Ooredoo : les journalistes à la découverte de la 4G
La 60e session de formation du Club de presse Ooredoo, qui s’est déroulée aujourd’hui jeudi, a été dédiée à «la vulgarisation de la technologie 4G» et a été conjointement dispensée par Younes Grar, expert consultant en TIC, Farid Farah, consultant IT, et Adel Derragui, directeur adjoint du marketing opérationnel à Ooredoo.
Premier à intervenir, Adel Derragui a évoqué «l’évolution des techniques et de l’architecture LTE (Long Term Evolution) ainsi que des équipements de téléphonie mobile depuis les appareils GSM jusqu’à la 4G», avant de se projeter dans le futur pour parler des «améliorations considérables qu’apporte la 4G aux utilisateurs en termes de vitesse de téléchargement, de TV sur mobile, de streaming ou d’appels Voix en qualité HD».
Par la suite, c’est Farid Farah qui est intervenu avec un exposé ayant pour thème «LTE 4G : opportunités et défis». Il est allé plus dans le technique pour éclairer la lanternes des journalistes en revenant sur «l’évolution de la téléphonie mobile et du débit des téléchargements de la 2G à la 4G, les avantages du réseau LTE et les différentes fonctions qu’il fournit avec pour l’exemple un temps de latence faible qui permet une augmentation du débit, de la vitesse et donc de la rentabilité». Il aussi abordé «les différents usages que permet la technologie 4G dans les supports médiatiques traditionnels et modernes. Il a ainsi développé les diverses opportunités du marché LTE et son rôle dans le développement de l’écosystème du réseau mobile et ses incidences économiques et fiscales sur le marché».
Le dernier intervenant n’est autre que le consultant connu dans le milieu des TIC, Younes Grar, qui a expliqué «les avantages de la technologie 4G en termes de rapidité, de stockage, de taille et de qualité des terminaux constituant des réseaux interconnectant des millions d’équipements et des centaines de millions d’utilisateurs offrant une source d’informations variée et riche». Il aussi donné des chiffres et des exemples très intéressants, comme celui du ministère de l’Enseignement supérieur qui a pu économiser 100 milliards de centimes en introduisant l’inscription en ligne des nouveaux étudiants. Idem pour le ministère de l’Intérieur pour le passeport biométrique avec 20 millions de dollars d’économie.
Réda B.