«L’homme malade» du Maghreb

Par Rabah Toubal – A cause de sa gouvernance catastrophique par des dirigeants prédateurs, cupides et obstinés, autoproclamés par la force et la fraude massive, l’Algérie se trouve aujourd’hui, malgré les ressources humaines, naturelles et financières considérables, dont elle dispose théoriquement, dans un état de vulnérabilité extrême.

En effet, elle collectionne les mauvais classements dans de nombreux domaines. Non seulement le pouvoir algérien s’accommode dangereusement de ces classements, mais il essaie de les justifier ou de les nier en avançant des statistiques fantaisistes qui sont contestées aussi bien par les experts algériens que leurs homologues étrangers. Ainsi, la fuite en avant suicidaire d’un pouvoir aux abois fourvoie notre pays dans une impasse dangereuse grosse de tous les risques pour sa cohésion, sa stabilité, sa sécurité, et son unité, aujourd’hui plus que jamais sérieusement menacées.

Nos divers partenaires étrangers et notamment les puissances occidentales profitent considérablement de cette situation pour obtenir des concessions et avantages dans de nombreux domaines, en exerçant de multiples pressions sur ce pouvoir illégitime, directement ou par le biais de leurs médias et ONG, qui profitent du bâillonnement de leurs homologues algériens par un pouvoir dont la dérive totalitaire inquiète de plus en plus les opinions publiques nationale et internationale.

Les forces saines et vives, qui existent encore en Algérie, sauront-elles lui épargner la fin tragique à laquelle la dirigent inexorablement les aventuriers du pouvoir ?

R. T.

Comment (54)

    Anonymous
    29 août 2016 - 23 h 31 min

    Il reste l’unité et la
    Il reste l’unité et la solidarité du peuple algérien avec ses authentiques élites nationalistes, compétentes, modérées, sages, non démagogiques, non opportunistes, ni trop ambitieuses, et ni affairistes
    Les aventuriers affairistes-mafieux « algériens » avec la complicité du pouvoir opportuniste, policier,
    Et tout sécuritaire français n’ont pas un avenir en Algérie

    Mediane
    20 août 2016 - 10 h 48 min

    Je partage complétement les
    Je partage complétement les avis de ceux qui trouvent que l’Algérie va bien
    et ne va pas bien que dans la tête de certains.
    Toute proportion gardée du reste.
    En effet, pour pouvoir comparer l’Algérie, il faut le faire avec les pays de la même catégorie.
    On ne peux comparer l’Algérie à la France, aux USA pour ensuite critiquer nos dirigeants.
    N’ importe quelle autre dirigeant ne pourra pas hisser le pays au même niveau.
    Une des solutions est le temps, l’Amour et la patiente.
    Tout un programme…

      Amitou
      21 août 2016 - 8 h 28 min

      et le respect de la
      et le respect de la constitution.Le gouvernement gouverne et le President preside dans le respect des termes de notre constitution.Nous avons un parlement qui peut reagir en cas d abus de pouvoir ou d empechement,
      Pour les mecontents et les impatients,il faut etre democrate et attendre les prochaines elections pour choisir
      les futurs hommes et femmes qui prendront la releve.Il faut multiplier les efforts pour un travail bien fait,car c est notre meilleur contribution a ce merveilleux pays qu est notre Algerie.Nous avons tous les outils de reussite en mains,ne gachons pas cet elan positif et optimiste que notre pays vit actuellement.

    Anonymous
    19 août 2016 - 21 h 12 min

    Maghrébin nom trés utilisé
    Maghrébin nom trés utilisé par les médias Français pour semé la confusion dans l’esprit des Français, à chaque fois que des ressortissants Marocains créer des problèmes ce qui leur permet de mettre les Algériens aussi bien que les tunisiens dans le même panier.

    Anonymous
    19 août 2016 - 9 h 06 min

    IL FAUT LE DIRE QUE LE
    IL FAUT LE DIRE QUE LE MAGHREB ET L ALGERIE SONT MALADES A L IMAGE DE FAKHAMATOUHOU ….BOUHEF …LE RESTE C EST DU BLA BLA ……..

    Prolétaire
    19 août 2016 - 8 h 47 min

    L’imminence d’une
    L’imminence d’une catastrophe prévisible en Algérie se précise chaque jour avec plus d’acuité. Et nos plumitifs apeurés n’épargnent pas leur futile énergie pour se dépenser dans un sursaut de sauvetage plus qu’hypothétique. Chacun y va de sa plume magique pour se livrer à des prestidigitations analytiques. Déboussolée par la précipitation de la crise aussi soudaine qu’imprevisible à ses yeux aveuglés par son opulence acquise à la force de ses louches affaires, la petite bourgeoisie intellectuelle et affairiste se démène dans une angoissante agitation pour éviter le chavirement de la Baraque (Barque) Algérie. Et ainsi sauver sa rentière situation.
    À l’époque de l’enrichissement inespéré de l’Algérie, où les milliards de dollars coulaient à flot par la grâce l’enchérissement de cette source noire enfouie dans les entrailles du désert, cete classe oisive flottait dans la mer de l’insouciance à bord de ses Richesses achetées clés en main à l’étranger, loin des constructions de projets concrets de développement du pays. Aujourd’hui, au moment où la conjoncture économique algérienne subit les tempêtes de la crise mondiale, elle se réveille de sa léthargique douceur vie pour incriminer et fustiger tous les dirigeants qu’elle avait pourtant aidé à se hisser au Pouvoir.
    Affolée par la dégradation de la situation économique, qui risque assurément de l’emporter, elle s’emploie à se muer en conseillère pour nous livrer ses recettes politiques. Ainsi, selon ces thuriféraires du libéralisme, des solutions politiques suffiraient pour venir à bout de la crise. À les lire, un simple changement du personnel politique à la tête de l’État parviendrait à freiner l’enlisement, la périclitation, et ainsi rétablir une situation économique malmenée par l’effritement des cours du pétrole, unique source de revenus. Leur naïveté est criante, navrante. Aucun pouvoir placé à la tête de l’État algérien, même constitué d’un personnel politique compétent et démocrate élu librement au suffrage universel, n’inverserait la tendance de l’effondrement économique même avec la meilleure volonté et bonté du monde. Qu’il s’agisse de l’option industrielle ou agricole à développer, toutes les mesures politiques ne sauront y remédier. L’industrialisation ne se décrète pas (on connaît le résultat avec l’ère boumedienne). Pareillement pour l’agriculture. L’obstacle est paradoxalement économique. Dans une économie capitaliste mondialisée, fondée sur la réalisation de la plus-value, donc la vente des marchandises produites, la saturation des marchés est déjà étouffante. En effet, la surproduction a atteint des proportions inégalées. D’où l’exacerbation de la concurrence entre les pays capitalistes pour écouler leurs produits. Dans cette guerre économique, les nations à l’économie développée anciennement établies, disposent de reins plus solides pour s’accaparer les marchés. Et rejeter du marché les pays sous-développés comme l’Algérie. À l’époque où des milliers d’usines à travers le monde ferment pour raison de faillite, avec comme corollaire le chômage massif, la perspective pour l’Algérie, comme le suggèrent ces illusionnistes d’analystes, de se lancer dans le développement industriel est illusoire, pour ne pas dire impossible. De même, pour l’agriculture. La solution n’est donc pas politique. Encore moins économique dans le cadre du système capitaliste décadent. Alors, sans destruction du capitalisme, aucune solution n’est envisageable.
    Tous ceux qui érgotent sur les solutions à envisager uniquement dans le cadre de ce système en putréfaction sont des MENTEURS.
    Les travailleurs et les masses opprimées algériennes doivent se défier de ses plumitifs au service du Capital. Ils doivent prendre en charge leurs luttes pour abattre ce système décadent.
    Sinon, comme le disait le grand Révolutionnaire Auguste Blanqui du 19 ème siècle, :  » il (y aura) de l’eau bénite d’abord, des injures ensuite, de la mitraille enfin, de la misère toujours. »

      houdini
      19 août 2016 - 15 h 49 min

      Oh combien je partage votre
      Oh combien je partage votre opinion!,je pense qu’il est temps que le peuple se reveille et surtout se remette en question,qu’il comprenne une bonne fois pour toute que notre seul salut viendra d’une mise a plat entre nous autre citoyens, sans animosite ni insulte , soyons froids et lucides, partageons sans nous trahir les uns les autres tout en ecartant ceux qui sement la zizanie en notre sein,prenons notre destin en main en ignorant cette caste pestiferee qui nous sers de gouvernement,mettons les en quarantaine et mon dieu ,unissons nous ,nord,sud,est,ouest pour creer autre chose

    Anonymous
    18 août 2016 - 21 h 30 min

    Les médias Français utilisent
    Les médias Français utilisent le nom Maghrébins a chaque fois qu’il y a des problèmes causé par les Marocains, rien que pour créer un flou est faire accuser les Algériens. Je ne comprends pas pourquoi nos journalistes, utilisent le même langage ? Dans quel but certains insistent à intégrer l’Algérie dans le Maghreb (Maroc) ? Pourquoi nos journalistes, nos intellectuel(es) ou nos politiques ne cite jamais l’Algérie comme ancienne Numidie ? IL et temps que ca change.

      Aldjazairi
      20 août 2016 - 7 h 08 min

      Nos ou plus precisement
      Nos ou plus precisement leurs journaleux nés chez nous , titrent sans honte je cite : .. » …..l Etat hebreux ceci , cela … » alors meme que les Etats occidentaux , parapluie des criminels installés en Palestine occupée , hesitent a le denommér de la sorte . Alors , vous savez ………

    bof!
    18 août 2016 - 19 h 12 min

    Nous avons un avc generalise
    Nous avons un avc generalise mais helas nous ne pouvons pas nous soigner a l’etranger

      Zitouni
      18 août 2016 - 19 h 56 min

      bof !, Il nous faut peut être
      bof !, Il nous faut peut être une rokia générale pour sortir de l’emprise maléfique des Bouteflika et des autres diables qui dirigent notre pays depuis 1999.

        Abdallah
        18 août 2016 - 20 h 23 min

        Tu veux dire qui détruisent
        Tu veux dire qui détruisent notre pas depuis 1999 ?

        bof!
        18 août 2016 - 20 h 37 min

        Idee lumineuse,ca te dis qu
        Idee lumineuse,ca te dis qu’on demande conseil a tonton chakib?

    Rabah
    18 août 2016 - 18 h 26 min

    Au lieu de développer des
    Au lieu de développer des arguments irréfutables, les autoproclamés ou recrutés, larbins et serviteurs zélés du pouvoir recourent à l’insulte sordide et à la menace contre ceux qui critiquent leurs maitres, qui emploient les mêmes odieux procédés contre le peuple algérien, l’opposition, la société et les médias indépendants.

      Anonymous
      18 août 2016 - 18 h 54 min

      Leurs maitres ont aussi cloué
      Leurs maitres ont aussi cloué le bec aux hauts fonctionnaires et aux généraux en exercice ou à la retraite. Quelle honte pour toutes leurs victimes affaiblies par leur division !

    MELLO
    18 août 2016 - 16 h 41 min

    « Les forces saines et vives,
    « Les forces saines et vives, qui existent encore en Algérie, sauront-elles lui épargner la fin tragique à laquelle la dirigent inexorablement les aventuriers du pouvoir ? » vous dites. En effet, si l’Algérie n’a pas, jusqu’ici, éclaté à l’instar de la Syrie, de l’Irak ou de la Libye, ce n’est pas parce qu’elle aura manqué de dictateurs, de fous séparatistes, d’islamistes fanatisés ou de staliniens de tous bords. C’est parce qu’elle aura aussi donné naissance à des hommes qui ont su traverser le siècle en s’investissant dans la lutte pour l’Indépendance nationale puis dans la construction démocratique. Par deux fois ils auront traversé la guerre en donnant la primauté au politique. La première fois pour libérer le pays en le dotant d’une armée de libération nationale et d’un parti de libération nationale. La deuxième fois en s’investissant dans la construction d’une solution politique à la crise générée par la dictature et amplifiée par le terrorisme et la violence.
    « Ne craignons pas les mots : décoloniser l’histoire, c’est la libérer des manipulations continuelles des groupes militaro-policiers, c’est restituer à la nation sa mémoire, sa fierté et sa dignité. C’est redonner aux algériennes et aux algériens confiance en eux-mêmes, pour reprendre en main pacifiquement leur destin. Ce retour à la légitimité populaire et à la volonté de construction d’un Etat et des institutions démocratiques à tous les niveaux furent le fondement même de la plate-forme de la Soummam. » Hocine Aït Ahmed (message du 20 Août 2004). le militant politique qui a survécu à la guerre et à ses manipulations laisse un héritage qui peut assouvir la faim de continuité historique.

    ALI
    18 août 2016 - 14 h 15 min

    Mr TOUBAL VOUS NOUS AVEX
    Mr TOUBAL VOUS NOUS AVEX HABITUE A MIEUX AU REGARD DE VOS ANCIENS ARTICLE A MOINS QUE CE SOIT UNE CRIS PASSAGERE ?

    Othman
    18 août 2016 - 14 h 13 min

    Un article qui doit faire un
    Un article qui doit faire un grand plaisir a nos ennemis de l’Ouest surtout quiand il est servi par des supposes algeriens

    Fouedz
    18 août 2016 - 14 h 11 min

    J’invitre Mr Rabah Toubal a
    J’invitre Mr Rabah Toubal a consulter les Rapports preriodiques des Agences specialisees du systeme Onusien qui sont de l’avis des professionnels bcp plus objectives que ce ramassi de bureaux et organes d’informations entre les mains du sionisme international.
    Ceci ne veut nullement dire que tout est parfait en Algerie et pour cause…… mais une source d’information connue pour sa credibilte donnera plus de poids a vos ecrits.
    J’irais jusqu’a me demander si vous avez pris connaissance du dernier Rapport du Pnud qui traite des IDH qu’aucun journal marocain n’a ose en parler pour des raison que vous connaissez autant que moi et bien d;autres.

      none
      19 août 2016 - 22 h 00 min

      C’est vrai qu’après avoir
      C’est vrai qu’après avoir dépensé 1500md en 10 ans et plus depuis le premier choc pétrolier de 1974 il ya de quoi pavoiser sur notre classement. IDH. On est entre la Suisse et la Norvège!!

    RasElHanout
    18 août 2016 - 14 h 05 min

    Le fait de parler de « Maghreb
    Le fait de parler de « Maghreb » au lieu et place d’Afrique du Nord fait perdre toute credibilte a cet article. Priere au Moderateur de ne pas censurer.

    Bounif
    18 août 2016 - 11 h 06 min

    Mon gros nez, qui m’a
    Mon gros nez, qui m’a rarement trompé, me dit que ces classements, ces travel warnings et autres conseils de mauvais aloi qui sont régulièrement donnés aux dirigeants algériens illégitimes constituent des pressions directes sur un pouvoir gravement malade et n’augurent rien de bon pour notre pays. Bien sûr, en cas d’intervention étrangère, pour de multiples raisons, c’est le peuple qui sera jeté en pâture et massacré et les enfants des classes pauvres et défavorisées serviront de chair à canon, non pas pour faire avorter cette intervention mais juste pour permettre à ces dirigeants d’aller rejoindre leurs familles bien installées à l’étranger.
    Pleure Oh mon pays bienaimé !

    Anonymous
    18 août 2016 - 10 h 19 min

    TANT QU I Y A DES SAUVAGES
    TANT QU I Y A DES SAUVAGES DES MAL EDUIQES QUI NE SAVENT QU INSULTER QUAND ILS SONT EN COURS D ARGUUMENTS JE VOUS JURE QUE LE MAGHREB N AVANCERA PAS D UN POUCE … IL FAUT D ABORD QUE CERTAINS SE DEBARRASSENT DE LEURE MENTALITE MOYENNAGEUSE SURTOUT CES VIEUX DIRIGEANTS QUI ONT PERDUS TOUTES LEURS FACULTES INTELLECTUELLES .. ET MERCI …AZUL

    Médecine
    18 août 2016 - 5 h 45 min

    Cet article a le mérite par
    Cet article a le mérite par son titre de traduire une vérité qui crève les yeux, nous Algériens, nous sommes synonymes d’une maladie, par conséquent le maître mot de la solution devrait être Médecine. Il faut un diagnostic, et par des « médecins » vrais, pas des charlatans… Si la minuscule Tunisie attire les Algériens, et les « méprise », si le Maroc empoisonne les Algériens, les pille, insulte, c’est parce qu’il faut revenir à la case départ, Tunisie et Maroc ont été des « Protectorats » de France, et nous Algérie ses cobayes, ses esclaves, nous avons été victimes d’une barbarie inouïe, et nous devons nous relever de ça… Le Tunisien et Le Marocain ont un flou au plan de la paternité, l’Algérien vrai connait son père, son pauvre père victime des Français, mais le jour où L’Algérien s’en sera définitivement sorti, le monde ne parlera plus ni du Marocain, ni du Tunisien

      anonyme
      18 août 2016 - 10 h 19 min

      vous avez une façon très
      vous avez une façon très violente « d’analyser » les choses…

    Messaoudi
    18 août 2016 - 3 h 57 min

    Je suis désolé pour ceux qui
    Je suis désolé pour ceux qui défendent l’indéfendable, les dirigeants algériens actuels agissent comme le cancéreux qui qui se bourre de drogue au lieu de suivre des séances de chimiothérapie ou de radiothérapie pour avoir mêmes d’infimes chances de guérir du mal qui le mine. L’arrogance et la fuite en avant criminelle, dont la nation entière payera, tôt ou tard, le prix fort. S’ils comptent sur les armes qu’ils amassent pour mater le peuple lorsqu’il se soulèvera contre leur dictature, ils se trompent énormément. Si l’argent du gaz et du pétrole leur permet de corrompre les corruptibles ou d’acheter une paix sociale toujours plus coûteuse, il ne leur permettra pas de tout avoir tout le temps. Les signes forts de leur fin tragique sont effectivement de plus en plus nombreux.

    le citoyen
    17 août 2016 - 21 h 24 min

    Le pouvoir n’est pas un moyen
    Le pouvoir n’est pas un moyen,il est une fin. On n’établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution . On fait une révolution pour établir une dictature. La persécution à pour objet la persécution.  La torture à pour objet la torture. Le pouvoir à pour objet le pouvoir.
    George Orwell  in  1984.

    Cette citation est très pertinente concernant la nature du pouvoir algérien et cela depuis son avènement suite à la guerre de libération.
    La révolution algérienne à enfanté une dictature qui dure depuis 1962… l’indépendance à été confisqué au peuple algérien . Jamais nous n’avons été maître de notre destin malgré les apparences.
    La responsabilité est collective. Le pouvoir en place manie très bien le bâton et la carotte . Répression pour les ceux et celles qui refusent cette dictature corrompue. Corruption pour les autres. La corruption est devenue en algerie une sorte de « redistribution des richesses  » les algériens ne se soulèvent pas parce que pour une grande majorité ils trouvent leur compte.
    Subventions, salaires fictifs, augmentations salariales pour les agents de l’état sans limite, pensions pour anciens moudjahid, anciens FLN, repentis. Non respect du temps de travail ;économie informelle; non recouvrement de l’impôt et d’autres avantages de toutes sortes sans aucun mérite ont finis par détruire toutes les valeurs qui fondent une nation et transformé un peuple valeureux ( celui de novembre 54) en un ghachis soumis .
    J’espère que la raréfaction des ressources à l’origine de cette corruption généralisée finira par faire prendre conscience des tempêtes qui s’annoncent et que cela permettra une action salvatrice pour notre jeune nation.

    Anonymous
    17 août 2016 - 20 h 41 min

    Il y a des schizophrènes un
    Il y a des schizophrènes un peu partout dans et notamment en Algérie, on en trouve des psychopathes. Lorsque tu lui dis je suis d’Oranie , il te réponds t’es Arabe , tu lui re-réponds ouï, il te rétorque alors ah alors t’es pas Algériens, tiens donc pourquoi? Eh bien parce que l’Algérie est peuplée de Berbères, tiens! Ah ok, oui c’est vrai j’avais oublié? Donc je ne suis pas algérien. Et de continuer dans notre léthargie : es-tu musulmans l’arabe? Oui je suis de confession musulmane, oh Lala tu n’es pas Berbère et en plus tu es musulman, ça ne va pas tout ça, nous on ne croit pas à votre religion on préfère Jésus ! C’est ce que on commence à entendre dans certaines régions d’Algérie, du racisme à l’ état pur.

      Anwa wiggi
      18 août 2016 - 4 h 39 min

      Azul fellawen,

      Azul fellawen,
      Hors sujet!!!

      Sadi
      18 août 2016 - 7 h 42 min

      Il faut appeler un chat
      Il faut appeler un chat avec son nom , la kabylie et très bien visé par ton message , oublé pas que la religion est une Question de fois , et la réalité Il faut voir les choses en face . Les kabyles FAKOU khelas et ils ont trop payer avec leurs sang pour ce pays immense .inchalah un jour notre rêve deviendra réalité , EKHESSERE OU FAREK .

    Moutaqaad decouragé
    17 août 2016 - 20 h 08 min

    Je commence par un dicton
    Je commence par un dicton africain qui dit: Malheureusement ce pouvoir n’arrive pas ä admettre ses erreurs et ses échecs qu’il impute à la main de l’étranger que seul lui grace son œil de lynx il a pu l’apercevoir.
    L’Algérie qui jadis l’on prédisait pays émergeant est devenu un pays qui recule qui ‘s’enfonce inexorablement vers le sous développement il n’y a qu’a voir les différents classements que rendent publique les différents organismes internationaux spécialisés dans les évaluations des pays dans les différents domaines pour constater que notre pays malgré ses richesses naturelles pointe dans le bas du tableau avec des pays dits pauvres.
    La délinquance des differents paliers grossit de jour en jour le trafic de drogue,le commerce informel qui a étouffé l’économie tient entre ses mains une masse monétaire dont sa bancarisation est improbable.
    La qualité de l’enseignement des différents paliers est la plus médiocre (voir le taux très élevé de la déperdition scolaire et tres bas celui de l’innovation )
    Avec nos potentialités humaines et naturelles l’Algérie devait caracoler aux premiers plans des pays arabes et africains elle pouvait même faire partie des BRICS
    Hélas comme dit l’adage celui qui n’avance pas recule.
    Il nous reste qu’a prier le bon Dieu pour que ce système disparaisse à jamais.

    les damnes de la terre
    17 août 2016 - 19 h 12 min

    A quand le reveil de la
    A quand le reveil de la majorite silencieuse?

    Farid1
    17 août 2016 - 18 h 40 min

    Au contraire je trouve que l
    Au contraire je trouve que l’Algérie va tres bien …C’est votre tête qui est malade!!

      les damnes de la terre
      17 août 2016 - 19 h 48 min

      Bravo.Tu devrais rejoindre
      Bravo.Tu devrais rejoindre ouyahia ,bensalah et cie.

        Alilapointe59
        18 août 2016 - 8 h 31 min

        Farid1 a raison elle va très
        Farid1 a raison elle va très bien l’Algérie, grâce à Dieu. J’y suis ils vivent bien. L’Algérie est riche seul les bras cassés se pleine.

    etat de droit
    17 août 2016 - 14 h 48 min

    Allaili Tayeb est juge à la
    Allaili Tayeb est juge à la Cour d’Alger. Benzaoucha Abdelhakim est juge à Tizi-Ouzou tandis qu’Omar Belkarchi officie à Alger. Ces trois juges Leur influence est si importante, si impressionnante, leurs poids sur les verdicts est si considérable qu’on les surnomme les “chambres à gaz” de la justice. Ce surnom, ils le doivent à leurs procès où les opposants, les entrepreneurs ou acteurs de la société civile qui ne sont pas dans les bonnes grâces du régime, sont systématiquement condamnés sans aucune équité certains de leurs victimes sont morts en prison d’autres ont perdu leur sante leur argent et souvent leurs familles.

      Benyoucef
      17 août 2016 - 16 h 39 min

      Ces trois larbins et d’autres
      Ces trois larbins et d’autres dans le même domaine et ailleurs sont les vils exécuteurs du clan. Ils ne doivent pas être forcément d’Oujda ou de la wilaya de Tlemcen car le clan emploie beaucoup de Kabyles de Service, de Chawis de Service et des Sudistes de Service. Quant au Ministère de la Justice et ses services extérieurs, comme le MAE et le MICL et leurs services extérieurs, ils sont bourrés de personnels d’origines marocaines. Faut-il malgré cela rester les bras croisés et être traités de lâches par ses propres enfants ? Ou bien dire haut et fort BARAKAT et chasser ces voyous qui infestent l’Etat algérien et toutes ses institutions que ces voyous ont abâtardies et mises à leur service exclusif.

    Sam
    17 août 2016 - 11 h 58 min

    La crise en Algérie est
    La crise en Algérie est multidimensionnelle , malgré l’abondance d’argent qu’on transporte dans des sacs ,celle ci touche tous les domaines de la vie d’une nation .
    Elle trouve ses racines dans les premières heures de l’indépendance ou les choix pris impactent encore gravement le pays
    Ça tous le monde le sait , les constats il y en a la pelle sur la table .maintenant que faire ?
    Il faut un nouveau projet de société , mais qui a la légitimité pour le proposer et l’appliquer ? Moi je vois personne pour l’instant !
    Nous sommes dans une situation très dangereuse et les prix du pétrole n’ont rien à voir dans notre malheur . soit on est capable de se réinventer , soit on disparaît , il y a pas vraiment d’autres chemin

      MELLO
      17 août 2016 - 14 h 42 min

      La crise en Algérie n’est pas
      La crise en Algérie n’est pas multidimensionnelle , elle est unique , elle est POLITIQUE.
      « À vouloir agir en dehors du peuple, on arrive à des résultats diamétralement opposés aux véritables objectifs socialistes et égalitaires », extrait de la lettre de démission de Ferhat Abbas, le 12 aout 1963.
      Depuis l’accès de l’Algérie à sa souveraineté, le peuple algérien est systématiquement marginalisé. Au meilleur des cas, il n’est consulté que pour avaliser des décisions déjà arrêtées. Enfin, sans être un grand clerc, la solution réside dans la prise de conscience du peuple algérien. En principe, c’est à lui de prendre les initiatives. « Et même s’il se trompait cette erreur serait moins grave de conséquence que le fait de le museler, et de lui imposer une camisole de force. Il a mérité mieux que cette suprême injure », conclut Ferhat Abbas.
      Ainsi, au lieu de saisir cette chance pour organiser un cadre politique sain, le régime refuse toute idée d’associer les Algériens à la gestion de leurs affaires. À la place, le régime propose un consensus biaisé. Bien que certains membres de la direction du FFS aient mis du temps à tirer les enseignements requis, « Nous ne consentirons jamais à un consensus des dupes tel que proposé par le pouvoir et ses démembrements », dit-il. Désormais, il appartient à chaque partie de prendre ses responsabilités en honorant le serment des hommes de novembre 1954. Pour conclure, il va de soi que tôt ou tard le régime devra lâcher du lest et rendre des comptes à la société algérienne. Bien que le régime ait encore les moyens de maintenir un statu quo mortifère, il ne pourra pas leurrer indéfiniment la génération des réseaux sociaux. Mais, avant que ce ne soit trop tard, le mieux serait d’engager un dialogue inclusif, dans le cadre d’une conférence de consensus national, pour éviter toute épreuve de force.

        Sam
        17 août 2016 - 16 h 39 min

        Par ou je commence ?

        Par ou je commence ?
        problème de langue nationale , amazigh marginalisé , dirigeants accros à la langue coloniale
        Économie bloquée par une bureaucratie soviétique et totalement dépendante du pétrole
        Polarisation extrême entre laics et religieux
        Guerre des clans sans fin et incapacité du système à proposer non pas la démocratie mais au moins un chemin d’espoir vers plus d’État de droit
        Quasi vide culturel , on a bien eu à un moment les cheb ceci et cheb cela mais de la a appeler cela une culture , moi je n’oserais pas
        Geopolitiquement , nous sommes très isolé , j’ai rien contre le zimbabwé mais on va pas aller loin avec ça ,inutile de rappeler le tweet de valls ( partenariat d’exception)
        Catastrophe architecturale dans toutes les villes du nord , on se croirait dans une zone de guerre

        Oui c’est une crise multi dimensionnelle très grave , inutile de jouer à l’autruche

          MELLO
          17 août 2016 - 18 h 01 min

          Le plus petit dénominateur
          Le plus petit dénominateur commun, et c’est en mathématiques et lorsque vous aurez déterminé le dénominateur commun, vous pourrez procéder simplement à l’addition ou à la soustraction des nombres fractionnaires de vos équations. Entièrement d’accord avec vous, cette crise touche à la personnalité, à l’identité de l’ALGERIEN.
          L’Algérien , c’est tout ce que vous dites, mais pour arriver à cette situation, ce pouvoir a su comment assurer la déviance du cours du citoyen Algérien. A la base , il n’est pas considéré autant que tel , puisqu’il est à la limite d’un sujet. Le véritable problème de cette nation est d’ordre politique: la politique en son sens plus large, celui de civilité ou Politikos,qui indique le cadre général d’une société organisée et développée.

        Berrais
        17 août 2016 - 19 h 47 min

        Mello, « l’épreuve de force »
        Mello, « l’épreuve de force » qu’une opposition hétéroclite, faible et versatile veut éviter à tout prix par peur de perdre les avantages dont elle joui individuellement et en tant que partis, est le seul moyen de renvoyer les voyous d’Oujda chez eux. C’est vrai, ces brigands disposent des moyens de répression violente de l’Etat, Police et Armée, qu’ils n’hésiteront pas à utiliser contre leurs opposants et le peuple, qui oseront occuper les rues et places de nos villes et villages jusqu’à ce que cette vermine dégage. Mais, comme on dit, on ne fait pas d’omelette sans casser d’oeufs. Sinon, couchez vous devant Fakhamatouhou et sa clique jusqu’à mort s’ensuive.

          MELLO
          18 août 2016 - 16 h 00 min

          On ne peut oublier ce triste
          On ne peut oublier ce triste 23 Décembre dernier, quand s’est éteint Hocine Aït-Ahmed le dernier des dirigeants les plus en vue de la révolution de novembre 1954 qui a amené l’Algérie à la reconquête de son indépendance après 132 ans d’occupation française. Cet homme symbole est mort à Lausanne après un exil forcé qui aura duré plus d’une cinquantaine d’années. Soit depuis l’indépendance du pays.
          L’homme qui a été accompagné par tout un peuple à sa dernière demeure, dans son village natal en Kabylie, était un symbole à plus d’un titre. Comme il était, dans sa jeunesse, un symbole de l’opposition au colonialisme il est mort en symbole de l’opposition à un régime qui se caractérise particulièrement par la tyrannie et le despotisme. En refusant, dans son testament, de se faire inhumer officiellement dans le carré réservé aux officiels au cimetière d’« El-Alia » à Alger, il exprima, du coup, son opposition à toute récupération politique. Et dernière estocade de celui que les Algériens surnommaient affectueusement « Da L’Hocine » , elle survint peu avant que sa dépouille ne soit mise sous terre. Le premier ministre algérien et la délégation gouvernementale qui l’accompagnait sont chassés par le peuple lambda venu rendre un dernier hommage à celui qui a vécu en symbole et mort en symbole. La chasse faite au premier ministre lors des funérailles de Hocine Aït-Ahmed a été la meilleure expression de la rupture définitive qui s’est opérée entre le pouvoir de Bouteflika et le peuple.

          oujdi
          20 août 2016 - 0 h 07 min

          Je suis un oujdi et
          Je suis un oujdi et personnellement je vous donne le droit de vous débarrasser ou éliminer tous ceux que vous désignez par le clan d’Oujda car ils nous ont pourri l’existence beaucoup plus que vous.

    abdel
    17 août 2016 - 11 h 49 min

    le pouvoir actuel,autiste,ne
    le pouvoir actuel,autiste,ne se pose jamais la question pourquoi des nations sans ressources naturelles,tels la corée du sud ou l’allemagne sont devenues des puissances économiques ,alors que le pays classé bon dernier dans tous les domaines,stagne,et stagnera encore pour longtemps si le peuple ou l’armée ne prennent pas la décision de se réveiller et prendre les choses en main pour mettre fin a cette mascarade, ou un pouvoir,avec un président dans un etat semi comateux,et qui a échoué dans tous les domaines, se maintient a la tete du pays,ou certains canaux parlent déja d’un 5e mandat !!!!

    MELLO
    17 août 2016 - 11 h 48 min

    De 1962 à nos jours, tous les
    De 1962 à nos jours, tous les présidents de la république ont essayé de concentrer, entre leurs mains, le maximum de pouvoir. Bien que leur influence n’ait pas été la même, la concentration des pouvoirs en leur bénéfice pouvait être confirmée par les postes cumulés. Lors du congrès extraordinaire du FLN, tenu le 15 juin 1980, les congressistes ont accordé les pleins pouvoirs à Chadli. En plus de la présidence de la république, il a été désigné ministre de la défense et secrétaire général du parti unique. Toutefois, à partir de 1986, le consensus tant escompté n’a pas été au rendez vous lors de l’adoption de la nouvelle charte nationale. L’absence de débat politique en Algérie a conduit inévitablement, à moult reprises, à des affrontements de la rue. En octobre 1988, plusieurs éléments sont réunis pour qu’il y ait cette explosion. En effet, à la conjoncture économique défavorable, le blocage des salaires et le chômage grandissant ont été fertiles pour les revendications sociales. Le régime, qui se croyait invincible, ne tolérait aucune remise en question de ces choix. Par conséquent, il ne restait au peuple algérien que la rue pour crier haut et fort son mécontentement. Le système politique algérien fonctionne désormais à l’émeute parce que les institutions façonnées sur le moule du parti unique ont pour fonction de boucher tous les pores et interstices par lesquels respire le corps social.D’ailleurs, comment peut-il assister impuissant à la destruction de son pays sans qu’il manifeste son marasme, pourrait-on se demander. Car les vrais hommes, épris de justice, ont eu le courage d’affronter un système colonial au faîte de sa puissance. Bien que ce système colonial recoure à tout bout de champ à la violence, cela n’a pas empêché les hommes de novembre de lui tenir tête. Hélas, l’enlisement de la guerre a fait disparaitre les justes et a fait émerger les assoiffés de pouvoir. malgré la fin des dictatures en Afrique du Nord, le régime algérien use de subterfuge en vue de court-circuiter les velléités de changement en Algérie. Alors que les conditions qui ont présidé à la chute de Benali, Moubarak et Kadhafi sont les mêmes qu’en Algérie [à la différence que le pouvoir réel en Algérie n’est pas incarné uniquement par Bouteflika], grâce à la rente pétrolière, le pouvoir a élargi sa clientèle en vue de se pérenniser. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le peuple, là aussi, ne s’est pas montré à la hauteur des enjeux. Et pour cause ! Malgré la gestion catastrophique du pays depuis l’indépendance, le régime s’est maintenu sans ambages

    Redouani
    17 août 2016 - 11 h 38 min

    Je m’excuse on ne dit pas l
    Je m’excuse on ne dit pas l’homme malade mais le pays malade car l’Algérie n’est pas une personne mais une chose.

      Sifax
      17 août 2016 - 13 h 02 min

      Non espèce de sujet
      Non espèce de sujet consentant ! le maghrebin c’est le marocain donc c’est le marocain qui est malade à force de recevoir la drogue du rif, le mensonge du mekhnez et le spermatozoide des étrangers

    Abdessalam
    17 août 2016 - 10 h 18 min

    Mr Toubal ce sont les autres
    Mr Toubal ce sont les autres pays du Maghreb et du Machrek arabes qui sont vraiment malades mais non pas celui de notre bienaimé Abdelaziz Bouteflika, qui domine d’une tête tous les dirigeants actuels du monde entier, Obama, Poutine, Angela Merkel et Erdogan y compris.

      sdik
      17 août 2016 - 12 h 07 min

      pauvre mec tu résonne comme
      pauvre mec tu résonne comme une grosse caisse, ce sont les gens comme toi qui ont détruit l’Algérie…

    Mohamed
    17 août 2016 - 10 h 12 min

    Je dirais plus tôt comme
    Je dirais plus tôt comme Fellag « L’Algérie est malade de ses dirigeants invalides ».

      Bougamouss
      18 août 2016 - 8 h 37 min

      Vous avez choisi le mauvais
      Vous avez choisi le mauvais exemple:Felleg.C’est celui qui a bâti sa « notoriété » au détriment de la réputation de l’ALGERIE.Car, comme l’avait dit Boudiaf (ALLAH YRAHMO):l’ALGERIE doit passer au-dessus de tout.On peut critiquer le président, les ministres,etc… mais jamais l’ALGERIE!!

    Dahmane
    17 août 2016 - 9 h 58 min

    Je crois qu’il serait plus
    Je crois qu’il serait plus correcte de dire qu’actuellement la Libye, la Tunisie et la Mauritanie sont les hommes malades du Maghreb, qui tentent de se soigner tant bien que mal. Mais à court ou moyen terme, l’Algérie va les suivre mais en pire car plus un pays est vaste et grand par le territoire et par la population, plus ses problèmes sont gros et difficilement solubles. En ce sens oui, l’Algérie est l’homme malade du Maghreb mais qui nie ses multiples maladies. Ce qui rend inextricable sa situation.

    Kheddim
    17 août 2016 - 9 h 45 min

    Si l’on prend en
    Si l’on prend en considération les signes forts de vulnérabilité dont souffre l’Algérie aujourd’hui, l’on aboutira à la même conclusion que l’auteur de cet article. Donc sauf miracle, pour les nombreuses raisons que les experts ont développées et expliquées largement dans leurs écrits, un avenir sombre attend notre pauvre pays à cause des fous qui le dirigent et dont le Général Hocine Benhadid, qui vient d’être libéré sur ordre de Washington, a dénoncé le plan diabolique, élaboré par Said Bouteflika pour mettre l’Algérie à genoux avant de partir pour jouir des milliards de dollars détournés.

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