Sarkozy, Clinton et Cameron au rebut de l’histoire : le monde débarrassé des vautours
C’est à une gifle attendue que le candidat à la primaire de la droite française, l’ancien président Nicolas Sarkozy, a eu droit ce dimanche. Et, une fois de plus, les «prédictions attestées» des médias dominants et les prophéties des instituts de sondage, héritiers de Nostradamus, se sont avérés aussi faux que les discours artificieux et les promesses trompeuses de ce dirigeant politique corrompu jusqu’à la moelle. La France, enfin débarrassée d’un va-t-en-guerre à la solde totale de l’internationale sioniste, scelle ainsi la défaite cuisante d’une entité qui a mis le monde sens dessus dessous, semant misère et désolation dans de nombreux pays de l’hémisphère sud de la planète. Contrairement à ce que les relais médiatiques mensongers et manipulateurs ont fait croire durant toute la campagne pour la primaire de la droite en vue de la présidentielle de 2017, l’opinion publique française était, depuis le début, contre le retour du prédécesseur du non moins nocif président socialiste en exercice à qui elle réserve le même sort dans quelques mois.
En effet, la cuisante défaite de Nicolas Sarkozy ce dimanche est le prélude à celle, très proche, de François Hollande dont la politique étrangère est la continuité de celle imposée par son rival de droite à la France dès son avènement au pouvoir en 2007. L’intrigant Nicolas Sarkozy s’était alors aligné sur la doctrine interventionniste de Washington, faisant perdre à la France son indépendance de décision imprimée par le général De Gaule et poursuivie par les différents chefs d’Etat français jusqu’au départ de Jacques Chirac et son remplacement par son «fils adoptif» qui le poignardera dans le dos et ouvrira la voie, comme jamais auparavant, à la division au cœur de sa propre famille politique et au sein de la société française tout entière.
Nicolas Sarkozy, qui repart la queue entre les jambes, rejoint dans leur débâcle les deux autres porte-étendards de l’empire et de la domination, David Cameron et Hillary Clinton. Le premier – son associé dans le désastre libyen – a été balayé par un refus catégorique des Britanniques de rester dans l’Europe actuelle, dirigée à partir de Bruxelles par une poignée de bureaucrates dont la stratégie a conduit à l’humiliation du peuple grec, transformé en paria et poussé vers une paupérisation généralisée, enfonçant ce pays jadis prestigieux dans une crise inextricable et une spirale d’endettement infernale de laquelle la Grèce ne se sortira pas de sitôt. Aux Etats-Unis, la candidate à la Maison-Blanche, trahie – elle aussi – par les statistiques illusoires, a été rejetée par les Américains qui lui ont préféré un président ennemi de l’establishment et dont la ligne politique franche et sans ambages est farouchement opposée à l’arrogance de ses antécesseurs au bureau Ovale.
En Grande-Bretagne, aux Etats-Unis et en France, l’urne a écarté du pouvoir trois vautours unis par les liens sacrés de la fidélité à l’internationale sioniste qui vient de perdre trois de ses serviteurs les plus zélés. Leur mortifiant échec est une victoire pour l’ensemble de la communauté internationale qui se débarrasse ainsi de trois des principaux responsables directs de la situation mondiale désastreuse actuelle.
Au suivant !
M. Aït Amara
Comment (61)