De nouveaux journaux disparaissent des étals

Le ministre de la Communication, Hamid Grine. New Press

Faute de rente publicitaire, le quotidien francophone La Cité est sur le point de déposer son bilan, mettant ainsi au chômage des dizaines de travailleurs et de journalistes, avons-nous appris de sources proches de cette rédaction. D’ailleurs, ses journalistes et autres correspondants sont restés sans salaires depuis deux mois. Plusieurs titres ont déjà cessé de paraître depuis quelques mois pour des raisons financières, aggravées parfois par une mauvaise gestion qui se traduit généralement par une accumulation de dettes auprès des sociétés d’imprimerie ou de distribution, et qui est décriée par les collectifs de journalistes.

Les derniers à en payer le prix : les deux quotidiens édités à Oran, La Voix de l’Oranie et Sawt El-Gharb. Les journalistes de ces deux titres ont publiquement exprimé leur mécontentement suite à la décision prise, en mai dernier, par les sociétés éditrices de fermer ces deux journaux sans chercher de solution alternative.

Non épargnés par la crise, les journaux les mieux lotis n’hésitent pas à ouvrir leur capital aux opérateurs économiques privés pour échapper au spectre de la faillite qui menace aujourd’hui l’ensemble des médias privés. Le psychodrame vécu le mois dernier par le groupe El-Khabar, qui édite le quotidien éponyme, est illustratif de cette situation de détresse à laquelle fait face la presse en Algérie, au moment où le gouvernement dit mener un programme de réforme susceptible de sortir le monde des médias de son impasse.

R. Mahmoudi

Comment (33)

    iffis
    24 août 2016 - 1 h 44 min

    le problème c pas la religion
    le problème c pas la religion mais ce gouvernement qui a transformer l’école du savoir a celle de l’ignorance
    je suis de Kabylie musulman pratiquant , étant petit on ma appris a lire tout ,, j’ai un ami professeur de français a tiaret dans un cem me dis il ya que 5 élèves dans ces cours leurs parents leurs disent loughatou el 3adouw (la longue des ennemis ) or notre religion fait appel aux savoir aux travaille ne pas confondre une doctrine d’abrutisation vieilles de 54 ans a la religion et merci !!!!!!!!!!!

    CHERIF HANNACHI
    23 août 2016 - 8 h 59 min

    EN KABYLIE DANS CHAQUE
    EN KABYLIE DANS CHAQUE VILLAGE IL Y A UNE BIBLIOTHEQUE VILLAGEOISE AVEC DES LIVRES EN FRANCAIS ANGLAIS ET TAMAZIGHT.IL YA DES JEUNES MUSULMANS ET UN PEU DE CHRETIENS QUI EXHIBENT LA CROIX.PAS D ABBASSI MADANI PAS DE FLN NI RND QUE DU FFS MAK RCD .BOUTEFLIKA SAIDANI OUYAHIA ET GARCIA SONT VOMMIS MAIS PAR CONTRE ON REPARLE SOUVENT DE MATOUB ET AIT AHMED MAIS AUSSI DE FERHAT ET SAID SAADI.LES GENS PARLENT EN KABYLE EN FRANCAIS MAIS JAMAIS EN ARABE.A LA DJAMAA ON ECHANGE SES LIVRES ET ACTUELLEMENT L OEUVRE SUR ABANE RAMDANE EST AU MEME NIVEAU QUE LES BALZACS HUGO SARTRE ET FERAOUN

      M'as-tu vu
      23 août 2016 - 9 h 48 min

      C’est du m’as-tu vu et de la
      C’est du m’as-tu vu et de la provocation inutiles. En Belgique, à Anvers (Antwerpen) où j’ai résidé dans les années 90, les Flamands avaient juré de ne jamais parler la langue de leurs compatriotes wallons francophones. C’est vrai que moi, qui n’avais à l’époque que quelques mots et quelques phrases pour « circuler » j’étais obligé de faire remonter quelques souvenirs insuffisants de la langue anglaise apprise au collège. Les Flamands comprenaient parfaitement ce que je disais, mais faisaient semblant de ne rien piger. Même le receveur du bus, qui pourtant n’a aucune discussion avec les usagers, devait comprendre que je n’étais pas devant lui pour une joute philosophique mais qu’il me délivre un ticket pour la destination envisagée. Ben non, il se régalait à m’humilier devant ses compatriotes flamands complices et m’obliger à sortir des mots flamands. Ce que je ne faisais jamais. Ah, mais les commerçants de la Abdijstraat comprenaient bien le français, tout en faisant semblant d’avoir des difficultés à saisir. Et les francophones sont curieusement tous convenablement servis. « Comédie humaine »! comme dirait Balzac que vous citez. Situation analogue ici dans les villages dont vous parlez. Le flamand comprend jusqu’à 60% de termes français et le kabyle autant de mots arabes. D’ailleurs le mot kabyle est arabe et djamaa que vous utilisez aussi. Tous les personnages que vous avez cités dans votre commentaire, absolument tous, ne sont malheureusement pas des références honorables pour l’Algérie. A Oran, il y a beaucoup de kabyles, et cella ne nous dérange pas. Les nombreux kabyles qui y vivent n’ont pas besoin d’interprète pour comprendre ou se faire comprendre.

      O' mar
      23 août 2016 - 10 h 20 min

      Mais si Hannachi chérif, c
      Mais si Hannachi chérif, c’est une punition grave que vous donnez aux algérien qu habite en dhors de la kabylie! Il ne vont ni manger ni dormir ni travaillé ni rire . Vous ne parler qu le kabyle alors allez y parler parler parler .

      FAUX
      23 août 2016 - 11 h 45 min

      @cherif….

      @cherif….
      va raconter ça aux idiots …
      tu sais pourquoi : les kabyles y’en a pas qu’en kabylie . plus de la moitié des gens qui habitent alger sont d’origine kabyle , à oran aussi …etc : on en fait quoi avec ? on les jette à la mer ????
      ta théorie est trop simpliste !
      en puis d’abord il doit y avoir je pense pas moins de 99% des algeriens qui sont à l’origine des kabyles sur tout le térritoire , car okba ibn ….était venu à l’époque avec 2000 cavaliers ….ça peut pas faire 40 millions d’habitants !!!

        algerien pur et dur
        23 août 2016 - 21 h 38 min

        « 99% des algeriens qui sont
        « 99% des algeriens qui sont à l’origine des kabyles sur tout le térritoire. » J’espere cher compatriote que c’est une erreur de frappe. Que doit-on dire alors des chaouis, benimzab, chnaoua, touaregs etc. Surement pas des descendants des « 2000 » coursiers de l’infame okba ibn nafaa ? Je t’aurai mieux suivi si tu avais dit que l’Algerie est a tres grande majorite amazigh. Sans rancune.

    Libeté !
    23 août 2016 - 8 h 18 min

    désormais le journalisme n’a
    désormais le journalisme n’a plus besoin de vache laitiére …..son avenir sera sur la toile pour ceux qui sauront l’exploiter et en tirer profit ….
    Quant aux autres….ils peuvent toujours attendre une « Hypothétique  » remontée des prix du pétrole pour être subventionnés afin de faire écouter au peuple la musique sur laquelle il dansera !!!

    Sirine B.
    23 août 2016 - 6 h 14 min

    Tout cela est un feu de
    Tout cela est un feu de paille. L’argent de l’ANEP a été investi en Espagne. Mais qui ira vérifier ou encore moins demander des comptes. Personne. Tout le monde est dans le coup. Mais ils feront la gaffe de leur vie en s’attaquant aux acquis comme la retraite… Avertis.

    Anonymous
    23 août 2016 - 4 h 09 min

    Comme par hasard El moudjahid
    Comme par hasard El moudjahid journal le plus lu en Algérie résiste à la crise.

      anonyme
      23 août 2016 - 20 h 07 min

      les journalistes d
      les journalistes d’elmoudjahid ont été les premières et les plus nombreuses victimes du gia et autres saloperies du fis alors ta gueule tu la fermes à jamais!

    Erdt
    22 août 2016 - 21 h 36 min

    La plupart de c journaux a
    La plupart de c journaux a petit tirage créés par l’aide du pouvoir,ont survécu Grace a la pub publique,pour les soutenir et noyer le poisson,faire face aux grands journaux critiques. Comme les partis petits créés aussi pour noyer le poisson parasiter les partis de l’opposition. Plus de 120 quotidiens en arabe et français,une soixantaine de partis politiques!!!!! Alors l’heure de vérité arrive??

    brobro
    22 août 2016 - 17 h 33 min

    internet est pour beaucoup
    internet est pour beaucoup dans la chute des ventes de la presse-papier. avec son effet amplificateur, internet est entrain de déstabiliser toutes les sociétés. les moins développées,telle que la notre, ont opté pour la politique de l’autruche. elles ont trouvé refuge dans la religion en général, et les mosquées climatisées plus particulièrement!!!.

    Anonymous
    22 août 2016 - 16 h 10 min

    Un journal doit vivre de ses
    Un journal doit vivre de ses ventes et ne pas compter QUE sur la pub. Faute de lectorat, bye; bye

    Abou Stroff
    22 août 2016 - 15 h 21 min

    tiens! ghani gedoui est
    tiens! ghani gedoui est toujours vivant. bizarre, bizarrement bizarre!
    PS: je pense que dans peu de temps ce lâche retrouvera sa patrie (le maroc) où il s’est planqué pendant que les lions affrontaient la vermine islamiste

      anonyme
      22 août 2016 - 17 h 48 min

      C’est protégé du Makhzen
      C’est protégé du Makhzen comme beaucoup d’autres responsables

    typo graphe
    22 août 2016 - 10 h 09 min

    La disparition d’un média est
    La disparition d’un média est toujours une mauvaise nouvelle, la réduction du nombre des médiums est une atteinte progressive au pluralisme. Je ne pense pas que l’arabisation soit un facteur influent , pas plus que l’islamisation qui sont deux problèmatiques qui relèvent d’un manque de vision globale de notre histoire et de nos origines multiples et variées. Ce qui est curieux, c’est que tous les gouvernements algeriens qui se sont succédés ont fait la démonstration de cette pluralité, mais personne ne semble remarquer QUI vient D’OÙ

    Bekaddour Mohammed
    22 août 2016 - 8 h 41 min

    Ne soyons pas idiots ni naïfs
    Ne soyons pas idiots ni naïfs, le monde a changé, Internet impose des adaptations, il faut donc apprendre à gagner son pain hors du journalisme, il sera même bon pour la planète que le journal papier se réduise au plus petit nombre possible, objectivement le monde a changé, changeons, prenons le train, adaptons nous, personne ne mourra de faim, je sais, ce n’est pas facile, mais… Marche ou crève !

      Rascasse
      22 août 2016 - 9 h 53 min

      Le papiers à encore de beau
      Le papiers à encore de beau jours et de belles années encore devant lui en Algérie et en Afrique, alors un conseil : cessez vous les immigrés de voir l’Algérie avec des yeux de Paris le décalage est tellement immense et inimaginable que vos suggestions font donner raison aux médiocres gouvernant .

        Amitou
        23 août 2016 - 6 h 33 min

        L ere est au numerique,au
        L ere est au numerique,au digital,la presse papier vivra des jours difficiles et seuls les puissants groupes survivront.Au 21 eme siecle,c est le siecle de la globalisation feroces,le seul moyen d y faire face c est de se regrouper pour comprimer les depenses et creer un groupe medias complet,(redaction,imprimerie,agence publicite….etc).Oui il faut passer a la vitesse superieure pour ne pas disparaitre.Mais il y aura un grand risque
        d une main mise de la finance douteuse et surtout etrangere (emirats du Golf),donc une commission d ethique doit veiller sur la profession que l on appelle a juste valeur le $eme pouvoir,qui est et restera une arme redoutable si elle tombe entre les mains douteuses

    Sam
    22 août 2016 - 8 h 36 min

    Avec l’arabisation et l
    Avec l’arabisation et l’islamisation de la société et qui fait de nous un peuple inculte arrogant et agressif, c’est tout à fait normal que les journaux francophones vont disparaitre … les mosquées implémentées partout dans chaque cité servent à endoctriner, manipuler et contrôler les masses et nos écoles se sont transformées à leurs tours en mosquées pour apprendre aux gens la religion au lieu des sciences et le savoir… quel gâchis !!!!

      Aziz d'Oran
      22 août 2016 - 9 h 17 min

      Tout à fait d’accord !
      Tout à fait d’accord !

        mohamed khaboui
        22 août 2016 - 13 h 07 min

        le journaux ne ferment pas
        le journaux ne ferment pas parceque les algeriens sont arabes ou musulmans , ils ferment parceque ils n’ont pas les moyens finaciers .
        pourquoi ?
        1) il n’ont de media que le nom qu’il porte
        2 au mixiimum 2 jourlnalistes
        3 prenez n’importe quel journal et comptez les articles repris d’internet
        4..aucun annonceurs privés mise a part el waten et el khabar

          Sam
          22 août 2016 - 15 h 02 min

          Il faut maitriser les langues
          Il faut maitriser les langues pour pouvoir lire … comment voulez-vous qu’un peuple volontairement arabisé islamisé et renfermé sur lui même et qui ne maitrise aucune langue etrangère de lire un journal en français même si ce journal est gratuit !!!
          Quand un peuple est inculte il le sait pas et il devient systématiquement arrogant, agressif anti modernité et anti civilisation avec une couche d’hypocrisie … même la sonnerie des téléphones mobiles a été islamisée chez nous !!! L’occident invente, la chine fait de la veille technologique et l’algérien islamise !!!! Pauvre de nous ….

          C'est encore lui!
          22 août 2016 - 17 h 49 min

          L’arabisation, l’islamisation
          L’arabisation, l’islamisation et le démagogique retrait du pays hors du repos hebdomadaire universel (samedi et dimanche) ont été trois balles tirées dans la tête de l’Algérie. Mettez autant de pouces vers le bas que vous voulez, ça ne changera pas la réalité

          A la faveur de
          22 août 2016 - 17 h 40 min

          Je suis retraité d’une

          Je suis retraité d’une administration et de formation francophone, ayant un niveau confortable (bacc. français archivé à Fontainebleau, France). Cela m’a permis de continuer à travailler après ma retraite en qualité de Correcteur (orthographe, grammaire, formulation, ponctuation, terminologie etc.). Il y avait du boulot, mais les circonstances étaient ainsi, et il n’y avait rien d’anormal. Après avoir été employé par plusieurs journaux à Oran, j’ai fini par atterrir dans une publication pompeusement appelée « La Nation a. » et dont le tirage quotidien serait trop important pour un douar de 300 habitants. D’ailleurs beaucoup de buralistes eux-mêmes ignorent jusqu’à l’existence de ce journal-fantôme. On peut trouver parfois un ou deux exemplaires « en vente » dont le rôle-alibi est surtout d’attester de « l’existence » de cette publication (ne riez pas SVP) aux yeux de l’Administration et surtout de l’ANEP. Celle-ci, la mère nourricière, lui confie quotidiennement des annonces sur des critères qui n’ont rien à voir avec  » l’audimat » et les exigences commerciales. L’ANEP permet donc à ce canard boiteux (il y en a d’autres à Oran) de garder la tête au-dessus de l’eau, de façon strictement INUTILE du point de vue économique. Le propriétaire de ce journal, de formation très moyenne n’est même pas du métier. Ainsi, il n’a aucune raison de se casser la tête à faire un bon journal: les pages sont des étalages d’ infos, d’articles, de reportages, d’ illustrations et même de jeux de l’inépuisable INTERNET. Pour les nationales et les régionales il y a l’incontournable APS. Résultats : AUCUN journaliste et encore moins d’analystes, un seul correcteur. Avoir un personnel en nombre très réduit est l’objectif et l’obsession permanente du proprio. Cette tâche de compression du nombre d’employés obéit à des règles strictes: le maximum de « deux en un » au salaire âprement négocié et tiré vers le bas, si le poste à pourvoir nécessite des compétences en adéquation avec la fonction et la tâche à accomplir, eh bien, on ne va pas se casser la tête et chercher avec une lanterne l’oiseau rare. Un manipulateur d’ordinateur piqué à un journal concurrent du même acabit au niveau de langue française de 4ème AF , et se disant universitaire, fera office de Rédacteur en Chef. Rien que ça! Un « Chef » retraité d’une obscure administration est allègrement bombardé Directeur Général, chargé surtout de compression et de retenues de salaires impitoyables, injustifiées et parfois illégales. Quand un employé approche de sa période de congé, il est renvoyé sans ménagement, sans SDT, sans indemnités, ni congé payé. L’explication sans sourire de ce dirlo Colonel : vous n’avez pas droit au congé, car vous n’êtes pas déclaré, alors que c’était à lui à le faire. Une maffia je te dis! Et la dernière à dire ce jour, c’est la contestation par ce dirlo et un autre type intronisé Directeur de Publication : A LA FAVEUR de sa visite à Contantine, Sellal inaugure etc. J’ai été renvoyé pour avoir laissé « passer » l’expression A LA FAVEUR DE que ce DP conteste, même avec le Larousse ouvert, malgré que c’est L’APS qui l’ a utilisée, et Dieu sait si l’APS est exigeante pour la connaissance de la langue française. Ainsi, les lecteurs, si lecteurs il y a, sont déjà au courant des événements nationaux et internationaux, avant la sortie de « La Nation a. » Bientôt un blog que j’animerai, reviendra plus en détail sur ces sujets et d’autres encore, relatifs à d’autres journaux.

          anonyme
          23 août 2016 - 20 h 31 min

          merci pour cette bonne
          merci pour cette bonne tranche de rigolade et longue vie à votre blog , n’oubliez pas de nous poster un lien .
          Bonne continuation!

          A la faveur de
          24 août 2016 - 12 h 02 min

          Merci d’avoir pris la peine
          Merci d’avoir pris la peine de lire mon commentaire, qui à vrai dire n’en était pas exactement un. Merci pour le souhait de bonne continuation pour mon prochain blog. Je vais me permettre cette précision: c’est le propriétaire du journal lui-même qui avait alerté dès le matin, son Directeur de Publication sur cette « énormité » que constituait à ses yeux l’emploi « scandaleux » de l’expression « A la faveur de… ». Pris de panique, ce DP a convoqué le correcteur, moi-même, dès mon arrivée et m’a passé un savon historique, une engueulade mais alors unique, dans ma carrière de correcteur, et de prof de français! Si encore c’était une réelle faute d’orthographe, de grammaire ou d’accord, passe encore, je l’aurais assumé et me la serais bouclée. Mais l’ignorance de cet énergumène l’a poussé à désavouer aussi bien l’APS, le Larousse, que Google et le modeste correcteur que je suis. Je croyais rêver. Ce n’est certes pas un péché que d’avoir des lacunes en langue française, mais aller fermement contre ce que les dicos et l’Académie française énoncent, c’est un outrage contre soi-même. Cela se passait le 3o avril. J’ai aussitôt été suspendu à compter du 1er mai (la fête du travail), pour une faute que je n’ai pas commise. A se taper le coccyx contre le mur! Cela montre l’état de décrépitude de la presse et le niveau d’instruction du PROPRIETAIRE d’un Journal quotidien francophone ainsi que celui de son DIRECTEUR DE PUBLICATION. Cela ne fait pas honneur à la corporation! Mon futur blog rapportera toutes les anomalies que j’aurais constatées durant cette amusante carrière, comportera des infos insolites et les jeux de lettres (mots croisés, mots fléchés etc. ) dont je suis l’auteur.

      C'est encore lui!
      22 août 2016 - 9 h 58 min

      L’arabisation, l’islamisation
      L’arabisation, l’islamisation et le démagogique retrait du pays hors du repos hebdomadaire universel (samedi et dimanche) ont été trois balles tirées dan la tête de l’Algérie.

        Sam
        22 août 2016 - 12 h 00 min

        Alors que dans l’islam ya
        Alors que dans l’islam ya aucune notion de week-end !! Nos charlatans nous disent le contraire … l’Algerie a perdu des milliards de dollars pour cause de décalage par rapport au week-end universel, alors que cet argent perdu aurait pu être investi dans l’enseignement … Moi j’ai rien compris dans ce bled …

          Aguellidh
          22 août 2016 - 16 h 03 min

          Un peuple qui ne travaille
          Un peuple qui ne travaille pas, qui ment , qui vole, qui insulte Dieu, inaal d… R…., qui urine dans les escaliers, qui cri, qui ne lit pas, qui n’écrit pas mais qui va a la mosquée chaque vendredi pour implorer Dieu de le protéger et de protéger son capital volé durant la semaine, il est aussi sale dans sa tenue et il ose parler de Saint Coran etc. Je suis désolé DIEU est le maitre de cette horloge qui fonctionne sans erreur. Nous sommes sur une boule de terre ou nous trouvons tout pour vivre, et cette boule qui se trouve suspendue au milieu des milliards et des milliards de galaxie et nous nous retrouvons la comme des imbéciles à parler de Dieu sans savoir résoudre une équation à une inconnue. Drôle de croyance… A la place de IKRA nous avons KOUL

          Sam
          22 août 2016 - 16 h 24 min

          Le pire c’est quand ces
          Le pire c’est quand ces jeunes incultes exigent dans le cadre de l’ANSEJ des crédits bancaires SANS INTERETS alors qu’ils n’ont aucun projet et qu’ensuite ils font tout pour ne pas rembourser et VOLER l’argent qui ne leur apartient pas !!!! Mon Dieu mais c’est quoi cette race d’aliens !!! d’où vient-elle ?!

          Anonymous
          25 août 2016 - 21 h 46 min

          Sam, beaucoup de jeunes de
          Sam, beaucoup de jeunes de toute autre pays auraient fait la meme chose. Ils n’ont fait que profiter des actions d’une clique de mercenaires squattant el mouradia et qui fairaient tous pour y rester jusqu’a l’epuisement total des reserves. Jette un gros sac d’argent du haut de la tour eiffel et tu verras des femmes et hommes meme en cravate s’entretuer. On a dit a ces jeunes desoeuvres, venez et mettez juste votre nom sur ce formulaire bidon et on vous donnera de l’argent que bien sur vous n’allez pas rembourser plus tard. Ces jeunes bien sur ne vont cracher dessus. Voila, c’est l’achat de la paix social a la Bouteflika. L’Algerie, il s’en fout, comme de son premier, slip souillé.

      anonyme
      22 août 2016 - 12 h 55 min

      Il y a même des manipulateurs
      Il y a même des manipulateurs qui promettent à nos jeunes des visas en échange de conversion au christianisme.

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