Quand Londres abrite la propagande terroriste
Par Cheikh Hamdane – Certaines personnes qui prétendaient être des musulmans algériens ont fondé à Londres une chaîne de télévision faisant l’apologie du terrorisme international à la barbe du MI5 et MI6 pour réunir et donner la parole à tous les marginalisés et incultes – comme le pratiquait le Mossad en France ou en Belgique : récupération des drogués et marginalisés pour les endoctriner tout en leur fournissant une drogue spéciale fabriquée dans les labos du Mossad, avant de les envoyer tête baissée et yeux fermés commettre des attentats au nom de l’islam.
Cette chaîne télévision a trouvé le filon dans le milieu inculte des Algériens pour les embobiner à travers le petit écran et les rendre haineux contre tout ce qui n’est pas dans leur cercle vicieux plein de drame depuis la décennie noire. Ces énergumènes pointent leur doigt sur la personne du combattant Toufik après qu’ils aient tant aboyé sur la personne de Khaled Nezzar. Deux symboles de la République qui méritent toute la reconnaissance d’une nation prise pendant une décennie en otage par ces sanguinaires qui avait un programme machiavélique pour détruire la République.
Au sein de cette chaîne de télévision, un repris de justice qui déjà a servi une puissance étrangère au début des années quatre-vingt-dix en tentant un débarquement d’armes ramenées à bord d’un bateau de plaisance pour mettre le pays à feu et à sang ; aujourd’hui, il rallie une secte qui se couvrait d’un rideau islamique pour tenter de berner des millions d’Algériens qui par ignorance continuent de donner certain crédit à ces aboyeurs, très à l’aise à Londres grâce aux bailleurs de fonds sans scrupules et assassins à la solde d’un colonisateur. Pourtant, on ne peut s’empêcher de constater que c’est avec l’avènement de François Mitterrand que la descente en enfer a commencé.
On s’en souvient de la visite officielle qu’a effectuée le président algérien en 1984 en France, durant laquelle Mitterrand a dit qu’il fallait tourner la page. Mais de quelle page s’agissait-il ? La destruction du potentiel économique, la marginalisation des compétences, la corruption, la dilapidation, le clientélisme le plus étroit, le recours au sieur Peter Ustinov, qui animait alors une série d’émissions sur le défi mondial, donnaient des éléments de réponse. Dans une émission spéciale de défi mondial consacrée à l’Algérie (une émission commandée !), notre pays n’existait qu’à partir de 1979. C’était l’amorce de l’enterrement des grands principes qui ont animé ce peuple, à savoir la dignité, l’indépendance et la liberté. C’était l’arrêt des projets productifs, la prise en otage des terres agricoles, l’accentuation des dépenses inutiles…
Le grand tissu industriel bâti sur les frustrations d’un peuple qui croyait au développement de son pays fut réduit à néant et présenté comme un fardeau dont il faudrait se débarrasser. Il fallait tout privatiser ! Nous avons assisté ensuite aux calomnies et au chantage qui furent sans effet sur les hommes qui n’avaient rien à se reprocher, sauf d’aimer profondément leur pays.
Gloire à nos martyrs et vive la République !
Ch. H.
Comment (13)