Une contribution de Houria Aït Kaci – La bourgeoisie compradore en Algérie

L'affairiste Tliba, député proche de Saïdani, considéré comme un compradore. New Press

Les barons qui appartiennent à la classe des compradores se comptaient sur les doigts d’une main il y a quelques années. A son arrivée au pouvoir en 1999, le président Bouteflika en dénombrait une douzaine ayant la mainmise sur l’économie et promettait de les combattre. Combien sont-ils aujourd’hui ? Ils sont beaucoup plus nombreux, et ils menacent d’accaparer le pouvoir politique, comme en témoigne la lutte au sein du parti dirigeant, le Front de libération nationale (FLN) entre les milliardaires, les tenants de la «chkara» (argent facile, argent sale) et les militants de base. «Avec moi, la chkara c’est fini !», a déclaré le nouveau secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès, qui a remplacé Amar Saïdani, considéré comme un compradore. Selon les observateurs, Ould-Abbès a été instruit par le président Bouteflika (également président d’honneur du FLN) de pousser vers la porte de sortie ces milliardaires ramenés par Saïdani.

Pour le FLN, «il n’est plus question de mélanger argent et politique» au risque de se voir complètement discrédité et de perdre les législatives d’avril 2017. En décidant de s’attaquer à la bourgeoisie compradore, Bouteflika cherche-t-il à préserver son fauteuil ou les intérêts nationaux menacés par une classe de nouveaux riches à la fortune douteuse, devenue dangereuse du fait de ses liens avec des intérêts étrangers ?

La bourgeoisie compradore facteur de blocage

En Algérie, comme dans le reste des pays du Sud, la présence des classes bourgeoises compradores et bureaucratiques dont les intérêts sont liés à ceux du système capitaliste mondial, financiarisé, dominant, représente un facteur de blocage du développement de l’économie nationale. La bourgeoisie compradore, du terme portugais «comprador» qui signifie «acheteur», recouvre «les commerçants, les acheteurs, les intermédiaires entre le monde dominant impérialiste et le monde local, notamment de producteurs paysans», selon l’économiste du tiers-monde Samir Amin.

«Nos classes dominantes sont des classes compradores. Et je pourrais dire même des bureaucraties d’Etat, qui ne sont pas des classes d’entrepreneurs et qui ne sont pas toujours des propriétaires au sens capitaliste du terme, qu’elles sont des bureaucratiques largement compradores. Donc, l’obstacle, il est chez nous effectivement, il est dans la nature des classes dominantes et du pouvoir politique. Mais le déploiement du mouvement social peut modifier la donne et créer ainsi les conditions d’une sortie de l’impasse», soutient-t-il.

Samir Amin ajoute que les oligarchies financières de la triade (Etats-Unis, Europe occidentale, Japon), qui ont imposé «une forme particulière de la mondialisation, celle du libéralisme mondialisé», se heurtent à des «résistances plus marquées» dans les périphéries du système, où «les ravages sociaux du libéralisme sont d’une ampleur décuplée», rendant ainsi les régimes politiques en place illégitimes aux yeux de leurs peuples. «Fragilisés à l’extrême, les classes et les Etats compradores qui constituent les courroies de transmission de la domination de l’impérialisme» deviennent des «alliés incertains», ce qui ouvre la voie à «la militarisation et le droit que s’octroie l’impérialisme d’intervenir – y compris par la guerre – dans les pays du Sud et de l’Est», souligne Samir Amin.

En Algérie, cette question est cruciale au moment où s’impose le passage d’une économie extravertie, mono-exportatrice d’hydrocarbures, à une économie nationale productive et diversifiée, ce qui contrarie les intérêts de la bourgeoisie compradore et d’une partie de la bourgeoisie bureaucratique – qui tire sa richesse de sa position dans les rouages de l’Etat. Ces classes se liguent sournoisement ou ouvertement contre l’Etat protectionniste et aussi contre les capitalistes nationaux qui cherchent à développer le pays en prenant des risques en investissant, en créant des emplois, contrairement aux compradores qui, eux, ne créent aucune richesse, se contentant de toucher des commissions des sociétés étrangères, argent qu’ils placent ensuite à l’étranger.

Trop faible, sinon inexistante à l’indépendance du pays, la bourgeoisie nationale n’a pu jouer un rôle principal dans le développement économique, laissant ce rôle à l’Etat. Mais aujourd’hui, des groupes privés nationaux importants ont émergé qui peuvent, en partenariat avec le secteur public, augmenter la part de la production nationale, réduire celle des importations et même exporter. C’est ce que font certaines entreprises privées en direction des marchés africain et européen.

Les ravages du PAP

La bourgeoisie compradore est née sous le règne du président Chadli Bendjedid avec la politique de libéralisation, dont le programme anti-pénuries (PAP) en 1986, qui a ouvert grandes les portes à l’importation, et la politique de restructuration des grandes entreprises nationales qui furent découpées en petites entités, sous prétexte que leur gigantisme était contraire à une gestion efficace, comme le soutenait le Premier ministre de l’époque, Abdelhamid Brahimi, établi depuis à Londres où il enseignait la science islamique.

Elle s’est considérablement renforcée durant la «décennie noire» du fait de ses liens avec les milieux islamistes radicaux et leur «économie de bazar». On pouvait constater d’ailleurs de visu que les commerces de gros et de détails étaient tous détenus par des «barbus» dans les fiefs des Groupes islamistes armés (GIA) dans les régions de l’Algérois et de Blida, qui menaçaient de mort tous les commerçants et industriels qui ne voulaient pas leur payer l’«impôt islamiste».

C’est d’ailleurs en plein terrorisme, en 1994, au moment où l’Etat algérien a failli chanceler sous la poussée des Groupes islamistes armés, que l’Algérie a été contrainte de signer les accords du programme d’ajustement structurel (PAS) qui ont donné lieu à la privatisation des entreprises publiques, créées dans les années 1970 sous le règne du président Houari Boumediene et «restructurées» par «Brahim la science» (surnom donné au Premier ministre Abdelhamid Brahimi). Mais le choix de l’économie de marché et de la voie libérale alors en vogue dans le monde entier n’ont pas permis au pays de se relever et de décoller malgré ses importantes ressources.

Ces dernières années, on observe, au contraire, une régression, une «déconstruction» de toutes les réalisations et projets nationaux importants entrepris, se traduisant par une incohérence et une inefficacité engendrant des retards, des surcoûts, des surfacturations, des contrefaçons, de la corruption, des gaspillages, des arrêts de production. Incompétence, actes de sabotage ? En tout cas, ce «sous-développement» perpétuel fait les affaires des multinationales et leurs relais.

La bourgeoisie compradore «allié objectif» de l’impérialisme

La mondialisation à laquelle l’Algérie est liée, surtout à travers le marché international des hydrocarbures, ne lui a pas permis de créer de la croissance, ni d’assurer le bien-être de sa population. La pauvreté a augmenté et le chômage touche les jeunes, même diplômés, qui sont obligés de s’expatrier et de vendre leur force de travail à bas prix, au grand bonheur des firmes capitalistes. Même les couches moyennes n’ont pas été épargnées alors que, paradoxalement, le nombre des grosses fortunes augmente au fil des ans. Plus le nombre de nouveaux riches augmente, plus le nombre de pauvres augmente aussi.

«L’allié objectif de l’impérialisme est la bourgeoisie compradore, c’est une bourgeoisie parasite mercenaire achetée par l’étranger, qui ne produit rien dans le pays ; elle s’enrichit et vit de commissions, en faisant des contrats et des transactions avec les puissances étrangères. Elle leur sert d’agent soit pour s’emparer des matières premières minérales ou énergétiques au profit de ces mêmes puissances, soit s’approprier la production nationale énergétique (par exemple le gaz naturel) au prix le plus bas par un transfert de la rente (exemple : le ciment avec Lafarge) et les produits ammoniaqués pour Orascom (intérêts français et non égyptiens)», écrit Dr Mohamed Belhoucine dans une contribution au journal Liberté en 2016.

Mais il faut reconnaître que l’Algérie n’est pas le seul pays dans ce cas. Tous les pays d’Afrique anciennement colonisés (excepté l’Afrique du Sud dans une moindre mesure) ne se sont pas développés, même ceux qui ont de grandes ressources naturelles. Comment expliquer que 60 ans après les indépendances africaines, aucun de ces pays n’ait pu émerger ? L’explication réside dans les rapports néocoloniaux et l’insertion forcée de ces pays dans le système capitaliste mondial (périphérie) qui les maintient dans leur rôle de simples fournisseurs de matières premières à bas prix, fixés par les marchés financiers à Washington, Londres ou Paris.

Le FMI et la BM reviennent à la charge

Les puissances néolibérales n’hésitent pas à intervenir militairement dans ces pays s’ils s’avisent de changer de trajectoire, explique le Pr Michel Chossudovsky. «Depuis la crise asiatique de 1997, le programme d’ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale évolue vers la mise en place d’un cadre plus large qui nuit, en définitive, à la capacité des gouvernements des pays de formuler et d’adopter des politiques économiques et sociales nationales», écrit-il dans «Néolibéralisme et mondialisation de la guerre : le projet hégémonique des USA» publié sur Mondialisation, le 22 juin 2016.

Ces mêmes institutions (FMI et Banque mondiale) reviennent à la charge en Algérie à laquelle ils recommandent, pour juguler la crise financière, de supprimer les subventions sociales, de recourir à l’emprunt extérieur, de supprimer la règle des 51/49 pour les investissements directs étrangers, d’augmenter le taux d’intérêt bancaire, etc.

Houria Aït Kaci
Ancienne directrice de l’agence de presse AAI

Lire aussi : Emeutes de Béjaïa : le poids des lobbies

Comment (130)

    Zahir
    13 janvier 2017 - 20 h 37 min

    Parler de bourgeoisie
    Parler de bourgeoisie « compradore » c’est trop dire et ce serait leur faire trop d’honneur à ces ignares et ces voyous. Faites des recherches sur l’origine sociale de ces nouveaux parvenus et vous comprendrez tout. Absolument tout. Sauf en ce qui concerne Monsieur Réda HAMIANI qui est un vrai intellectuel mais qui, malheureusement, a été évincé pour ne pas dire : éliminé ou écarté par….. vous m’avez compris, pour mettre à sa place un : VRAI VOYOU !!! QUI DIRIGE UN VERITABLE SYNDICAT DE VOYOUS….

    Malek
    13 janvier 2017 - 20 h 21 min

    Brillante analyse ! Je
    Brillante analyse ! Je complèterai en disant que cette bourgeoisie compradore n’est qu’une des composantes de la BOURGEOISIE PARASITAIRE qui aujourd’hui a la main mise sur le pays. Les deux autres composantes avec lesquelles elle a des connexions étroites et des intérêts partagés sont ;
    – les affairistes de l’informel qui contrôlent le marché national. Ils tiennent les leviers de régulation de l’offre . Ils font bloc contre l’Etat de droit et la substitution à l’importation, et peuvent déclencher des émeutes à tout moment
    – la bourgeoisie bureaucratique qui contrôle les décisions de politique économique et leur application. Elle se sert et sert les Compradores et les barons de l’informel.
    Telle est la nouvelle nature du pouvoir qui s’est incrusté dans le pays au cours de ces dernières années.Une manne pétrolière croissance entre les mains d’un Etat de plus en plus déliquescent ne pouvait pas mener à autre chose. Question : est-ce que le point de non retour est franchis?

    le terroir
    13 janvier 2017 - 19 h 41 min

    Il va représenter l’ Algérie
    Il va représenter l’ Algérie au championnat de Sumo au Japon, bande de jaloux!!
    Il va même garder les buts de l’ Algérie à la CAF!! Ca sera notre gardien de buts, comme ça on est tranquille même sans défense.
    Il représente la bonne santé de notre pays. Même en état de guerre il peut résister et tenir un siège.Il a même été anobli, il est L’émir de Qatar d’Annaba.
    Il va inviter Arnold Schwarzenegger pour sa consécration.
    Ben quoi, il est sympa, non??Il a meme un Facebook et il a des « je t’aimes » en pagaille, ben alors quoi??Vous êtes tous des jaloux!

    Aladin
    13 janvier 2017 - 19 h 09 min

    quelle honte;es-que ce peuple
    quelle honte;es-que ce peuple mériterait cette situation;cette humiliation quotidienne subis par ces bandits qui ont sali l’image de l’algérie combattante qui n’aime pas ni el hogra ni l’injustice;ce qu’il a dit général de gaule est arrivée;a qui la faute certainement aux vrais algériens de ne pas soigner la plaie a temps;c’est la gangrène maintenant;

    salim
    13 janvier 2017 - 18 h 21 min

    Un message à mes compatriotes
    Un message à mes compatriotes algériens, méfiez vous de la chkara (corruption) et de la cooptation. Des pays occidentaux se sont fait occuper et diriger par une poignée de personnes avec ces deux procédés. Renseignez sur ces deux mots corruption et cooptation, le premier est bien connu mais le second peu de gens en entendent parler.
    Et ici même chez nous en Algérie, il y a des abrutis de citoyens qui acceptent de l’argent pour aller voter pour x ou y.

    FFS
    13 janvier 2017 - 18 h 10 min

    Ce compradore tsar allez
    Ce compradore tsar allez venir assister aux funerailles de da el hocine lui et le sergent garcia dieu merci le drs les a empecher car ils auraient ete linches en terre kabyle;ap comment veux tu etre patriote en voyant une monstruosite pareil a la tete de l apn est insulter les deputes de l opposition alors qu il est un voleur escroc trabendiste et TUNISIEN PAR DESSUS LE MARCHE……je prefere un milliard de FOIS FERHAT MHENNI QUE LUI ET LE CLAN DE MAFIOSI QUI NOUS GOUVERNE(MAROCAINS OU TUNISIENS)

      Schüss
      14 janvier 2017 - 0 h 24 min

      Toi deja tu es marocain donc
      Toi deja tu es marocain donc il ne faut pas nous jouer ça à nous et chez nous 🙂

    Anonymous
    13 janvier 2017 - 17 h 18 min

    Qui a permis à ce type d’en
    Qui a permis à ce type d’en arriver là où il est pour le malheur de l’Algérie ?
    Ne me dites pas Saidani par pitié…allez un (tout petit ) peu de courage….Un indice :1999

    akbou hamid
    13 janvier 2017 - 16 h 25 min

    il n’y a pas de bourgeoisie
    il n’y a pas de bourgeoisie en algérie. car la bourgeoisie est une classe aristocratique c’est à dire d’abord intellectuelle et en plus riche . chez nous ils n’ont meme pas le niveau primaire dans presque toutes les institutions officielles. donc c’est tout simplement des nouveaux riches.

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 17 h 16 min

      exact .je suis d’accord avec
      exact .je suis d’accord avec vous monsieur . La bourgeoisie est une classe qui peut constituer le moteur dans un système économique , social ou politique . Elle existe en France , En Allemagne en GB ? aux EUA ; Elle contribue au développement économique .Chez nous , il n’y a pas de bourgeoisie , ils y’a des voleurs .

      Azzouz
      13 janvier 2017 - 17 h 35 min

      Pas nouveaux riches, ce sont
      Pas nouveaux riches, ce sont des beggaras. C’est plus grave! Disons qu’ils constituent les métastases dégagées par ce régime infect qui dirige le pays depuis 62. Yaou el bled klaha boubi

    Anonymous
    13 janvier 2017 - 16 h 20 min

    La question que je me pose
    La question que je me pose comment Toyfik Mediene a laissé ces cafards gouvernnes le pays .yaaaaa Adjaba un pays aussi riche aussi grand aussi beau.un pays d 1 /5 de martyrs abondonnes pillés désossée par les prédateurs intérieurs et il nous disent Attention la main étrangère est a vos portes.wallah wellah wellah que cette argent voles ne servira qu a vous soignés des maladies graves que le bon vous a infligés.si vous êtes des croyant rendez la argent du trésor publique pour faire sortir le pays de la crise nous sommes plus dans les années 90 vous pouvez plus nous avoir

    Nasser
    13 janvier 2017 - 16 h 00 min

    il n’ est jamais trop tard
    il n’ est jamais trop tard pour faire le ménage, il me semble que nos institutions sont dotées d’ appareils qui permettent de traquer la corruption et de juger ces escrocs (aucune société n’ est épargnée par ce vice), ceci étant il y va de notre avenir et surtout de notre indépendance ECONOMIQUE, le pouvoir doit avoir le même volonté pour combattre ce fléau comme celle qu’ il a eu pour construire l’ANP. c’ est aussi ça la SOUVERAINETE

    ISSIS
    13 janvier 2017 - 15 h 21 min

    NOUS VIVONS EN QUELLE EPOQUE
    NOUS VIVONS EN QUELLE EPOQUE OU DES TUNISIENS ET DE MOROCAINS VENANTS MANGERS A LEURS FAIM ILS S’EMPARENT DU POUVOIR.ES-QUE NOUS SOMMES CONDAMNER A VIVRE TOUTES NOTRE VIE SOUS L’OCCUPATION COLONIALE

    Anonymous
    13 janvier 2017 - 15 h 08 min

    ou sont-ils les vrais
    ou sont-ils les vrais dignitaires algériens;es-que nous méritons ce bazar de saidani;tliba;ghoul;djemai;khaldoune;et aussi certains députés qui siègent a l APN pas conseil au municipale a l’assemblée populaire nationale vous vous rendez pas compte;existent d’autres députés accusés de mouers et de corruptions;mais ils continuaient a siégé comme s’est rien passer;est les victimes ne sont pas des humains;meme a l’époque coloniale ils respectaient plus ou moins les citoyens; nous vivons a quelle époque;ce monsieur tliba il se prend pour le maitre d’annaba;malgré ces origines venant du pays voisins;ce n’est pas une insulte au peuple algérien naif et hospitalier envers les étrangers venant des pays voisins;

    lhadi
    13 janvier 2017 - 14 h 10 min

    N’ayant ni le goût de la
    N’ayant ni le goût de la persécution, ni celui de la personnalisation, ne faisant partie ni de la meute ni celui du troupeau, je m’abstiendrai donc de devenir « l’Émile Zola algérien » pour stigmatiser l’imposture politique qui se complait dans la concussion. Il importe donc, à mon sens, de se concentrer sur ce qui intéresse le peuple d’Algérie : vivre mieux. En effet, l’apport d’un engagement, d’une vision, d’une détermination, d’une confiance, est devenu une nécessité impérieuse. C’est dans cet esprit que les moyens nécessaires doivent être mises au service des grands objectifs sociaux et nationaux. Ce sera l’objet du plan démocratique.
    Il constituera l’un des fondements indissociables de la transformation de la société au service du plus grand nombre d’une part, et, d’autre part, il sera l’expression de l’intérêt général en même temps l’instrument de la volonté nationale. Je le dis avec force et conviction : c’est au peuple à qui il appartient de construire la démocratie plurielle et le socialisme libéral, désignant un libéralisme économique à sensibilité sociale, adapté au capitalisme actuel.
    Personne d’autre ne peut le faire à sa place. C’est à lui-même de choisir le chemin du progrès, du bonheur et de la grandeur pour notre pays. La nation algérienne est une réalité encore jeune, riche de potentialités pour une part encore étouffées sous la domination de cette oligarchie devenue riche sans jamais travaillé. Aux « Périclès algériens » de contribuer à l’insurrection des consciences afin que le dialogue puisse se dérouler dans le cadre national.
    Que les « conservateurs » et « progressistes » se mettent autour d’une table d’où sortira un choix simple : entre l’immobilisme et le progrès, ils choisiront, et cela dans l’intérêt du pays, la projection dans l’avenir autour d’une grande priorité : la jeunesse.
    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Algérienne
      13 janvier 2017 - 14 h 50 min

      Si ta démocratie c’est juste

      Si ta démocratie c’est juste le multipartisme et le vote , alors je te la donne .

      Nous avons besoin d’une justice forte pour faire régner de l’ordre dans la société. Le bien être du peuple commence par lui octroyer une citoyenneté complète au sens large du mot.. c’est la mentalité des responsable qu’il faut changer.
      Le jour où nos responsable comprendront qu’ils sont au service du peuple et du pays et non pas le contraire, ce jour là l’Algérie ira mieux.

        lhadi
        13 janvier 2017 - 15 h 59 min

        chère concitoyenne, il me
        chère concitoyenne, il me semble que vous n’avez pas bien saisi ma contribution. Je vous invite à la relire attentivement. Fraternellement lhadi ([email protected])

      Said
      14 janvier 2017 - 15 h 43 min

      Rien à dire sur cette
      Rien à dire sur cette contribution. Oui vivre mieux bien sûr! Et c’est au peuple d’agir, oui. Ceci est la situation idéale. Dans un pays normal où des institutions démocratiques et indépendantes existent. Dans un pays où le contre-pouvoir existe. Ce n’est pas le cas chez-nous. Vous avez répondu à la dame par un superbe concitoyenne, j’espère, considérant votre contribution comme intelligente, que c’est de l’ironie intellectuelle. Vous savez bien que le concept de citoyenneté est à construire. Pour résumer oui à ce que vous préconisez, mais pour cela il faudrait une grande action de salubrité publique: chasser ces corrompus, cette racaille qui depuis 62 a pris ce pays en otage

    Tinhinane
    13 janvier 2017 - 14 h 10 min

    Regardez ce gargantua sur la
    Regardez ce gargantua sur la photo, Il parait qu’il avait une tabla à Annaba et connu aussi pour ses activités louches.

    Comment peut-on permettre à ce grand chakariste d’avoir une place à l’APN. Soutenu par son compatriote, l’autre voleur Saadani ainsi que d’autres HALABA locaux, l’APN s’est transformée en une grand TABLA des beznassa. Tout se déroule sous le regard absent du président. L’essentiel que ces maffieux lèvent la main quand on leur demande de voter. C’est ça la nouvelle Algérie

    UMERI
    13 janvier 2017 - 13 h 55 min

    Ce gros ventru plein de soupe
    Ce gros ventru plein de soupe, qui a acheté un poste de Sénateur pour 5 milliards de dinars, mafieux de Annaba est tout juste bon pour qu’on lui attelle une charrue, pour labourer la terre. Vous parlez de représentant du peuple, on aura tout vu.

    Dyhia
    13 janvier 2017 - 13 h 51 min

    Le mal de l’Algérie a été

    Le mal de l’Algérie a été diagnostiqué par le peuple, la presse….L’Algérie est devenue célèbre de par ses scandales dans la gestion de la rente. La question qui pose. Y’a-t-il un Ali Baba propre pour arrêter le désastre de ces voleurs du peuple.
    Qui va juger qui ? Qui est le juge, monsieur propre, et qui est le pilleur. Après 16 ans de pillage, c’est devenu comme le nid d’araignées

    Kahina
    13 janvier 2017 - 13 h 42 min

    Merci pour le style direct de
    Merci pour le style direct de l’article.

    L’Algérie est devenue la ré-public des chakaristes. Comment en finir avec ces nouveaux riches parasites de l’économie Algérienne. C’est eux la main étrangère qui essaye de déstabiliser le pays à chaque fois que les lois ne convergent pas avec leur Ventre. Au moins s’ils étaient intelligents et de vrais patrons rentables pour l’économie … malheureusement, ils sont tous des trabendistes ignares qui se font nommés HOUMES D’affire.

    Bison
    13 janvier 2017 - 13 h 40 min

    Bourgeoisie,bourgeoisie ! !
    Bourgeoisie,bourgeoisie ! ! Ça colle pas, y’a comme un défaut!! Ça rend pas compte du produit ! ! Essayons une autre appellation :  » Bougreoisie »!! Ça mange pas de pain, on permute juste deux lettres!! Et ….!? Eh, messiou les journalistes, je viens de déposer le brevet d’ invention, pour l’utiliser vous payez! Des sous, des sous…, pour la zaouiya !

    Le terroir
    13 janvier 2017 - 13 h 24 min

    Le Joueur de Flûte pourrait
    Le Joueur de Flûte pourrait-il noyer tous les rats dans la rivière ( comme dans le fameux conte allemand -Le joueur de Flûte de Hamelin-)?
    J’ en doute fort, vu le gabarit de certains. La rivière déborderait et se boucherait. Il faudrait un grand fleuve, le véritable Fleuve ne s’est pas encore formé.
    Mais comme ce sont tous des rats, ils ne se nuiraient pas, bien au contraire ils seront nommés ailleurs et même mieux!La Nouvelle Comédie en 5 Actes sera jouer à l’ opéra d’ Alger ( svp veuillez venir sans bligha et sans bouffe, tenue de ville exigé, montrant notre civisme). Voici les 5 actes: Acte 1; Le Spectacle Continue. Acte 2.L’ Ephémère Dératisation; Acte 3; Menace sur Le Vieux Rat. Acte 4, Le Vieux Rat toujours aux commandes; Acte 5, La Fonte du Fromage et Acte 6 Les Rats quittent la Flouka.
    Cordialement.

    E=MC2
    13 janvier 2017 - 13 h 17 min

    Erreur! La restructuration
    Erreur! La restructuration des entreprises nationales a été décidée par le Congrès du FLN après adoption du rapport de la Commission Economique et Financière du parti. Brahimi, qui n’a rejoint le gouvernement de Chadli qu’après ce Congrès, s’est vu confier la tâche de gérer le dossier en tant que Président de la Commission Nationale de Restructuration des Entreprises (CNRE). Il n’en est pas le concepteur et il aurait eu du mal à l’imposer au Président, au Gouvernement, au Parti du FLN , à l’Armée et à l’UGTA. TOUS les membres du gouvernement en étaient membres et ils avaient pour mission de proposer des schemas sectoriels de restructuration en associant les entreprises relevant de leur tutelle. L’UGTA y a aussi participé par le biais des ATE et ATU. LE GOUVERNEMENT a approuvé les propositions de la CNRE. Si cette opération a échoué, elle ne peut être imputable à un seul homme. La responsabilité est collective. Pourquoi n’évoquez-vous pas la liquidation et la privatisation des entreprises par le sinistre Temmar (bizarre aucun sobriquet ne lui est attribué). Un mensonge répété mille fois ne sera jamais vérité! Verifiez aussi vos informations, il y va de la crédibilité de vos écrits! Quand on veut détruire un homme, on lui impute la responsabilité de tout ce qui n’a pas marché et on le prive de son droit de répondre.

    Zabana
    13 janvier 2017 - 13 h 03 min

    je pleure Ben M’hidI je
    je pleure Ben M’hidI je pleure Zabana
    bande de mafieux

      bts
      13 janvier 2017 - 15 h 00 min

      pleure pleur alor que les
      pleure pleur alor que les autre pille le pays …1 a donner son ame pour que l’algerie soit
      libre .le 2eme vol son pays et toi le 3eme qui pleure ….surtout ne bouge pas et n’esseye
      pas de de sauvee le pays .pleur pleure

        Zabana
        13 janvier 2017 - 15 h 25 min

        montre nous la voix toi le
        montre nous la voix toi le héros, moi je ne suis qu’un pleurnichard
        vous n’êtes que des virtuoses du clavier
        OUARINA HENNET SBAA YEDIK

          Anonymous
          13 janvier 2017 - 16 h 19 min

          pourquoi s’enerver ?relax
          pourquoi s’enerver ?relax habibou les heros exister jadis dans se merveilleux pays ,
          aujourdhuis y » a des voleurs des pleurnichard ( comme toi) des corrupteurs etc etc …meme un vrais heros ne peut sauvee se pays ….Vous êtes le maillot faible si tu reste a pleurnicher
          reveille toi …et essuie tes larmes

          zabana
          13 janvier 2017 - 21 h 33 min

          lorsque tu apprendras à
          lorsque tu apprendras à écrire sans faute et placer une phrase correcte je te ferais signe
          Aboie caché que tu es derrière un pc

          bts
          14 janvier 2017 - 15 h 42 min

          je vais faire de mon mieux de
          je vais faire de mon mieux de ne pas de faute …et toi tu devra faire des efforts de ne pas pleurnicher ..

          Zabana
          15 janvier 2017 - 4 h 44 min

          Je pleure les héros ya
          Je pleure les héros ya khoufache et non ceux de ton espèce
          t’as pas encore placé une phrase correcte et sans faute
          refais tes classes et reviens

    litim
    13 janvier 2017 - 12 h 57 min

    Tant que ce peuple de gnous
    Tant que ce peuple de gnous regarde sans brancher ça continuera de plus belle et puis la majorité du ppeuple a trouvé son compte en cette médiocrité
    Le pays a été vendu depuis la mort de feu Houari Boumediene Allah yarhmou
    Bande de rats d’égouts
    CE PAYS N’AVANCERA JAMAIS
    C’est les baguarines qui commandent

    Amascha-Hô
    13 janvier 2017 - 12 h 55 min

    Début 2006 a vu les choses
    Début 2006 a vu les choses basculer des deux rives de la méditerranée ; à Paris d’abord avec l’Avc de Jacques Chirac en septembre 2005 et à Alger avec l’hospitalisation de Abdelaziz Bouteflika au Val-de-Grâce soit quatre vingt cinq jours après. Les deux personnages se sont effacés de la décision politique instantanément et c’est de là que les choses on radicalement déviées, c’est de là que le système est sortie de son orbite et c’est de là qu’a germé l’actuel modèle maffieux propre à l’Algérie des Beggarocrates. L’ordre est de tout temps un état durable tandis que le désordre n’est qu’un état intermédiaire, on le sait à travers l’histoire des civilisations, de quoi inspirer peut-être le prochain édito d’el Djeïch

    NO CHITA
    13 janvier 2017 - 12 h 46 min

    ILS SONT GROS ET DODUS COMME
    ILS SONT GROS ET DODUS COMME DES RATS
    ….

    nahli
    13 janvier 2017 - 11 h 34 min

    hhhhhh ca me fait rire! tliba
    hhhhhh ca me fait rire! tliba bourgeois!!!???il n a ni l allure,ni l otique……ni de la classe!vous savez tres bien que chez nous pour devenir bourgeois sans avoir derriere une personne qui vous facilite les choses dans tt les domaine en commencant par la constitution d un dossier a la mairie jusqu au haut Banque,port, etc ……alors de grace arrter ce cirque les bourgeois!!!!!!!!sinon sans le Piston ouallah ghir tu reste un simple Citoyen! mais une Chose est certaine ouallahi ghir Allah soubhanou vous allez tous passer au peigne fein devant lui!

    Anonyme
    13 janvier 2017 - 11 h 32 min

    C’EST UN VERITABLE HANDICAPE
    C’EST UN VERITABLE HANDICAPE MENTAL QUI S’EST MOQUE OUVERTEMENT D’UN REEL HANDICAPE PHYSIQUE ET CE EN PLEINE SEANCE DE PARLEMENT. UN NIVEAU INTELLECTUEL VRAIMENT BAS ET QUI DESHONORE LA FONCTION DE DEPUTE!!!!! ON EST TOMBE BIEN BAS (…)

    Anonymous
    13 janvier 2017 - 11 h 30 min

    d’ou viennent-ils ces rapaces
    d’ou viennent-ils ces rapaces;comment s’est-il arrivée d’etre vice président de APN ça fait rire les cigales;nous vivons vraiment en algérie, je ne crois pas mes yeux;l’image de l’algérie est déterioré aussi bas;

    USMS
    13 janvier 2017 - 11 h 09 min

    « Trop faible, sinon
    « Trop faible, sinon inexistante à l’indépendance du pays, la bourgeoisie nationale n’a pu jouer un rôle principal dans le développement économique, laissant ce rôle à l’Etat. » Faux. La bourgeoisie nationale à l’indépendance était une vraie bourgeoisie avec du sang bleu dans les veines comme on le dit dans les pays où cette classe existe depuis des lustres et a contribué au bien être de leur pays respectif.
    Malheureusement chez nous, elle fût la cible de M BENBELLA qui lui promit le hammam pour lui ôter sa graisse et laminer par BOUMEDIENNE ET BELAID Abdessalem avec la création du monopole d’état. C’est à partir de là que ce sont formés ces bourgeois compradores et surtout les fonctionnaires compradores qui tenaient l’économie du pays entre leurs mains. Quand M CHADLI a décidé les PAP pour permettre au peuple de connaître par exemple la « BANANE », ces bourgeois compradores et surtout les fonctionnaires compradores qui s’étaient constitués un carnet d’adresses de fournisseurs conséquent, se sont trouvés en pôle position pour créer un nouveau monopole privé. Pour s’en convaincre, vous n’avez qu’à vous renseigner sur les premiers importateurs tous azimuts de véhicules, de pièces détachées, de denrées alimentaires etc…..
    Quant à la vraie BOURGEOISIE qui aurait pu sauver le pays, certaines familles d’entre-elles ont été contraintes de
    contracter des mariages « contre-nature » avec des « moudjahidines » qui leur mettaient la pression avec de fausses accusations du genre mtornines par exemple parce qu’elles avaient un autre mode de vie et d’autres balivernes.
    Voici la vérité toute crue Mme AIT KACI. C’est surtout à Benbella et Boumediéne que nous devons Tliba, Saïdane, Haddad et consorts.

      Boumediene
      13 janvier 2017 - 13 h 29 min

      Arrête de salir la mémoire de
      Arrête de salir la mémoire de grand homme que fut Houari Boumedienee
      c’était un homme des plus intègres

        ffs
        15 janvier 2017 - 11 h 34 min

        ton boumedienne est un
        ton boumedienne est un assassin un lache qui a mis en prison les ossements de amirouche et haoues et il l a paye grace a ALLAH

      timour
      13 janvier 2017 - 14 h 02 min

      Pour avoir vécu cette époque,
      Pour avoir vécu cette époque, j’approuve ce qu’écrit USMS. Il faut se rappeler que dans les années 1962/1963, il ne faisait pas bon aller à l’affrontement avec le petit responsable FLN du coin, parfois complètement analphabète ou incompétent.

    FAKOU
    13 janvier 2017 - 10 h 37 min

    la bourgeoisie qatarienne au
    la bourgeoisie qatarienne au FLN et aux parlement ..

    zarzor
    13 janvier 2017 - 10 h 37 min

    C’est une nouvelle ère
    C’est une nouvelle ère coloniale encore pire que l antécédent qui jure et chante kassaman bi’nazilat avec les manettes de l ‘islam a la taille
    Le peuple algerien chabb3ouh makrout , il va ériter un vaste pays plein de pierres et de mosquees

    Arwah wafriha !

    anonyme2
    13 janvier 2017 - 10 h 28 min

    le regime de boutef par ça
    le regime de boutef par ça politique a rendu le peuple algérien en otages et esclaves mais un jour l’histoire le pardonna pas et les generations futurs sachent que tous ces decissions ont changer le cours d’un espoire reves par un peuple qui a tous sacrifier pour vivre en toute diginite et la grande trahison au martyres de cette nation.

      ISSIS
      13 janvier 2017 - 15 h 39 min

      a anonyme2 bravo l’ami pour
      a anonyme2 bravo l’ami pour votre commentaire;c’est dur de faire rentrer la vérité a certains de nos concitoyens mais il ne faut pas baisser les bras un jour ou l’autre comprendront

    Salim
    13 janvier 2017 - 10 h 28 min

    Article banal qui a bien
    Article banal qui a bien commencé mais qui a par la suite dérivé en essayant d’accuser l’islamisme d’économie de bazar et autres sornettes..au lieu de s’attaquer à celui qui a permis toute cette anarchie depuis 1999 , je constate que ce journal est devenu l’allié indéfectible du clan, certainement qu’il y a eu entente entre ce clan et les proprio de ce journal qu’on connait tous..

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 11 h 00 min

      Je me fais la même remarque
      Je me fais la même remarque sur le changement perceptible de la ligne éditoriale de plus en plus conciliante avec celui venu en 1999 et à l’origine de l’émergence d’une caste de prédateurs sans foi ni lois ni scrupules
      Personne absolument personne ne me fera croire que bouteflika n’était pas au courant et n’a pas volontairement laisser faire pour servir ses intérêts…. (…)

    Lemdigouti
    13 janvier 2017 - 10 h 20 min

    Bouteflika…..ou l’arroseur
    (…) Le type sur la photo qui illustre (on ne peut mieux) l’article a payé en milliards le meeting d’ Annaba ; meeting qui a rassemblé les « souteneurs » du 4 ème mandat . Le candidat (même absent) ainsi que tous ceux qui figuraient à la tribune des « officiels » devaient payés en retour. Ils l’ont fait et maintenant on nous raconte des bobards. Le ver est dans le fruit et il a pondu des œufs, beaucoup d’œufs. Ce jour là le bien nommé Baha Eddine brillait de mille feux aux côtés de Sellal et autres ministres leur volant même la vedette.

    Ahmed
    13 janvier 2017 - 10 h 01 min

    « La bourgeoisie compradore
    « La bourgeoisie compradore «allié objectif» de l’impérialisme » C’EST CLAIR. EN PLUS ILS SONT D’UNE VULGARITÉ INDÉCROTTABLE. ON VEUT QU’ILS DÉGAGENT, OUI A DES RICHES, MAIS DES RICHES QUI ONT DE LA TENUE ET LE SENS DE LA PATRIE. TLIBA DOIT DÉGAGER.

    Vangelis
    13 janvier 2017 - 9 h 26 min

    Encore de la poudre aux yeux.
    Encore de la poudre aux yeux. On ne va pas nous faire croire que le raïs qui a la main sur tout par lui même ou par personne interposée ne peut pas foutre en l’air tous ces nouveaux riches, souvent issus de la dilapidation, de la corruption, du détournement et du copinage. Depuis l’avènement de fakhamatouhoum ils ont vu leur nombre prendre une progression exponentielle au détriment du reste de la populations et des honnêtes gens. Il faut se rendre à l’évidence et nommer un chat, un chat. L’Algérie est restée mono exportatrice depuis le début. Aucun président ou gouvernement n’a voulu faire décoller l’Algérie par son développement tous azimuts. Au contraire ces dirigeants jouaient à la chaise musicale en prenant tour à tour la direction des affaires en flouant les citoyens par leurs promesses foireuses en les anesthésiant avec du saupoudrage d’avantages du genre subventions, logements cages-à-poules et autres voitures du genre Symbol  » dernaha  » alors qu’eux engrangeaient des revenus faramineux en devises, de luxueux logements et de comptes offshore. Il n’y a pas photo pour toute personne lucide. On voit toujours les mêmes bonhommes qui se sucrent du genre de celui sur la photo qui n’est pas arrivé à la force de son poignet ou à son bagage universitaire mais bien par son alliance avec le plus vieux  » soldat  » au monde, Gaïd Salah dont il est le mari de la fille de ce dernier. L’Emir de Annaba, comme le nomme les habitants de cette ville est un épiphénomène qui n’est arrivé que grâce à ses relations avec le pouvoir puisqu’il est même vise président de l’APN. On ne trouvera nulle part ailleurs un individu aussi nul si proche d’un pouvoir et on prétend nous enfumer que le raïs a ordonné à l’autre apparatchik propriétaire d’un hôtel restaurant à Paris, qu’est Ould Abbès, de faire le ménage. On insulte là l’intelligence des algériens qu’ont prend pour des crétins, incapables de voir comment est le pays qui végète dans le sous développement plus de 50 ans après son indépendance car il est obligé, encore dirions-nous, d’importer pratiquement tout via ces intermédiaires que sont les pontes du régime. La conception d’un État n’est pas dans cet ordre d’idée de répartir les segments de « l’écocomie » entre copains et jeter des miettes au peuple.

      couscous
      13 janvier 2017 - 10 h 01 min

      J’habite a une minute du
      J’habite a une minute du vieux soldat et le prince d’Annaba n’est pas son gendre ,vous circulez au rumeurs

    No Boutef
    13 janvier 2017 - 9 h 23 min

    Bravo pour la journaliste.En
    Bravo pour la journaliste.En effet depuis 1999 et c’est une date très connue ,ou vous verrez un gouvernement pochant des ministres de plusieurs partis pour essouffler l’opposition petit à petit,comme Le recrutement de Khalifa Toumi ……..
    Après il y’a eu des gouvernents qui prenaient la couleur doujda dans les postes clés .Pour finir vous voyez l’apparition des hommes qui ont fait la chkara capable d’écraser tout le monde sur leur chemin ,Avec un coup de fil ils peuvent sauter Même un wali qui oserait bloquer leur projet.Des youyous à chaque renouvellement de mandat,une petite enveloppe a été attribuée au bas peuple ADL,ENSEJ Pour perdurer et avoir la paix sociale.Il y’a eu Même des graces pour se mettre dans la poche les prisonniers .Et voilà comment Maintenant vous avez des fonctionnaires honnêtes qui perdent leurs emplois à cause d’un mot prononcé qui ne fait pas plaisir à la mafia.Il faut vraiment ne pas être patriote pour aller voter Maintenant.Youyouuu tahia Bouteflika.

    nordine aljaziri
    13 janvier 2017 - 9 h 23 min

    si l’argent n’a pas d’odeur
    si l’argent n’a pas d’odeur le militantisme si F L N grand exemple et tliba parfaite démonstration jadis pour être militant au F L N il fallait donné de son sang et c’etais les pauvres aujourd’hui les riches signent leur cartes d’adhésion avec une chkara le percussionniste est parti mais avec un conteneur de chkara ould abbas je me rappelle de ses promesses et surtout de ses fables

    Bourgeoisie ?
    13 janvier 2017 - 9 h 17 min

    voyons voyons ! la
    voyons voyons ! la Bourgeoisie n’a ABSOLUMENT rien à voir avec une richesse ponctuelle , la Bourgeoisie commence dans la téte , le comportement , le savoir vivre ….
    la richesse n’est qu’un moindre volet de la Bourgeoisie qui elle implique une richesse intellectuelle d’abord ( Professeur …Docteur és Siences , Chercheur , …et autres lettres de Noblesse ) .
    par contre UN PIÈTRE TRABENDISTE ne peut aspirer à la Bourgeoisie , mais juste à une éphémére disponibilté de cash !
    certainement que Boukane donnerait un meilleur état des lieux ….merci

    Izak
    13 janvier 2017 - 9 h 17 min

    La bourgeoisie compradore n’a
    La bourgeoisie compradore n’a jamais existe sous le règne de du président Chadli pour la simple raison qu’il n’avait aucunement l’ambition de gouverner ; contrairement au président actuel depuis son arrivée au pouvoir n’a cessé de faire main mise sur les pouvoirs pour sauvegarder son fauteuil et perenniser son système tribale sinon comment expliquer les changements qu’il a opéré au sein de l’armée et, mettre fins aux plusieurs grades influents !! sans qu’aucun impact sur la vie citoyenne ou une mutation de gouvernance s’est opérés au sein du régime algérien sauf la création d’une force opposante; qui est cette bourgeoisie douteuse de Tliba & co.qui est devenue florissante durant son ère de gouvernance.
    Les discours de Ould-Abbas et ses semblables de la langue de bois ne peuvent changer le visage d’une politique de médiocrité!?
    Ce qu’on redoutait le plus est, le maintien du statu quo d’une manière ou d’une autre comme ça été le cas du régime de Moubarak; la suite vous la connaissez!!A bon entendeur…

    Lady Faria
    13 janvier 2017 - 9 h 14 min

    Merci pour cet article
    Merci pour cet article consistant, un exposé de qualité comme j’aime à les lire sur AP. Et auquel on ne peut qu’adhérer. Car tant que le commerce (et au-delà, l’exploitation des richesses locales, particulièrement celles du sous-sol) sera inféodé à l’ogre capitaliste, ce monstre insatiable qui étend ses tentacules sur les pays anciennement colonisés pour continuer d’en sucer la sève à l’ère post-indépendance, décennie après décennie, la bourgeoisie compradore croîtra et s’affermira. Le néolibéralisme, qui n’est autre que l’avatar du colonialisme et de l’expansionnisme, a des atouts terribles sur l’échiquier politique et financier mondial : des pièces maîtresses comme le FMI et la BM mais aussi une armée de pions certes moins imposants mais tout aussi stratégiques et pernicieux parmi lesquels les membres de cette fameuse bourgeoisie compradore. Des affairistes, des barons de l’import-import, des nababs à la Tliba qui grossissent les rangs des parvenus pendant que plus bas enfle aussi, hélas, la masse des plus pauvres !

    Jean_Boucane
    13 janvier 2017 - 9 h 08 min

    Il y a des enfants de la
    Il y a des enfants de la chkara qui ont reinvestis leur argent pour le develloppement du pays… mais il y en a egalement qui utilise la chkara pour acheter des biens a l’etranger… eux ils meritent d’etre pendu sur la place publique… moi jai du respect que pour ceux qui reinvestissent… d’ailleurs vous constaterez egalement queles algeriens ne respectent que ceux qui reinvestissent…

      anti chita
      13 janvier 2017 - 13 h 19 min

      @jean boucane

      @jean boucane
      taisez vous vous avez toujours défendu ce système pourri
      sinon comment expliquer votre: « Il y a des enfants de la chkara qui ont reinvestis leur argent pour le develloppement du pays »
      MEN LIHITAH OU BAKHAR

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 15 h 35 min

      les traitres commencent a
      les traitres commencent a montré leurs vrais visages;ou sont-ils les autres cireurs de babouches;certainement avec d’autres pseudos;c’est dus a des traitres de ce genre que la france est rester 132 ans;

    Himeur
    13 janvier 2017 - 8 h 46 min

    1- le Fmi et la banque
    1- le Fmi et la banque mondiale veulent régler le problème de la crise financière Algérienne en faisant ceci:
    – supprimer le 51/49
    -revenir à l’endettement,
    – supprimer les subventions sociales,………etc .FAKOU
    -FMI,banque mondiale = sionistes + Francs maçons
    2- ceux qui ont créé « shab chkara » à travers le pays ,c’est pas pour rien .C’est donnant ,donnant:
    – j’ai besoin de ta chkara pour les élections ,tu exécutes,
    – même chose pour les manifestations et les contres manifestations,(avec ta chkara tu achètes les pauvres ,facilement manipulables et autres énergumènes qui ne reculent devant rien pour l’argent)
    -tu es avec moi sans exclusive,
    -j’ai besoin de ton argent pour financer quoi que ce soit tu obtempères…………et j’en passe.
    – y’a rien sans rien,
    – des fois la chkara ,appartient à quelqu’un de puissant dans le système ,qui se cache derrière une personne qui est payé en retour (argent,intouchable, et autres privilèges,

    nectar
    13 janvier 2017 - 8 h 34 min

    Tout ça c’est du cinéma de
    Tout ça c’est du cinéma de mauvais gout..La majorité des ministres au pouvoir sont aussi riches que la meute qui a infestée le parti du FLN..Ces richards incultes sont protégés et au service du pouvoir en place, et personne n’est dupe, à part les profiteurs et les lèches bottes..Montrez-moi, un ministre, un député ou un sénateur qui n’est pas derrière une affaire montée dans le cadre des aides de l’état..C’est les premiers qui se servent avec des volumes astronomiques et certains ne remboursent même les sommes prises…

      Mazouzi
      13 janvier 2017 - 11 h 30 min

      Je suis sur qu’un bonhomme
      Je suis sur qu’un bonhomme comme Lamamra n’est pas de ces vautours… alors, ne generalisons pas. Bonne journée

        nectar
        14 janvier 2017 - 19 h 11 min

        Une hirondelle n’a jamais
        Une hirondelle n’a jamais fait un printemps, en plus quand on fait parti d’un groupe qui a miné la société, on ne peut pas dire qu’on est pas responsable…Même nous en tant que citoyen, notre responsabilité est grande dans cet état de fait…Monsieur Lamamra est très bien apprécié pour ce qu’il fait au nom de la diplomatie algérienne, comme l’était son mentor dans les années 60/70…

    Anonymous
    13 janvier 2017 - 8 h 33 min

    faut attendre l explosion
    faut attendre l explosion

    Anononyme DZ
    13 janvier 2017 - 8 h 29 min

    Merci à la journaliste pour
    Merci à la journaliste pour cet article qui sans doute rafraichira les mémoires et aidera à mieux comprendre une partie de ce qui se passe en Algérie à tous les niveaux.
    Tout a commencé sous la présidence de Chadli. Le pourrissement des hommes et des institutions, discrètement et en profondeur. Les pieuvres se sont constituées et grossies à l’ombre d’un système et d’un pouvoir qui obéissaient à des intérêts autres que nationaux.
    Dans un de ses discours, Mohamed Boudiaf, Allah yerehmou, dénonçait ouvertement la mafia politico financière, et se déclarait opposé à cette situation et conflit d’intérêt. Il dira clairement qu’il fallait choisir d’exercer la politique ou les affaires mais pas les deux. Très dérangeant pour la mafia. La suite nous la connaissons, Mr Boudiaf ne finira jamais son discours à Annaba.
    Avec Bouteflika les choses s’amplifièrent, tout était possible pour peu qu’on apporte son soutien à un président narcisse et avide de régner.
    Rien d’étonnant qu’aujourd’hui nous nous trouvons tous les otages des nouveaux riches, des charognards anciens traitres, trabendistes, terroristes, sans foi ni loi. Combien sont-ils à siéger à l’APN ???? Ils vous donneront même des leçons de patriotisme.
    l’Algérie n’est autre qu’un immense bazar, un marché noir, c’est la CHKARA qui impose ses desiderata à tous.
    Ces ennemis de l’Algérie se sont accaparés du pouvoir et sont prêts à tout pour ne pas le céder. Ils ont eu aussi tout le temps de créer des alliances parmi des nations très puissantes.
    Les politicards sont pris sont pris au piège de leurs machinations et de leur égo.
    Pauvre Algérie, tes meilleurs hommes sont tous morts.

    5colonne
    13 janvier 2017 - 8 h 17 min

    Si ont les stop pas, ont
    Si ont les stop pas, ont cours a la catastrophe

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 8 h 54 min

      Trops tard le ver est déjâ
      Trops tard le ver est déjâ dans le fruit!!!

    elhadj
    13 janvier 2017 - 8 h 03 min

    la photo de cet article ne
    la photo de cet article ne fait que confirmer ce que pense réellement le peuple ou tout est perverti et qui n admet guère que les services du fisc ne jouent pas leur rôle pour déterminer les colossales fortunes constituées par ces compradores ,de surcroît députés et propriétaires de foncier facilement accapare .il y a une réalité le système politique actuel déconnecte du peuple a favorise l émergence de nouveaux riches au détriment du peuple qui n a pas beneficie d une équitable distribution des richesses du pays.la paupérisation ,la misère se sont hélas devenues une réalité quotidienne et peuvent constituer un facteur d explosion sociale .

    ALGÉRIE-UNIS
    13 janvier 2017 - 7 h 30 min

    Tant que les nouveaus riches
    Tant que les nouveaus riches travail pour l’Algérie et ne renis pas leurs origines cela ce passera bien, en revanche c’est le contraire qui me fait peur !

      ETHNEK
      13 janvier 2017 - 8 h 46 min

      Les nouveaux richent
      Les nouveaux richent travaillent POUR EUX pas pour la patrie, ils n´ont aucune fibre patriote, tout le fric accaparé est investi outre-mer!! avec des gargantua pareils on va droit au mur!!!! richesse accaparée, chapardée sur le dos du peuple, ils sont loin des Bill Gate et autres mkhakhs, ce sont des paltoquets dont la cervelle ne réfléchi qu´avec des chkarates à empiler au détriment de l´économie nationale (…) voilà les gus avec lesquels notre grand ´mokh´ veut amarrer la patrie à la modernité!! si ce n´était la gravité de la situation, ca prêterait à rigoler et ce depuis 99!!! quand on pense qu´une derbouka se pavane dans les quartiers huppés de l´occident, c´ést l´un des signes de la fin des temps!!! l´élite se bat pour avoir un AADL -chinois en plus!!- tandis que les va-nus-pieds circulent avec des gardes du corps!!rout tefhem!!! n´y´a plus de valeurs!!! merde pourquoi suis venue regarder cette ´figoura de char´!!!

    anti-khafafich
    13 janvier 2017 - 6 h 43 min

    En plus d’être chakariste
    En plus d’être chakariste bougnoule, on dirait qu’il vient tout juste d’arriver du qatar,… !

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 10 h 57 min

      Les tliba khellil saidan
      Les tliba khellil saidan bedjaoui ghoul etc…. ont émerger sous bouteflika…Il ne faut pas l’oublier ni noyer le poisson…

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 11 h 17 min

      anti khakhaLE BOUGNOULE c
      anti khakhaLE BOUGNOULE c’est bien toi; un jour avec le régime le lendemain tu es contre;il appartient ou régime qui nous gouvernent et grace a ce régime qu’ils existent des milliers de tliba voleur magouilleurs corrompus

      NO CHITA
      13 janvier 2017 - 14 h 03 min

      @anti khafafich

      @anti khafafich
      c’est tes amis ya khoufache
      Barre toi

      anti-khafafich
      13 janvier 2017 - 14 h 39 min

      Aux mokokos laches qui m
      Aux mokokos laches qui m attaquent. :alors si je comprend bien quand j’attaque avec virulence les mokokos je suis avec le « regime » ? (en s’achant que je mes interventions sur ce site ne concernent que les mokokos chauves souris et certains khafafich a l’image de ce tliba), est ce que vus avouez que ce regime est anti-mokokos ? Je vous emm…et si vous n’etes pas contents je ramenerai encore plus de liens youtube sur votres PD6 et ses sbires

        Anonymous
        13 janvier 2017 - 15 h 27 min

        @anti-khafafa alors un jour
        @anti-khafafa alors un jour avec, un jour contre;ou faite tu es avec qui maintenant tu change de veste;chaque seconde tu es bien un caméléon un khobsiste;cireurs et lècheurs de babouches dégage hors algérie

          anti-khafafich
          15 janvier 2017 - 7 h 44 min

          euh non mokoko, vous n
          euh non mokoko, vous n’arrêtez pas de traiter notre armée de tous les noms, regarde vos « généraux » corrompus : https://www.youtube.com/watch?v=Er3QHruYTlU

        Anonymous
        14 janvier 2017 - 10 h 23 min

        anta-khafkhaf15h39@ alors la
        anta-khafkhaf15h39@ alors la girouette tu change de position;normal le vent souffle sur le dos de tes amis venant d’ouajda;c’est par ignorance ou par stupidité ou les deux;dieu merci des nouveaux harkis comme toi sont moins nombreux

      Anonymous
      13 janvier 2017 - 17 h 50 min

      anti khafafich@le bougnoule c
      anti khafafich@le bougnoule c’est bien toi; le cireurs de babouches

        anti-khafafich
        13 janvier 2017 - 19 h 30 min

        jamais tu me verras insulter
        jamais tu me verras insulter mon pays sale race de mokoko, ton ptit stratagème a l’image de ton PD6 ne marchera jamais avec moi. insulter son pays n’a jamais été un signe « d’opposition  » mais de traîtrise ya traitre. je suis entrain de dire que ce chakariste est un bougnoule et cela ne te plait pas, si tu étais un « opposant » tu devrais être content non ? mais parce que tu sais que je bombarderai ton PD6 et son trône de PDs dans un prochain article sur ta narcopedomonarchie, tu saisis l’occasion pour me discréditer ya rkh…, DÉGAGE, je suis plus fort que toi esclave !

          Anonymous
          13 janvier 2017 - 20 h 43 min

          anti mouches@20h30 un soumis
          anti mouches@20h30 un soumis;un lache,un esclave un cireurs de babouche n’as pas de fièrté c’est un bougnoule et un sous homme;ou il restera jusqu’a sa mort;je me demande comment tu puisse se déplacer a quatre pattes

    Anonymous
    13 janvier 2017 - 6 h 42 min

    « A son arrivée au pouvoir en
    « A son arrivée au pouvoir en 1999, le président Bouteflika en dénombrait une douzaine ayant la mainmise sur l’économie et promettait de les combattre. Combien sont-ils aujourd’hui ? Ils sont beaucoup plus nombreux…. »

    Tout est résumé dans cette phrase.

    « En décidant de s’attaquer à la bourgeoisie compradore, Bouteflika cherche-t-il à préserver son fauteuil ou les intérêts nationaux menacés par une classe de nouveaux riches à la fortune douteuse, devenue dangereuse du fait de ses liens avec des intérêts étrangers ?….. »

    La réponse coule de source et rejoint la première partie du texte.
    Bouteflika cherche à préserver son fauteuil et à pérenniser son système de gouvernance tribale. Il ferme les yeux sur des Tliba pour mieux favoriser des Khellil..
    Et un Khellil est bien plus fourbe et dangereux pour l’Algerie que ce gros naze de Tliba, véritable hymne au Kavisme primaire que chante si bien Lotfi Double Canon

    https://www.youtube.com/watch?v=GxxAWp8s4NU

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