Boualem Sansal compare les combattants de l’ALN au criminel génocidaire de Nice

Boualem Sansal. D. R.

L’écrivain de fonction au service du sionisme, Boualem Sansal, a dépassé les bornes. Non content que son rapprochement avec les milieux sionistes soit condamné et dénoncé, le voilà qui ose une comparaison tout à fait saugrenue entre le tueur de Nice, un désaxé et un désœuvré, et les vaillants combattants de l’ALN qui ont pris les armes pour libérer l’Algérie du colonialisme. Boualem Sansal s’est fendu d’un article commandé, paru dans le journal Le Monde, une analyse simpliste et sans envergure indigne d’un auteur dont on dit qu’il ferait partie des talents qui brillent au panthéon de la littérature française.

Dans sa chronique, Boualem Sansal avilit la glorieuse Bataille d’Alger, en rappelant que des bombes furent posées dans des lieux publics, tout en occultant le caractère révolutionnaire de ces actes provoqués par la présence coloniale française sur le sol algérien et les crimes de guerre commis par les parachutistes de Bigeard et Massu.

Voilà ce qu’écrit Boualem Sansal : «En Algérie, durant la bataille d’Alger (1957), le FLN après avoir usé de diverses méthodes (attentat au pistolet, égorgement, incendie, le tout improvisé plutôt que réfléchi et planifié…) a trouvé la méthode qui allait être sa signature, qui donnerait l’effet le plus grand (action psychologique sur les populations, nombre de victimes, retentissement médiatique, destruction de lieux qui symboliseraient la vilenie de l’ennemi…), pour le coût le plus bas (la mort éventuelle du terroriste ou du commando). Ce fut l’attentat à la bombe dans des cafés phares de la capitale, très courus par la bourgeoise algéroise (La Cafétéria, Le Milk Bar, L’Otomatic, Le Coq Hardi), commis par de jeunes Algériennes se faisant passer pour des Européennes délurées. En adoptant une seule méthode, facile à mettre en œuvre, le FLN allait cependant donner à l’armée française une base de travail et d’enquête qui allait aboutir au démantèlement du réseau «bombes», créé par Yacef Saâdi, le responsable de l’action armée du FLN à Alger. La bataille d’Alger aura duré neuf mois, au terme desquels le FLN a cessé toute action armée dans la capitale»(*).

Karim B.

(*) Passage de sa chronique intitulée «Gare au terrorisme à bas coût !» dans laquelle il évoque le carnage de Nice et fait un parallèle avec un épisode de la guerre d’indépendance. 

Comment (351)

    Aicha Benguendouze
    20 juillet 2016 - 1 h 04 min

    Boualem Sansal compare les
    Boualem Sansal compare les combattants de l’ALN au criminel génocidaire de Nice…Ce gars la, est tout simplement un anti Algérie, anti algérien dans l âme. Comparer une guerre coloniale en Algérie avec des tueries perpètrees par des criminels de l ISIS, frustres de leurs échecs au niveau personnels dans la vie. Ces tueries de l’ISIS n’ont rien d acte politique ni religieux. Une bande de frustrés qui ont échouée dans leur vie privée et se sentant inférieurs aux autres sociétés développées et devenus complexés en realisant les progrès de la société Judéo chrétienne et Asiatique dans le monde .

    Ces sociétés Judéo chrétienne et Asiatiques qui contrôlent la planète ont réussi grâce a leur système démocratique, leurs libertés individuelles, religieuses, leur tolérance, et surtout aux grands efforts au travail. Elles ont utilisé leurs cervelles pour construire et non détruire. Ces tueurs d’ ISIS oublient que depuis 1492 leurs ancêtres et leurs peuples actuels, n ont fait que s intéresser a construire des mosquées et ont négligé tout développement humain. économique, sociale, culturel technologique, et scientifique.

    Ces sociétés manipulées par le fric et les mosquées gérées par des ignorants ont crée une société musulmane orientée vers le passé ( Vivre comme a l époque du prophète dans la misère ) alors que les peuples de la planète sont orientés vers l avenir….le futur, l espace, la découverte de nouvelles planètes et peut et être de nouvelles sortes de vies… Les combattants Algériens de l ANP ont tué, bombardé, pour se débarrasser de l ignorance dans laquelle le pays se trouvait et développer leur pays. Allah les aidé du début ( bien avant 1954 ) et continue de le faire jusqu a pressent.

    Ces criminels d ISIS comme ce tueur de Nice malheureusement ne réalisent pas qu Allah est contre eux, ne les supporte pas et les conduits a l enfer sur terre et dans l eau de la…c est ça la différence Ya Si Sansal. Allah nous aime, nous honore en nous faisant cadeau d un trésor….une cervelle. Ou est la tienne?

    Aicha Benguendouze
    20 juillet 2016 - 1 h 04 min

    Boualem Sansal compare les
    Boualem Sansal compare les combattants de l’ALN au criminel génocidaire de Nice…Ce gars la, est tout simplement un anti Algérie, anti algérien dans l âme. Comparer une guerre coloniale en Algérie avec des tueries perpètrees par des criminels de l ISIS, frustres de leurs échecs au niveau personnels dans la vie. Ces tueries de l’ISIS n’ont rien d acte politique ni religieux. Une bande de frustrés qui ont échouée dans leur vie privée et se sentant inférieurs aux autres sociétés développées et devenus complexés en realisant les progrès de la société Judéo chrétienne et Asiatique dans le monde .

    Ces sociétés Judéo chrétienne et Asiatiques qui contrôlent la planète ont réussi grâce a leur système démocratique, leurs libertés individuelles, religieuses, leur tolérance, et surtout aux grands efforts au travail. Elles ont utilisé leurs cervelles pour construire et non détruire. Ces tueurs d’ ISIS oublient que depuis 1492 leurs ancêtres et leurs peuples actuels, n ont fait que s intéresser a construire des mosquées et ont négligé tout développement humain. économique, sociale, culturel technologique, et scientifique.

    Ces sociétés manipulées par le fric et les mosquées gérées par des ignorants ont crée une société musulmane orientée vers le passé ( Vivre comme a l époque du prophète dans la misère ) alors que les peuples de la planète sont orientés vers l avenir….le futur, l espace, la découverte de nouvelles planètes et peut et être de nouvelles sortes de vies… Les combattants Algériens de l ANP ont tué, bombardé, pour se débarrasser de l ignorance dans laquelle le pays se trouvait et développer leur pays. Allah les aidé du début ( bien avant 1954 ) et continue de le faire jusqu a pressent.

    Ces criminels d ISIS comme ce tueur de Nice malheureusement ne réalisent pas qu Allah est contre eux, ne les supporte pas et les conduits a l enfer sur terre et dans l eau de la…c est ça la différence Ya Si Sansal. Allah nous aime, nous honore en nous faisant cadeau d un trésor….une cervelle. Ou est la tienne?

    Un algerien libre
    19 juillet 2016 - 23 h 54 min

    Cet écrivain passent a la
    Cet écrivain passent a la phase finale du projet de destruction du peuple algérien et de sa dignité de peuple capable de jouir de sa liberté, un processus engagé depuis des années, on peut dire même depuis 1962, depuis l’arrivé de l’armée factice des frontière a leur tête l’homme le plus faux de tout les temps le défunt Boukharouba. une remise en question de l’existence du peuple algérien en tant peuple, de la qualification des révolutionnaires algériens de terroriste égorgeurs a la confiscation de sa liberté une fois pour toute par les serviteurs d’une oligarchie mondiale adepte de l’esclavage moderne et des peuples sans dignité.

    Un algerien libre
    19 juillet 2016 - 23 h 54 min

    Cet écrivain passent a la
    Cet écrivain passent a la phase finale du projet de destruction du peuple algérien et de sa dignité de peuple capable de jouir de sa liberté, un processus engagé depuis des années, on peut dire même depuis 1962, depuis l’arrivé de l’armée factice des frontière a leur tête l’homme le plus faux de tout les temps le défunt Boukharouba. une remise en question de l’existence du peuple algérien en tant peuple, de la qualification des révolutionnaires algériens de terroriste égorgeurs a la confiscation de sa liberté une fois pour toute par les serviteurs d’une oligarchie mondiale adepte de l’esclavage moderne et des peuples sans dignité.

    Laetizia
    19 juillet 2016 - 23 h 28 min

    il ne faut surtout pas
    il ne faut surtout pas obliger sansal à vivre en Algérie partiellement libérée du colonialisme grâce à saadi et aux poseuses de bombes, le mieux est qu’il aille vivre chez ceux qu’il semble vénérer, ceux là qui disent détenir la morale et n’ont aucun scrupule à envoyer des terroristes par milliers assassiner et pousser à l’exil un peuple souverain, les syriens, longtemps après avoir envahi assassiné dépossédé de sa terre un peuple souverain et millénaire : les algériens les vrais, pas les frelatés.
    inaal bou limayhebnach!

    Laetizia
    19 juillet 2016 - 23 h 28 min

    il ne faut surtout pas
    il ne faut surtout pas obliger sansal à vivre en Algérie partiellement libérée du colonialisme grâce à saadi et aux poseuses de bombes, le mieux est qu’il aille vivre chez ceux qu’il semble vénérer, ceux là qui disent détenir la morale et n’ont aucun scrupule à envoyer des terroristes par milliers assassiner et pousser à l’exil un peuple souverain, les syriens, longtemps après avoir envahi assassiné dépossédé de sa terre un peuple souverain et millénaire : les algériens les vrais, pas les frelatés.
    inaal bou limayhebnach!

    LAMBDA
    19 juillet 2016 - 23 h 14 min

    .Je n’es jamais douté un
    .Je n’es jamais douté un instant que ce transfuge ,renégat tient le même langage que Bernard Kouchner, BHL
    le premier disait que l’Algérie « devrait se débarrasser des anciens combattants » le dernier du dernier maquisard a dépassé les 70 bornes.
    Pourra-t-il traiter les résistants Français contre l’armée Allemande de terroriste ? C’est tout à fait dans l’air du temps, plus on critique son pays plus les prix de complaisance sont décerné à tout va.

    LAMBDA
    19 juillet 2016 - 23 h 14 min

    .Je n’es jamais douté un
    .Je n’es jamais douté un instant que ce transfuge ,renégat tient le même langage que Bernard Kouchner, BHL
    le premier disait que l’Algérie « devrait se débarrasser des anciens combattants » le dernier du dernier maquisard a dépassé les 70 bornes.
    Pourra-t-il traiter les résistants Français contre l’armée Allemande de terroriste ? C’est tout à fait dans l’air du temps, plus on critique son pays plus les prix de complaisance sont décerné à tout va.

    dubitatif
    19 juillet 2016 - 23 h 11 min

    il y a longtemps que ce
    il y a longtemps que ce harkis aurai dû être destitué de la nationalité algérienne et interdit à vie du territoire national

    dubitatif
    19 juillet 2016 - 23 h 11 min

    il y a longtemps que ce
    il y a longtemps que ce harkis aurai dû être destitué de la nationalité algérienne et interdit à vie du territoire national

    M.Larbi
    19 juillet 2016 - 23 h 08 min

    J’ai lu ce papier paru dans
    J’ai lu ce papier paru dans le Monde d’hier. Je vais ignorer cet individu qui aurait porté sur son visage la chkara en 1960. Il ne mérite pas un regard qu’on jette habituellement sur les chiens errants. Pour rappel c’est avec le  »Village de l’Allemand » qu’il a donné tout son talent de taupe et  »d’arabe de service ».
    Actuellement, lui et Daoud jouent à qui sera le plus sous les feux des projecteurs. Dans 15 jours on verra Daoud nous sortir de sa besace un autre papier dégoulinant de haine contre l’Islam, le musulman et l’arabe. C’est à qui mieux mieux!
    J’aimerai cependant entendre tous ceux qui me jetaient la pierre il y a à peine quelques jours quand je dénonçais Daoud, Sansal et leurs acolytes . Qu’ils osent encore défendre l’indéfendable. Ils n’ont eu de cesse de plaider la cause de ces satrapes qui mènent sans relâche une campagne diabolique contre toutes les valeurs autres que celles défendues par la ligue judéo-maçonnique qui leur sert de tremplin pour une carrière qu’ils n’ont pas méritée. À vos plumes, avocats des causes perdues!.

      brobro
      20 juillet 2016 - 9 h 44 min

      fi khatar @ M. Larbi sec:

      fi khatar @ M. Larbi sec:

      L’écrivain algérien, ce mal-aimé !
      Youcef Merahi

      J’ai été intrigué par le titre d’un essai, Kamel Daoud : Cologne contre-enquête, paru aux Editions Frantz Fanon, cette année, dans la collection «Mise au point», sous la signature d’Ahmed Bensaâda, titulaire d’un doctorat en physique de l’Université de Montréal. Sur la couverture, il y est indiqué «essai» ; j’ai mis mes livres du moment de côté et j’ai entamé la lecture de ce qui m’avait semblé, au préalable, être une étude critique du roman de Kamel Daoud. Plus j’avançais dans ma découverte, plus je suffoquais devant la virulence de l’attaque frontale, tranchante, dérangeante, sans circonstance atténuante et sans appel. Ce ne me semble pas être un essai, mais plus un pamphlet contre cet écrivain. Une attaque en règle. Plus je tournais les pages, plus je trouvais que l’écrivain algérien reste l’éternel mal-aimé. Remontons le temps, pour voir !
      En son temps, Mouloud Feraoun a été vilipendé, parce qu’il a osé écrire, et surtout publié, Le fils du pauvre. Il a été tour à tour écrivain régionaliste, écrivaillon, instituteur égaré dans la littérature, écrivain assimilationniste et, le plus grave, écrivain «tiède» face à la Révolution de 1954. Des nationalistes, dont le nationalisme dépasse les cent pour cent, il est inutile de citer des noms, ont ordonné, à cette époque, qu’il fallait écrire des romans où la réalité dépasserait le mythe. Cela n’a pas suffi ! Malgré qu’il ait été assassiné, la veille du cessez-le-feu, par la pire des violences, celle de l’OAS, Mouloud Feraoun n’a pas cessé de déranger des consciences, dont le nationalisme me nargue, me perturbe et m’inquiète, car il s’apparente à un totalitarisme à la soviétique. Puisque jusqu’à aujourd’hui, il se trouve des écrivains qui ne cessent de le martyriser, au-delà de la mort.
      Je ne dirai rien d’Assia Djebar, ni de Taos Marguerite Amrouche. L’une a écrit La soif, en 1958, donc au moment où la guerre battait les blés de l’injustice coloniale ; et la seconde est chrétienne, donc non admise en terre d’Islam. Si Taos est restée proscrite en son pays, ainsi que son frère Jean El Mouhoub, à ce jour aucune décision officielle n’est tombée pour mettre son nom sur le fronton de la maison de la culture de Béjaïa ; Assia Djebar, elle, illustre inconnue en terre algérienne, n’a reçu le bouquet de fleurs que le jour de son enterrement. Comble de l’ironie ! Alors qu’en France, elle a été admise parmi les «Eternels». S’il est vrai que «la lumière ne se fait que sur les tombes», il m’est permis de dire que chez nous, même les tombes sont difficiles à trouver.
      Tahar Djaout a ouvert la liste macabre des intellectuels assassinés dans les années 1990. Journaliste de grand talent, écrivain racé, poète des grands chants, il a dominé – dans une humilité désarmante – la scène intellectuelle de notre pays. Attachant, Djaout a pris le risque de rester, tout comme Feraoun, ici, à côté de sa famille, malgré les menaces de mort écrites. Il en riait, disaient certains de ses proches. Il avait un journal, Ruptures, à faire sortir. Un roman à terminer, Le dernier été de la raison. Il y avait la maman à qui il rendait visite régulièrement en ce village d’Oulkhou. Il n’empêche, il fut assassiné. Parce qu’il était «communiste», déclare un de ses assassins. Laissez-moi rire ! Pire encore : «Il influait négativement sur les musulmans.» Rien que ça ! Le stylo provoque-t-il les mêmes dégâts qu’un pistolet automatique ? Le drame dans tout cela, il s’est trouvé un écrivain qui déclara : «Il est mort pour la France.» ça ne vous rappelle pas l’anathème (l’insulte ?) lancé à l’encontre de Feraoun ?
      Puis, Mouloud Mammeri a commis «la colline du reniement», selon ses juges. Parce qu’il a dit son village. Sa colline. L’oubliée. Parce qu’il a été encensé par des plumes françaises, il devient suspect aux yeux de ses compatriotes qui, eux, ont la nation chevillée au corps. Je suis tenté de rappeler le cri du cœur de Feraoun dans son Journal. Ce n’est ni le lieu ni le moment. Bien que ! Ainsi, Mammeri est bouté hors de sa «société et (de sa) nation». Puis, Kateb Yacine, le bien nommé, le Keblout, est venu déranger l’ordre établi de la pensée géométriquement admise par le pouvoir de l’époque. Il a fallu qu’il écrive et joue sa pièce, Mohamed, prends ta valise, pour que la bigoterie de cette époque le cloue au pilori. J’ai souvenir de Kateb Yacine, encadré par deux policiers, et éjecté de la maison de la culture de Tizi, parce qu’il a pensé tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas. C’est vrai que nous étions en 1980 !
      Ah, cet essai ! Oui, préfacé par Jacques-Marie Bourge qui marque le pas dès les premières lignes, cet essai prend pour cible Kamel Daoud qui a l’outrecuidance d’ausculter sa société, en montrant ses travers, ses grossièretés, ses errements, sa bigoterie de façade, sa misère sexuelle, sa volonté de fuir le pays et profiter d’un ciel plus clément ailleurs, et sa fuite en avant vers un avenir bouché. De ce fait, Kamel Daoud n’est plus ni moins qu’un écrivain néocolonialiste, un islamophobe, un écrivain parvenu, apostat, ami de BHL et autres intellectuels juifs et anti-palestiniens. Ce n’est plus un essai, c’est une fatwa ; c’est vrai, une fatwa commise déjà par le préfacier de l’ouvrage. Pire encore, il n’y a pas que Daoud qui est en cause, il y a Boualem Sansal, Amin Zaoui… Et d’autres affidés ! J’ai peur de ce genre de livre. Qui n’amène que le malheur. J’ai peur de ce livre. Qui n’amène rien à la cause qu’il est censé défendre. Bien au contraire !

        hamouda
        20 juillet 2016 - 12 h 23 min

        le diagnostic que vous faites
        le diagnostic que vous faites sur la culture de l’ignorance aussi bien de la part du pouvoir que des sectes religeuses qui ont inondé la société de la bigoterie et castré la société par la misère sexuelle, qui peut le nier. Les écrivains que vous citez, personnellement je les ai défendus mais chez Sansal, il ne s’agit pas de son statut d »écrivain qui a le droit d’inventer des histoires. Il s’agit de son intrusion dans l’histoire, de sa confusion entre une lutte de libération d’un peuple et des actes de ces sectes qui nous font tant de mal. Sansal comme Daoud ont confondu le temps littéraire et le temps journalistique pas dans n’importe quel journal. Le drame de Sansal c’est qu’il agit sous la hargne qui nous habite tous à cause de ce pouvoir qui a accentué les pesanteurs de notre société déjà livrée à la culture féodalo-tribale. Sansal a commis plus qu’une erreur, une faute le jour où’ après son voyage en Israël, il a légitimé la présence de l’Etat d’israëli par la Bible. Un écrivain au 21e siècle qui ose parler ainsi avoue soit son ignorance de l’histoire de l’humanité soit qu’il a voulu faire le  »malin » pour des considérations que je peux deviner car il n’est pas le premier à taquiner ce jeu.

    M.Larbi
    19 juillet 2016 - 23 h 08 min

    J’ai lu ce papier paru dans
    J’ai lu ce papier paru dans le Monde d’hier. Je vais ignorer cet individu qui aurait porté sur son visage la chkara en 1960. Il ne mérite pas un regard qu’on jette habituellement sur les chiens errants. Pour rappel c’est avec le  »Village de l’Allemand » qu’il a donné tout son talent de taupe et  »d’arabe de service ».
    Actuellement, lui et Daoud jouent à qui sera le plus sous les feux des projecteurs. Dans 15 jours on verra Daoud nous sortir de sa besace un autre papier dégoulinant de haine contre l’Islam, le musulman et l’arabe. C’est à qui mieux mieux!
    J’aimerai cependant entendre tous ceux qui me jetaient la pierre il y a à peine quelques jours quand je dénonçais Daoud, Sansal et leurs acolytes . Qu’ils osent encore défendre l’indéfendable. Ils n’ont eu de cesse de plaider la cause de ces satrapes qui mènent sans relâche une campagne diabolique contre toutes les valeurs autres que celles défendues par la ligue judéo-maçonnique qui leur sert de tremplin pour une carrière qu’ils n’ont pas méritée. À vos plumes, avocats des causes perdues!.

      brobro
      20 juillet 2016 - 9 h 44 min

      fi khatar @ M. Larbi sec:

      fi khatar @ M. Larbi sec:

      L’écrivain algérien, ce mal-aimé !
      Youcef Merahi

      J’ai été intrigué par le titre d’un essai, Kamel Daoud : Cologne contre-enquête, paru aux Editions Frantz Fanon, cette année, dans la collection «Mise au point», sous la signature d’Ahmed Bensaâda, titulaire d’un doctorat en physique de l’Université de Montréal. Sur la couverture, il y est indiqué «essai» ; j’ai mis mes livres du moment de côté et j’ai entamé la lecture de ce qui m’avait semblé, au préalable, être une étude critique du roman de Kamel Daoud. Plus j’avançais dans ma découverte, plus je suffoquais devant la virulence de l’attaque frontale, tranchante, dérangeante, sans circonstance atténuante et sans appel. Ce ne me semble pas être un essai, mais plus un pamphlet contre cet écrivain. Une attaque en règle. Plus je tournais les pages, plus je trouvais que l’écrivain algérien reste l’éternel mal-aimé. Remontons le temps, pour voir !
      En son temps, Mouloud Feraoun a été vilipendé, parce qu’il a osé écrire, et surtout publié, Le fils du pauvre. Il a été tour à tour écrivain régionaliste, écrivaillon, instituteur égaré dans la littérature, écrivain assimilationniste et, le plus grave, écrivain «tiède» face à la Révolution de 1954. Des nationalistes, dont le nationalisme dépasse les cent pour cent, il est inutile de citer des noms, ont ordonné, à cette époque, qu’il fallait écrire des romans où la réalité dépasserait le mythe. Cela n’a pas suffi ! Malgré qu’il ait été assassiné, la veille du cessez-le-feu, par la pire des violences, celle de l’OAS, Mouloud Feraoun n’a pas cessé de déranger des consciences, dont le nationalisme me nargue, me perturbe et m’inquiète, car il s’apparente à un totalitarisme à la soviétique. Puisque jusqu’à aujourd’hui, il se trouve des écrivains qui ne cessent de le martyriser, au-delà de la mort.
      Je ne dirai rien d’Assia Djebar, ni de Taos Marguerite Amrouche. L’une a écrit La soif, en 1958, donc au moment où la guerre battait les blés de l’injustice coloniale ; et la seconde est chrétienne, donc non admise en terre d’Islam. Si Taos est restée proscrite en son pays, ainsi que son frère Jean El Mouhoub, à ce jour aucune décision officielle n’est tombée pour mettre son nom sur le fronton de la maison de la culture de Béjaïa ; Assia Djebar, elle, illustre inconnue en terre algérienne, n’a reçu le bouquet de fleurs que le jour de son enterrement. Comble de l’ironie ! Alors qu’en France, elle a été admise parmi les «Eternels». S’il est vrai que «la lumière ne se fait que sur les tombes», il m’est permis de dire que chez nous, même les tombes sont difficiles à trouver.
      Tahar Djaout a ouvert la liste macabre des intellectuels assassinés dans les années 1990. Journaliste de grand talent, écrivain racé, poète des grands chants, il a dominé – dans une humilité désarmante – la scène intellectuelle de notre pays. Attachant, Djaout a pris le risque de rester, tout comme Feraoun, ici, à côté de sa famille, malgré les menaces de mort écrites. Il en riait, disaient certains de ses proches. Il avait un journal, Ruptures, à faire sortir. Un roman à terminer, Le dernier été de la raison. Il y avait la maman à qui il rendait visite régulièrement en ce village d’Oulkhou. Il n’empêche, il fut assassiné. Parce qu’il était «communiste», déclare un de ses assassins. Laissez-moi rire ! Pire encore : «Il influait négativement sur les musulmans.» Rien que ça ! Le stylo provoque-t-il les mêmes dégâts qu’un pistolet automatique ? Le drame dans tout cela, il s’est trouvé un écrivain qui déclara : «Il est mort pour la France.» ça ne vous rappelle pas l’anathème (l’insulte ?) lancé à l’encontre de Feraoun ?
      Puis, Mouloud Mammeri a commis «la colline du reniement», selon ses juges. Parce qu’il a dit son village. Sa colline. L’oubliée. Parce qu’il a été encensé par des plumes françaises, il devient suspect aux yeux de ses compatriotes qui, eux, ont la nation chevillée au corps. Je suis tenté de rappeler le cri du cœur de Feraoun dans son Journal. Ce n’est ni le lieu ni le moment. Bien que ! Ainsi, Mammeri est bouté hors de sa «société et (de sa) nation». Puis, Kateb Yacine, le bien nommé, le Keblout, est venu déranger l’ordre établi de la pensée géométriquement admise par le pouvoir de l’époque. Il a fallu qu’il écrive et joue sa pièce, Mohamed, prends ta valise, pour que la bigoterie de cette époque le cloue au pilori. J’ai souvenir de Kateb Yacine, encadré par deux policiers, et éjecté de la maison de la culture de Tizi, parce qu’il a pensé tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas. C’est vrai que nous étions en 1980 !
      Ah, cet essai ! Oui, préfacé par Jacques-Marie Bourge qui marque le pas dès les premières lignes, cet essai prend pour cible Kamel Daoud qui a l’outrecuidance d’ausculter sa société, en montrant ses travers, ses grossièretés, ses errements, sa bigoterie de façade, sa misère sexuelle, sa volonté de fuir le pays et profiter d’un ciel plus clément ailleurs, et sa fuite en avant vers un avenir bouché. De ce fait, Kamel Daoud n’est plus ni moins qu’un écrivain néocolonialiste, un islamophobe, un écrivain parvenu, apostat, ami de BHL et autres intellectuels juifs et anti-palestiniens. Ce n’est plus un essai, c’est une fatwa ; c’est vrai, une fatwa commise déjà par le préfacier de l’ouvrage. Pire encore, il n’y a pas que Daoud qui est en cause, il y a Boualem Sansal, Amin Zaoui… Et d’autres affidés ! J’ai peur de ce genre de livre. Qui n’amène que le malheur. J’ai peur de ce livre. Qui n’amène rien à la cause qu’il est censé défendre. Bien au contraire !

        hamouda
        20 juillet 2016 - 12 h 23 min

        le diagnostic que vous faites
        le diagnostic que vous faites sur la culture de l’ignorance aussi bien de la part du pouvoir que des sectes religeuses qui ont inondé la société de la bigoterie et castré la société par la misère sexuelle, qui peut le nier. Les écrivains que vous citez, personnellement je les ai défendus mais chez Sansal, il ne s’agit pas de son statut d »écrivain qui a le droit d’inventer des histoires. Il s’agit de son intrusion dans l’histoire, de sa confusion entre une lutte de libération d’un peuple et des actes de ces sectes qui nous font tant de mal. Sansal comme Daoud ont confondu le temps littéraire et le temps journalistique pas dans n’importe quel journal. Le drame de Sansal c’est qu’il agit sous la hargne qui nous habite tous à cause de ce pouvoir qui a accentué les pesanteurs de notre société déjà livrée à la culture féodalo-tribale. Sansal a commis plus qu’une erreur, une faute le jour où’ après son voyage en Israël, il a légitimé la présence de l’Etat d’israëli par la Bible. Un écrivain au 21e siècle qui ose parler ainsi avoue soit son ignorance de l’histoire de l’humanité soit qu’il a voulu faire le  »malin » pour des considérations que je peux deviner car il n’est pas le premier à taquiner ce jeu.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 48 min

    A la recherche de la gloire,
    A la recherche de la gloire, et du succès, au détriment du plus petit dénominateur commun
    Où du minimum de consensus, où de symbole/valeur historique dans son propre pays

    Notre Boualem Sansal
    Nous rappelle un peu l’itinéraire de l’écrivain, essayiste, romancier, turque Ferit (Farid) Orhan Pamuk (Istanbul 1952 – )
    Prix Nobel de littérature 2006,…….. après avoir été désavouer par une frange large de la société turque

    L’auteur est considéré comme contestataire dans son pays, notamment depuis son refus d’accepter le titre d’« artiste d’État » en 1998. Il a souvent dénoncé, dans ses ouvrages et ses articles, ce qu’il juge être les dérives actuelles de son pays (montée de l’islamisme, injustices sociales, manque de liberté d’expression) ce qui en fait l’ennemi du pouvoir politique, des conservateurs et des nationalistes3. Il est le premier écrivain du monde musulman à condamner publiquement la fatwa islamique lancée contre Salman Rushdie en 1989. Il reconnaît également dans la presse en 2005 la culpabilité de la Turquie dans les massacres kurdes et le génocide arménien ce qui lui vaut des menaces de mort et une assignation à comparaître devant les tribunaux.
    Sous la pression internationale, les poursuites sont finalement abandonnées en 2006,
    Année où il se voit décerner le prix Nobel de littérature.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 48 min

    A la recherche de la gloire,
    A la recherche de la gloire, et du succès, au détriment du plus petit dénominateur commun
    Où du minimum de consensus, où de symbole/valeur historique dans son propre pays

    Notre Boualem Sansal
    Nous rappelle un peu l’itinéraire de l’écrivain, essayiste, romancier, turque Ferit (Farid) Orhan Pamuk (Istanbul 1952 – )
    Prix Nobel de littérature 2006,…….. après avoir été désavouer par une frange large de la société turque

    L’auteur est considéré comme contestataire dans son pays, notamment depuis son refus d’accepter le titre d’« artiste d’État » en 1998. Il a souvent dénoncé, dans ses ouvrages et ses articles, ce qu’il juge être les dérives actuelles de son pays (montée de l’islamisme, injustices sociales, manque de liberté d’expression) ce qui en fait l’ennemi du pouvoir politique, des conservateurs et des nationalistes3. Il est le premier écrivain du monde musulman à condamner publiquement la fatwa islamique lancée contre Salman Rushdie en 1989. Il reconnaît également dans la presse en 2005 la culpabilité de la Turquie dans les massacres kurdes et le génocide arménien ce qui lui vaut des menaces de mort et une assignation à comparaître devant les tribunaux.
    Sous la pression internationale, les poursuites sont finalement abandonnées en 2006,
    Année où il se voit décerner le prix Nobel de littérature.

    UN ALGERIEN FIER DE L'ETRE
    19 juillet 2016 - 22 h 37 min

    AH; on n’a pas encore trouvé
    AH; on n’a pas encore trouvé de vaccin contre la maladie d’ALZHEIMEIR :. Pauvre SANSAL que je plains car il finira par faire le pitre devant les plateaux de TV de ses maitres.! Cela ne saura tarder , c »est le 2eme stade de cette terrible maladie.

    UN ALGERIEN FIER DE L'ETRE
    19 juillet 2016 - 22 h 37 min

    AH; on n’a pas encore trouvé
    AH; on n’a pas encore trouvé de vaccin contre la maladie d’ALZHEIMEIR :. Pauvre SANSAL que je plains car il finira par faire le pitre devant les plateaux de TV de ses maitres.! Cela ne saura tarder , c »est le 2eme stade de cette terrible maladie.

    Tidets
    19 juillet 2016 - 22 h 29 min

    Mistet B.ean

    Mistet B.ean
    Il n’a rien dit de special. Pas de quoi faire un article. Prenez des vacances. Ça vous changera les idées.
    Bonnes vacances quand même

    Tidets
    19 juillet 2016 - 22 h 29 min

    Mistet B.ean

    Mistet B.ean
    Il n’a rien dit de special. Pas de quoi faire un article. Prenez des vacances. Ça vous changera les idées.
    Bonnes vacances quand même

    djafar
    19 juillet 2016 - 22 h 28 min

    la première bombe a été
    la première bombe a été déposée par le commissaire achiari à la Casbah d’Alger et elle avait fait plus de 50 morts. c’est suite à cet acte criminel que le FLN a répondu en déposant des bombes dans des lieux fréquentés par les pieds-noirs et les traitres. il faut connaitre son histoire

    djafar
    19 juillet 2016 - 22 h 28 min

    la première bombe a été
    la première bombe a été déposée par le commissaire achiari à la Casbah d’Alger et elle avait fait plus de 50 morts. c’est suite à cet acte criminel que le FLN a répondu en déposant des bombes dans des lieux fréquentés par les pieds-noirs et les traitres. il faut connaitre son histoire

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 26 min

    Dans ce journal sioniste, il
    Dans ce journal sioniste, il appelle les français a sortir les armes !
    Contre qui ?
    Contre des Algériens et les franco algériens aussi.
    La justice algérienne doit le chopper. Il dépasse les limites.
    http://www.desinfos.com/spip.php?article53996

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 26 min

    Dans ce journal sioniste, il
    Dans ce journal sioniste, il appelle les français a sortir les armes !
    Contre qui ?
    Contre des Algériens et les franco algériens aussi.
    La justice algérienne doit le chopper. Il dépasse les limites.
    http://www.desinfos.com/spip.php?article53996

    anonyme
    19 juillet 2016 - 22 h 23 min

    la patriotisme a été exploité
    la patriotisme a été exploité à fond pour permettre à une nomenklatura de s’accaparer le pouvoir depuis62 ;
    rien n’arrêtera plus les algériens de penser ainsi en oubliant la guerre d’Algérie le temps que l’Histoire commence à être écrite par les historiens objectifs et non les  » experts en mission  » ;
    c’est terminé ,l’Algérie du 21 ème siècle dirigé virtuellement a tout donné ; il lui reste à PRENDRE ;
    celui qui a mangé une olive devra lui donner un litre d’huile

    anonyme
    19 juillet 2016 - 22 h 23 min

    la patriotisme a été exploité
    la patriotisme a été exploité à fond pour permettre à une nomenklatura de s’accaparer le pouvoir depuis62 ;
    rien n’arrêtera plus les algériens de penser ainsi en oubliant la guerre d’Algérie le temps que l’Histoire commence à être écrite par les historiens objectifs et non les  » experts en mission  » ;
    c’est terminé ,l’Algérie du 21 ème siècle dirigé virtuellement a tout donné ; il lui reste à PRENDRE ;
    celui qui a mangé une olive devra lui donner un litre d’huile

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 22 min

    Boualem Sansal souviens-toi :
    Boualem Sansal souviens-toi : tu es une ordure.
    Il est temps de connaître d’où vient cet homme.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 22 min

    Boualem Sansal souviens-toi :
    Boualem Sansal souviens-toi : tu es une ordure.
    Il est temps de connaître d’où vient cet homme.

    hamouda
    19 juillet 2016 - 22 h 21 min

    écrivain peut-être mais
    écrivain peut-être mais piètre historien surement. comment oser comparer une lutte d’un peuple luttant sur son propre sol à une secte fasciste qui massacre son propre peuple au nom d’une religion qu’il manipule avec leurs cerveaux de malade. Sansal partage avec eux la vérité en religion puisque devant le mur des lamentations à Jérusalem il a osé justifier la présence des sionistes au nom de la bible. Un brillant écrivain qui croit aux sornettes bibliques va vite être dévalué sur le marche une fois que la mode… va se démoder. Il ne lui restera que ses souvenirs qui lui feront croire qu’il fut un grand écrivain.

    hamouda
    19 juillet 2016 - 22 h 21 min

    écrivain peut-être mais
    écrivain peut-être mais piètre historien surement. comment oser comparer une lutte d’un peuple luttant sur son propre sol à une secte fasciste qui massacre son propre peuple au nom d’une religion qu’il manipule avec leurs cerveaux de malade. Sansal partage avec eux la vérité en religion puisque devant le mur des lamentations à Jérusalem il a osé justifier la présence des sionistes au nom de la bible. Un brillant écrivain qui croit aux sornettes bibliques va vite être dévalué sur le marche une fois que la mode… va se démoder. Il ne lui restera que ses souvenirs qui lui feront croire qu’il fut un grand écrivain.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 20 min

    La justice algerienne doit se
    La justice algerienne doit se saisir de son cas : il a porte atteinte a la memoire d’hommes et de femmes qui se battaient pour l’independance de leur pays ! Ce discours est le meme que celui de l’OAS et des nostalgiques de l’Algerie francaise. Il ne doit plus mettre les pieds en Algerie, FINI.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 20 min

    La justice algerienne doit se
    La justice algerienne doit se saisir de son cas : il a porte atteinte a la memoire d’hommes et de femmes qui se battaient pour l’independance de leur pays ! Ce discours est le meme que celui de l’OAS et des nostalgiques de l’Algerie francaise. Il ne doit plus mettre les pieds en Algerie, FINI.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 10 min

    En montrant son « …..talent
    En montrant son « …..talent littéraire?! », contre …..ses propres compatriotes
    Il cherche « ….. la gloire?! »,en Europe, étape essentielle, et dernier virage pour l’obtention du prix Nobel de littérature

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 10 min

    En montrant son « …..talent
    En montrant son « …..talent littéraire?! », contre …..ses propres compatriotes
    Il cherche « ….. la gloire?! »,en Europe, étape essentielle, et dernier virage pour l’obtention du prix Nobel de littérature

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 09 min

    Il ecrit ce qu’il veut puisqu
    Il ecrit ce qu’il veut puisqu’on sait qu’il est une prostituee au service du sionisme.
    Apres l’absence de visa pour Mehenni, celui-la finira comme une maquerelle a brailler pour qu’on lui jette un sou.
    Qu’il puisse etre sioniste si son intelligence le reclame, c’est une chose.
    Mais qu’il ose mettre le combat pour l’independance de tout un peuple et de ses combattants au rang de terrorisme alors que c’etait la colonisation qui etait un projet politique de terreur (vols de terres et meurtres d’homme, sans compter l’analphabetisation voulue), la c’est trop.
    Desormais, nos intellectuels doivent se charger de lui sur le plan intellectuel, historique et litteraire.
    Il faut montrer ici, dans notre diaspora et dans la presse europeenne, ce qu’est ce monsieur : une ame qui se vend a defaut de se satisfaire de la dignite.
    Quel Sot ! Il vient d’avoir notre mepris pour l’eternite. Et c’est connu que les Algeriens n’oublient jamais.
    Il a du passer par une loge maconnique celui-la, on lui a retourne le cerveau ca se voit.
    Quelle difference entre lui et un islamiste facon GIA ? Tous les deux, deux pauvres heres manipules, incapables de clairvoyance, de lucidite et de fidelite a l’histoire tragique de leurs ancetres.
    D’un cote la colonisabilite a la guewriya et de l’autre la colonisibilite a la wahabiya.
    TOZ !
    (C’est signe une femme qui lui repondra un jour et ce, litterairement)

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 22 h 09 min

    Il ecrit ce qu’il veut puisqu
    Il ecrit ce qu’il veut puisqu’on sait qu’il est une prostituee au service du sionisme.
    Apres l’absence de visa pour Mehenni, celui-la finira comme une maquerelle a brailler pour qu’on lui jette un sou.
    Qu’il puisse etre sioniste si son intelligence le reclame, c’est une chose.
    Mais qu’il ose mettre le combat pour l’independance de tout un peuple et de ses combattants au rang de terrorisme alors que c’etait la colonisation qui etait un projet politique de terreur (vols de terres et meurtres d’homme, sans compter l’analphabetisation voulue), la c’est trop.
    Desormais, nos intellectuels doivent se charger de lui sur le plan intellectuel, historique et litteraire.
    Il faut montrer ici, dans notre diaspora et dans la presse europeenne, ce qu’est ce monsieur : une ame qui se vend a defaut de se satisfaire de la dignite.
    Quel Sot ! Il vient d’avoir notre mepris pour l’eternite. Et c’est connu que les Algeriens n’oublient jamais.
    Il a du passer par une loge maconnique celui-la, on lui a retourne le cerveau ca se voit.
    Quelle difference entre lui et un islamiste facon GIA ? Tous les deux, deux pauvres heres manipules, incapables de clairvoyance, de lucidite et de fidelite a l’histoire tragique de leurs ancetres.
    D’un cote la colonisabilite a la guewriya et de l’autre la colonisibilite a la wahabiya.
    TOZ !
    (C’est signe une femme qui lui repondra un jour et ce, litterairement)

    ben dali
    19 juillet 2016 - 22 h 05 min

    hante a vous monsieur karim b
    hante a vous monsieur karim b , vous avez pas trouvé quoi a écrire que de saler a un écrivain digne et reconnu comme t’elle , d’ailleurs a chaque fois un algerien sort du lots en voie les critique de par tous avant sensal sa été kamel daoud , a qui le tour ?

      anti-collabos
      20 juillet 2016 - 7 h 16 min

      la dignité n’est pas
      la dignité n’est pas proportionnelle au nombre de livre qu’on écrit, ni au talent, mais du respect que l’on a de soi-même et de ses origines et de son milieu. Ton sansall n’est qu’un porte plume comme le furent d’autre harkis porte-flinges au service des ennemis du genre humain. Sensal, daoud, benhabib, sifaoui, tous des vendus et des moins que rien, aux yeux des algériens qui restent dans le lot des incorruptibles.

    ben dali
    19 juillet 2016 - 22 h 05 min

    hante a vous monsieur karim b
    hante a vous monsieur karim b , vous avez pas trouvé quoi a écrire que de saler a un écrivain digne et reconnu comme t’elle , d’ailleurs a chaque fois un algerien sort du lots en voie les critique de par tous avant sensal sa été kamel daoud , a qui le tour ?

      anti-collabos
      20 juillet 2016 - 7 h 16 min

      la dignité n’est pas
      la dignité n’est pas proportionnelle au nombre de livre qu’on écrit, ni au talent, mais du respect que l’on a de soi-même et de ses origines et de son milieu. Ton sansall n’est qu’un porte plume comme le furent d’autre harkis porte-flinges au service des ennemis du genre humain. Sensal, daoud, benhabib, sifaoui, tous des vendus et des moins que rien, aux yeux des algériens qui restent dans le lot des incorruptibles.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 21 h 53 min

    c’ets faux !!!!!!!!!!!
    c’ets faux !!!!!!!!!!! Sansal ici apporte un éclairage technique militaire de la guérilla … il na pas apporté un jugement de valeur éthique sur les mobiles du FLN en les assimilant à ceux du Cannibale islamiste Daeshien de Nice .. on doit arrêter de tordre les textes .. ce n’ets ps la faute à Boualem Sansal si les algériens ont perdu la faculté de Lire et de Comprendre

      anti-collabos
      20 juillet 2016 - 7 h 28 min

      Et pourquoi il fait pas
      Et pourquoi il fait pas preuve d’autant de zèle pour apporter « son éclairage technique militaire » sur l’armée française et ses méthodes nazies pour mater la « guérilla » en massacrant par centaines de milliers des civils algériens. Ah c’est vrai, s’agissant de l’armée française, ses buts justifiaient ses moyens. Ils fallait tuer des centaines de milliers de civils pour les empêcher d’héberger et de ravitailler les méchants fellagas.

      Ce n’est pas la faute aux algériens, s’il existe parmi eux des harkis de la plume et des harkis du commentaire.

      Alilapointe59
      20 juillet 2016 - 10 h 12 min

      On a compris votre manège,
      On a compris votre manège, ben Dali,anonyme. Vous êtes ici pour rajoutez une couche, au fond de vous ça pas on ne vous répond pas avec des insultes… Le peuples algériens est un peuples instruit intelligent. Le sang des moujahades et des intellectuel algérien coule en nous. Nous savons comment ce défendre face à des agressions de sous hommes et sioniste.

    Anonymous
    19 juillet 2016 - 21 h 53 min

    c’ets faux !!!!!!!!!!!
    c’ets faux !!!!!!!!!!! Sansal ici apporte un éclairage technique militaire de la guérilla … il na pas apporté un jugement de valeur éthique sur les mobiles du FLN en les assimilant à ceux du Cannibale islamiste Daeshien de Nice .. on doit arrêter de tordre les textes .. ce n’ets ps la faute à Boualem Sansal si les algériens ont perdu la faculté de Lire et de Comprendre

      anti-collabos
      20 juillet 2016 - 7 h 28 min

      Et pourquoi il fait pas
      Et pourquoi il fait pas preuve d’autant de zèle pour apporter « son éclairage technique militaire » sur l’armée française et ses méthodes nazies pour mater la « guérilla » en massacrant par centaines de milliers des civils algériens. Ah c’est vrai, s’agissant de l’armée française, ses buts justifiaient ses moyens. Ils fallait tuer des centaines de milliers de civils pour les empêcher d’héberger et de ravitailler les méchants fellagas.

      Ce n’est pas la faute aux algériens, s’il existe parmi eux des harkis de la plume et des harkis du commentaire.

      Alilapointe59
      20 juillet 2016 - 10 h 12 min

      On a compris votre manège,
      On a compris votre manège, ben Dali,anonyme. Vous êtes ici pour rajoutez une couche, au fond de vous ça pas on ne vous répond pas avec des insultes… Le peuples algériens est un peuples instruit intelligent. Le sang des moujahades et des intellectuel algérien coule en nous. Nous savons comment ce défendre face à des agressions de sous hommes et sioniste.

    RasElHanout
    19 juillet 2016 - 21 h 52 min

    Pourquoi AP se sent oblige de
    Pourquoi AP se sent oblige de nous parler de ce Harki qui a vendu son ame pour plaire aux ennemis de l’Algerie (Monarchie du Golfe- Israel-Maroc-France).

    RasElHanout
    19 juillet 2016 - 21 h 52 min

    Pourquoi AP se sent oblige de
    Pourquoi AP se sent oblige de nous parler de ce Harki qui a vendu son ame pour plaire aux ennemis de l’Algerie (Monarchie du Golfe- Israel-Maroc-France).

    selecto
    19 juillet 2016 - 21 h 48 min

    La Révolution algérienne
    La Révolution algérienne restera une honte permanente et éternelle pour le Révolution française et les traitres comme Sansal et Cie.

    Glorie à la victorieuse ALN !

    selecto
    19 juillet 2016 - 21 h 48 min

    La Révolution algérienne
    La Révolution algérienne restera une honte permanente et éternelle pour le Révolution française et les traitres comme Sansal et Cie.

    Glorie à la victorieuse ALN !

    Elyas55
    19 juillet 2016 - 21 h 44 min

    Puisqu’il est en France;
    Puisqu’il est en France; osera-t-il traiter le Resistant Jean Moulin a un terroriste ?

    Elyas55
    19 juillet 2016 - 21 h 44 min

    Puisqu’il est en France;
    Puisqu’il est en France; osera-t-il traiter le Resistant Jean Moulin a un terroriste ?

    FELLAG
    19 juillet 2016 - 21 h 36 min

    décidément notre pays est
    décidément notre pays est inondé de traitres et de vendus;après les déclaration de monsieur brebki alias le pompiste amar saidani;avoir déclarer que notre indépendance si du un cadeau du général de gaule;il a oublie ou minimisé la mort d’un million et demi d’hommes et de femmes;pour avoir notre liberté;et aussi donné la parole et les critiques a certains laches et peureux;ou ils étaient pendant que nos héros lutaient pour notre liberté;certainement très loin cachaient dans des lieux très protégé;quand a monsieur boualem sensal il n’a jamais caché sont intérét pour le sionisme et le colonialisme on connait sa position ça ne date pas d’hier;dehors les traitres;hors notre belle nation

    FELLAG
    19 juillet 2016 - 21 h 36 min

    décidément notre pays est
    décidément notre pays est inondé de traitres et de vendus;après les déclaration de monsieur brebki alias le pompiste amar saidani;avoir déclarer que notre indépendance si du un cadeau du général de gaule;il a oublie ou minimisé la mort d’un million et demi d’hommes et de femmes;pour avoir notre liberté;et aussi donné la parole et les critiques a certains laches et peureux;ou ils étaient pendant que nos héros lutaient pour notre liberté;certainement très loin cachaient dans des lieux très protégé;quand a monsieur boualem sensal il n’a jamais caché sont intérét pour le sionisme et le colonialisme on connait sa position ça ne date pas d’hier;dehors les traitres;hors notre belle nation

    Le dernier des mohicans
    19 juillet 2016 - 21 h 34 min

    Si ces valeureux et courageux
    Si ces valeureux et courageux algériens n’avait pas combattu le colonisateur par tous les moyens, ce Néo Harki de Boualem Sebsal serait aujourd’hui en train de cirer les chaussures des pieds noirs à Bab El Oued

    Qu’on lui retire la nationalité algérienne sur le champs !!!!!!!

    Le dernier des mohicans
    19 juillet 2016 - 21 h 34 min

    Si ces valeureux et courageux
    Si ces valeureux et courageux algériens n’avait pas combattu le colonisateur par tous les moyens, ce Néo Harki de Boualem Sebsal serait aujourd’hui en train de cirer les chaussures des pieds noirs à Bab El Oued

    Qu’on lui retire la nationalité algérienne sur le champs !!!!!!!

    Quenelle
    19 juillet 2016 - 21 h 24 min

    Il est si brillant que je lui
    Il est si brillant que je lui pardonne ses errements sporadiques !
    En tout cas, je ne participerai pas à son lynchage !

      Hurrr
      19 juillet 2016 - 21 h 47 min

      Il ressemble à lucifer
      Il ressemble à lucifer .surtout depuis qu’il a des nattes ça rapporte quand on s attaque à sa tribu, pauvre type .

      BabElOuedAchouhadas
      19 juillet 2016 - 22 h 06 min

      Je comprend maintenant
      Je comprend maintenant pourquoi on parle de 500,000 Harkis restes en Algerie en 1962 et qui maintenant ont. par metabolisation, reproduit des metaboliques plus nocifs que leurs parents et dont tu dois tres cetainement faire parti,

      double-quenelle
      19 juillet 2016 - 22 h 07 min

      aussi brillant qu’un vers
      aussi brillant qu’un vers luisant.

      quant aux bombes de l’ALN, larbi ben M’hidi a deja repondu à la question qui lui fut posée. La question était  » pensez-vous qu’il est humain de tuer des innoncer avec vos couffins piégés?
      Reponse  » et pensez vous qu’il est humain de lacher vos bombes au napalm sur nos villages, tuant femmes, enfants? Donnez-vous vos avions, nous vous donnerons nos couffins ».

      A L N
      19 juillet 2016 - 22 h 56 min

      Il es brillants comme toi et
      Il es brillants comme toi et comme tout les harki comme lui gloire à nos martyre ou yahia djzair

      ISSIS
      20 juillet 2016 - 10 h 57 min

      dis-moi ceux qui tu fréquente
      dis-moi ceux qui tu fréquente je te dirais que tu es;c’est ton avis rassure toi, tu n’es pas seul, on a d’autres personnes comme toi au plus haut de l’état;dans chaque civilisation existe des traitres

    Quenelle
    19 juillet 2016 - 21 h 24 min

    Il est si brillant que je lui
    Il est si brillant que je lui pardonne ses errements sporadiques !
    En tout cas, je ne participerai pas à son lynchage !

      Hurrr
      19 juillet 2016 - 21 h 47 min

      Il ressemble à lucifer
      Il ressemble à lucifer .surtout depuis qu’il a des nattes ça rapporte quand on s attaque à sa tribu, pauvre type .

      BabElOuedAchouhadas
      19 juillet 2016 - 22 h 06 min

      Je comprend maintenant
      Je comprend maintenant pourquoi on parle de 500,000 Harkis restes en Algerie en 1962 et qui maintenant ont. par metabolisation, reproduit des metaboliques plus nocifs que leurs parents et dont tu dois tres cetainement faire parti,

      double-quenelle
      19 juillet 2016 - 22 h 07 min

      aussi brillant qu’un vers
      aussi brillant qu’un vers luisant.

      quant aux bombes de l’ALN, larbi ben M’hidi a deja repondu à la question qui lui fut posée. La question était  » pensez-vous qu’il est humain de tuer des innoncer avec vos couffins piégés?
      Reponse  » et pensez vous qu’il est humain de lacher vos bombes au napalm sur nos villages, tuant femmes, enfants? Donnez-vous vos avions, nous vous donnerons nos couffins ».

      A L N
      19 juillet 2016 - 22 h 56 min

      Il es brillants comme toi et
      Il es brillants comme toi et comme tout les harki comme lui gloire à nos martyre ou yahia djzair

      ISSIS
      20 juillet 2016 - 10 h 57 min

      dis-moi ceux qui tu fréquente
      dis-moi ceux qui tu fréquente je te dirais que tu es;c’est ton avis rassure toi, tu n’es pas seul, on a d’autres personnes comme toi au plus haut de l’état;dans chaque civilisation existe des traitres

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