Le FFS exige l’arrêt «immédiat» des poursuites contre ses militants

Abdelmalek Bouchafa. New Press

Dans un communiqué signé par son premier secrétaire, Abdelmalek Bouchafa, le Front des forces socialistes (FFS) exige l’arrêt «immédiat» des poursuites judiciaires et la levée de toute mesure «visant à astreindre la liberté» de ses militants, en indiquant que le secrétaire national du parti chargé de la solidarité, Hamou Mosbah, trois membres de la fédération de Ghardaïa et un membre du comité de coordination et de suivi du parti comparaîtront mardi devant la chambre d’accusation près la Cour de Ghardaïa suite à l’appel du procureur et des mis en cause. Ce parti dénonce une «énième provocation» et met en garde contre «toute dérive autoritaire» du pouvoir, tout en s’interrogeant sur les motifs réels de cette «cabale judiciaire» qui intervient la veille des échéances électorales.

Le premier secrétaire précise que les cinq militants du FFS ont été placés sous contrôle judiciaire sur ordonnance du juge d’instruction, le 19 décembre 2016, «suite à un dossier monté de toutes pièces par les services de sécurité», accuse-t-il. «Les mis en cause ont, ajoute le communiqué, contribué activement à ramener le calme et à la recherche d’une solution pacifique et durable à la crise qui a ensanglanté  cette région du pays».

Enfin, nous apprenons qu’une forte délégation de la direction nationale, des parlementaires du parti ainsi qu’un collectif d’avocats assisteront à cette audience.

R. Mahmoudi

Comment (12)

    Anonymous
    23 janvier 2017 - 11 h 43 min

    ça-y-est monsieur bouchafa
    ça-y-est monsieur bouchafa est atteint du virus du régime corrompus et affairistes;il raisonne comme Mme hanoune;Mr ouyahia;Mr belabbès;et aussi Mr mokri est ses amis; aucun espoir pour sortir ce pays de l’injuste;de la corruption;des magouilles de tout genre;le monde entier sait que les élections en algérie sont truquées;alors pourquoi participé si vous etes vraiment honnète et vous réfusez les 40 briques primes compris de l’assemblée;alors il faut boycotté simple comme un honnète homme qui aime sa nation

      MELLO
      24 janvier 2017 - 15 h 25 min

      Pour toi tout ce beau monde
      Pour toi tout ce beau monde est à mettre à la pou…. Malheureusement, une seule voie existe pour sortir ce pays de ce marasme. Il va de soi que cette voie est plus légitime qu’une autre. Le tout est de peser les avantages et les inconvénients de toutes les options. En tout cas, les exemples pays arabes de 2011 ont montré que les changements violents ont conduit à la destruction des pays. Et au moment où il faudrait reconstruire, les forces saines sont déjà détruites. Du coup, la seule réponse qui semble la mieux adéquate est de voter, au printemps prochain, contre les partis du régime.

    Anonymous
    22 janvier 2017 - 23 h 53 min

    @Rak…… tu dis n’importe
    @Rak…… tu dis n’importe quoi. On dirait qu’on t’a payé pour salir à tout prix le FFS…Il ne fait que défendre ses militants, au contraire le régime à peur de voir la Wilaya de ghardaia voter massivement pour le FFS. I’m accuse a tort tous ces militants honnêtes pour briser une dynamique déjà lancée…Yaw fakou….Assault aeeka le FFS Yella Yella. À distribuer aux clients du pouvoir et aux régionalistes de tout accabit……

      rak
      23 janvier 2017 - 17 h 10 min

      Pas besoin de moi pour salir
      Pas besoin de moi pour salir le neo-FFS désormais RHB, vous le faites a merveille vous meme depuis un moment…. le FFS le vrai, l’authentique : le FFS Canal historique, je le portes dans mon cœur et mon sang depuis mes années lycée c’est a dire bien avant Thafsouth imazighen… aussi balaie deja devant ta porte mister et si quelqu’un se renumere ou se paye et interessé par la mangeoire du pouvoir c’est plutôt toi et tes mentors qui ont zaibetiser le FFS…. a bon entendeur salut

        MELLO
        24 janvier 2017 - 16 h 22 min

        Cela pourrait être un sujet d
        Cela pourrait être un sujet d’une thèse, des sciences politiques, sur le multipartisme en Algérie et notamment sur un parti d’opposition dénommé FFS. L’essence même de la création de ce parti en est une première réponse dans ce paysage politique Algérien. La nature du pouvoir, totalitaire, son usurpation des pouvoirs, de tous les pouvoirs ( législatif-exécutif-judiciaire) est, en fait, la manipulation de cette cheville ouvrière récupérée qui doit jouer ce rôle de déstabilisateur de l’opposition. Mais, qu’on le veuille ou pas, le FFS est plus fort, fort de ses convictions d’opposants, fort de ses convictions démocratiques et forts de la richesse POLITIQUE de ses militants.

    FAKOU
    22 janvier 2017 - 23 h 11 min

    SVP NE PRENEZ LES ALGERIENS
    SVP NE PRENEZ LES ALGERIENS POUR DES TARES …VOUS CRIEZ AU LOUP ET VOUS PARTICIPEZ AUX ELECTIONS … LE FFS EST BEL ET BIEN MORT … APRES LA MORT DU FEU DA EL HO …

    Anonymous
    22 janvier 2017 - 22 h 30 min

    Il suffit de boycotter le
    Il suffit de boycotter le simulacre des élections vue…Au lieux de crier au loup et en même temps de le nourrir…

    rak
    22 janvier 2017 - 19 h 47 min

    Yakhi le neo-FFS= RHB
    Yakhi le neo-FFS= RHB =Rassemblement Hybride Behloulien…. vous vous plaignez du pouvoir en participant a ces zerdas électorales pour le legitimer encore plus….Roh a mi roh l’FFS yemouth… battez vous et entredicherez vous pour les 25 sieges( le score de 91) maxi qui est votre quota que va vous attribuer le pouvoir… by the way pour constantine je vous conseil vivement de presenter le douctour zaibet en recompense du nouveau sigle du parti qu’il vous a gracieusement cedé RHB….AH ya Da l’Hocine si tu savais ce qu’est devenu ton parti moins d’une année apres nous avoir quitté Ellah irehmek!

    MELLO
    22 janvier 2017 - 19 h 29 min

    Le militant politique n’est
    Le militant politique n’est pas un faiseur de miracles. Ni un gladiateur des temps modernes. Il est, au mieux et quand les conditions de sa société le permettent, un citoyen conscient des enjeux du moment. , quand les conditions de sa société le permettent, car pour un militant politique l’essentiel consiste à être ancré dans sa société sans pour autant se laisser enfermer dans les limites de cette dernière. Entre des archaïsmes et la loi d’airain d’un monde sans pitié pour les faibles, militer pour un monde meilleur, ici et maintenant, passe par une douloureuse et constante explication. Explication, sans cesse repoussée, par des pouvoirs politiques que leurs choix enchaînent à des postures autoritaires puis répressives puis carrément hostiles à l’égard de sociétés qu’ils ne cherchent même plus à comprendre. Explication biaisée, au sein même de nos sociétés, où elle finit par se confondre avec la longue litanie de tout ce qu’il faudrait changer autour de nous et qui oublie de commencer par ce qui doit changer en nous.

      Anonymous
      23 janvier 2017 - 15 h 36 min

      arretez de travaille pour les
      arretez de travaille pour les banous hillal leurs rôle est de détruire tous ce qui est Algérien à commencer par l’héritage de HOCINE AIT AHMED

    Anonymous
    22 janvier 2017 - 18 h 08 min

    Faut pas rêver ffs, diviser
    Faut pas rêver ffs, diviser pour régner et diaboliser toute force d’ opposition est inscrite dans les gènes de ce pouvoir. A ghardaia, après avoir accusé les mouzabits, il se fera un plaisir de salir toutes les parties ayant appelé à la raison et pour cela il a toutes les cartes en main. Pour mettre fin à ces situations il fallait une union de toute l’ opposition ; qu’avez vous fait pour cela? Vous allez même participer aux pseudos élections pour lui permettre de frauder et légitimer son règne. Vous ne valez pas mieux qu’eux.
    Enfin, il n’ est pas tout à fait tard, appelez au boycott et convainquez les autres de le faire.

      MELLO
      22 janvier 2017 - 19 h 48 min

      La vie publique est en voie d
      La vie publique est en voie d’extinction; les espaces publics se rétrécissent en peau de chagrin; aucune place n’est laissée à une expression libre de la société, encore moins à son organisation. Il n’y a pas d’élections libres, il y a crise de légitimité et de représentation politique et sociale. Ne demeure plus qu’une gangue institutionnelle. La répression et la corruption sont le seul ciment de l’Etat. Les institutions, la sphère médiatique et l’essentiel des organisations politiques, associatives et syndicales sont dévoyées de leurs missions et responsabilités, réduites à n’être qu’un outil de contrôle et de corruption politique et sociale. Le FFS fait face à un pouvoir qui empêche toujours le peuple algérien de s’exprimer librement ; à un pouvoir déterminé à briser toute opposition et tout opposant ; un pouvoir qui n’a d’autre alternative que d’aggraver la répression ou de disparaître politiquement. En dépit de toutes les crises qui se succèdent, se chevauchent et secouent le pouvoir, l’opposition peine à reprendre l’initiative politique. Nous sommes des militants, nous restons fidèles à nos engagements primordiaux. Nous ne devons ni capituler, ni abdiquer. Il n’y a pas de fatalité historique et les issues existent.

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