Le général à la retraite Toufik et les opportunistes : on achève bien les chevaux !

Le général Toufik. D. R.

L’auteur de ces lignes a fait partie des nombreux citoyens sur lesquels s’est abattue la lourde main de la SM – l’ancêtre du DRS – après le coup d’Etat du 19 juin 1965. Certains pourraient en déduire qu’il est la personne la moins indiquée pour parler avec objectivité de la police politique. Il aurait été tentant, les yeux voilés par le ressentiment, de saisir l’occasion des attaques récurrentes contre le général Toufik pour régler de vieux comptes en faisant chorus avec ceux qui veulent charger la Sécurité militaire (quels que soit l’époque et le sigle : DGPS, DCSA, DRS) de tous les maux et de tous les échecs algériens depuis que cet important démembrement de l’ANP a été érigé en police politique par Houari Boumediene. Nous avons tenu, au moment où certains de mes compagnons et moi-même avons donné notre version des évènements que nous avons vécus, de ne jamais parler de ce qui s’était passé dans les sous-sols de quelques casernes d’Alger. C’était notre façon de dissocier l’ANP des violences de la structure de répression qu’un homme, fou de pouvoir a lovée, pour plus de dissuasion, au sein de l’armée.

Le général Toufik et l’ancien DRS n’ont évidemment aucune responsabilité dans les actes de la SM, version Kasdi Merbah. Réchauffer de vieilles vindictes, c’était se placer dans l’escadron, dont les rangs ont grossi avec le temps, des arlequins costumés pour l’hallali. Certains, les crocs aiguisés sur le marbre où le bon Lafontaine a gravé la devise du plus fort, avaient fait dans l’amalgame et s’en sont donné à cœur joie. On oublie de parler du rôle et des méthodes de la police politique depuis la réunion du CCE du Caire en août 1957 pour se focaliser sur les heurs et malheurs d’une personne.

Abdelhamid Brahimi ouvre le bal

Abdelhamid Brahimi, ancien chef de gouvernement de Chadli Bendjedid au milieu de la décennie 1980, longtemps auto-exilé à Londres, avait été le premier à ouvrir le bal. Il avait tiré à boulets rouges sur Toufik. Toufik n’était plus en charge de responsabilités. Il ne craignait plus sa réaction. «Toufik épluchait les pommes de terre et les carottes» (à l’époque, Brahimi, lui, faisait sans doute partie d’un premier collège de l’ALN exempt des tâches subalternes).

Toufik n’a pas été critiqué pour sa gestion particulière des crises nées des contradictions, des antagonismes, de l’arriération et de la propension à la violence d’une partie de la société algérienne, ou encore pour sa responsabilité personnelle dans le rebond et le maintien du système en place sous le prétexte que ce système est le seul garant de la stabilité du pays, mais pour sa prétention, selon ses détracteurs, à vouloir, dans l’ombre, régenter le pays par la manipulation…

Un ministre, hier tout fier d’étaler sa proximité avec Toufik, avait accusé soudain ce dernier d’avoir fabriqué des dossiers contre des personnes à des fins inavouables. Ce n’était donc pas la nécessité de restructurer un service pour le rendre davantage apte à son but et à sa fonction qui avait inspiré les changements, mais nous avait dit ce ministre, la colère d’avoir vu ce même service entreprendre des actions contraires à certains intérêts. Quand le désir de plaire à tout prix conduit aux pires maladresses ! Un autre, responsable de parti celui-là, n’en finit pas de rappeler à l’ancien chef hier tout puissant du DRS, la vieille et triste histoire du citron pressé. Certains ont la peau épaisse et dure. Et celui-là l’avait ainsi sans doute. Il se retrouva, quand sa saison passa, parce que citron quand même, dans la fosse à rebuts, vidé de sa substance. Les anciens parlent de bouc émissaire. Le rôle du bouc émissaire est d’être chargé à fléchir de tous les péchés du clan avant d’être mené à l’autel sacrificiel.

Le général Toufik, qui voit ses basques mordillés chaque jour un peu plus par les petites dents des créatures qu’il a lui-même usinées, peu méditer à loisir sur l’implacable logique du système qu’il a tant protégé.

Le summum de l’irresponsabilité

L’écumant responsable du FLN tient Toufik pour responsable de tous les drames qu’a connus le pays : l’attaque de Tiguentourine, les manifestations d’In Salah contre l’exploitation du gaz de schiste, l’affaire des moines de Tibhirine, les désordres de Ghardaïa, en un mot, l’auteur de tous les problèmes de l’Algérie.

Beaucoup s’offusquent, à juste raison, que des ministres, que des cadres applaudissent un discours irresponsable, un discours de règlements de comptes et de division. Les officiers issus de l’armée française ? Qui a nommé au poste de vice-ministre de la Défense Abdelmalek Guenaïzia, un des plus emblématiques des DAF ? Comment ose-t-il contredire le président de la République qui a rappelé à l’occasion du 5 Juillet ce qu’a fait l’ANP pour la sauvegarde de l’Algérie républicaine ? L’ANP n’était-elle pas commandée en 1992 par d’autres DAF ? Comment applaudir un homme qui dénie au commandant Azzedine, à Yacef Saâdi, à Zohra Drif, à Lakhdar Bouragaâ, entre autres grands patriotes, de s’exprimer sur l’état actuel du FLN ? Ou applaudir un homme qui affirme que l’instabilité vécue par Ghardaïa a été fomentée par les services ? C’est un outrage à tous les cadres, à tous les hommes, tous démembrements de l’Etat confondus, qui se sont investis pendant des années pour ramener la concorde entre les citoyens. Un homme qui laisse entendre que le drame de Tiguentourine a été provoqué ou facilité par les mêmes services ?

Personne n’a envisagé, avant d’applaudir, les conséquences de telles assertions : le retour de flammes dans la région du M’zab et les questionnements des chancelleries étrangères, surtout celles dont les ressortissants ont perdu la vie à Tiguentourine.

Saïdani et son parterre de clercs euphoriques savent-ils le bénéfice que vont tirer de leur show ceux qui, depuis des années, par les moyens de la désinformation ou de la justice internationale, veulent atteindre l’ANP à travers ses chefs à la retraite ou encore en activité ? Savent-ils que le général Toufik n’intéresse les lobbies des droits de l’Homme, les officines, les résiduels du parti défait et les excités de la compétence universelle qu’en tant que figure de proue des services qui ont tant donné pour la sécurité du pays et sa stabilité ? Saïdani a offert à tout ce beau monde ligué pour créer un foyer d’instabilité en Algérie des armes qu’ils sauront mettre en batterie. Les listes accusatoires sur lesquelles figure la fine fleur de notre institution militaire vont être réactivées.

Pendant des années, des hommes de bonne volonté – avocats, journalistes, représentants de la société civile, anciens combattants de la guerre de Libération et aussi militaires à la retraite – se sont mobilisés, dans l’anonymat le plus total, pour défendre leur pays et l’institution militaire. Ils ont lutté pieds à pieds, par leurs écrits, leurs témoignages, leurs actions contre les ténors de la désinformation anti-algérienne. Ils ont apporté un soutien non négligeable aux autorités officielles attelées à la tâche de préserver les intérêts et la stabilité de l’Algérie. Comment se faire entendre des autres quand la voix autorisée du secrétaire général du FLN prend à «contrepied» tous leurs arguments d’une façon aussi tonitruante ?

Au-delà du destin de Toufik, on peut parler, pourvu qu’on prête l’oreille aux échos qui parviennent de derrière toutes les façades des ONG «spécialistes» de l’Algérie et de certains parquets européens de désastre moral pour l’Algérie.

La nouvelle configuration

Avec le départ de Toufik, l’ère de la police politique toute puissante par la couverture de l’ANP est-elle vraiment révolue ? Beaucoup ne le croient pas. Un débat autour de cette question aurait intéressé les Algériens. Nul doute qu’avec la nouvelle configuration du commandement de cette structure à la tête de laquelle ont été placés des officiers engagés pour leur pays et expérimentés, les missions basiques de la SM (encore une fois, quel que soit son sigle) resteront les mêmes, mais les changements qui sont intervenus – c’est-à-dire qui dépend de qui – sont une excellente chose pour l’ANP, parce qu’ainsi, elle demeurera éloignée des tâches de police politique. Elle a déjà fort à faire sur le terrain. Elle le démontre tous les jours. Dire cela, ce n’est pas se positionner aux côtés de ceux qui se sont réjouis de l’opprobre jeté sur l’ancien chef du DRS pour d’autres raisons. L’atmosphère particulière qui a régné dans le pays après les déclarations outrancières de personnalités qui voulaient «régler son compte» à Toufik, avait faussé la bonne perception de la portée des mesures positives qui avaient été prises par le président de la République.

Les changements (de positionnement géographique) qui ont eu lieu, il y a quelque temps, au-delà des vraies raisons qui les ont motivées, auraient pu être l’occasion d’une réflexion globale pour évaluer l’impact sur le pays de la démarche imaginée et mise en œuvre par le pouvoir politique depuis 1962 et qui a consisté à impliquer l’ANP, dans une gestion policière de la société algérienne. Cela n’a pas été fait. L’arbre a caché la forêt.

Un chef innovant

Attentif aux grands équilibres de la société algérienne, «entremetteur» intelligent (au sens noble du terme), créateur de passerelles et de liens entre les différents acteurs de la vie politique algérienne, Toufik a été assurément un chef innovant à la tête du DRS. Son style et sa méthode n’ont copié en rien ceux de ses prédécesseurs. Kasdi Merbah a sévi à un moment particulier de l’histoire du pays. Houari Boumediene, son donneur d’ordre direct, ayant pris le pouvoir par le coup d’Etat et ne pouvant le garder que par la force, dans un moment où de grands acteurs de la révolution écartés par Ben Bella prétendaient revenir sur la scène politique, avait fait de la SM le bras frappant de son régime.

La nouvelle donne internationale, les changements au sein de la société algérienne, le multipartisme, la naissance d’une presse indépendante et pugnace, le développement des réseaux sociaux et la démarche prudente du pouvoir politique contraint de feindre la démocratie par l’artifice, ont contraint la police politique à s’adapter et à mettre en place des machineries soft. Les partis «champignons» maîtrisés par les quotas ou les strapontins, ceux ayant une assise dans la société, rebelles aux ukases, soumis à l’humiliation des délitements internes par l’action mercenaire de «redresseurs», les consultations contrôlées par le double fond de l’urne, les médias tenus en laisse par le robinet de la pub, à sec ici, goutte à goutte là-bas, plein débit plus loin, la vassalisation de la haute administration par la gestion des carrières, la dévitalisation de la société civile par l’angoisse de la sonnerie de l’aube (réminiscence de l’époque de la SM de Ferhat Zerhouni).

C’est cette ingénierie complexe et le style particulier de son maître d’œuvre qui ont fait le mythe de Toufik. Le déchaînement du terrorisme salafo-djihadiste a amené le DRS à disposer de ressources financières, humaines et matérielles pour faire face à l’offensive. Il est devenu, par la force des choses, une armée au sein de l’armée, ensuite, un Etat au sein de l’Etat. Toufik n’a jamais été ce que d’aucuns ont pensé (ou espéré) : une sorte de contre-pouvoir pouvant jouer les censeurs, les correcteurs ou les opposants dans un système dont il était l’un des concepteurs. Formaté dans la loyauté – plutôt que dans l’allégeance –, il est allé jusqu’au bout de sa logique, exécutant sans états d’âme son contrat. Le passage en force de 2008, auquel il a prêté main-forte, a été son non-retour. Bouteflika et Toufik, hommes de paix, avaient été rapprochés par la convergence des buts et la similitude de la démarche. Houari Boumediene agissait par l’exclusion et Kasdi Merbah veillait à tarir tout effet négatif, Bouteflika par le rassemblement et Toufik par la consultation et le dialogue, mettait en place la structure, les étages courants et la façade de l’édifice. L’Algérie des dogmes, des passions, des accès de colère cycliques et ravageurs et de la démesure en tout, doit être, selon le chef du DRS, régentée plutôt que gouvernée.

Pour certains peuples, la démocratie ne peut être que prudente et maîtrisée. L’ouverture débridée de la fin de la décennie 1980 a conduit à la guerre civile. Nul mieux que lui, et pour cause, ne savait la détermination, les moyens, les buts et les appuis extérieurs de ceux qui ont réussi, à un moment donné, à entraîner dans leur aventure criminelle, une partie de la jeunesse algérienne. Nul mieux que lui ne pouvait mesurer qu’elle aurait été le prix à payer pour une solution uniquement militaire. Dès lors, la démarche d’Abdelaziz Bouteflika ne pouvait que lui convenir. Sa proximité avec le chef de l’Etat était fondée sur la conviction qu’il fallait parier sur les efforts de ce dernier pour ramener la paix dans le pays. Il le soutiendra de toutes ses forces, quelquefois malgré les réticences de compagnons outrés par les propos satinés du Président en direction des «égarés». «Quand on veut ramener la paix, on utilise un langage de diplomate», se borne-t-il à répondre quand les ires alentour montaient crescendo.

Son parti pris le mènera à fabriquer une classe politique de «service» et une opposition utile, sans se rendre compte que le délitement moral des chargés de mission agira, par son effet soporifique, sur l’ensemble de la société au point de la rendre indifférente aux affaires de la cité. Distant et austère, probe et propre, il n’a été à l’écoute des citoyens que pour veiller à la case «RAS» (rien à signaler). Réservé et inaccessible, il n’intervenait jamais au bénéfice de quelqu’un, fût-il un compagnon de route, sauf une fois, quand il sera trop tard…

L’isolement d’un chef commence lorsqu’il ne sait pas défendre les siens. Cet homme en apparence froid qui désarçonne le vis-à-vis par le silence et la fixité du regard, avait pour les grands soldats de sa génération – les anciens comme il aimait à les appeler – beaucoup de considération, surtout pour celui, souvent présent sur la scène médiatique, dont il avait pu apprécier l’abnégation et le courage de la décision au moment des grands périls.

Mediene a su éviter à l’institution militaire, qui affrontait le déferlement terroriste, le piège de l’isolement en donnant à de nombreux citoyens et aux moudjahidine l’occasion de servir leur pays aux côtés de leurs jeunes frères de l’ANP. Le commandant Azzedine fut de ceux qui répondirent à son appel. Bouzegza et Zbarbar furent les lieux où El-Mekhfi, soutenu par Azzedine, infligea aux GIA leurs premières défaites. En évoquant les «14» par le ricochet de Toufik, et en les décrivant comme des marionnettes, Saïdani démontre son ignorance du poids et de la densité des liens qui unissent les gens de l’ALN à ceux de l’ANP. Il ignore leur attachement viscéral aux valeurs portées jadis par le FLN dont ils furent l’âme et la substance charnelle. Mais Saïdani ignore tant et tant de choses…

L’erreur du général Toufik au moment où, plus tard, voyant le Président affaibli par la maladie, il avait voulu mettre en place une alternative pour le plus grand bénéfice du pays, a-t-il cru, est de n’avoir pas accordé suffisamment d’importance à la nouvelle configuration du pouvoir au sommet ; pouvoir, malgré les apparences, plus que jamais robuste et imaginatif. Il n’a pas vu les raisons pour lesquelles cette nouvelle configuration ne pouvait pas être déconstruite. Ses adversaires ont pu craindre, à un moment donné, une résistance de sa part. C’était mal connaître l’homme. La stabilité du pays lui importait plus que son destin personnel. Le souffle et le soufre de la déflagration de 88 ont marqué sa vareuse d’une façon indélébile. Pour rien au monde il ne voulait revivre l’angoisse et les affres qui l’ont torturé lui et ses compagnons pendant ces journées de braises où le pays a failli basculer dans l’inconnu.

Le mythe

Sa discrétion et son humilité l’ont conduit trop longtemps à vivre à l’écart des tumultes. Il est devenu, dans l’imaginaire populaire, une sorte de sphinx, d’énigme, d’ombre tangible à l’entrée de la caverne au fond de laquelle bruissent les machineries mystérieuses et complexes du «système». Un «rab dzaïr» (Dieu de l’Algérie) doté de plusieurs bras, tel Kali la déesse hindoue de la transformation, de la préservation et du châtiment, autant de titres qui collent parfaitement à l’homme et à sa machine.

Ce mythe de Toufik, qui rejaillissait sur ses compagnons des autres corps de sécurité, fer de lance de l’ANP pour ses missions de sauvegarde de la stabilité du pays, faisait croire à beaucoup d’Algériens que quels que soient les périls, l’Algérie aura les moyens de rester debout.

Pour les Algériens, le DRS et son ancien chef, le DRS et ses chefs, tous ses chefs, au moment où les conséquences de la gestion hasardeuse de Chadli Bendjedid et de ses commis ont désarticulé le pays et l’ont placé à la merci des démagogues du FIS, le DRS a été le fer de lance des institutions républicaines de l’Etat qui ont, avec une extraordinaire abnégation, sauvé la République ; sauvé la République en répondant à la violence par des actions adéquates, sans jamais tomber dans le piège de la responsabilité collective ; sauvé la République, surtout par le choix délibéré de la persuasion et du dialogue avec ceux qui ont pris les armes contre leur pays.

Certains mythes tiennent un pays debout. Le vide, pour l’instant comblé par la main, le regard d’Abdelaziz Bouteflika, et par son charisme, peut-il devenir un trou noir aspirant, giratoire, toutes les aspérités à l’entour ? Ce chef, pourtant parfaitement averti des faiblesses, des égoïsmes et de la fragilité de la parole des hommes politiques, a semblé surpris par le manque d’égards et de gratitude de ceux qui lui doivent tant de choses. Les Algériens aussi.

Mohamed Makhdari

Comment (142)

    Hacene
    20 octobre 2016 - 12 h 38 min

    Du temps de Merbah , il n’y a
    Du temps de Merbah , il n’y a jamais eu d’affaires de corruptions, il n’y a jamais eu 200000 morts et disparus. L’Algérie etait respectée et ses services craint de par le monde. Merbah etait un seigneur et il a été lachement assassiné car c’etait le dernier barrage pour cette bande de malfaiteurs à la solde de la france coloniale.

      anonyme
      20 octobre 2016 - 23 h 12 min

      il n’y a pas que merbah qui
      il n’y a pas que merbah qui était le dernier rempart , renseignez vous sur toutes les personnalités assassinées et vous verrez pourquoi l’algérie d’aujourd’hui est aussi moche et rebutante à tous les niveaux!

    MOUAD TADJENANET
    20 octobre 2016 - 12 h 33 min

    M Toufik! nous avons besoin d
    M Toufik! nous avons besoin d’ hommes comme vous. vous avez sauvé ce pays du capharnum qu’ il fût pendant la décennie noire. Avec tout le respect qu’on doit à notre Président,qui est entouré,malgré lui , de fieffés coquins, nous n’acceptons plus cette situation politique que vit notre pays.nous sommes devenus la risée du monde entier. j’espère M Toufik que l’état où nous sommes arrivés ne vous plait pas. Monsieur ! dans ce pays , qui commence à perdre tous ses repères , nous avons besoin d’ un SPHINX, la situation interne est fiévreuse sans oublier ce qui nous guette de l’extérieur. M Toufik! nous n’avons pas de pays de rechange, nous n’avons pas de cartes de résidence à Paris ,à Londres ou ailleurs, nous n’avons pas d’appartements pour sauver nos enfants au cas où…..NOUS N AVONS QUE LE CIEL BLEU DE NOTRE PAYS. M Toufik! revenez mais par n’importe quel moyen, vous n’ignorez pas que l’ algérien est courageux , intrépide, brave , c’est un chevalier sans peur, il a toujours bravé les dangers, mais ces dernières années , la peur s’installe dans son coeur et dans son environnement. M Toufik, on commence à perdre espoir, il est donc urgent de surseoir à cette situation ambigue où font la loi des vautours venus d’horizons étrangers pour partir ensuite vers ces mêmes horizons sans souci pour ce peuple ,qui commence à sentir son orphelinat. Notre Président n’ a pas failli à sa mission , il a beaucoup fait pour ce pays, si ce n’est la trahison de ses propres amis……. M Toufik nous vous attendons , les hommes comme vous sont l’espoir de ce pays.

    MATAKOULCH El YAOURT
    20 octobre 2016 - 12 h 02 min

    Merbah a chassé Bouteflika ,
    Merbah a chassé Bouteflika , Toufik en a fait un président á vie et il s’est fait avoir comme un bleu . Allah yerahmek ya Si Merbah

      Alilapointe59
      20 octobre 2016 - 16 h 12 min

      Merbah, et tout les généraux
      Merbah, et tout les généraux sont partis chercher boutlefika… Tu parle merbah chef de la sécurité algérienne n’a pas pu sauvé boudiaf Allah yarmhou pourquoi???????

        Amir
        20 octobre 2016 - 17 h 44 min

        Merbah a quitté la SM en 1979
        Merbah a quitté la SM en 1979 , pose ta question á Toufik ,c’etait lui le patron en 1992 . Merbah a lui meme été assassiné par ses « frères d’armes » en 1993 et Bouteflika a été ramené en 1999 .
        Il faut eviter de dire des conneries lorsqu’on ne connait pas l’histoire de son pays .Sans rancunes.

        Anonymous
        20 octobre 2016 - 18 h 15 min

        Imbécile Maroki tu es et tu
        Imbécile Maroki tu es et tu le restera !

        fatigué
        21 octobre 2016 - 7 h 41 min

        ha ha ha ha ! ton film des
        ha ha ha ha ! ton film des événements est mal monté, Merbah a ramené Bouteflika en 1999 ? alors c’est qu’il est sorti de sa tombe pour ce faire ! ! ! ! !

    volte-face
    20 octobre 2016 - 11 h 32 min

    avant de placer un clan au
    avant de placer un clan au pouvoir ….fallait se prémunir d’un volte-face !
    ben …maintenant c’est ce qui se passe….

    proverbe 001
    20 octobre 2016 - 11 h 30 min

    un proverbe à ne jamais
    un proverbe à ne jamais oublier :
    # ON NE RÉCOLTE QUE CE QUI A ÉTÉ SEMÉ ! #

      Khaled
      20 octobre 2016 - 12 h 23 min

      Absolument ! Il a semé le
      Absolument ! Il a semé le vent , il récolte la tempete …

    Slim
    20 octobre 2016 - 10 h 11 min

    L Algerie a failli basculer
    L Algerie a failli basculer Dans l abime a cause de son systems de gestion economique qui a fait trop de mecontents . Le systems securitaire etait repressif et n offrait pas d alternative . Tous ceux qui sont Dans la politique et la gestion economique ainsi que les elites intellectuelles Ont une part de responsabilite Dans la tragedie Algerienne recement vecue . Avant tout le systems s est atteler a assured Sa survie puis Sa perenite . Personne ne peu se banter d avoir sauver l Algerie . Le vrai hero c EST le peuple surtout les ruraux comme Dans le passe ils se sont battus par Amour de la patrie . Ces gens sont enracines Sur leur terre . Il sont vaillants et courageux . Ils ne vivent pas Dans les salons feutres . Ils aiment leur terre ceux sont eux la colonne vertebrale de l Algerie . Je rend hommage a tous nos ruraux et nomades ainsi que tous ceux qui Ont combattus avec leur plumes leurs vois leur argent et leur bras . Ceux qui favorise le particularisme et le regionalisme en mettant de cote la diversite et l union ne servent nullement la raison d etre A lgerienne . Vive la paix , la tolerance , l union , la modestie et le travail .

      Rascasse
      20 octobre 2016 - 14 h 42 min

      Merci
      Merci

    Algérien
    20 octobre 2016 - 10 h 00 min

    Une justice faible ne peut
    Une justice faible ne peut rendre l’honneur de personne … même-vous Mr Toufik.
    Durant les années passées dans le cœur du pouvoir Algérien vous n’avez pas œuvré à la construction des institutions fortes et solides qui puissent honorées les Algérien… Un assez fort pouvoir judiciaire pour vous rendre votre honneur…. Ou bien vous avez échoué…
    Résultat, une institution judiciaire aux ordres qui ne peut rendre l’honneur à personne.

    rougi
    20 octobre 2016 - 9 h 33 min

    le général toufik a une
    le général toufik a une grande responsabilité a se qui lui arrive il aurai pus mieux faire avec le poste qu il occupé la question qui se pose avait il le niveau intellectuelle et culturelle moi j en doute

    Anonymous
    20 octobre 2016 - 9 h 33 min

    Apres le gaspillage de plus
    Apres le gaspillage de plus de 1500 milliards deDollars adroite et a gauche aux cpopains et copines et sans que cette populasse n’en beneficie il fallait trouver un bouc emissairre sur lequel on met tous les gaspillages sur le dos.Une fois CHADLI et une autre fois TOUFIK.Le peuple n’est pas dupe .Alors on lache les hypocrites de Ouayahia et Ghoul et je ne cite pas SAIDANI car ce dernier n’est qu’une Derbouka pour l’accuser.
    Le peuple es conscient et saitparfaitement qui est derriere ce gaspillage

    ZOUFRI
    20 octobre 2016 - 8 h 23 min

    MONSIEUR SI MOHAMMED MAKHDARI
    MONSIEUR SI MOHAMMED MAKHDARI, UNE SEULE QUESTION : CONNAISSEZ VOUS RÉELLEMENT TOUFIK?

    ARRÊTE DE D’INTOXIQUER ET DE DÉSINFORMER LES LECTEURS.

      Lamine Boumediene
      20 octobre 2016 - 8 h 45 min

      À mon avis il le connaît très
      À mon avis il le connaît très bien,malheureusement pour vous

      akchiche
      20 octobre 2016 - 12 h 17 min

      Mr Zoufri, nous les algériens
      Mr Zoufri, nous les algériens qui vivons dans ce pays connaissons bien le GENERAL Toufik, il est le sauveur de la nation toute entière, parlez pour vous peut être si vous vivez outre mer, c’est son patriotisme qui l’a empêcher à affronter les gens qu’il a hisser lui même au sommet du pouvoir.
      poignardé dans le dos par cette caste mais toujours debout et fidèle a ces principes immuables.

        anaALGERIEN
        20 octobre 2016 - 14 h 37 min

        BOF !! et re BOF !!
        BOF !! et re BOF !!

        Saber
        20 octobre 2016 - 17 h 47 min

        @Akchiche, Yarham Waldik,
        @Akchiche, Yarham Waldik, Toufik a sauvé quoi et comment !!? La situation du pays vous contredit …

      imed
      20 octobre 2016 - 15 h 22 min

      Franchement Mr ZOUFRI vous
      Franchement Mr ZOUFRI vous me mettez vraiment à l’aise apres que ce MAKHmachin m »est anésthésié. MERCI

      W19 - TP
      20 octobre 2016 - 17 h 42 min

      Ton intox commence a suffire
      Ton intox commence a suffire : degage d’ici. Toufik on le connait pour ce qu’il a fait. Et ca nous suffit. Degage. Si t’es ne dans les baveries, c’est ton probleme. Maintenant tire-toi et va faire tes pollutions ailleurs. Degage.

    TheBraiN
    20 octobre 2016 - 8 h 21 min

    Le lion mort , les chiens
    Le lion mort , les chiens peuvent danser sur son cadavre !!!
    Proverbe arabe à méditer !!

      Anonymous
      20 octobre 2016 - 9 h 15 min

      NON LE LION N’EST PAS MORT IL
      NON LE LION N’EST PAS MORT IL LES MÉPRISES AVEC SON SILENCE!! ET MÊME S’IL N’A PAS PRÉPARER SA RETRAIRE, COMME CERTAINS LEURS COMPTES EN BANQUES ET PLEINS A CRAQUER AVEC LEURS BIEN IMMOBILIERS INVESTIS EN EUROPE ESPAGNE FRANCE….. AVEC L’ARGENT VOLER AU PEUPLE ALGÉRIEN. LUI AU MOINS IL RESTE AU BLED IL ASSUME SES RESPONSABILITÉS .

        Gringo
        20 octobre 2016 - 11 h 18 min

        LE LION EST TOUJOURS LA
        LE LION EST TOUJOURS LA PRESENT AVEC NOUS EN ALGERIE. IL VEUILLE SUR NOUS COMME IL L’A TOUJOURS FAIT. Il RESPIRE LE MEME AIR QUE NOUS ET SAIT TRES BIEN CE QU’IL FAIT.
        PAR CONTRE, CEUX QUI S’AGITENT ACTUELLEMENT POUR SALIR NOTRE LION SAVENT TRES BIEN QUE LEUR DATE DE PEREMPTION EST ARRIVEE A TERME ET IL N’AURONT MEME PAS LE PRIVILEGE DE SAVOURER L’ARGENT ET LES PRIVILEGES MAL ACQUIS.

          TKOUT
          21 octobre 2016 - 9 h 25 min

          LORS DE L ARRIVEE DE LA
          LORS DE L ARRIVEE DE LA DEPOUILLE DE HOCINE AIT AHMED LE PSEUDO LION EST VENU SOUS LA POINTE DES PIEDS AU FFS ..LUI QUI A TRAHI LES ELECTIONS DE 1999 EN CHOISISSANT (…) BOULAFRAYASS BOUTEFLIKA ET AU FFS ON LUI A DIT ET REDIT NI ETAT POLICIER NI ETAT INTEGRISTE
          MOI MEME CHAOUI DEVENU MILITANT A VIE DU FFS VOUS DIT QUE NOUS AVONS TROIS LIONS EN ALGERIE HOCINE AIT AHMED BOUDIAF ET ZERROUAL ..LE RESTE IKHIR OULACH

      nacer
      20 octobre 2016 - 12 h 35 min

      Un lion ne meurt pas , il
      Un lion ne meurt pas , il DORT….. maitre el Anka disait: le lion, même s’il est mort reste un LION

    bouarba
    20 octobre 2016 - 8 h 17 min

    globalement votre article va
    globalement votre article va dans le bon sens
    vous mettez(sans trop y toucher) plus bas que terre le responsable actuel du FLN et vous avez raison.
    il résume les problèmes du pays à l’existence d’ une ou deux personnes, qui ne sont plus aux commandes.
    il ne semble pas mesurer les conséquences de ce qu’il avance au delà de la boutade pour faire rire ceux qui sont autour de lui, oubliant que quand on a de la valeur, on ne tire pas sur une ambulance et que la grande roue de la vie n’épargne personne.
    vous défendez assez habilement, les structures de sécurité et leur dernier ancien chef, c’est votre droit et vous avez certainement des raisons de le faire, cela relève de votre appréciation et vous engage, car cet ancien chef et ces structures (quelque soient les appellations) existent toujours.
    mais lorsque vous vous permettez de parler de feu le président CHADLI et de son action au service du pays, en termes de « gestion hasardeuse.. »il y a problème.
    qui que vous soyez, ayez l’élégance de ne pas critiquer ceux qui ne sont plus en mesure de se défendre.
    et d’abord quelle est la part du hasard, dans la gestion d’un pays?
    à la place du président CHADLI auriez vous été « moins hasardeux? »
    étiez vous au fait des diverses contraintes nationales et internationales, des enjeux internes et externes, du moment et pensez vous que les possibilités ouvertes alors, permettaient d’autres conduites que celle que vous qualifiez de « gestions hasardeuse.. »?
    vous même (comme la plupart des mortels que nous sommes) êtes vous « rationnel » dans la conduite (gestion) y compris de votre propre vie?
    dommage pour votre article, à vouloir trop en mettre, vous l’avez diminué.

    W19 - TP
    20 octobre 2016 - 8 h 09 min

    AP : ca fait trois fois que j
    AP : ca fait trois fois que j’ecris un message sur Toufik. Bizarrement ils ne passent pas alors que je suis claireemtn pour le retour de ce monsieur. Vous fonctionnez normalement ? Vraiment etrange.

      KARIM
      20 octobre 2016 - 8 h 17 min

      JE QUOI mémé esse il lui
      JE QUOI mémé esse il lui reste des homme qui travail pour lui

    Algérien Naif
    20 octobre 2016 - 8 h 02 min

    Tout le monde défend Toufik,
    Tout le monde défend Toufik, moi y compris. Du coup je commence a penser que la sortie de Drabki dit Saadani est vous voulue et programmée pour valoriser encore plus la la personne de notre Générale Toufik,
    Pet être je yoyote un peu, mais je commence à penser ainsi, au fait une sorte de teste??!!
    Bien à vous

      anaALGERIEN
      20 octobre 2016 - 15 h 26 min

      non ! pas tout le monde car c
      non ! pas tout le monde car c’est lui qui est à l’origine de tous les maux de l’Algérie et d’ailleurs il n’a que ce qu’il mérite et en plus il continue à se taire comme d’hab !!

    Anonymeplus
    20 octobre 2016 - 7 h 09 min

    A lire les élucubrations du
    A lire les élucubrations du sieur makhdari, l’Algérie avait un chef des services hyper compétent.
    Malheureusement pour makhdari, à voir le paysage politique de l’Algérie, on comprend très vite que le niveau est inexistant, que dire du domaine économique et social, l’Algérie est devenue la poubelle du monde ou tous les produits contrefaits pullulent et l’algérien, tous les algériens sont devenus des corrompus, l’indice des nations unis sur la transparence est là pour corroborer mes dires.
    Aucuns des responsables ne sont recrutés pour leur aptitude à gérer les affaires de l’état, tous sont recrutés pour leur niveau de servitude.
    Toufik a enfoncé l’Algérie vers les abysses de la médiocrité, il va falloir 25 autres années pour redresser l’Algérie vers le zéro. A croire que la présidence de la république, seul réel pouvoir déteste ce pays, maudit par la déchéance humaine qui « gère » un pays immensément riche comme on gère un…douar.

      MESTARI
      20 octobre 2016 - 16 h 32 min

      Ne dites pas que tous les
      Ne dites pas que tous les algériens sont des corrompus!!!! car vous tombez dans leur macabre jeu!!!

      MATAKOULCH El YAOURT
      20 octobre 2016 - 17 h 08 min

      Merci !
      Merci !

    Observateur
    20 octobre 2016 - 6 h 54 min

    Vous avez réussi à passer
    Vous avez réussi à passer entre les mailles de plusieurs filets des tumultes de l’histoire récente sans accros, dans un océan politique sans réel garde-fous où tous les coups sont permis. Vous êtes plutôt bon nageur. Excellent nageur je dirais, ce qui vous place dans le trousseau -le bon- des clefs de sortie de la situation où nous sommes. Je vous propose une démarche qui sied le mieux à votre personnalité : attelez-vous à restituer le FLN a la grande Histoire de notre pays et je pense que le FFS, le RCD, le PT et d’autres formations et personnalités politiques vous suivront dans l’initiative.

    kazmer
    20 octobre 2016 - 6 h 48 min

    Je vois que la campagne pour
    Je vois que la campagne pour la présidentielle a bel et bien commencé.

    H'didwane
    20 octobre 2016 - 6 h 40 min

    Une comparaison importante
    Une comparaison importante entre l’Algerie et la Russie. Avant Putin (du KGB), la Russie a traversé une période d’anarchie, de saccage de ses ressources et une debacle sans nom sous Yeltsin. Putin est arrivé et a mis de l’ordre avec une main de fer. Depuis 1999, l’Algerie vit le meme scénario: Anarchie totale et pillage de ses ressources et destruction de ses institutions, mme les plus sensibles, a tous les niveaux. Faite l’analogie pour trouver la solution … Nous devons faire la meme analogie pour 5 ans pour stabiliser la société, arreter l’hémorague et mettre en taule les escros de la nation, les destructeurs de nos institutions et tous ceux qui ont pillé les richesses du peuple. Avec une telle phase de transition, on aura la discipline, le respect des lois de la république et l’algérien se sentira de nouveau ALGERIEN, amoureux de son pays et tolérant avec ses compatriotes de l’est a l’ouest et du nord au sud. Voila tout ce que tout algérien voudrait voir arriver.
    Qu’avant nous aujourd’hui ? La misère, la haine et l’intolérance entre les franges de la société et un pays et des ressources qui appartiennent aux autres mais jamais aux algériens de souche.

    kader
    20 octobre 2016 - 5 h 49 min

    …. » on a toujours besoin d
    …. » on a toujours besoin d’un plus petit que soi » : pour vous servir, vous honorer ou même vous enterrer ….
    il se trouve que saadani , baudruche en ces temps, s’attaque à un homme qui a donné de lui même à l’image de son parrain le célèbre Boussouf qui a honoré son pays dans les heures les plus durs.
    les opportunistes chercheront bien les plus infimes détails pour salir un homme de principe.
    mission accomplie ,il se retire sur ordre de son chef et l’honneur du pays est sauf: un exemple à méditer….

    BAHRI
    20 octobre 2016 - 5 h 47 min

    Je trouve votre article trés
    Je trouve votre article trés intéréssant et instructif.Seulement lorsque vous écrivez »conséquences de la gestion hasardeuse de Chadli Bendjedid et de ses commis ont désarticulé le pays et l’ont placé à la merci des démagogues du FIS » je pense que vous êtes un peu dans l’erreur.Vous même vous reconnaissez que depuis l’indépendance l’Algerie a toujours été régie par la police politique ;et personnellement je pense que ça continuera toujours
    Ce Saidani et autres ministres sont une création de la police politique ; ils ne viennent pas du néant
    Vous ne pouvez pas etre invité par la télévision ou faire une interview à la radio si vous n’avez pas le OK de la police politique
    Meme la presse Algerienne que vous dites indépendante et pugnace était et sera toujours sous les ordres.
    Bien sur dans les pays sous developpés ont besoin d’une dictature éclairée ;malheureusement le constat est tout autre ,surtout pour l’Afrique ou 100% des dirigeants sont des dictateurs aveugles
    Merci pour votre contribution

    brobro
    20 octobre 2016 - 4 h 06 min

    l’alternance clanique au poui
    l’alternance clanique au poui
    voir n’est pas facile à gerer!!!

      Anonyme
      20 octobre 2016 - 17 h 04 min

      Pauvres de nous! Même la
      Pauvres de nous! Même la liberté de penser nous a été ôtée par ceux qui nous disent »On pense a votre place »Je suis désolé de le dire mais certains « Hauts dirigeants n’ont pensé qu’à eux même et a leurs proches et ce depuis 1962 et ont tout fait pour écarter les authentiques patriotes nationalistes qui ont fait leurs preuves et qui ont respecté les lois de ce pays . Enfin « On ne peut jamais faire d’un âne un cheval de course » .Et celui qui n’a pas été brillant dans études et ses relations avec autrui ne sera JAMAIS un bon dirigeant!!! STOP a la Hogra .Dieu Allah saura reconnaitrre les siens!!!

    Bedbes
    20 octobre 2016 - 3 h 44 min

    Votre coeur s »arreterait de
    Votre coeur s »arreterait de battre si vous pouviez avoir acces au dossiers noirs de Mr Tewfik

    M_SID
    20 octobre 2016 - 2 h 39 min

    Respect à tous les militaires
    Respect à tous les militaires qui on défendu notre pays bec et ongle contre les attaques internes et externes. Helas, le MDN actuel n’es plus se qu’il été. beaucoup de mise à la retraite depuis 2010 de jeunes officiers supérieurs sur-qualifié et formé (tous corps confondu) et le maintien de dinosaures de plus de 70ans pour des questions d’intérêts stratégiques à court et moyen terme.

      Ikhlef
      20 octobre 2016 - 23 h 05 min

      Mais alors pourquoi nos
      Mais alors pourquoi nos braves militaires ne nous délivrent pas des griffes de la secte d’Oujda …???

    Benhabra brahim
    20 octobre 2016 - 2 h 14 min

    « On acheve bien les chevaux »?
    « On acheve bien les chevaux »????!!!!!..Mais quand on acheve mal un travail voila ce que ca donne:.
    Au moins quatre personnes ont été blessées, mercredi, dans l’effondrement d’un mur à l’intérieur de l’Université de Khemis Miliana dans la wilaya de Ain Defla.
    Selon des sources locales, l’incident s’est produit dans le chantier de la bibliothèque causant des blessures à au moins quatre personnes dont deux dans un état jugé grave. Les causes et les circonstances exactes de l’effondrement de ce mur restent inconnues.

    Et aussi::…Des passagers ont été pris de panique, mercredi après-midi, peu avant 15 heures, à bord d’un avion d’Air Algérie au moment où il s’apprêtait à atterrir sur le tarmac de l’aéroport d’Alger.
    L’appareil, un ATR, en provenance de Constantine a perdu l’une de ses roues faisant perdre le contrôle de l’avion au commandant du bord d’autant plus que l’appareil a quitté précipitamment la piste d’atterrissage.
    Fort heureusement, le pilote a réussi à maîtriser la situation, évitant ainsi une catastrophe de justesse, selon des témoins parmi les passagers.

      Anonymous
      20 octobre 2016 - 5 h 54 min

      quel rapport ya el marroki el
      quel rapport ya el marroki el khanez ? comme si dans le bord..l a ciel ouvert ou dans le monde entier tout marche a merveille et sans accident

      OUJOUJEN
      20 octobre 2016 - 19 h 10 min

      Aucun rapport avec le sujet
      Aucun rapport avec le sujet les faits divers c’est quelque chose de normal

    M'hamed
    20 octobre 2016 - 1 h 16 min

    On parle du General Toufik
    On parle du General Toufik beuacoup plus maintenant alors qu’il n’est plus en poste.
    ET jusqu’a la, l’homme n’a jamais fait d’interviews ni apparu a la TV.
    Qu’en sera t-il si General Toufik s’adresse en Direct aux Algeriens ?

    Kika
    20 octobre 2016 - 1 h 03 min

    C’est l’Homme qu’il faut à la
    C’est l’Homme qu’il faut à la place qu’il faut pour libérer la justice afin qu’elle puisse être indépendante ,
    Passer à la 2 eme République pour instaurer une démocratie avec une vrai constitution par une constituante.
    Et ouvrir un champ politique propre non au service d’un pouvoir.
    En résume inverser le pouvoir , non en un seule homme mais base sur des institutions solides.
    Vive Toufik qui veut dire ESPOIRE OUI ESPOIRE.
    InchALLAH.

    الهوارية..في فرنسا
    19 octobre 2016 - 23 h 35 min

    J’ai peur pour Lui qu’il
    J’ai peur pour Lui qu’il attrape une « Attaque cérébrale », il est trop âgé pour diriger un pays difficile et un peuple pas très tendre avec sa Patrie…
    Qu’il reste là où il est, pour qu’on puisse garder de Lui cette photo floue illustrée au crayons de couleurs de l’homme mythique qui sécurisait notre Empire Algérien (l’Algérie)
    Pour tous les services rendus merci, mais l’Algérie a besoin d’un Président qui nous représente devant le monde entier… Un président neutre qui ne doit pas faire partie d’un corps militaire, policier ou gendarme.

      RAF BOUM TAGTAG.
      20 octobre 2016 - 2 h 25 min

      Oui un vrai Président pas un
      Oui un vrai Président pas un dévaliseur d’entreprise comme c’est le cas.

      W19 - TP
      20 octobre 2016 - 5 h 14 min

      L’Algerie n’est pas un empire
      L’Algerie n’est pas un empire… Dieu merci, il manquerait plus que nous prenions la maladie des colonialistes. Dieu nous en garde.
      Ensuite si Toufik devait avoir une attaque cerebrale, il aurait pu l’avoir durant la decennie noire, or, precisement, il fallait ce genre de cerveaux froids pour tenir. C’etait le meme peuple avec une situation pire qu’aujourd’hui. Toufik a largement les moyens de nous representer devant le monde entier. C’est largement meilleur que ce que nous avons maintenant ou que Drabki… Pas comparable. Ensuite, les militaires sont plus fiables dans le cas de l’Algerie pour le pays. De Gaulle etait militaire, Poutine etait militaire. Des idees generalistes, ca ne sert a rien. Il faut l’idee, le moment et la personne. Vu l’histoire de notre pays et de sa situation actuelle, un militaire n’est pas une mauvaise chose. Au contraire.

      Lamine Boumediene
      20 octobre 2016 - 8 h 43 min

      Tout à fait d’accord pour
      Tout à fait d’accord pour dire qu’il a assez fait , mais il a la force de donner encore seulement beaucoup n ont pas compris son combat noble pour ce pays

    RAMO
    19 octobre 2016 - 22 h 52 min

    Cet article est trop complexe
    Cet article est trop complexe,seul les concernés direct peuvent nous l’expliqué,mais ce n’est pas le cas pour le moment

    jb
    19 octobre 2016 - 22 h 31 min

    Ahran (non vérifié

    Ahran (non vérifié
    Clan de Nedroma

    Tu exagere j ai de la famille a Nedroma et je t assure c est un petit village paisible comme tout les villages d Algerie

    Je n ai pas vu les bienfaits du clan sur le village ou la population vie Normalement tres normalement

    marbouh
    19 octobre 2016 - 22 h 20 min

    il n y a que les pays sous
    il n y a que les pays sous développés qui se permettent ce genre d ontologie sur un département aussi important ;
    et faire dans la dentelle , dans le service du renseignement est abscons, le Drs s il à échoué le PRESIDENTdoit démissionner car il est sous les ordres Du Président de la république ET CE N EST PAS LE CAS DEPUIS LE DEPART DU GENERAL TOUFIK et depuis des mois vous ne faites pas le procès d un officier sous les ordres, mais du Président lui même , in fine ceux qui jettent des fleurs sur l institution ne font que se défendre , qu un gouvernement se retourne contre cette institution est incomprehensible dans un etat de droit, nous sommes sous développés et cet article n a pas lieu d etre ecrit.

    Dah
    19 octobre 2016 - 22 h 19 min

    Merci pour votre déclaration,
    Merci pour votre déclaration, elle nous laisse espérer une fin digne et de reconnaissance pour cet homme exemplaire pour nous tous.

    sami
    19 octobre 2016 - 22 h 06 min

    Il devrait être le prochain
    Il devrait être le prochain président du pays.Poutine qui était membre du puissant KGB est bien président de la Russie.Par son patriotisme et son Amour pour la Mère Patrie,il a réussi à imposer le respect pour son pays qui a retrouvé son lustre d’antan.
    Sans connaître Toufik ,je suis persuadé qu’il transformera notre Algérien un puissant pays émergent.Nous avons l’intelligence,la capacité Il nous reste la volonté politique et la reconnaissance de tous les Algériens d’ici et d’ailleurs,
    Il devrait éradiquer les islamistes qui sont un véritable frein au développement de notre pays.

    Kika
    19 octobre 2016 - 22 h 05 min

    C’est facile d’avoir de l
    C’est facile d’avoir de l’argent mais c’est difficile d’être un HOMME.
    DARGAZ AL 3ALI
    Merci mon General
    Que Dieu vous protège et protège l’Algérie

    Le lynx
    19 octobre 2016 - 22 h 02 min

    Qui sème le vent récolte le
    Qui sème le vent récolte le tsunami. Les conséquences de la politique de l’otruche. Quand on parle de sécurité il faut vraiment être à l’avant-garde. Poutine incarne bien ce rôle à peine arrivé au pouvoir il a écrasé les fils de p…oligarch.
    Toufik a tellement laisse faire qu’il est normale qu’il perde le contrôle, mais en fin de compte lui ne perd rien dans tout se massacre et dans se décors qu’il a planté pour nous vu son âge.. Nous somme les vrais perdant

    Erdt
    19 octobre 2016 - 22 h 02 min

    M Makhdari,je salue ton
    M Makhdari,je salue ton témoignage,je suis de cette époque,sm des années Ben bella puis boulediene. Si a cette époque on peut comprendre la politique de boumediene ,la dictature éclairée,éclairée car boumediene ,que je ne connais pas et étais très loin de lui,avait l’idée de construire le pays. A c compagnons de combat qui voulaient faire des affaires il a dit » prenez des prêts,faites vos affaires et ne vous mêlez pas de politique,laissez moi faire »! Je dis ça par intuition car loin de c décideurs,en tant que simple citoyen qui essaie de comprendre. D’ailleurs les ouamrane dehiles boudaiud oussedik…qui ont eu stations d’essence,cabaret,usines…et d’autres que je connais pas dont des cas que chaab de cette époque connaissent. Boumediene a instauré un régime parti unique pensée unique mais dans le but de construire un pays où tout était à faire,et dans ce registre avec abdeslam il a réussi à mettre sur pied une industrie unique dans le tiers monde!! Prix administrés,salaires administrés,mais c’était cohérent!! Convaincu de son projet il n’admettait pas d’opposition,mais était très proche du peuple!! La preuve 40 ans après nos incompétents n’arrivent pas a construire une raffinerie d’essence,une cimenterie..alors que boum en a construit des dizaines!!

    les damnes de la terre
    19 octobre 2016 - 21 h 55 min

    Ce que nous vivons aujourd
    Ce que nous vivons aujourd hui ne peut etre qu une suite logique d un regime qui tire sr tt ce qui est debout.Avec le peu d experience que j ai en terme de politique ,je crois que meme si en se prevalant de democrate et fervent defenseur de la liberte d expression , il y a minimum de retenue a observer lorsqu il s agit des sujets qui peuvent nuire a la securite et a la stabilite du pays ou encore provoquer de la fitna .je me demande si des affaires aussi graves qu avaient soulevees saidani auraient ete prononcees par un simple citoyen que je ss .Quel.serait mon sort?la justice serait elle actionne pr m entendre et peut etre meme m ecrouer.Je reponds par un grand Oui.Ma question pourkoi la justice ds le cas saodani n a pas bouge le doit? Et la reponse est tte simple .Ceux qui ont ordonnes a saidani a parler de toufik lorsqu il etait en fonction ,ce sont ces memes personnes qui l ont actionne a parler une 2 eme fois.Pourkoi ces attaques contre toufik . S agit il d un probleme de succession ?L agenda des personnes places en haut lieu desavoue et qu il est temps d user de ts les moyens pr salir un homme dont le seul tort etait chef d une institution securitaire ou a t on peur de voir un mouvement de masse s entourer de toufik et mettre en peril leur trone.?Possible.Ce qui apparent c qu il y a plusieurs premices qui sont en defaveur du pouvoir malgre son discours d appaisement.A ce stade ou nous en sommes ,je ss ds l incapacite de predire ce que nous resreve l avenir.

    houari boukharouba boumeddiene
    19 octobre 2016 - 21 h 53 min

    vive le drs et que vive les
    vive le drs et que vive les institutions de l etat abat le drebki et les associations de malfaiteurs du g.i.a et de l a.i.s et les ex partisants du parti dissout f.i.s et ses co_equipiers.le combats continu contre ses corrompus de voyoux.vive le general mediene toufik et le general khaled nezzar.ils ont apporter paix et stabilitee et crissance economique lors de la decenie rouge.ou se trouver cacher ce baidani drebki clown

    Erracham
    19 octobre 2016 - 21 h 42 min

    C’est un homme remarquable et
    C’est un homme remarquable et nationaliste. Il nous a toutefois imposé un trois-quart de président pendant quatre mandats, ne l’oublions pas! Il pensait bien faire me diront certains de ses supporters, encore que le troisième mandat était déjà de trop car violant la Constitution que nous sommes tous censés respecter et honorer. S’il voulait faire oeuvre utile, il devrait s’employer à nous débarrasser du Klan et de son Grand Sorcier. S’il se présentait aux élections présidentiels, je voterais pour lui à coup sûr!

    Ahran
    19 octobre 2016 - 21 h 31 min

    Med medien ce personnage
    Med medien ce personnage mystérieux en même temps glorieux , tu es rentré dans l’histoire cher frère . Mais un sentiments de déception me possède aujourd’hui envers la DRS et son patron ?!!?!?
    Pourquoi un service d’intelligence et sur sa tête medien , ait ourabi, jebbar Mhenna , le colonel idris ….,etc a donné l’occasion à des traitres ( clan de nedroma) et serviteurs des services étrangers ennemis de kidnaper l’algerie et de les prendre comme prisonniers ?!?!?
    Tahia DRS

    DALINDA MAY
    19 octobre 2016 - 21 h 17 min

    C l’1 des rares patrons
    C l’1 des rares patrons Algeriens qui est vraiment patriote, humble et desinteresse par l’Argent. Ts ce qui l’importe depuis tjrs c le bien etre de notre pays mais voila qu’il a ete depasse par les opportunistes tel que Saidani, Sellal, Ouyahya, Bouchouareb & co.
    Djeich Charb mraak y’a Toufik.

    nation
    19 octobre 2016 - 21 h 07 min

    quand un aventurier des
    quand un aventurier des souks comme Saadani ose l’insulte contre des généraux comme Toufik , pour les besoins du « régime Civil » de Tliba et de la Choukara .. on va vers Takhir Zemane ..

    Anonymous
    19 octobre 2016 - 21 h 05 min

    Toufik président toufik
    Toufik président toufik président toufik président incahallah y’a rebb.(…)

      Said Medjkane
      19 octobre 2016 - 23 h 26 min

      Pourquoi pas c est la seule
      Pourquoi pas c est la seule alternative qui reste valable pour qu il prend les reines de cette Algérie trahie Qui des khobzistes des partis politiques seront ils capables de sauver l Algerie ? Tewfik l a démontre
      Dans ce contexte je fais un appel solennelle a tewfik l Algérie a besoin des hommes comme vNous

      Anonymous
      20 octobre 2016 - 5 h 17 min

      Il se presente. Je vote pour
      Il se presente. Je vote pour lui : direct.

    mamynedz
    19 octobre 2016 - 20 h 35 min

    l me semble que les choses à
    l me semble que les choses à dire, sont celles qui concernent la gravité de la situation induite par tant et tant de maladresses, conscientes furent-elles ou inconscientes (et c’est plus grave!) plutôt que de s’attarder sur les scories générées par le changement opéré; Ce même changement était devenu incontournable du fait de l’appel d’air constaté au vu de l’analyse de la situation socio-politique de manière générale. Les repères furent actualisés et une feuille de route doit être finalisée. Les enjeux le recommandent vivement !

    Qu’on ne se méprenne point, je respecte nos ainés issus de l’ALN ou OCFLN (mon père que Dieu ait son âme en était).

    Gloire à nos valeureux Chouhada !

    Anti-Clan
    19 octobre 2016 - 20 h 27 min

    C’es connu depuis la nuit des
    C’es connu depuis la nuit des temps, que les (pseudo) politiques n’ont aucun professionalisme à part exposer les « tares »des autres (pour pas dire autre chose) pour se donner du crédit … il n’y a rien à reprocher ni à Boumedienne ni à Toufik ni à autre, d’ailleurs Boumedienne a été manipulé à son insu (il suffit de lire), mais par la suite, il a établi une très bonne structure institutionnelle, d’ailleurs la seule qui reste dans le pays … mais il faut l’avouer certains généraux (ou moins gradés) malsains ont profilés de chaque évènement dans le pays pour régler leurs comptes et et s’enrichir graĉe à des hommes de pailes, d’aileurs qui pullulent comme par hazard dans le pays, sans que l’on voit aucune économie viable digne de nom dans le pays … je crois que chaque algérien peut le dire, je suis pour le SM, pour le DRS mais celui de Boumedienne …. seule structure qui pourrait réinstaurer la discipline

    Illetre
    19 octobre 2016 - 20 h 15 min

    Qui est ce Abdelhamid Brahimi
    Qui est ce Abdelhamid Brahimi? C’est lui et son equipe qui ont vide les caisses de l’Etat et on conduit l’Algerie au desastre d’octobre 1988.

    selecto
    19 octobre 2016 - 20 h 09 min

    Fin de mission pour Darbki,
    Fin de mission pour Darbki, les portes de l’enfer vont s’ouvrir pour lui car les escrocs du quatrième mandat n’ont plus besoins de ses services et vont le sacrifier.

    KADOUR
    19 octobre 2016 - 19 h 58 min

    Il y a un proverbe Kabyle qui
    Il y a un proverbe Kabyle qui dit : QUAND LE BRAVE BOEUF VIEILLIT ET TOMBE, TOUS LES COUTEAUX SORTENT POUR LE SAIGNER ! Dommage, je ne sache pas le dire en Kabyle… malheureusement.

      Anonymous
      20 octobre 2016 - 1 h 17 min

      Bonjour un personnage de ce
      Bonjour un personnage de ce genre il ne va pas se laisser faire c’est un vieux de la veille il les connais touts
      un par un,je n’ai pas de préjuger envers cet homme exceptionnelle ,mais je sais une chose il as combattu a sa manière L’hydre a 7 TÈTES LES SALAFISTES.

        LE BEDOUIN
        20 octobre 2016 - 23 h 12 min

        JE L’ESPERE VIVEMENT QU’IL NE
        JE L’ESPERE VIVEMENT QU’IL NE VA PAS SE LAISSER FAIRE PAR CE TAS D’ENFOIRES. VIVE NOTRE ARMEE ET VIVE TOUFIK ! IL LEUR PREPARE QUELQUE CHOSE, C’EST SÛR… UNE SEULE CHOSE SAUVERA A COUP SÛR NOTRE NATION : C’EST L’UNION DU PEUPLE AVEC SON ARMEE !!! ET TOUS CES SANAFIRS YI DEZOU AÂMAHOUM…!!!!!!

    TIBERTIFINE
    19 octobre 2016 - 19 h 39 min

    Quand le chat n’est pas là,
    Quand le chat n’est pas là, la souris dance.Le pays du million et demi de martyrs mérite mieux.

    Mont-Riant
    19 octobre 2016 - 19 h 38 min

    Un ARGAZ digne fils de la
    Un ARGAZ digne fils de la terre d’Algerie !

      Numide
      20 octobre 2016 - 6 h 01 min

      un ARGAZ qui vous a ramené
      un ARGAZ qui vous a ramené « le clan d’un 4eme mandat » ? comment ca se fait !!! je perd la bousole. ou que tu dois dire qu’il est traitre ou bien que les membres du « clan du 4eme mandat » sont tout aussi Irgazen, alors choisis et fais le nous savoir

    El manfi
    19 octobre 2016 - 19 h 15 min

    Magnifique
    Magnifique

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.