussi curieux de relever que les entretiens du ministre de l’Energie avec les deux ambassadeurs occidentaux interviennent au lendemain de l’annonce de l’annulation d’un projet d’installation d’une cimenterie dans une localité de la wilaya de Batna, suite à des manifestations surmédiatisées, notamment par l’organe officieux de la Présidence, de la population locale qui s’y opposait, prétextant les dangers sur la santé publique que constituerait la mise en marche d’un tel projet. La décision d’annulation sert-elle de poudre aux yeux pour relancer, en douceur, l’exploration du gaz de schiste et atténuer, ainsi, la colère des habitants des régions concernées par l’exploitation de cette énergie dont on dit qu’elle serait dangereuse pour l’environnement ?

En tout cas, cette diligence et surtout cette sérénité avec lesquelles le gouvernement vient de remettre sur la table des négociations l’exploitation des énergies renouvelables, sans débat public préalable, laissent penser que le pouvoir croit avoir largement aseptisé l’opinion.

R. Mahmoudi

Comment (31)

    revolution
    15 juillet 2016 - 18 h 01 min

    degagees de ce pays bandes de
    degagees de ce pays bandes de voleurs ali baba et les 40voleurs

    Anonymous
    15 juillet 2016 - 15 h 51 min

    Le Maroc a mit TT le paquet
    Le Maroc a mit TT le paquet pour les panneau solaire et nous avec nos chenareg qui nous gouvernent incapable de réfléchir a 1 m de distance vont vendre l Algérie au multinationale

    Anonymous
    15 juillet 2016 - 15 h 47 min

    Les gens du sud et du Nord
    Les gens du sud et du Nord doivent sortir de leur silence en interdisant l exploitation du gaz de schistes tous contre ce pouvoir étranger a l Algérie et qui ne cherche la mort de L Algérie .Algérien Algérienne tous ensemble pour dire Non Non Non Non Non a la destruction de notre cher patrie .Que font nos patriotes pour en finir avec ces crocodiles .Basta Basta Basta DEGAGE

    Anonymous
    15 juillet 2016 - 13 h 17 min

    . L’exploitation de gaz de
    . L’exploitation de gaz de schiste est un danger pour le pays à plus d’un titre. Ce projet est une atteinte à la souveraineté nationale puisque les portes seront ouvertes aux manœuvres des multinationales. Les majors pétroliers occidentaux vont mener des tests d’expérimentation dans le Sahara algérien, à l’instar des essais nucléaires menées par le colonialisme français durant les années 1960.
    De point de vue financier, l’exploitation du gaz de schiste ne garantit aucune rentabilité économique. Le marché mondial du gaz tend vers le marché spot (marché libre), en témoigne les dernières concessions faites par la Russie pour vendre son gaz dans le cadre du marché spot, sans oublier le déploiement des méthaniers qataris à travers le monde. Mais ces deux pays peuvent se permettre de telles stratégies, ou recul sur leur politique. Aussi, les nouvelles découvertes de gaz en Asie du Sud est, et particulièrement en Océanie (Papouasie nouvelle guinée), démontrent qu’il n’est pas dans l’intérêt de l’Algérie d’exploiter cette ressource non conventionnelle, car elle participerait à réduire les prix.
    Le gaz de schiste, dont les capacités des puits sont de 40% la première année et qui diminuent les années suivantes, oblige le pays à forer plus, mais le coût de revient sera inférieur au coût de production. L’Algérie ne peut espérer un retour sur investissement, si elle ne parvient pas à vendre du gaz dans le cadre des contrats à long terme.
    Il faut noter que les investissements dans cette extraction sont colossaux. Pour forer un seul puits, une moyenne de 15 millions de dollars est nécessaire, ajouter à cela la logistique et les accessoires, et dont les majors pétroliers détiennent la technologie. Technologie qu’ils ne transféreront jamais. D’ailleurs, les sociétés américaines exploitant le gaz de schiste font face aujourd’hui à une crise d’endettement pour ne pas dire bulle spéculative. Elle n’est pas flagrante car le gouvernement fédéral a de tout temps aidé ces compagnies. Le prix de rentabilité du million de BTU (british termal unit) est entre 10 et 11 dollars. Mais avec la surproduction américaine des dernières années, le prix a baissé jusqu’à 3 dollars. Le gouvernement fédéral américain a longtemps subventionné ces sociétés, car ce choix s’inscrit dans une option géo-stratégique et non économique. Il s’avère qu’aujourd’hui, le but des américains est atteint, à savoir que la Russie fasse désormais des concessions. La crise en Ukraine est révélatrice des enjeux de cette exploitation de gaz de schiste à plusieurs niveaux.
    Dernier point, les menaces de pollution qui pèsent sur les nappes phréatiques et les nappes souterraines de l’Albien en l’Algérie, sont synonymes de crime contre l’Humanité. Comment peut-on prendre le risque de polluer toutes ces eaux, alors qu’elles sont les véritables richesses de l’Algérie ? La technique de fracturation hydraulique, qui nécessite l’utilisation de 20 000 litres m3 par puits, mélangés à plus de 500 produits chimiques, en plus de la silice, est dangereuse. La dispersion des eaux usées une fois la fracturation de la roche, mettra en péril les nappes. Donc, on ne peut espérer le lancement de projets agricoles dans les Hauts Plateaux, les Plaines steppiques et l’extension des oasis avec des eaux polluées. Notons que ces produits chimiques sont en partie cancérigènes et provoquent diverses maladies.
    Comment imaginez vous l’avenir énergétique du pays sans le schiste, en sachant notamment que les hydrocarbures conventionnels ne perdureront pas ?
    Il faudrait d’abord penser à relancer le débat sur la transition énergétique, en parallèle du débat sut la transition démocratique. On ne peut dissocier ces deux volets.
    A titre d’exemple, l’option de l’exploitation du gaz de schiste n’a pas été débattue dans des cadres juridiques existant, à l’instar du Conseil national de l’énergie, le seul habilité à trancher sur ce genre de décision. Aussi, l’opacité avec laquelle a été prise la décision d’exploiter le gaz de schiste est anti-démocratique. Le panel des experts et des spécialistes n’a pas été invité pour soulever leurs expertises, leurs études et leurs arguments. Avant l’amendement de la loi sur les hydrocarbures en janvier 2013, la commission juridique de l’APN a écouté seulement 6 personnes ayant un lien avec le domaine de l’énergie. Mais plus grave encore, aucun travail de vulgarisation n’a été entamé par les pouvoirs publics pour expliquer le véritable enjeu de l’exploitation de gaz de schiste, et les citoyens n’ont pas eu droit à la parole.
    Pour revenir à votre question, l’urgence est de penser à l’économie d’énergie. L’augmentation de la consommation de l’énergie (gaz, électricité), n’est pas la faute des citoyens, mais c’est le pouvoir qui empêche les compétences intègres et patriotes de réfléchir aux meilleurs mécanismes afin d’éviter le gaspillage et d’élaborer des plans de perspectives et de prospectives. Dans le même sillage, la politique des subventions mérite également un large et continu débat. En parallèle, les compétences nationales existent pour travailler sur le développement de l’énergie solaire. Ce qui est certain, c’est que l’Algérie est face à une impasse, à cause d’une gestion anti-démocratique du pays et en raison de la marginalisation des capacités.
    Les risques que vous avancez sur l’exploitation du gaz de schiste sont-il basés sur des études fiables faites en Algérie?
    Les risques et les dangers ont été prouvés aux Etats-Unis, au Canada et en Pologne. Ces deux pays sont de parfaits exemples pour démontrer que l’exploitation de gaz de schiste est dangereuse pour l’Homme et l’environnement. Le projet laissera place à de nouveaux fiascos financiers. Les répercussions sur le volet social sont plus que négatives.
    Aux Etats-Unis, des citoyens militent aujourd’hui contre l’exploitation, et arrivent tant bien que mal à faire entendre leurs voix. Si les eaux des surfaces américaines ont été les plus utilisées dans la technique de la fracturation hydraulique, il faut préciser que même des nappes phréatiques, notamment en Pennsylvanie ont été polluées.
    Des études canadiennes sur l’exploitation de gaz de schiste disposent de solides arguments et qui feraient fléchir n’importe quel dirigeant. Et n’oublions pas le rapport Picot, l’une des plus intéressantes études présentées jusqu’à présent démontrant tous les dangers de cette exploitation.

    New kid
    15 juillet 2016 - 10 h 33 min

    Les deux grands corrupteurs s
    Les deux grands corrupteurs s’affichent chez le perméable tout nouveau ministre de l’énergie. Tout poreux et peureux nos deux larrons réussir ont-ils leurs seconde répétition à produire un nouveau shakib ?
    Cette exploitation du gaz de schiste doit à mon avis être énergétiquement repoussée par le peuple algérien et laisser à nos générations futures d’en décider. Je préfère me serrer la ceinture maintenant et laisser un environnement sain à mes enfants. Notre avenir est en Algérie. Les islamistes ont coupé la route de l’émigration vers l’occident avec leurs crimes inhumains et abjects.
    Un Donald Trump en position aux zetazunis, une Marine Le Pen avec le volant en France, la naissance d’un nouveau Reich en Allemagne, Un désert lunaire en Algérie ou rien ne poussera, Le million et demi de chahids auront été trahis par ce clan resteront noyes dans cette fracturation sauvage.
    Le wahhabisme et salafisme ne feront pas long feu avec la nouvelle clique occidentale !
    L’or noir coulera à flot mais sans valeur, les bédouins retourneront dans leur désert avec leurs chameaux, ou les Rolls Royce seront rongées par le sable car la voiture et même l’aviation électrique dominera dans le monde !

    med
    15 juillet 2016 - 5 h 42 min

    Le desert du tidikelt et le
    Le desert du tidikelt et le touat flottent sur une reserve deau inestimable.ces terres representent deq millions. dhectares ou il est possible de semer la graine de ble .c des terres qui peuvent adopter tout genrz de legumes.et ki peuvent inonder le monde de belles dattes.tamanrasset peut conquerir deq millions de touriste .lalgerie peut vivre de ces ressources .pourkoi sacharner contre le schist .connaissant ses risques certains et sa faible rentabilire.

    med
    15 juillet 2016 - 2 h 54 min

    Relancer le gaz de schiste
    Relancer le gaz de schiste eqt dangereux pour ka nappe phreatique..c ainsi dangereux pour la vie au sud.prenez garde les gens du sud ne sont plus les bedouinss de sidi sidi.ils ont etudie voyagé et pour eux leau est lié a leur identite.ils naccepteront jamais le gaz de schiste.ca sera eux ki mettront a genoux ce projet avec beaucoup de degats et une grande cassure.attention ecoutea ceux ki connaissent le sud.

    AMAR
    14 juillet 2016 - 22 h 16 min

    Je ne vois aucune rationalite
    Je ne vois aucune rationalite dans ce qu ils entreprennent !
    pourquoi le gaz de chiste et pourquoi maintenant?
    POURQUOI ne pas inclure une culture de rationalite dans la consommation d energie et commencer par exemple a appliquer les prix reels pour les secteurs institutionnels…je suis sur que la facture de l eclairage publique a elle seule constituera une proportion tres importante!!! et par la suite etendre cette politique aux equipements energivores….avec les prix actuels c est comme si on interdit toute initiative pour d autres formes de consommation d energie!!! nous sommes les derniers meme en afrique!!!

    mahmoud
    14 juillet 2016 - 22 h 16 min

    ce systeme pourri ne survit
    ce systeme pourri ne survit que grâce à la rente barrons lui la route; pompez le sous sol c’est tout ce qu’ils savent faire
    Dégagez

    non et non
    14 juillet 2016 - 21 h 59 min

    non à votre merde
    non à votre merde

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 21 h 44 min

    Le très puissant lobby
    Le très puissant lobby algérien des affaires, dans les institutions fantomes, et paralysées de l’état,culturellement, et idéologiquement pro-français revient à la charge, et manoeuvre encore une fois pour favoriser les interets des français en Algérie à travers l’encouragement des entreprises françaises connues pour leur faible compétitivité (prix exorbitants, commissions, intermédiaires, immobiliers en France, formations pour leur progeniture en France….. pour remporter les marchés juteux des centaines de millions d’Euro,…..)
    et par les scandales de favoritisme, et de corruption:Alstom, Alcatel, ……

    Seule la relance crédible,qualitative, et fiable des investissements industriels en Algérie
    En coopération stratégique avec le pays le plus industriel, et le plus compétitif en Europe
    Qu’est l’Allemagne pourrait améliorer sensiblement le secteur industriel en Algérie

    Mais avant d’arriver au succès escompté il faut impérativement, et en priorité urgente apprendre, la langue, et la culture allemande, pour apprendre les métiers d’avenir Hi-Tech allemands

    Au français, la culture française dominante des élites algériennes de la bureuacratie administrative paralysante Aux allemands les coopérations, et les réalisations des complexes industriels historiques de Rouiba, de Constantine, de Tiaret, de Bel-Abbes,….. arretés net en …..1979, par l’intervention du gouvernement dominant français sur le gouvernement, malheureusement,dominé algérien sans stratégie, sans vision, et sans culture industrielle

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 15 h 06 min

    La réflexion économique n’est
    La réflexion économique n’est plus de ce monde Chaque état construit sa stratégie en fonction de ses propres interrêts Et selon cet article l’Algérie n’aurait pas ce droit Au nom de quoi et on voudrait bien connaitre l’alternative s’il y en a La France depuis les années 50 a bâti sa stratégie sur l’énergie nucléaire pour se positionner vis à vis des autres puissances L »URSS a débuté l’exploitation des gaz et huiles de schistes dans les années 60 à ce jour ces gisements sont exploités sans pour autant que cela créé un quelconque problèmes ni à l’économie nationale ni à la population .On voudrait nous convaincre que l’Algérie doit d’abord préserver les interrêts de la France avant les siens Si notre économie a un besoin de cette matière nous l’exploiterons Les français ne possédant pas cette matière première ne veut rien entendre mais pourquoi les algériens défendent cette position au détriment de leur pays

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 14 h 36 min

    L’eau du Sahara est plus
    L’eau du Sahara est plus précieuse que le gaz de shiste, ce régime est mis à nu depuis la baisse du prix du pétrole, il se cherche une porte de sortie avec le gaz de shiste, le seul moyen de sauver l’Algérie, c’est de faire dégager ce pouvoir illégitime de mercenaires marocains et tunisiens, et reprendre notre pays en tant qu’algériens pour le remettre sur les rails du développement sans pétrole.

    Fouedz
    14 juillet 2016 - 13 h 32 min

    De toutes les manieres ce
    De toutes les manieres ce pouvoir ne peut rien faire face aux puissances occidentales et en parliculier la France tellement ses responsables sont compromis dans la perversation avec cette derniere.

    Pour sortir l’Algerie de ses dependances alimentaire, industrielle et meme culturelle il faut une reelle volonte politique que ce pouvoir ne peut jamais avoir eu egard aux considerations citees ci-dessus et pour y arriver l’Algerie a besoin aujourd’hui plus que hier d’un pouvoir constitue de ses veritables enfants integres et nationalistes et dont la priorite serait le retablissement de la confiance entre le gouvernant et le gouverne d’autant plus que le commun des mortel sait que l’Algerie ne manque pas de competance et dans tous les domaines..

    A bon entendeur salut..

    selecto
    14 juillet 2016 - 13 h 20 min

    Le gaz de schiste est plus
    Le gaz de schiste est plus intéressant pour la bande des voleurs que l’agriculture ou d’autres secteurs car il permettra l’encaissement des commissions qu’ils mettront aux noms de leurs gendres escrocs Libanais, Syriens, Jordaniens, Palestiniens, Marocains, Egyptiens, Tunisiens .

      raselkhit
      14 juillet 2016 - 14 h 57 min

      Comme à son habituel discours
      Comme à son habituel discours creux et vide notre ami Selecto vient uniquement par des insultes et des mensonges porter des injures envers des gens dont il n’arrive même pas à la cheville Et comme on dit chez nous « Tire la chasse »

        selecto
        14 juillet 2016 - 17 h 32 min

        RAIS, je te dis une chose qu
        RAIS, je te dis une chose qu’un rescapé de la rafle de 1975 ne pourra pas savoir: Les chiens de nos douars donnaient l’alerte à l’arrivée des soldats Français, ils avaient plus de dignité que votre équipe d’escrocs et traitres.

        Anonymous
        15 juillet 2016 - 14 h 16 min

        et comme d’habitude le RAIS
        et comme d’habitude le RAIS entretient l’amalgame. quand on dénonce la corruption et la gabégie des corrompus d’alger, il sort cette histoire d’insultes.

    BabElOuedAchouhadas
    14 juillet 2016 - 13 h 07 min

    Le jour ou on aurant un
    Le jour ou on aurant un piouvoir constitue d’authentique algeriens propres et patriotes a ce moment on aura aucune crainte vis a vis des pays ennemis de l’Algerie et en particulier la france.

    RasElHanout
    14 juillet 2016 - 13 h 04 min

    J’ai toujours dit que ce
    J’ai toujours dit que ce Gouvernement est si naif des qu’il s’agit de la France neo-colonialiste qui fait tout pour le soumettre a sa botte tout en soutenant en parallele l’autre ennemi de l’Algerie a savoir cette narco-monarchie notamment dans sa colonisation du Sahara occidental.

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 11 h 42 min

    LE LOUP DANS LA BERGERIE :
    LE LOUP DANS LA BERGERIE : Bouterfa à l’énergie ! à la merci des français et des americains
    Un «suicide» pour la Sonatrach
    Pour le professeur d’économie, Amor Khelif, la Sonatrach est en «recul» et «ne contrôle plus la production du pétrole». Il estime que l’exploitation et l’exploration du gaz de schiste seront un «suicide» de la compagnie nationale d’hydrocarbures. !

    L’Algérie est «doublement pénalisée» par la récente baisse du prix du pétrole. «Même si cette situation reste conjoncturelle, la baisse du prix du pétrole a entraîné une baisse des exportations de notre pays» a indiqué Amor Khelif, professeur d’économie à l’Université d’Alger 3, hier, à l’Ecole nationale supérieure du journalisme à Alger. Il est, ainsi, convaincu que l’Algérie va encore céder et ouvrir le marché des hydrocarbures aux compagnies pétrolières étrangères. Une incontournable décision que l’économiste justifie par «l’importante pression subie par notre pays».
    «L’Algérie a toujours géré et réglé les crises de recettes extérieures de la même manière. Mais devrions-nous continuer sur ce modèle de développement ?», s’interroge-t-il. Pour lui, la réponse est claire : Non. Il estime que cette baisse du prix du pétrole devrait être l’opportunité pour une remise en cause du schéma de développement en Algérie.
    Le professeur Khelif évoque en premier lieu le «dysfonctionnement» de la compagnie nationale d’hydrocarbures. «La Sonatrach est en recul et n’assure plus son rôle dans le secteur des hydrocarbures. Elle ne contrôle même pas la production du pétrole», dit-il. Une situation qu’il impute à «la fuite considérable» des cadres de cette compagnie. «La Sonatrach s’affaiblit de plus en plus. La preuve : 55% du pétrole algérien est produit par les compagnies étrangères», souligne-t-il.
    Il qualifie ainsi l’affaiblissement des capacités techniques et humaines de Sonatrach d’«amère réalité». «C’est encore plus grave que la baisse du prix du pétrole», dit-il.
    Par ailleurs, l’économiste assure que l’exploration et l’exploitation du gaz de Schiste sont une «aberration». Et d’expliquer que les techniques d’exploration et d’exploitation des énergies non conventionnelles nécessitent un grande maîtrise. Des techniques et une maîtrise qui demeurent «hors capacités de la Sonatrach». «Le gaz de schiste sera la dernière étape de suicide de la Sonatrach», a-t-il assuré.

    selecto
    14 juillet 2016 - 10 h 51 min

    Les Français auront tout ce
    Les Français auront tout ce qu’ils voudront de la bande qui nous gouverne grâce aux chantages.

    TheBraiN
    14 juillet 2016 - 10 h 40 min

    La médiocrité et cupidité du
    La médiocrité et cupidité du nouveau ministre sont un secret de polichinelle .
    Cette personne qui tient lieu de ministre a été choisi pour faire du Chakib Khalil sans Chakib Khalil !
    Circulez , y a rien à voir !!!

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 10 h 33 min

    Apparemment c’est l’esprit de
    Apparemment c’est l’esprit de la zaouïa Sidi Khelil qui habite ce triste ministre âgé de 68 ans !

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 9 h 39 min

    Ce pouvoir raconte une chose
    Ce pouvoir raconte une chose et fait son contraire,il n’a pas compris la leçon. Au lieu de diversifier l’économie dans l’agriculture le tourisme l’industrie l’artisanat etc etc . Il revient à la rente cette fois par le gaz de schiste. PAS DE GAZ DE SCHISTE. Exploitation dangereuse ou pas ,protégeant notre sous sol pour des moments plus difficiles qu’aujourd’hui .Notre sous sol est riche d’hélium , de gaz de schiste de pétrole et peut être d’autres richesses.Nous devons créer notre économie sans compter sur notre sous sol qui sera un plus.Ou alors vous voulez dépouiller le pays en laissant le peuple dans un avenir sombre avec votre double jeu.Ce que vous avez pris ne vous suffit pas.

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 7 h 43 min

    Le retour de ce perfide d
    Le retour de ce perfide d’Emie n’est pas sans raison alors… Ce plouc de diplomate nous emmerde. On n’avait deja demande son depart a ce type. En raison de son intrusion concernant la « question kabyle » comme ils aiment l’evoquer pour demander l’ouverture de l’EF a Tizi Ouzou et son histoire foireuse de visas.
    Ecoute bien Emie, toi et ta clique, vous ne comprendrez jamais rien aux algeriens et encore moins aux kabyles. On vous rendra givre. On ne vous aime pas. on n’a pas confiance en vous. Kabyle pur laine.

      Anonymous
      14 juillet 2016 - 11 h 33 min

      je ne comprend pas mais alors
      je ne comprend pas mais alors pas du tout cette haine envers les kabyles je suis arabe pur sang et je connais beaucoup de kabyles et j ai beaucoup d amis parmi eux pas plus que je ne comprend pas la haine de certains kabyles envers les arabes j ai honte pour les et les autres c est mauvais ce n est pas bon , on est condamné a vivre ensemble et pas autrement alors autant le faire en bonne harmonie ce qui importe la c est qu ont vit sous les même couleurs et sous le même air
      que le TOUT PUISSANT nous viennent en aide

        Anonymous
        14 juillet 2016 - 14 h 30 min

        «je suis arabe pur sang»

        «je suis arabe pur sang»
        Ta place n’est pas en Algérie, prends donc un billet pour l’Arabie tu trouveras ton bonheur, les arabes pur sand sont les pires destructeurs de l’humanité et de l’islam qu’ils se sont approprié pour détruire le monde musulman. L’Algérie n’est pas arabe, elle est amazighe, les arabes pur sang sont des étrangers et demeureront étrangers tant et aussi longtemps qu’ils ne se considéreront pas algériens amazighe d’adoption, en tant que minoritaires qu’ils sont et même cela est à vérifier. L’islam n’est pas arabe, il est universel, et ceux qui comme toi zélés arabes se servent de l’islam pour conquérir par l’arabisation les esprits, se trompent royalement. Quand on sait que les arabes sont exportateurs de terrorisme, de destructions de civilisation, il n’y a pas de quoi se vanter d’être «arabe pur sang» au contraire il faut s’en cacher et faire profil bas. L’Algérie est amazighe à 100%, il n’y a pas de place pour les arabes purs sang comme toi,, destructeurs primitives valets du sionisme et de l’impérialisme, l’amazighité en Algérie est l’âme de l’Algérie, elle est étendue à tout son territoire pas seulement la Kabylie.

        Anonymous
        14 juillet 2016 - 14 h 33 min

        Ne tente pas de dévier du
        Ne tente pas de dévier du sujet avec tes âneries de pur sang arabe. L’article traitre de la haute trahison du pouvoir qui vend les richesses du pays aux puissances occidentales.

          anonyme
          14 juillet 2016 - 17 h 36 min

          Il fallait pas lui répondre
          Il fallait pas lui répondre car c’était quelqu’un qui voulait dévier le sujet, qui ne voulait pas qu’on critique le vol des richesses nationale par ces voleurs.

    Anonymous
    14 juillet 2016 - 7 h 41 min

    NON AU GAZ DE SCHISTE NON AU
    NON AU GAZ DE SCHISTE NON AU GAZ DE SCHISTE NON AU GAZ DE SCHISTE NON AU GAZ DE SCHISTE NON AU GAZ DE SCHISTE NON AU GAZ DE SCHISTE NON OGAZ D’CHIST encore une porte ouverte aux escrocs aux individus et autre rapaces dont le profit et la seule patrie au détriment du sol et la nappe phréatique

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