Contribution – Les crimes de 1871 : les communards oui, les Algériens non

Vue de l'Assemblée française. D. R.

Par Ali Farid Belkadi(*) – L’Assemblée nationale française a voté ce mardi 29 novembre, sous la pression du Parti socialiste, un texte qui blanchit les victimes de la répression de l’insurrection de la commune de Paris de 1871. Cette révolte, qui a duré 72 jours, du 18 mars au 28 mai 1871, avait fait plus de 30 000 morts parmi les Parisiens. Les Parisiens s’étaient insurgés contre le gouvernement provisoire mené par Adolphe Thiers, à la suite du désastre de l’armée française et la capture de l’empereur Napoléon III à Sedan par l’armée allemande (Prusse). S’ensuivirent des milliers de condamnations à mort et de déportations en Nouvelle-Calédonie. La même Assemblée française ne fait aucune allusion aux déportés algériens de l’insurrection de 1871 en Kabylie, menée par la tariqa Rahmania de cheikh El-Haddad.

Le djihad fut proclamé le 8 avril par le vénérable cheikh. Aziz, son fils, qui sera déporté au bagne de la Nouvelle-Calédonie, prend la tête de l’insurrection des khouans de la Rahmania avec le titre d’«émir des soldats de la guerre sainte». Toutes les villes et les villages de la Kabylie se soulèvent. Rapidement, la sédition dépassera le cadre de la Kabylie pour s’étendre à l’ouest jusqu’à la Mitidja et la région de Cherchell. Elle touchera le Hodna et les Aurès, la région de Batna, ainsi que les confins du désert, Touggourt et Ouargla.

A l’époque, tout prisonnier algérien devait s’acquitter d’une amende. Chaque bastonnade rapportait 5 francs, somme perçue par le chaouch du caïd, c’était le Ḥaq Al-âṣṣa, «le prix de la bastonnade». Si la victime ne réchappait pas à la peine, ses parents étaient tenus de s’acquitter de la somme. La prison rapportait aussi ; chaque détenu, en sortant du cachot, devait s’acquitter de la même somme : c’était le Ḥaq Al-ḥabs «le prix de l’emprisonnement».

Au début de l’année 1871, pendant que le bachagha Al-Mokrani négocie le maintien de ses privilèges avec l’occupant français, Ahmed Ben Rezgui et AI-Kablouti, l’aïeul de l’écrivain Kateb Yacine, prêchent l’insurrection à Henchir-Moussa, à la suite du refus d’obéissance et de la mutinerie des spahis de Bou-Hadjar, de Tarf et d’Aïn-Guettar.

Mutinerie des spahis d’Aïn-Guettar

L’insurrection de 1871, attribuée à tort à Al-Mokrani, débute par la rébellion des spahis d’Aïn-Guettar et de Bou-Hadjar qui refusèrent d’être conduits en France pour participer à une guerre qui ne les concernait pas.

Du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871

La France était alors opposée au royaume de Prusse et ses alliés allemands. Le conflit armé, qui eut lieu du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871, entre la France et la Prusse entraînera la chute de l’Empire français et la perte des territoires français de l’Alsace et de la Lorraine.

En Algérie

Le 18 janvier 1871, le ministère de la Guerre avait demandé au général Lallemand d’organiser un régiment de spahis et de l’embarquer pour la France. Les spahis de Bou-Hadjar, de Tarf et d’Aïn-Guettar refusèrent d’obéir à l’ordre d’embarquement. Ceux d’Aïn-Guettar abandonnèrent l’armée avant d’attaquer et assiéger la ville de Souk-Ahras, qui sera libérée par une colonne française dépêchée en urgence de Bône.

D’autres attaques eurent lieu, en particulier contre le bordj d’El-Milia. Puis ce fut le tour de Tébessa, où les Ouled-Khalifa attaquèrent des colons et leur enlevèrent d’importants troupeaux ; les attaques se poursuivirent dans les environs de la ville qui fut cernée un temps.

Ces soldats avaient refusé d’aller combattre pour les intérêts français, en Europe, loin de leurs familles, dont ils avaient la charge. Tel était le motif vraisemblable invoqué par eux. La ville de Souk-Ahras est attaquée le 26 janvier durant trois jours. Pendant ce temps, le bachagha Mohammed Al-Mokrani avait des entrevues avec des militaires français à Bordj Bou Arréridj.

Le 14 février, c’est au tour d’El-Milia d’être attaquée. Tout le Constantinois s’est enflammé, jusqu’à la Kabylie maritime. Des ouvriers français sont tués sur des chantiers des Bibans, qui sont abandonnés en catastrophe par les Français, de même que la ville de M’sila. Des engagements ont lieu entre les Français et les insurgés à Kef-Zerzour dans la région d’El-Milia.

Ce n’est que le 27 février 1871 que le bachagha Al-Mokrani démissionnera de sa fonction de bachagha, après avoir vainement négocié avec les Français la conservation des avantages et privilèges hérités de son père Ahmed. Il est révolté par la spoliation de ses biens par les colons français. Au début du mois de mars 1871, Al-Mokrani rencontre le capitaine Duval. Le 4 mars, il y a une nouvelle entrevue entre Al-Mokrani, Duval et un autre officier français, le capitaine Olivier. Ces tractations infructueuses pour Al-Mokrani ont lieu pendant que l’Algérie prend feu. Al-Mokrani hésite à s’engager dans la lutte, alors que l’insurrection est sérieusement engagée depuis le mois de janvier 1871.

Un nouveau renoncement d’Al-Mokrani «à la civilisation française» a lieu de la part du bachagha, selon ses propos. Le 9 mars, il renonce publiquement à toute collaboration avec les Français. Le 14 mars, le bachagha adresse une lettre aux autorités françaises pour les avertir qu’il allait les combattre. Il s’agit d’un ultimatum à caractère pécuniaire. Le rapport de la Sicotière est formel à ce sujet, l’unique raison pour laquelle les Al-Mokrani ont versé dans l’insurrection était due à leur nouveau statut d’administrés des Européens et des colons, après la décision du gouvernement de dissoudre les bureaux arabes de Bordj Bou Arréridj.

Les insurgés algériens n’ont pas attendu la décision du bachagha Al-Mokrani pour faire provision de poudre et de fusils chassepot.

Mohand Ou-Ali Belkadi

Le 8 avril, le cheikh El-Haddad a proclamé officiellement le djihad à Seddouq. Il confie à son Moqadem Mohand Ou-Ali Belkadi des Béni Zmenzer, à Bou-Hinoun, le soin de prendre les choses en main, en décrétant «licite pour chaque Algérien la tête de chaque Français». Mohand Ou-Ali Belkadi, qui sera condamné plus tard à cinq années d’internement par la cour d’assises de Constantine pour sa participation à l’insurrection, va de village en village en prêchant la guerre sainte et en exhortant les çofs au combat régénérateur contre les Français.

Selon le colonel Nil Robin, c’est ce même Mohand Ou-Ali Belkadi qui est le véritable instigateur de l’insurrection attribuée par les Français à Al-Mokrani.

Voici ce qu’écrit le colonel Rinn : «En réalité, celui qui, dès le 10 avril, commença à soulever les indigènes de la région, alors que le caïd Ali était encore dans le devoir, fut le prédicateur Mohand Ou-Ali Belkadi de Bou-Hinoun (Béni Zmenzer). Son influence était absolue dans tout le pâté montagneux des Beni-Aïssi, et cheikh El-Haddad avait en lui un agent aussi habile que dévoué. Mohand Ou-Ali Belkadi était un prédicateur exalté et entraînant ; il avait une véritable éloquence, et, de plus, il était depuis longtemps aimé et estimé dans le pays, en raison de sa charité et de ses vertus privées. Au début, ce fut surtout contre Ali-Oukaci qu’il excita les gens, en disant qu’il fallait commencer par débarrasser le pays de tous les ‘‘mtournine’’ ou renégats qui servaient les Français, alors que la volonté de Dieu était si manifestement hostile aux chrétiens.»

Cette insurrection fut appelée : Aâm Al-Mokrani, «l’année d’Al-Mokrani», par les populations. Des combats ont lieu chaque jour par dizaines, et ils sont tous dénombrés par les officiels français, civils et militaires. Abdelaziz EI-Haddad durant son procès en énumèrera un grand nombre. Au combat de Tazazerit, près de Tizi-Ouzou, une dizaine de fermes de colons ont été détruites et pillées par les insurgés. Dans la vallée entre Draâ Ben Khedda et Bordj Menayel, tout brûle. On est le 15 avril 1871. Le lendemain, le commandant Tellier est arrivé avec sa colonne pour défendre Tizi-Ouzou qui fut évacuée le 16 du même mois par les Français. L’écho du combat de Magoura, dans le Sud-Oranais, est parvenu jusqu’en Kabylie. Il opposait les Ouled Sidi-Cheikh aux Français dirigés par le commandant Marchand.

Fort National a été attaqué, après avoir été défendu par les troupes dirigées par Mohand Ou-Ali Aït-Kaci. Aux Fenayen, dans la Vallée de la Soummam, les moulins Lambert sont incendiés. Partout dans les campagnes, les Français fuient. Des colons sont tenus en captivité à Bordj Menaïel. Le village de Ben-Chenoud est évacué et incendié. Le 19, c’est l’usine à huile de Boghni qui est incendiée. Puis c’est l’attaque du village de Dra-Al-Mizan qui sera suivie du blocus du Bordj.

Des colonnes de l’armée française menées par Cerez sont signalées par les guetteurs kabyles. Elles sont accrochées. Celles de Saussier également. De même que celle de Lapasset à Bejaia. La colonne Fourchault a quitté Maison-Carrée et elle se dirige vers les plaines de la Kabylie. Palestro est prise par les Algériens qui en profitent pour organiser les camps de Bouchama, de Tizi et de Tirihane.

Mort du bachagha

Le 5 mai, on apprend la mort du bachagha Mohammed Al-Mokrani au combat. L’Algérie entière est à feu et à sang. A la cour d’assises de Constantine, où auront lieu les procès des insurgés, siège un juge, vieux et à moitié sourd, il fait répéter à plusieurs fois les avocats de la défense et cela fait rire les accusés et l’assistance.

L’avocat de Abdelaziz El-Haddad, qui s’évadera plus tard de la Nouvelle-Calédonie, avant d’échouer à Paris dans le quartier de Ménilmontant, à Paris, dira : «Mon client vous demande de ne pas laisser s’étioler sa jeunesse dans la contrainte des prisons. Il ose espérer que vous ne le séparerez pas de sa famille et de ses jeunes enfants. Enfin, ce n’est que de la main puissante que l’on réclame le pardon et c’est le Dieu très haut qui sait ce qui aura lieu.»

Les pertes de la France dans la guerre de 1871 contre la Prusse

La France a perdu, par suite du démembrement de l’Alsace et de la Lorraine :

– 12 villes, chefs-lieux de département ou d’arrondissement : Strasbourg, Colmar, Metz, Saverne, Schlestadt, Wissembourg, Haguenau, Mulhouse, Sarreguemines, Thionville, Château-Salins, Sarrebourg ;
– 94 chefs-lieux de canton et 1 750 communes, comprenant ensemble 1 600 000 habitants, près du vingtième de la population totale de la France ;
– elle a perdu en territoires : 14 900 mètres carrés, 12 forteresses, dont trois de première classe : Strasbourg, Metz et Thionville ;
– plus : trois grands arsenaux, dont un à Strasbourg et deux à Metz, une poudrerie (Metz) et plusieurs centaines de poudrières ;
– dans l’administration judiciaire : 2 cours d’appel, 11 tribunaux de première instance, 94 justices de paix, 4 tribunaux de commerce ;
– dans l’administration scolaire : l’Académie de Strasbourg, la première de France, après celle de Paris, par son ancienneté, son importance, et parce que seule elle comprenait cinq facultés et une école supérieure de pharmacie, 3 lycées, 15 collèges communaux, 4 écoles normales, environ 30 sociétés savantes ;
– 400 000 hectares de forêts, 370 kilomètres de rivières navigables, 300 km de canaux, 735 kilomètres de chemins de fer, 88 500 000 francs de revenu territorial et 400 000 francs de contributions, 3 succursales de la Banque de France ;
– le montant des indemnités de guerre exigées par l’Empire d’Allemagne s’élevait à 5 milliards ; les villes durent payer environ 500 000 000 de francs ; la France aura à dépenser pour les troupes d’occupation au moins 500 000 000 de francs, ensemble 6 milliards ;
– plus : 1 hôtel des monnaies (Strasbourg), 2 manufactures de tabacs, 7 magasins à tabacs, 4 salines, 80 usines ou hauts fourneaux, 160 filatures, 315 fabriques de draps, 105 manufactures de porcelaines ou faïences. 20 verreries, 344 brasseries, dont 50 à Strasbourg ; tanneries, papeteries, etc. ;
– l’empereur français Napoléon III capitula le 2 septembre, à la bataille de Sedan, avec : 39 généraux. 100 000 soldats, plus de 600 canons, 66 000 fusils et 10 000 chevaux furent remis aux troupes allemandes ce jour-là ;
– les troupes françaises, mal organisées, plus familiarisées aux razzias des tribus algériennes désarmées, avaient trouvé leurs maîtres. Les troupes françaises sont durement battues dans plusieurs batailles. Mac Mahon, le stratège de Kabylie, perd sa cavalerie avant de fuir le champ de bataille, en empruntant un axe de retraite vers Metz et Verdun ;
– les régiments cuirassiers français qui livrent la bataille de Frœschwiller-Wœrth sont écrasés par les coalisés : les premier et deuxième régiments de cuirassiers sont annihilés, il y aura peu de survivants ;
– l’armée du maréchal Bazaine capitule le 19 octobre à Metz. 3 maréchaux. 6 000 officiers ;
– près de 200 000 soldats. 1 660 canons. 278 000 fusils. 3 millions d’obus. 23 millions de cartouches.

L’armée française n’existe plus

Les débris de l’armée française battent en retraite sur la plupart des fronts. Le gouvernement de la Défense nationale demande l’armistice, qui est signé le 28 janvier 1871. C’est tout cela qui a joué en faveur du déclenchement de l’insurrection de 1871. L’avènement de Boubaghla est contemporain, en France, de la Révolution de février 1848 et son action s’est déployée durant la IIe République et les premières années du Second empire. Son discours comme celui des autres chérifs s’enracinait dans l’ancestralité des traditions culturelles et religieuses des populations algériennes. En face, les colonisateurs ont cherché à justifier leurs conquêtes par leur maîtrise du progrès, par l’idée fallacieuse qu’une terre appartiendrait, non à ceux qui y vivent, mais à ceux qui sauraient le mieux la mettre en valeur. Ces arguments ne justifient en rien le droit de conquérir, mais ils ont un rapport avec ce qui a fait qu’une telle conquête ait pu l’emporter.

L’insurrection de 1871 s’inscrit dans la tradition de résistance héroïque de chefs comme le chérif Boumaza dans le Dahra, le chérif Boubaghla en Kabylie, Le cheikh Bouziane des Zaatcha, d’autres encore qui s’appuyaient sur les khouans structurés en sociétés ésotériques impénétrables, pour mener la lutte contre l’empire colonial français.

Cheikh Mohand Amezyan El-Heddad

Le 8 avril 1871, lors d’un rassemblement monstre des khouans au souk de Seddouk, le vénérable cheikh Mohand Amezyan El-Haddad, le chef de la confrérie Rahmaniya, affirma : «Nous jetterons les Français en mer comme je jette ce bâton par terre !» Il s’était trompé de près d’un siècle, mais sa prédiction s’est produite quand même, le 5 juillet 1962, date à laquelle les Algériens ont gagné la guerre, une énième insurrection menée pour se libérer du joug colonial.

Aziz El-Haddad, qui s’était évadé du bagne de la Nouvelle-Calédonie, est mort à Paris le 22 août 1895, dans les bras du communard Eugène Mourot, comme lui ancien déporté à l’Ile des Pins, en Nouvelle-Calédonie, dans un appartement situé à Ménilmontant, dans le quartier du Père-Lachaise à Paris. Eugène Mourot, chez qui Aziz trouva refuge, était un ancien déporté en Nouvelle-Calédonie et le rédacteur du journal Mot d’Ordre. Il était le secrétaire d’Henri Rochefort, un autre évadé du bagne de la Nouvelle-Calédonie, en 1874. C’est au bagne de l’île d’Oléron qu’Henri Rochefort découvrira le sort d’un groupe d’insurgés algériens arrêtés en 1871.

Il ne faut pas s’attendre à ce que l’Assemblée nationale française, qui a voté mardi 29 novembre la reconnaissance des crimes commis par les bourreaux versaillais contre les insurgés de la commune de Paris, reconnaisse ceux perpétrés en Kabylie par les généraux français à la même époque. La France vis-à-vis de l’Algérie n’a ni regrets ni remords, elle ne veut pas se repentir. Les communards et les khouans étaient pourtant enchaînés dans les mêmes cales des transports maritimes qui les emmenaient vers le même bagne de la Nouvelle-Calédonie. N’est-ce pas Louise Michel ?

Ali Farid Belkadi
(*) Historien, anthropologue

 

Comment (59)

    moussaoui
    3 février 2017 - 11 h 35 min

    Merçi pour ces fortes
    Merçi pour ces fortes precisions pour faire taire les mauvaises gueules. !

    jughurta
    3 décembre 2016 - 16 h 13 min

    Liser rené Vautier, tout les
    Liser rené Vautier, tout les écrivains d’ apres 1830 était pervers, calomniateur, menteur et assoiffé de sang. Voila comment il les presente, faut il encore avoir le courage de lire. LISEZ AUSSI UN LIVRE DE BERNARD LUGAN LE TITRE EST  » LOUIX XIV EN ALGERIE », VOUS COMPRENDREZ MIEUX NOTRE FIERTE VISCERAL, C’ EST NOUS LES KABYLES QUI AVONS ECRASES ET HUMILIES CE SI CELEBRE ROI !!

      jughurta
      3 décembre 2016 - 16 h 52 min

      Je me suis trompé c’ est
      Je me suis trompé c’ est BERNARD BACHELOT ET NON PAS LUGAN DSL !!! GROSSIERE ERREUR DSL.

      krimou
      3 décembre 2016 - 18 h 08 min

      Il faut prendre bernard lugan
      Il faut prendre bernard lugan avec des gants ce n’est pas une référence , sauf pour les bourrins imbus d’eux-memes. Ce pied-noir marocain est plus royaliste que M6.

        Anonymous
        4 décembre 2016 - 9 h 13 min

        Oui mon frere krimou exact,
        Oui mon frere krimou exact, WALLAH je sais même pas pourquoi j’ ai sorti ce nom, lugan qui est un déformateur d’ histoire, Il s’ agit de BERNARD BACHELOT. DSL ENCORE UNE FOIS.

    RAYES EL BAHRIYA
    3 décembre 2016 - 15 h 42 min

    AUJOURD HUI LES MARABOUTS ET
    AUJOURD HUI LES MARABOUTS ET CONSORTS SE SONT MIS DU COTEE DE LA HOUKOUMA

    MOHAND OUYAHIYA , RND

    SIDI SAID , UGTA

    FFS / EX FIS

    jughurta
    3 décembre 2016 - 15 h 02 min

    Oui et celui qui veux
    Oui et celui qui veux connaitre les kabyles a qu’ a lire un livre de Charles Farine le titre est  » A travers la kabylie ». L’ un des premiers a avoir écrit sur la kabylie depuis la conquête en 1830.

    liberté
    2 décembre 2016 - 11 h 35 min

    hommage aux vrais chahids
    hommage aux vrais chahids morts pour des valeurs et des principes;pour soi-disant ce pays deviens,une nation de droit et de juste;s’est produit le contraire;un quart de la population sacrifie pratiquement pour rien;françois a passer le relais a ahmed;pour le reprendre plus tard;l’ex secretaire personnel du gouverneur d’algérie;me disait on a exterminé tout les vrais combattants et les fellags;avec la complicité de nos collabos infiltraient a l’armée de libération algérienne;très ont survécus

    Anoyme
    2 décembre 2016 - 9 h 32 min

    Il y a deux choses qui ne
    Il y a deux choses qui ne dorment pas (l eau et l enemi) alors n attendez rien de la France et de ses assistans de l occident
    Il y a une arme redoutable à cultiver envers ces hydres ç est de cultiver la mémoire et enseigner notre histoire à nos enfants

    karima
    2 décembre 2016 - 9 h 30 min

    Il faut créer des hôpitaux
    Il faut créer des hôpitaux des écoles des monuments et leur donner le nom de ces héros ild ont fait ça pour la liberté

    alilapointe
    2 décembre 2016 - 9 h 24 min

    Ni oubli ni pardon .
    Ni oubli ni pardon .

    salim
    2 décembre 2016 - 9 h 22 min

    L’Algérie doit commémorer ces
    L’Algérie doit commémorer ces déportés. Par devoir patriote.

    kasbadji
    2 décembre 2016 - 9 h 18 min

    Ces resistants ont beaucoup
    Ces resistants ont beaucoup souffert, que Dieu leur fasse miséricorde. Une association s’occupe de leur memoire , la plupart sont restés en Calédonie, ou ils se sont mariés et ont eu des enfants . Ces enfants sont très attachés à la patrie algérienne de leurs héroïques ancêtres.

    Lyes Oukane
    2 décembre 2016 - 5 h 16 min

    Bonjour à toutes et à tous ,
    Bonjour à toutes et à tous , @ Sami , @ ! et particulièrement @ Jughurta ! /// Pour celles et ceux qui aimeraient en savoir beaucoup plus sur nos déportés en Nouvelle Calédonie , je leur conseillerais de se procurer l’excellent livre  » les déportés maghrébins en Nouvelle- Calédonie et la culture du palmier dattier ( de 1864 à nos jours )  » de Melica Ouennoughi . Aux éditions l’Harmattan – collection Histoire et Perspectives Méditerranéennes ( ISBN -2-7475-9601-X ) . Cette auteure est la première a avoir écrit une thèse sur ce sujet après 10 années de recherches ponctuées par cinq années auprès de calédoniens déportés et de kanaks . Elle est docteure en anthropologie historique spécialisée sur les migrations maghrébines dans le Pacifique .Extrait du dernier de couverture  » … Cette enquête réalisée sur le terrain et l’ensemble de la mémoire orale exposés sont confrontés avec de nombreuses sources écrites . Notamment les listes généalogiques des déportés ,leurs filiations , leurs villes ou régions d’origines au Maghreb … d’autres clans tunisiens et marocains se rallièrent aux différentes insurrections algériennes durant des années 1860 …  » . Perso , je l’ai lu en quelques jours . Passionnant ,riche en détails . Le fil conducteur est l’implantation du palmier dattier sur cette île lointaine ou on disait  » là ou tu verras un dattier il y a des arabes  » . En effet, ces grâces à ce fruit , jalousement caché dans leurs baluchons , que nos ancêtres purent survivre aux longs voyages . C’est sous cet arbre majestueux et nourriciers ( alors inconnu dans le Pacifique ) que nos déportés restèrent soudés avec leurs patries d’origines jusqu’à aujourd’hui . Bonne lecture .

    jughurta
    1 décembre 2016 - 23 h 42 min

    Contrairement à ce que je
    Contrairement à ce que je pensais, il n’ y a pas plus démocrate qu’ Algerie patriotique, j’ ai dit des choses explosive sous la colere ( sans insulte biensur) et on m’ a toujours publiés mes messages. Moi qui croyaient qui avait forcément l’ armée derriere pour censurer etc.. Je me suis trompé, vive le vrai mot démocratie à la Algériepatriotique plus qu’ à la française.

    kelam
    1 décembre 2016 - 18 h 32 min

    LA LUTTE EST UNE SPIRALE DE
    LA LUTTE EST UNE SPIRALE DE LA VIE::::ce cycle ne ce termine jamais ::actuellement notre cycle ce trouve a la construction d’un pays fort dans tout les domaines et nos aïeux peuvent montrés leurs fiertés

    FLN canal Historique
    1 décembre 2016 - 18 h 01 min

    Les massacres ont étaient
    Les massacres ont étaient perpétrés dans toute l’Algérie pas uniquement en Kabylie…

      krimou
      1 décembre 2016 - 18 h 38 min

      @FLN canal Historique : « Les
      @FLN canal Historique : « Les massacres ont étaient perpétrés dans toute l’Algérie pas uniquement en Kabylie » affirmatif mais là il s’agit plus spécialement des résistants déportés en Nouvelle-Calédonie, en même temps que les communards français.

      un mobiste
      1 décembre 2016 - 20 h 40 min

      cher concitoyen, il s’agit de
      cher concitoyen, il s’agit de l’année 1871 et de la révolte de cheikh AHEDDAH. On sait que durant les 132 ans de colonisation aucune région d’Algérie n’a échappé aux représailles.

      jughurta
      1 décembre 2016 - 21 h 52 min

      Complexé va.
      Complexé va.

    JUBA II
    1 décembre 2016 - 15 h 25 min

    ET LES MECS ARRÊTER DE DIRE
    ET LES MECS ARRÊTER DE DIRE DES CONNERIES genre s’est moi SUPERMAN et toi un lâche?
    DERRIÈRE CHAQUE ARBRE ,sur le rivage d’un oued ,chaque morceau de cette terre ,y a un sang d’un martyre ALGERIEN (homme ou femme) de 1830 A 1962

    JUBA II
    1 décembre 2016 - 15 h 10 min

    JE VEUX DIRE UNE CHOSE
    JE VEUX DIRE UNE CHOSE SEULEMENT PAIX SUR NOS ANCÊTRES DE TOUTE L’ALGÉRIE DU SUD AU NORD DE L’EST A L’OUEST ,pour les incultes lisent ,faite des recherches regardes comme EMPEREUR CHARLES QUINT a reçu une tanne en 1541 que l’occident cache cette défaite,cette victoire grâce a l’union des ALGÉRIENS pas seulement des TURQUES que certains voudrais faire passer.

    Bekaddour Mohammed
    1 décembre 2016 - 14 h 38 min

    Je saute d’abord sur le
    Je saute d’abord sur le morceau qui rapporte Haq el 3asa (droit de la bastonnade), et haq el habs, à payer en quittant la prison chrétienne coloniale, et je m’insurge, quitte à payer le droit à l’insurrection : A bien des égards, la même France, fut-elle post coloniale, ne fait-elle pas payer à certains Algériens Haq el istiklal ??? Je me trompe ? Détrompez moi ! Il y a de l’abracadabra…

      krimou
      1 décembre 2016 - 14 h 54 min

      @Bekaddour : C’est valable
      @Bekaddour : C’est valable pour certains algériens qui tendent le bâton pour se faire battre, fort heureusement ces comportements d’anciens colonisés fonctionnent de moins en moins.

        Bekaddour Mohammed
        1 décembre 2016 - 15 h 22 min

        @krimou… Reçu 5/5 ! Et vive
        @krimou… Reçu 5/5 ! Et vive Algérie PATRIOTIQUE !

    Bison
    1 décembre 2016 - 13 h 38 min

    La justice coloniale!
    La justice coloniale! Décidément a ne rien y comprendre ! Tout le long de l’occupation y avait des rébellions ! Des hommes et des femmes, se sont distingués !! Mais, certains sont déportés voire morts en prisons sans moindre droit, tandus que d’autres sont « soumis » a la vie de chateau et tout le luxe (quel horreur)!! Certains sont guillotinés et d’autre sont soignés, logés et nourris en maisons de santé … !! Comment expliquer cette différence de traitement, sans pitié envers certains et excès de clémence envers d’autres (le pire, ces derniers sont souvent présentés comme ses pires ennemis extrêmement dangereux !!!)!?
    Aussi, Pour ma paix mentale je ‘men tiens à l’histoire officielle! C’est sa raison d’être, preserver notre paix mentale, et notre raison d’être à nous c’est d’y croire !

    Meras
    1 décembre 2016 - 13 h 20 min

    Vous oublier un grand pan de
    Vous oublier un grand pan de l’histoire de 1871(Batna)sachez monsieur que Louis Rinn,a consacré trois grand chapitre soit 97 Pages à cette insurrection dans la dite région. »Louis Rinn conseiller de gouvernement,vice-président de la société historique d’Alger,ancien chef du service central des affaires indigène » c’est L’Algerie ne censurer pas l’histoire.

      kasbadji
      1 décembre 2016 - 13 h 57 min

      @Meras , il a cité Batna :
      @Meras , il a cité Batna : « Rapidement, la sédition dépassera le cadre de la Kabylie pour s’étendre à l’ouest jusqu’à la Mitidja et la région de Cherchell. Elle touchera le Hodna et les Aurès, la région de Batna, ainsi que les confins du désert, Touggourt et Ouargla ». Que faut-il de plus ?

        jughurta
        3 décembre 2016 - 15 h 35 min

        C’ est un complexé et jaloux
        C’ est un complexé et jaloux car on a fait plus de guerre qu’ eux et que l’ on est plus guerrier qu ‘ eux WALLAH c’ est tout, Je m’ excuse mais je crains de vous le dire définitivement, dans l’ Histoire Algérienne, concernant les sacrifices, le nombres de guerres, de morts, de soulevement et de victoire les chaouis n’ arrivent même pas à l’ orteil des KABYLES. Ces chaouis même qui n’ ont jamais reussi a constituer un royaume alors que nous les Kabyles sommes à l’ origine de tout devant et derriere toutes les victoires et de tout temps ! Lisez charle farine  » A travers la Kabylie » le premier qui a écrit pas les autres pervers qui ont repris ses écrits pour inciter le roi a rentrer en guerre. Les royaumes Kabyle Fatimide ensuite celui de Ziri et son fils hammad Bologhine, Royaume des Aït Abbes Mokrani ( Bejaia), royaume de kouko ( Tizi ouzou) sans compter lé époque romaine firmus mathos etc ( Takfarinas était chaoui c’ est vrai). CES ROYAUMES KABYLES SONT REPUTER DANS LE MONDE ENTIER COMME IMPRESSIONNANT PAR CES FAITS D’ ARMES POUR UN SI PETIT PEUPLE.

          el milia kvayl
          4 décembre 2016 - 13 h 26 min

          Les Kabyles dont vous
          Les Kabyles dont vous revendiquez l héritage historique ne vivaient pas du tout dans vos réduits makistes actuels mais précisémment là où aujourd’hui leurs descendants vivent parfaitement leur identité Berbère sans la jeter à la figure des autres….
          Vous venez gratter et déposséder les Kabyles des plaines de leur légitimité historique.c est du révisionnisme,vous n avez pas honte?

    platon
    1 décembre 2016 - 12 h 21 min

    intéressez-vous aux
    intéressez-vous aux informations qui figurent dans cette contribution, au lieu de vous chamailler comme des enfants à l’école primaire, apportez de l’eau au moulin et si vous ne savez pas construire ne détruisez pas.

    5juillet62
    1 décembre 2016 - 12 h 12 min

    Il ne faut pas se tromper de
    Il ne faut pas se tromper de cible, ni kabylie ni aures, les algériens se sont levés parfois en masse contre la répression, à travers le pays, sporadiquement, jamais ensemble. Le nombre d’insurrections est très élevé. Il a fallu attendre novembre 1954 pour canaliser tout çà. Les régionalistes qui pensent Aurés ou Kabylie se mettent le doigt dans l’œil.Il s’agit de la patrie algérienne. On s’en fout de la famille Mokrani, c’était des pions aux mains des français, qui s’étaient opposés à l’émir Abdelkader, au plus fort de la lutte. Ils ne se sont révoltés qu’en 1871, parce que les français touchaient à leurs intérêts privés, leurs amis militaires étaient remplacés sur leur territoire par des civils qui se sont mis à les commander.

      verite blessante
      1 décembre 2016 - 15 h 11 min

      lhistoire nous cache un tas
      lhistoire nous cache un tas de choses et bcp de verites.ya eu des soulevements un peu partout en algerie par des algeriens un point c,est tout.autant ne pas remuer le passe il risque de devoiler des verites qui peuvent blesser des familles qui pensent avoir servi l,algerie du temps du colonialisme alors que la verite et tout autre.unissons nous et soyons solidaires je crois que c,est la plus belle chose que nous pouvons donner a notre pays.

        el milia kvayl
        1 décembre 2016 - 16 h 31 min

        N importe quoi ce que vous
        N importe quoi ce que vous dites.
        C est parce-que nous n avons pas été au clair avec notre histoire que des harkis et fils de harkis se sont servis d un certain fis pour faire une guerre à la guerre d Algerie.
        Rien sous le tapis…moi je sais à quoi j appartiens.
        Je ne vais pas taire ou minimiser ce que les gens de ma région ont réalisé pendant cette guerre pour ne pas heurter ceux d ailleurs qui n auraient rien fait.
        Faut pas gratter le vernis c est cela?
        L histoire est certes imparfaite mais je n ai pas de quoi baisser la tête,bien au contraire.
        C est le nouveau cheval de Troie des révisionnistes neoharkis?ne pas trop fouiller l histoire sous peine de retrouver un grand-père harkis »non Hamdoulillah pas dans ma famille

      anonyme
      1 décembre 2016 - 17 h 25 min

      l’histoire recommence !

      l’histoire recommence !
      il y a actuellement des réactions partout dans le pays pour differentes raisons mais sporadiquement et pas encore globalement ,pour tout le pays ;

      poil a gratter
      1 décembre 2016 - 22 h 03 min

      Ils ont combattu jusqu’a la
      Ils ont combattu jusqu’a la mort lui et ses enfants. Ce n’est pas comme certain qui se sont rendus en contrepartie d’une pension de 150 000 Francs annuels, ce qui pour l’époque était énorme. Ils n’ont pas fini francs maçon non plus!!!! La France continue a rendre hommage à ces derniers jusqu’à ce jour.

    el milia kvayl
    1 décembre 2016 - 12 h 04 min

    @Jughurta

    @Jughurta
    C est qui Nous les Kabyles? et dans quelle Kabylie?
    Celle du mak réduite aujourd’hui à leur idéologie « ethnicolinguistique »?
    Ou bien celle qui prévalait en 1871 et qui allait jusqu’à l extrême Est de Skikda?
    Car avec certitude les français désignaient par Kabylie toute les régions montagneuses du centre et de l est Algérien.
    J ai remarqué à plusieurs reprises qu un certain militantisme prenait quelques libertés avec les vérités historiques.
    Et je n entends pas laisser mes ancêtres être dépossédés du sacrifice qu’ils ont consenti au prix le plus fort.
    Et je n entends pas taire non plus les contributions des autres parties de l Algerie….

      jughurta
      1 décembre 2016 - 12 h 25 min

      Je suis tout à fait daccord
      Je suis tout à fait daccord mon frere, la kabylie Historique en réalité ne se limite pas seulement à la kabylie actuel, je suis de la Soummam ( Beni Aïdel) et je suis tout à fait daccord avec toi, il faut vous réaccaparer vos honneur qui ont disparrut géographiquement aujourd’ hui. C’ est les chaouis qui nous divisent WALLAH mon frère.

        ALGÉRIEN
        1 décembre 2016 - 14 h 41 min

        VOUS , VOUS ÊTES UN
        VOUS , VOUS ÊTES UN USURPATEUR. VOTRE RÔLE EST DE DIVISER, MAIS LES ALGÉRIENS ONT GRANDIS ILS VONT VOUS RENVOYER DANS VOS MANIGANCES DIABOLIQUES. POUR COMMENCER CESSEZ D’UTILISER LE PSEUDONYME DE jughurta SALISSEZ LA MÉMOIRE DE CE GRAND FILS DE L »AFRIQUE DU NORD. ALLEZ DU VENT MICROBE L’ALGÉRIE EST UNE ET NE SAURAIT ÊTRE DIVISIBLE.

      jughurta
      2 décembre 2016 - 21 h 27 min

      Faut dire aussi que vous êtes
      Faut dire aussi que vous êtes KABYLE QUAND CA VOUS CHANTENT ALLEZ DU VENT, TABAG !! KABYLE C’ EST SOI TU L’ ES SOIT TU L’ ES PAS !! ON VOUS A JAMAIS ENTENDU REVENDIQUER VOTRE KABYLITE BANDE DE GRATTEUR.

        el milia kvayl
        4 décembre 2016 - 13 h 18 min

        Ah ah ah ah…sincèrement
        Ah ah ah ah…sincèrement votre commentaire m a fait beaucoup rire.
        Moi je suis ce que je suis mon identité je l ai eue de mes ancêtres et de ma terre.Mon certificat j en voudrais pour rien au monde de vous beurkkkkk.
        ..
        Ce n est surement venant d une secte qui vient elle par contre grappiller à l extérieur de son périmètre linguistico-géographique(votre Kabylie fantasmée) un peu de légitimité.
        Je les ai croisés vos membres débiles au tombeau de Massinissa au Khroub ..les malheureux…
        En reprenant votre raisonnement ,on pourrait très bien considérer que ce patrimoine appartient en 1er lieu à ces Berbères des plaines qui eux sont restes à braver les envahisseurs alors que Vous et donc nous*ceux que vous excluez * avons déserté en se réfugiant dans nos montagnes…
        Nous vivons parfaitement notre identité sans exclure quiconque.
        Donc le revenant c est plutôt vous qui d un coup idéologique a même récupérer le nom de Jugurta.Comme « gratteur » vous êtes forts.

        On ne se définit pas Kabyle ou non d ailleurs par rapport à vous,vous êtes trop insignifiants pour cela,mais par rapport à l Histoire

    tagara
    1 décembre 2016 - 11 h 40 min

    Réapparition du bachagha sur
    Réapparition du bachagha sur cette page, il joue au troll pour dénaturer le debat. Les kabyles contre les auressiens, cela n’a pas de sens ! La chronologie historique ne plaît pas à tout le monde, apparemment.

      jughurta
      1 décembre 2016 - 21 h 50 min

      Ne parlez pas de chronologie
      Ne parlez pas de chronologie avec nous les kabyles vous rougirais. Lis charles farine  » a travers la kabylie » tu comprendras qui nous sommes, si tes chaouis ont déja fait quelque chose et si vous êtes connus dans l’ Histoire, les chaouis sont un résidu de getules et de musulames ( reste des carthaginois) qui était au kef ( tunisie), ils fesaient des trou dans les murs et dormaient dedans.

    jughurta
    1 décembre 2016 - 11 h 10 min

    On s’ en fou d’ où ont
    On s’ en fou d’ où ont commencé les échauffourées, le plus important est qui a déclenché la guerre et qui avait les moyens de la déclencher, surement pas vous les chaouis mais bien nous LES KABYLES POINT BARRE !! En plus c’ est un mensonge, les guerriers en Algérie c’ est nous les KABYLES nous nous et rien que nous !!!

    jughurta
    1 décembre 2016 - 11 h 06 min

    Propagande des jaloux et
    Propagande des jaloux et complexés historiques chaouis à l’ égard des KABYLES siiyadkom bkibar min el kibar, inshallah tnodh aalikom pour en finir une fois pour tout maa l’ hypocrisie taa chaoui li jamais darou hadja fel bled !!

      jughurta
      3 décembre 2016 - 16 h 08 min

      J’ ai dis ça sous la colére,
      J’ ai dis ça sous la colére, inshallah ( vaut mieux) matnodtch. Mais vous les chaouis on a compris vraiment et depuis longtemps votre manege, vous vous la joués berbere devant nous alors que vous êtes ceux qui incitent à la haine des Kabyles par jalousie haineuse et par complexe d’ infériorité profond. Ya woudi on vous connais. Aujourd’ hui c’ est plus pareil, on a comme l’ impression que vous prenez un peu trop la confiance. Attention WALLAH que nous les kabyles somme tres nerveux, barbare je veux bien le croire, défois moi même en moi même des coup de colère sans savoir ce qui se passe.

    delci
    1 décembre 2016 - 10 h 46 min

    Les récoltes des paysans
    Les récoltes des paysans algériens récalcitrants ou insoumis étaient moissonnées par les militaires français . Lamoricière, disait que c’était là « le meilleur moyen de travailler à la soumission des tribus ». Ses troupes récoltèrent un jour 1500 quintaux de blé et d’orge sur les terres des paysans , gratuitement, c’est comme cela que les militaires français se nourrissaient, sans compter les viols, les assassinats , la répression chaque jour et chaque nuit.

    Lotfi ALN
    1 décembre 2016 - 10 h 29 min

    CE QUI EST SUR: NI OUBLI NI
    CE QUI EST SUR: NI OUBLI NI PARDON.
    EXIGENCES: RECONNAISSANCE DE TOUS LES CRIMES COMMIS CONTRE LE PEUPLE ALGÉRIEN PAR L’ÉTAT FRANÇAIS DURANT LA COLONISATION.
    INDEMNISATION DE TOUTES LES VICTIMES ET ASCENDANTS DES ESSAIS NUCLÉAIRES CHIMIQUES ET BACTÉRIOLOGIQUES. DÉPOLLUTION ET DÉCONTAMINATION DES REGIONS CONCERNÉS ET COMPENSATIONS QUI VONT AVEC.

    oranais
    1 décembre 2016 - 10 h 24 min

    Le « prix du bâton » et le
    Le « prix du bâton » et le « prix de la prison »… on vous met en prison et à la sortie vous payez les coups reçus et la geôle, et tout çà allait aux français, avec 10 % dans les poches des caïds et des bachaghas.

    kasbadji
    1 décembre 2016 - 10 h 09 min

    « Notre présence sur votre
    « Notre présence sur votre territoire n’est pas pour faire la guerre à vous, mais seulement à la personne de votre pacha qui, par ses procédés est cause qu’il est persécuté. » Proclamation du maréchal de Bourmont, commandant en chef de l’armée française aux habitants de la régence d’Alger.
    On sait la suite. Ils sont restés. Ils ont été chassés.

      Rola merbah
      1 décembre 2016 - 18 h 41 min

      Salam, dans ce cas pourquoi
      Salam, dans ce cas pourquoi ils ont massacrés des millions d’algériens en 50 ans avec la réduction de la population algerienne de 6 millions a 2 millions (je m’excuse mais c’est un génocide) ils auraient pu capturé ce pacha et le juger mais encore c’est quoi leurs procédés à eux et de quel droit en se melle des affaires étrangéres des autres, l’Algérie ne leur appartient pas, ce pacha est notre pacha à nous, à cette époque les français avaient-t-ils la démocratie dans leur pays, comment traitaient ils leur peuple pour nous dire comment vivre dans notre pays.

    tidetts
    1 décembre 2016 - 10 h 03 min

    On dit dans les livres que c
    On dit dans les livres que c’est Mokrani qui a coupé la tête de chérif boubaghla.

      Rola merbah
      1 décembre 2016 - 19 h 21 min

      on dit beaucoup de choses,
      on dit beaucoup de choses, comme la casbah d’Alger qui a été bâtit par Bologhine ibn ziride le Berbère, on dit que c’est les turques qui l’ont bâtit, et puis la statut de Bologhine on dit que c’est celle de Kheireddine Barbarous. Non, je ne suis pas hors sujet, mais on peut dire ce qu’on veut par contre l’histoire nous rattrape comme pour aujourd’hui arabisation vs notre identité algérienne ancestrale. On ne doit pas oublier non plus qu’une bonne partie des livres rédigés sur l’histoire de l’Algérie est écrite par des français qui font sortir les infos qu’ils veulent, cachent ce qu’ils veulent et innovent comme ils veulent. Décident c’est qui le bon et c’est qui le méchant. L’exemple type sont les kabyles qu’on a fait passer pour des traitres alors qu’on sait qu’au début de la colonisation, la france ça lui a pris une cinquantaine d’années pour prendre possession des terres de la kabylie tellement la résistance était féroce (celles des chaouis et du désert algérien également).

    Anonymous
    1 décembre 2016 - 10 h 03 min

    Parmi les communards un
    Parmi les communards un certain Busquant , anarchiste, il a combattu cote à cote des algériens dont il gardera un souvenir inoubliable ; plus tard il aura une fille , Emilie Busquand qui rencontrera à l’age de 21 ans un certain Messali Hadj puis l’adhésion au PCF suivit de l’ENA d’où naitra le PPA qui tracera le chemin jusqu’au premier novembre

      poil a gratter
      1 décembre 2016 - 22 h 15 min

       » il a combattu cote à cote
       » il a combattu cote à cote des algériens » On ne comprend pas bien ce que vous voulez dire!!!!!! C’est très émouvant, on dirait une histoire à la disneyland. Un peu de sérieux svp.

    Anonymous
    1 décembre 2016 - 9 h 13 min

    Article tendancieux et
    Article tendancieux et nombrilisme familial .. on ne peut falsifier l’Histoire et l’insulter, juste pour assouvir la petite Gloriole familiale au détriment de la vérité algérienne !!!

      Sami
      1 décembre 2016 - 9 h 50 min

      On a jamais etudier ses fait
      On a jamais etudier ses fait d’histoire a l’Ecole algerienne

        !
        1 décembre 2016 - 10 h 02 min

        Ni à l’école de France d
        Ni à l’école de France d’ailleur ??

      moumouh
      1 décembre 2016 - 10 h 17 min

      @Anonymous: il y a des
      @Anonymous: il y a des vérités que les consciences coupables recevront toujours à la gueule , pire que des gifles. L’histoire algérienne est à connaitre, elle reste à étudier, ensuite on verra qui est qui et qui a fait quoi.

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