Qui en veut à l’Algérie ?
Par Rabah Toubal – Les inspirateurs de plusieurs articles de presse et de Travel Warnings alarmistes, diffusés dans les capitales de pays occidentaux notamment, cherchent à isoler notre pays pour laver l’affront qu’ont fait subir à leurs pays, sur la question syrienne, la Russie et ses alliés – Chine, Iran, Algérie, Hezbollah et Venezuela notamment –, en s’attaquant de front à ce qu’ils considèrent comme des maillons faibles de l’alliance pro-Russie, en l’occurrence l’Algérie et le Venezuela.
Il est vrai qu’en fin stratège, issu des rangs du prestigieux KGB, le président Vladimir Poutine s’est vite aperçu des tares et limites «psychologiques» de Barack Obama, qui les a, de fait, imposées à ses partenaires de l’Otan et de la Ligue des Etats arabes.
La réaction diplomatique du gouvernement algérien à ces menaces ouvertes est certes nécessaire, mais elle reste insuffisante pour éviter à notre pays de possibles désagréments aventuristes de la part d’une coalition profondément humiliée par les inconséquences de ses chefs, notamment les présidents Barack Obama et François Hollande qui quittent leurs fonctions dans une double humiliation.
Avec toutes les menaces sérieuses qui pèsent sur elle et les défis gigantesques qu’elle doit relever, à court et moyen termes, sur les plans interne et externe, l’Algérie doit avoir à sa tête un président de la République capable d’assumer pleinement ses lourdes charges.
R. T.
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