Le fondateur de Mediapart Edwy Plenel dit son amour pour l’Algérie et les Algériens

Edwy Plenel : «Je viens d’une famille qui a épousé les causes anticolonialistes.» D. R.

Le grand journaliste français, transfuge du quotidien Le Monde, Edwy Plenel, a dit tout l’amour et le respect qu’il vouait à l’Algérie et à son peuple, dans une déclaration aussi sincère que spontanée à la chaîne de télévision BRTV. Le fondateur du journal en ligne Mediapart se remémore la courte période qu’il a passée dans notre pays au sortir de la guerre de Libération nationale et en garde un excellent souvenir. «Entre 1965 et 1970, j’ai découvert un peuple formidablement accueillant qui n’était pas dans le rejet de ce petit Français», a affirmé Edwy Plenel, qui relève que les Algériens ne se méfiaient pas du tout de sa présence bien que la blessure de la guerre fût encore béante.

«Je viens d’une famille qui avait épousé les causes anticolonialistes», a fait remarquer le journaliste, qui se rappelle qu’il s’est «baladé dans toute l’Algérie, en stop, en train, en bus, du nord au sud, d’est en ouest pendant ces cinq ans» et qu’il a «arpenté» tout le pays tout en sentant «toujours cette résonance, cet accueil».

«Ce n’est pas du tout l’écho qu’on en a eu depuis la décennie noire qui est née (aussi) des trahisons des espérances», a encore dit Edwy Plenel au micro de BRTV. «Je pense que le peuple algérien, malgré toutes les épreuves de la guerre d’indépendance, malgré toutes ses difficultés, était du côté de cet accueil», a-t-il soutenu. «Et je l’ai ressenti comme cela, encore une fois, étant comme quelqu’un qui n’est pas resté calfeutré chez lui, protégé. Nous ne vivions pas dans le milieu des ambassades. Nous étions avec des amis algériens», a souligné l’ancien directeur de la rédaction du Monde qu’il a quitté en 2005 pour avoir manifesté son désaccord avec la ligne éditoriale du journal impulsée par ses responsables de l’époque.

Karim B.

Comment (42)

    Thidhet
    2 février 2017 - 10 h 37 min

    Ça fait du bien de remarquer
    Ça fait du bien de remarquer que les authentiques libres-penseurs du monde sont généralement des amis de notre pays. Et que les faux-jetons prêts à tout pour une poignée de dollars sont nos ennemis jurés.

    100% avec
    2 février 2017 - 9 h 43 min

    Tous les anti-colonialistes
    Tous les anti-colonialistes sont les bienvenus , y compris Edwy Plenel dont le journal mediapart est une réussite et une vérité en lui méme car ça ne parle pas avant de vérifier les faits …comme les torchons al nahar , al chourouk…etc.
    Edwy Plenel est un homme qui peut se regarder dans la glace le matin pour sa franchise et ses positions vis à vis de la colonisation et des agressions recentes contre des pays arabes…

    Rachid
    2 février 2017 - 8 h 11 min

    Depuis longtemps, lorsque ce
    Depuis longtemps, lorsque ce grand homme parle dans des chaines de TV françaises (invité des émissions télés) et analyse les situations géostratégiques, toute la famille est devant la télé pour l’écouter et apprendre de lui. Ce qui veut dire que nous l’aimons et nous le respectons avant d’apprendre ce qu’on vient de lire aujourd’hui sur votre site.
    comme on dit en arabe: el gloub l’baadhaha (les coeurs se sentent).
    Je lui souhaite du fond du cœur un grand succès dans sa mission et une longue vie. Vraiment, c’est un grand homme.

      Elwize
      6 mai 2017 - 21 h 04 min

      Je partage entièrement votre
      Je partage entièrement votre opinion exprimé à l’endroit de ce vaillant journaliste/reporter. Tous mes hommages à ce grand monsieur, et il est toujours le bien venu chez nous, l’Algérie.

    Anonymous
    1 février 2017 - 22 h 54 min

    L’intervention complète en
    L’intervention complète en image, d’Edwy Plenel après la diffusion du documentaire : « Alger, la Mecque des révolutionnaires », prochainement sur votre chaîne : https://www.youtube.com/user/ASSOCIATIONOTTVLA.
    Vous comprendrez son amour et respect pour l’Algérie, mais pour le comprendre réellement, rdv le 14 Février 2017 à 20h50, pour la rediffusion du documentaire sur ARTE…

    Sid-Ali
    1 février 2017 - 22 h 20 min

    Abonné à Mediapart depuis des
    Abonné à Mediapart depuis des années qui à mon avis est un excellent media numérique d »investigation, j’ai eu l’occasion à plusieurs reprises de cotoyer Edwy Plenel à l’occasion des debats organisés par Mediapart à Paris notamment sur les dédécolonisations en particulier sur l’Algerie . Homme chaleureux, humble, Humaniste, il a su faire de ce media un modele de journalisme indépendant qui a surtout dévoilé des affaires de malversations, abus de biend sociaux mettant en cause certains puissants du monde poltico-financier qui se sentaient impunis, aujourd’hui condamnés ou mis en examen. Un bel exemple d’une forme de journalisme citoyen ! Bravo et bonne continuation !

    un citoyen lambda
    1 février 2017 - 22 h 18 min

    je consulte souvent votre
    je consulte souvent votre journal. je vous remercie pour l’amour que vous porter pour notre pays et c’est en par reconnaissance à des personnes comme vous que je garde respect et considération avec votre pays.J’occulte les langues qui déversent le fiel pour n’en retenir que celles qui pansent les plaies et plaident au rapprochement entre nos deux peuples. L’ALGERIE et la FRANCE sont comme les vieux mariés. ils se chamaillent à longueur de journée ,mais ne peuvent vivre l’un éloigné de l’autre.

    UMERI
    1 février 2017 - 19 h 37 min

    Il ne faut surtout pas
    Il ne faut surtout pas oublier que Mr Penel, a été en grande partie responsable de la défaite de Sarkozy a la primaire des Républicains, grâce aux enquêtes menées par Mediapart sur le don de 500.000 Euros, versés par Khadafi et l’agression française contre ce petit pays de 7 millions d’âmes, d’Afrique du Nord. Il a du courage qui fait défaut aux médias français.

    TARZAN
    1 février 2017 - 17 h 44 min

    c’est clair ceux qui
    c’est clair ceux qui critiquent ce journaliste intègre et ô combiien compétent et qui aime vraiment les algériens et l’algérie SONT DES MAROCAINS QUI SE FONT PASSER POUR DES ALGERIENS

    anonyme
    1 février 2017 - 17 h 13 min

    M. Plennel est un grand
    M. Plennel est un grand journaliste. Il mérite un grand respect.

    Bekaddour Mohammed
    1 février 2017 - 16 h 10 min

    Un jour, au cours des
    Un jour, au cours des premières années 1970, ça se passait à proximité du port de Wahran, ex Oran, un jeune français qui venait de perdre ses affaires était pris en charge dans un café_Kiosque, tout le monde était aux petits soins, voilà comme nous sommes, bien plus humains que les consuls et ambassadeurs français, et autres directeurs d’instituts « culturels » français, tous en mission néo coloniale, un jour alors que je travaillais pour le compte de l’ENTC à Tlemcen, un représentant commercial français m’a exprimé son admiration pour la solidarité entre Algériens, et l’absence de haine contre les Français ! L’état français est le plus imbécile des états de la planète, droite et gauche confondues !

    SOUFI
    1 février 2017 - 14 h 42 min

    Messieurs Manonyme et
    Messieurs Manonyme et Hannibal vous détenez le monopole de l’incorrection et de la vulgarité par une approche vide de sens et sans aucune argumentation,alors vous pouvez mettre des mots à la suite d’autres mots pour une finalité nulle comme vos neurones que dis-je absence de neurone.

    François Mauriac

    « On atteint aisément une âme vivante à travers les crimes, les vices les plus tristes, mais la vulgarité est infranchissable. »

    ALI EL FELLAG
    1 février 2017 - 14 h 27 min

    qui s’est qui n’aime pas la
    qui s’est qui n’aime pas la plus belle nation du monde;qui s’est qui détesterait le peuple le plus guerrier de la planète;sauf les cireurs de babouches marocains;les colonisateurs pieds noir;les laches personne avec un coeur n’est pas a sa place;et les ennemis d’algérie la majorité sont ou pouvoir;sinon on serait pas le premier pays en matière de corruption et d’injustice;

    Felfel Har
    1 février 2017 - 14 h 25 min

    J’avoue que parfois je suis
    J’avoue que parfois je suis désarçonné par les réactions de mes compatriotes. J’entends certains voler au secours de celui qui s’est déclaré responsable de la mort de nombreux journalistes et autres intellectuels. Ils oublient ses méfaits depuis qu’il s’est installé en Suisse, j’ai nommé M Dhina. Par ailleurs, voilà un journaliste français, connu et digne de ce nom, qui se présente en ami de l’Algérie et c’est tout de suite la levée de boucliers. Certains mettent en doute ses vrais sentiments alors que d’autres l’accusent de travailler pour la CIA. Les nombreux ennemis qu’il s’est faits en France et qui sont certainement plus informés que nous, n’ont jamais révélé cette insanité. Que cherche-t-on à cacher? Je crois savoir que ceux qui ont travaillé pour une puissance étrangère sont notoirement connus. Après avoir foutu la pagaille chez nous, ils se sont lâchement réfugiés chez leurs donneurs d’ordre (français, suisses, allemands, anglais, moyen-orientaux) pour bénéficier de leur protection.Ils resterons des félons à la botte des kouffars. Ils sont maudits pour l’éternité.

      COLONEL AMIROUCHE
      1 février 2017 - 15 h 01 min

      NON, TU N’AS PAS COMPRIS QUE
      NON, TU N’AS PAS COMPRIS QUE CEUX QUI ONT LE VÉ LEURS BOUCLIERS SONT : LES MOCOCOS !!! C’EST TOUT. COMME ON DIT CHEZ NOUS – AL GHIRA OU YEMMA MIRA – HADHA MAKANE. IL NE FAUT PAS TROP S’EN FAIRE ET NE PAS TROP FAIRE ATTENTION A CE QUE DISENT ET ECRIVENT CES MALADES MENTAUX TELLEMENT ILS ONT ETE DÉGUINGLINDÉS PAR LES TOURISTES SEXUELS QU’ILS LEUR ONT BOUCHE TOUS LES TROUS : QU’ILS N’ONT PLUS DE MOKH. A TEL POINT, QU’ILS SONT DEVENUS DES BONOBOS….. TU NE TE RAPPELLES PAS QUAND LA FILLE DE J.F. KENNEDY A FELICITE LE PEUPLE ALGERIEN POUR LE 1ER. NOVEMBRE…. IMMEDIATEMENT LES COUILLONS IGNARES DE L’OUEST SE SONT MIS A RUER DANS LES BRANCARDS. MAIS NE T’EN FAIS PAS : ILS NE SONT MÊME PAS UNE QUANTITÉ NÉGLIGEABLE. IL FAUT LES IGNORER. C’EST TOUT. NOTRE MALHEUR C’EST D’AVOIR DES VOISINS A L’OUEST COMME A L’EST QUI NOUS HAÏSSENT. MAIS CELA, ON LE SAIT DEPUIS LONGTEMPS : QUAND LES MOCOCOS ONT TRAHI NOTRE EMIR ABDELKADER EN L’ABANDONNANT AUX TROUPES FRANÇAISES DE CLAUZEL ET AUTRES…. PUIS QUAND CES MÊMES LÂCHES ONT TRAHI NOS CINQ GLORIEUX PÈRES DE LA RÉVOLUTION DURANT LA GUERRE DE LIBÉRATION ET ENFIN….. QUAND ILS NOUS ONT ATTAQUÉ DE LA FAÇON LA PLUS LÂCHE EN 1963 !!! ALORS, QUE NOUS VENIONS TOUT JUSTE DE SORTIR D’UNE GUERRE QUI NOUS COÛTÉ 1.5 MILLIONS DE CHOUHADAS !!! ET ÇA CONTINUE ENCORE AUJOURD’HUI : DES STATIONS D’ECOUTE DU MOSSAD TOUT AU LONG DE NOTRE FRONTIERE, DES BASES AERIENNES AMERICAINES, DES ESPIONS MOCOCOS ET ISRAELIENS QU’ILS INTRODUISENT A PARTIR DU « royaume » DE SODOME ET GOMORE, AINSI QUE DE L’INTRODUCTION DE LA ZETLA A OUTRANCE POUR POURRIR NOTRE JEUNESSE etc… etc… J’ARRÊTE CAR LA LISTE EST TROP LONGUE. MAIS NE T’EN FAIS PAS. ON N’ATTEND QUE L’OCCASE POUR LES RAYER DE LA CARTE GÉOGRAPHIQUE, CES ENFANTS DE ……………… !!!!!!! ALLEZ, TANMIRTH AGMA !!!! TAHIYA AL DJAZAÏR…..!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ALLAH YERHAM ECHOUHADAS !!!!!!!!!!!!!!

    Anonymous
    1 février 2017 - 14 h 12 min

    Dommage qu il defende les
    Dommage qu il defende les islamistes et surtout le voile pour les femmes qui est une veritable soumission à l homme
    ceux la même qui ont transformé l Algerie en grand souk et les algeriens en grand dévots hypocrites.
    Mr Plenel,lAlgerie de 1970 ne ressemble en rien à celle de 2017,vous ne pouvez plus vous promenez dans les rues,ni discuter librement de tous les sujets.
    Pour un athé,je ne comprend pas pourquoi?

      moskosdz
      1 février 2017 - 21 h 10 min

      +Anonymous/15:12/
      +Anonymous/15:12//Contrairement aux soumis makhnézistes de ta race qui se transforment en vipères pour déverser partout leur venin,l’Algérien n’a rien à cacher,quand il a envie de dire quelque chose,il le dit tête haute espèce de sans dignité.

        Anonymous
        2 février 2017 - 4 h 43 min

        homorocos 22:10 alors lècheur
        homorocos 22:10 alors lècheur des pieds et cireur de babouche du clan d’ouajda tu n’as pas compris;que ce site est réservée aux algériens patriote;tu n’as rien d’algérien;un vrai algérien ne lèche pas;moins bavard;et très discret tout a fait le contraire de ta personnalité; dégage espèce d’infiltré qui pus le hashich

    Runner
    1 février 2017 - 12 h 32 min

    Mr Edwy Plenel est un grand
    Mr Edwy Plenel est un grand monsieur qui fait honneur au journalisme. Ca serait formidable qu’il crée en Algérie avec des journalistes algériens intègres un journal comme Médiapart.

      Ahlam
      1 février 2017 - 17 h 54 min

      Oui on peut toujours rêver !
      Oui on peut toujours rêver ! Mais attention quand même la chute !

    HAZI
    1 février 2017 - 11 h 42 min

    Il suffit d’un discours
    Il suffit d’un discours « anticolonialiste » pour émouvoir!
    Regardez d’un peu plus prés qui est réellement ce personnage.
    Un agent de la CIA, trotskyste reconverti « droit de l’hommiste » , agent d’influence sioniste ici en France.
    Un BHL déguisé en gentil garçon.
    Soyez vigilants.

      Anonymous
      1 février 2017 - 12 h 16 min

      « Soyez vigilants » nous
      « Soyez vigilants » nous conseilles-tu. La belle affaire! Et comment! vigilants, nous le sommes et nous découvrons aisément, à ton haleine fétide de chacal, que toi tu es un agent (provocateur) de la DST marocaine et de la DGSE française. Tes maîtres t’ont de pondre cette ineptie et nous produit un caca nauséabond que tu vas être obligé de manger. Pauvre type!

      en ville
      1 février 2017 - 12 h 25 min

      Allah yahdik…tu es qui toi
      Allah yahdik…tu es qui toi pour venir nous déblatérer des absurdité, pourquoi devrais-je te croire quand tu prétends que Mr Plenel est un agent de la CIA??….et toi tu es peut-être un agent du KGB ce qui explique pourquoi tu sais tant de choses secrètes. La seule chose qui compte est que Mr Plenel est un grand journaliste qui a placé les droits de l’homme et la vérité au coeur de son combat et son action.

      amitou
      1 février 2017 - 12 h 35 min

      Attention,je vous conseille d
      Attention,je vous conseille d aller voir un psychiatre,la paranoia vous a bouffe la cervelle.Vite au psy.

      ago
      1 février 2017 - 12 h 47 min

      Monsieur Hazi;

      Monsieur Hazi;
      Si on avait des journalistes aussi compétents et réfléchis que ce Monsieur et une vrai justice de droit indépendante à l’état en Algérie , il y aurait beaucoup de corrompu en prison ! C’est une personne fiable et de source sure car tout affaire divulgué par ce journaliste via le journal « le canard enchainé » s’avère toujours véridique. Lorsqu’il a quitté l’Algérie en 70, cette dernière était tenu par un président nationaliste qui se démené pour le pays que ça soit pour son embellissement que pour la population. Ou est le temps où le Dinar avait une valeur? Alors que maintenant c’est la chute libre pour cette devise. Vive le temps des années 70 !

        Cheikh kebab
        1 février 2017 - 14 h 50 min

        Bien dit ago. Boumediene
        Bien dit ago. Boumediene était un vrai patriote,stratège,le meilleur de nos présidents avec boudiaf,mais malheureusement le destin a voulu qu’ils disparaissent avant de terminer leur projet. Quant à plenel,il fait partie des français qui ont soutenu l’indépendance,d’autres français ont même pris les armes avec nous. Les accuser de CIA ou si très balivernes est l’œuvre d’ignorants bornés.

      Felfel Har
      1 février 2017 - 15 h 02 min

      Attention! Accuser sans
      Attention! Accuser sans preuve relève de la calomnie et/ou dela diffamation, qui juridiquement est (sont) un crime passible de prison. Mr. Plenel qui a affronté des sommités (Sarko entre autres) devant les tribunaux français, pourrait s’intéresser à vous et vous mener la vie dure. C’était juste un conseil amical!

    Expression
    1 février 2017 - 11 h 17 min

    Mr Plenel merci pour cette
    Mr Plenel merci pour cette hommage aux Algériens qui le mérite bien.

    La Cigale
    1 février 2017 - 9 h 55 min

    Ce que nous vous demandons
    Ce que nous vous demandons monsieur plenel c’est que tout ce que vous pensez de l’Algérie et de son peuple dite sur les plateaux de télévision dite haut et fort et écrivez le sur des articles de presse à différents moments sans lassitude à chaque fois que l’occasion s’en fait sentir par les dénigrement des mauvaises presse qui s’acharnent à chaque prétextes pour pestiférés pour diabolisés le peuple algériens.
    Alors là pour ce qui me concerne le doute sera dissiper et je vous apprecierai du fond du coeur pour l’homme intègre et pacifique que vous pouvez être.
    Ma méfiance est traumatique et sa se soigne mais il faut parfois du temps.

    Abou Stroff
    1 février 2017 - 9 h 29 min

    «Entre 1965 et 1970, j’ai
    «Entre 1965 et 1970, j’ai découvert un peuple formidablement accueillant qui n’était pas dans le rejet de ce petit Français» dixit le grand journaliste qui mérite tout notre respect. Edwy Plenel a bien situé la période qu’il a passée en Algérie. rappelons aux amnésiques qu’ à cette époque les algériens étaient fiers d’être algériens et étaient prêts à déplacer des montagnes et à assécher des mers pour retrouver leur juste place dans le concert des nations civilisées après avoir été brimés par plus d’un siècle de colonisation. malheureusement l’enthousiasme de cette époque a été, depuis les années 80, totalement annihilé et réduit à néant par une classe politique inculte et fruste, n’ayant aucun projet de société à part celui d’accumuler des richesses en se comportant comme si l’Algérie et les algériens lui appartenaient. d’ailleurs, tout a été fait (par les « pouvoirs » qui se sont succédés) pour que les algériens lambda deviennent des tubes digestifs ambulants dont la seule « activité » se réduit à se faire gaver pour ensuite déféquer et à attendre la mort alors qu’ils n’ont pas encore vécu (d’où la place primordiale qu’occupe dans leur vie saugrenue l’idéologie religieuse). moralité de l’histoire: il semble que les algériens ont raté plusieurs occasions pour réintégrer l’Histoire qui se fait, jusqu’à présent sans eux. auront ils une nouvelle occasion s’ils arrivaient à déconstruire le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui les avilit et les réduit à des « moins que rien »?

      HANNIBAL
      1 février 2017 - 12 h 48 min

      Abou Stroff (non vérifié)

      Abou Stroff (non vérifié)
      01 Feb 2017 – 10:29 ! Je ne vois pas en quoi ton intervention ici vient ‘elle faire sache que ton avis on en a rien a cirer venant d’un soumis va déposer ta prose ailleurs et ton résumé je ne l’ai pas lu pour te dire l’importance que je donne aux sujets soumis de ton acabit s’il te plait
      laisse nous avec notre marabounta qui nous gouverne et occupe toi de ton roi cortisoné et ne viens pas nous couper l’appétit chacun chez soi et dieu pour tous

      Manonyme
      1 février 2017 - 13 h 59 min

      Pauvre ApostropheTu ne
      Pauvre ApostropheTu ne changes pas…..

      raouf
      1 février 2017 - 17 h 04 min

      65-70, j´etais encore un
      65-70, j´etais encore un bambin et je me rappelle encore toujours du festival africain en 69, ma mère, allah yarhamha, fervente de jazz m´entrainait d´un concert à l´autre (place du 1. mai, des martyrs etc.) par ces chaudes nuits d´été dans alger la blanche (elle etait vraiment blanche ,aujourd ´hui une mazbala en plein air)

      ALGERIEN Libre
      1 février 2017 - 18 h 40 min

      Abou Stroff@ Très bonne
      Abou Stroff@ Très bonne analyse mon ami de cette période très riche en évènement que personnellement j’ai vécu et participer avec dévouement/amour avec d’autres jeunesde l’èpoque et même dans les campagnes de reboisement un peut partout dans le BLED. Mon DIEU qu’ont ils fait à notre peuple pour qu’il devienne AMORPHE , pensant seulement à usè de la ruse pour arriver à satisfaire ses besoins MESQUINS sans se soucié du reste??????????C’est déplorable ce que peut faire un système et engendrer des déviations, au point ou on a perdu presque le minima de l’amour du BLED et je dirais même son prochain……LA CHEKARA est passer par LA ET a tout bouleversè toutes nos bonnes habitudes ; HÉLAS y a KHESSARA!!!!!!

    Kenza
    1 février 2017 - 8 h 37 min

    Hélas! j’ai bien peur qu’il
    Hélas! j’ai bien peur qu’il fasse partie d’une catégorie de journalistes en voix de disparition. Ces journalistes dont le seul soucis est la quête de vérité et celui d’informer. Des journalistes qui ont fait de leur métier un sacerdoce….
    Il est parmi les derniers des Mohicans qui, de plus en plus, laissent leur place à des Mo Hi Han qui, pour moi, sont plus des  » prostitués » au service des puissants que des journalistes au service du citoyen et de son droit d’être informé!

    Le Monde
    1 février 2017 - 6 h 43 min

    L’histoire recèle tous les
    L’histoire recèle tous les ingrédients d’une curieuse affaire d’Etat, au point de remonter jusqu’à Matignon. Mardi 17 janvier, le parquet de Bobigny a été saisi d’une plainte avec constitution de partie civile visant la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Déposée par Alain Duménil, un riche homme d’affaires franco-suisse de 67 ans, elle évoque des faits de « détention et séquestration » et de « tentative d’extorsion en bande organisée », sur fond de lourdes pertes subies par l’agence de renseignement dans des placements financiers.
    Le plaignant, en litige financier avec la DGSE depuis plusieurs années, affirme avoir été victime, en mars 2016, d’une tentative de racket, puis menacé par des représentants des services secrets, dûment missionnés, dans un poste de police de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Donc sur le territoire français, où la DGSE est censée ne jamais intervenir.
    L’enquête préliminaire, déclenchée par le parquet à la suite d’une première plainte, a conforté les graves accusations de M. Duménil. Cependant, les enquêteurs se sont heurtés au mur du secret-défense, incitant le parquet à classer la procédure sans suite, en novembre 2016. M. Duménil s’est donc constitué partie civile, par l’intermédiaire de son avocat Me Nicolas Huc-Morel, afin d’obtenir la désignation d’un juge d’instruction.
    « Celui qui me parlait m’a répondu : “Je suis l’Etat” »
    Cette histoire rocambolesque débute le samedi 12 mars 2016 au terminal 2F de l’aéroport de Roissy. A la tête d’un groupe international employant 1 600 personnes et œuvrant aussi bien dans le prêt-à-porter de luxe que l’immobilier ou l’aéronautique, Alain Duménil, qui s’apprête à s’envoler pour Genève en compagnie d’une amie avocate, est intercepté sur la passerelle par deux hommes de la Police aux frontières (PAF). Les deux policiers lui affirment qu’il a été victime d’une usurpation d’identité et le prient de le suivre. M. Duménil s’exécute mais, une fois dans les locaux de la PAF, il se voit contraint d’attendre dans une pièce l’arrivée de deux personnes supposées lui expliquer la vraie raison de son interpellation.
    Stupéfait, l’homme d’affaires, qui va manquer son vol, voit surgir deux hommes en civil, armés, disant être mandatés par « l’Etat français ». Selon son récit aux enquêteurs, l’un des deux hommes se positionne devant la porte afin de l’empêcher de s’enfuir tandis que l’autre lui lance : « Attention, tout ce que je vais déclarer, il ne faut en parler à personne, pas même à la personne qui vous accompagne. » Et l’inconnu de poursuivre : « En 2003, vous avez volé l’Etat de 13 millions, ce qui fait aujourd’hui, avec les intérêts, 15 millions. Il faut nous les rendre et je vais vous donner la procédure à suivre. » Et l’homme de livrer le nom d’un avocat à qui l’argent devra être versé.
    La suite, M. Duménil l’a racontée le 25 mars 2016 aux policiers de l’Inspection générale de la police nationale, la police des polices, saisie par le parquet de Bobigny : « J’étais sous le choc, mais je leur ai demandé de décliner leurs identités et celui qui me parlait m’a répondu : “Je suis l’Etat”. » Selon M. Duménil, le duo lui fixe le 29 mars 2016 « comme date limite pour la remise des fonds ». Puis, l’un des deux hommes lui aurait fait comprendre ce qui risquait de lui arriver s’il ne payait pas. « Il s’est montré très menaçant, parlant de me retrouver en chaise roulante, voire plus… Il s’agit clairement de menaces concernant mon intégrité physique. Il a ensuite affirmé qu’ils avaient fait un maillage autour de moi en France et à l’étranger. »
    Joignant le geste à la parole, les deux hommes montrent à M. Duménil des photos de lui sortant de ses bureaux, mais aussi de sa femme, de l’une de ses filles, de certains de ses collègues… Tout indique qu’il a été suivi. « En montrant ces photos, ils voulaient me faire comprendre qu’ils pouvaient également s’en prendre à n’importe laquelle de ces personnes », estime M. Duménil. Bien décidé à ne pas se laisser faire, ce dernier proteste et indique qu’il va dénoncer les faits à la justice : « Dès que j’ai prononcé le mot “procureur de la République”, ils ont quitté sans un mot et d’un pas rapide la pièce. »
    Recours à la manière forte
    Finalement libéré, M. Duménil s’empresse de déposer plainte au parquet de Bobigny, qui confie une enquête à l’IGPN. La police des polices découvre qu’un litige financier oppose, depuis des années, M. Duménil aux services secrets. La DGSE, pour financer ses missions clandestines, place discrètement des fonds dans diverses structures. C’est dans ce cadre qu’elle a perdu, au début des années 2000, plusieurs dizaines de millions d’euros dans des placements effectués par une société dont M. Duménil est ensuite devenu le propriétaire, fin 2002.
    Une procédure a d’ailleurs été ouverte devant le tribunal de commerce de Paris qui, en octobre 2016, a débouté les actionnaires représentants la DGSE. Une enquête pénale visant les mêmes faits, conduite par une juge parisienne, a entraîné la mise en examen pour « banqueroute », fin 2016, de M. Duménil. Ce dernier a également quelques démêlés avec l’Autorité des marchés financiers et le fisc helvétique.
    La DGSE aurait-elle eu recours à la manière forte afin de récupérer son « trésor de guerre » ? L’hypothèse est aujourd’hui privilégiée par la justice, dont les investigations ont corroboré une grande partie des déclarations de l’homme d’affaires. Adjoint du chef de la division de l’immigration à la PAF, Simon Bourragué a ainsi confié à l’IGPN : « On m’a dit qu’il fallait conduire M. Duménil d’un point A, à la porte de l’avion, à un point B, un bureau dans lequel il allait rencontrer des personnes de la DGSE. »
    Les enregistrements de vidéosurveillance ont été détruits
    Le directeur de la PAF de Roissy, Patrice Bonhaume, a été encore plus explicite : « J’ai été approché par des sous-officiers de la DGSE (…). La DGSE m’a présenté le cas de ce passager, M. Alain Duménil, comme étant d’une importance capitale pour eux. On m’a précisé que cette affaire était suivie au plus haut niveau de l’Etat et notamment des services du premier ministre [à l’époque Manuel Valls]. »
    Les policiers ont tenté d’identifier les deux hommes venus interroger M. Duménil le 12 mars 2016, mais curieusement, les enregistrements de vidéosurveillance ont été détruits dès le 22 mars, soit le jour même où l’IGPN en réclamait la communication !
    Restait donc aux enquêteurs à recueillir les explications des services secrets. Las, sollicité par la directrice de l’IGPN, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, le directeur général de la DGSE a opposé une fin de non-recevoir… qui vaut pour partie confirmation. Le 6 juillet 2016, dans une très courte lettre estampillée « secret-défense » à laquelle Le Monde a eu accès, le directeur général de la DGSE, Bernard Bajolet, a indiqué ceci à la patronne de la police des polices : « Le 12 mars 2016, à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, le service a mené un entretien avec M. Alain Duménil. Cet entretien s’inscrit dans le cadre des missions du service relevant du secret de la défense nationale. »
    La DGSE reconnaît donc son implication dans le dossier mais se réfugie derrière le secret-défense, dont M. Duménil espère pouvoir obtenir la levée lorsqu’un juge d’instruction aura été désigné.

      Amascha-Hô
      1 février 2017 - 7 h 49 min

      Vous êtes à la tête d’un
      Vous êtes à la tête d’un média éclaireur très apprécier par les Algériens parce qu’anticolonialiste. Il existe des éléments de preuve qui plaident pour une participation des services secrets étrangers dans la tournure des événements survenus au début des années 90 ayant donné naissance à la décennie noire, comme il existe des débuts de preuve de l’immixtion de la DGSE dans le dossier des moines de Tibhirine et tout ce qui a suivi par la suite. Il y a une foule de chose à connaître et à faire connaître au monde depuis la mort des moines jusqu’à la création in vivo d’el Baghdadi. Les peuples ont le droit de savoir ce qui leur arrive

    Nasser
    1 février 2017 - 6 h 21 min

    il est de la « race » des
    il est de la « race » des journalistes qui sont jusque au boutisse, chaque article fait objet d’ une enquête scrupuleuse et vérifiée avant publication, il est talentueux et il en est de même de ses collaborateurs en plus c’ est un des rares médias français qui ne dégaine pas à tout bout champs contre notre pays.RESPECT Mr Plenel

    MOHA
    1 février 2017 - 5 h 37 min

    Tous mes RESPECTS, Monsieur
    Tous mes RESPECTS, Monsieur Edwy PLENEL. Vous serez TOUJOURS le bienvenu en ALGERIE ! Et pourtant, en vous regardant bien, je me dis que votre visage ne m’est pas inconnu et que très certainement je vous ai, déjà, vu en Algérie justement à cette époque. Merci, cher Monsieur, pour votre vibrant hommage et sincère témoignage. Ça fait vraiment chaud au coeur. Surtout, par les temps incertains qui courent, présentement, à travers le monde d’aujourd’hui.

    Anonymous
    1 février 2017 - 5 h 32 min

    Comme quoi le vieil adage se
    Comme quoi le vieil adage se verifie ‘fait le bien et oublie, il ne peut que rejaillir’

    Mohamed l'Algérien
    1 février 2017 - 4 h 53 min

    Merci Mr Plenel.
    Merci Mr Plenel.

    Rayes El Bahriya
    1 février 2017 - 4 h 44 min

    Très sincère de la part de
    Très sincère de la part de Edwy Plenel pendant que certains
    Journalistes trahissent l’Algérie sur des chênes arabes et
    Occidentales oublieux que leur premières expériences se
    Sont faites dsns la presse et les médias d’Algérie.
    Triste monde où le fils renirenaît le père.

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