La fin de Tebboune n’est ni une défaite de l’Etat ni une victoire de Haddad

Tebboune Ouyahia
Abdelmadjid Tebboune a été débarqué quelques mois à peine après sa nomination. New Press

Par Karim Bouali – La décision était attendue. Tout, en effet, indiquait que le Premier ministre allait être dégommé dès son retour de sa virée européenne où, dit-on, il passait ses vacances en compagnie d’affairistes «peu fréquentables».

Tout a commencé par une série de décisions à l’encontre d’investisseurs privés auprès desquels le successeur de Sellal réclamait le remboursement de quelque 40 milliards de dollars de crédits contractés auprès des banques publiques. Cette attaque frontale de Tebboune contre les puissants patrons a, tout de suite, été suivie d’une réaction sans ambages du président du Forum des chefs d’entreprises (FCE, patronat) Ali Haddad – principale cible de Tebboune – qui rappela à son «détracteur» que l’Etat lui devait plus de 1 000 milliards. Ce à quoi Teboune répondra que plus de 100 projets confiés au patron de l’ETRHB étaient à l’arrêt et qu’il était mis en demeure de les relancer.

Abdelmadjid Tebboune avait, par ailleurs, été accusé par certains cercles proches de la Présidence, d’avoir mal interprété les instructions du président de la République visant à mettre de l’ordre dans le secteur économique et de séparer celui-ci de la sphère politique.

Néanmoins, des sources très au fait du dossier ont affirmé à Algeriepatriotique que l’éviction de Tebboune «ne signifie pas un recul de l’Etat ou une victoire d’un protagoniste au détriment d’un autre». «La feuille de route établie par le Président est toujours en vigueur», souligne notre source, qui précise que «le nouveau Premier ministre devra, de toutes les façons, poursuivre le travail commencé par son prédécesseur pour obliger les opérateurs à rembourser leurs dettes, à s’acquitter de leurs impôts et à achever les projets dont ils ont obtenus les marchés par divers moyens».

Le désormais ex-directeur de cabinet de la Présidence, qui dirigera le gouvernement une nouvelle fois à partir d’aujourd’hui, ne s’oppose pas à la participation d’hommes d’affaires à la gestion politique. Ahmed Ouyahia déclarait, en janvier dernier, que «la philosophie et la ligne politique du RND ne sont nullement contre la présence dans le champ politique d’hommes d’affaires activant légalement». «Au RND, il n’y a pas d’argent de la drogue, du conteneur, de l’import-import ou de la corruption», avait-il assuré.

K. B.

Comment (70)

    saidgaouaoui
    16 août 2017 - 16 h 23 min

    Pardon,mes amis souhaitons longue a tebboune dont j ai eu l honneur d assister a ses réunions, a l époque wali a Tiaret, heureusement au vitrée. Sort ne sera comme feu Boudiaf.

    pomme
    16 août 2017 - 11 h 07 min

    Tant mieux pour Monsieur Teboune, son éviction lui évite peut être de se retrouver dans une situation plus dangereuse encore. Peut être un mal pour un bien (pour lui). Car pour les algériens, rien ne change.

    zaatar
    16 août 2017 - 10 h 22 min

    Ce n’est pas une défaite de l’état encore moins une victoire de Haddad. Match nul donc, entre l’état et haddad. On va jouer les prolongations. Ira t’on jusqu’aux tirs aux buts? là est la question.

    anonyme
    16 août 2017 - 9 h 48 min

    Où est notre opposition ?, s.v.p pacifiquement
    Où sont nos élites nationalistes authentiques ? s.v.p pacifiquement
    Où est notre A.N.P,censée de protéger ses arrières logistiques stratégiques,que sont l’économie, et les finances
    Qui sont à leur tour, sous l’emprise, et la domination d’une minorité affairiste corrompue, et incompétente ?
    Devant le fait accompli illégal d’un homme, d’une famille, et d’un clan affairiste illégitimes
    Utilisant « la légalité », pour s’enrichir
    Illégalement, mais aussi appauvrir le pays, son économie, et son peuple
    En l’abscence d’une vraie démocratie, d’une vraie justice, et d’une vraie transparence, dans le pays

      zaatar
      16 août 2017 - 10 h 26 min

      ya hassra 3alik ya zmen. opposition? pacifique? notre ANP? Les mots clés d’en ce moment pour toute recherche sur le sujet sont: Malhonnêteté, Crapulerie, mafia, usurpateur, démoniaque, affairiste, corrompu, incompétent, illégal, illégitime corrupteur…et encore bien d’autres. Vous voyez c’est simple.

        Krimo
        16 août 2017 - 19 h 26 min

        Zaatar,

        A votre bon souvenir,
        «ya hassra 3alik ya zmen…..» . Que c’est lourd de sens.

        Bien a vous

          zaatar
          17 août 2017 - 7 h 54 min

          Bonjour l’ami,

          La courbe temporelle de l’évolution dans notre pays ne présente aucune singularité. C’est ce qui est dramatique. Elle nous oblige à plonger dans un fatalisme déchirant et bouleversant. Au point ou l’on semble être devin, intuitif sans aucune connaissance en la matière (on pourrait même se faire de l’argent). Notre état d’esprit cependant ne s’y accommode pas, ou ne veut pas s’y accommoder et c’est pour cette raison que l’on souhaite un apophis ou un équivalent et le plus tôt serait le mieux…(Que dieu nous pardonne).

      Djamel BELAID
      16 août 2017 - 14 h 11 min

      Vous écrivez: « Où est notre opposition? s.v.p pacifiquement Où sont nos élites nationalistes authentiques ? s.v.p pacifiquement Où est notre A.N.P,censée de protéger ses arrières logistiques stratégiques,que sont l’économie et les finances »
      Il me semble que vous posez les bonnes questions. Sans soutien populaire, un homme politique, soit-il premier ministre, ne peut rien. Mais attention, il ne faut jamais sous-estimer la « rue ». Elle observe et souffre. Le réveil peut être brutal…

    [email protected]
    16 août 2017 - 2 h 07 min

    espérons que l’enseignement supérieur et l’éducation nationale auront deux vrais ministres ! on espère que ces 2 secteurs-clé du développement puissent être relancés par 2 ministres qui ont un vrai parcours scientifique ! yarhamwèldokoum sidi rais elhoukouma faites en sorte que cela se fasse ! il y a des compétences ! on a confiance en votre intelligence.

    Zizou
    16 août 2017 - 0 h 58 min

    Mr ahmed ouyahia ne oublier pas de prévoir un poste du ministre de la défense un amis a vous et une personnalité le criminel madani marzak.

    Djamel BELAID
    16 août 2017 - 0 h 56 min

    JE N’ACHETERAIS PLUS DE HALWA TURC
    La soudaine éviction de Mr Tebboune semble être l’action de forces occultes. Ces dernières semaine, la presse nous a révélé leur action jusque dans des cimetières lors d’enterrements. Au delà de quelques maladresses qu’aura pu commettre le Premier Ministre déchu (liste des licences d’importation sans toucher à l’acte productif national, chose qui devait s’affiner au cours des prochaines semaines), il lui est reproché d’avoir voulu s’opposer aux forces de l’argent. Pas de cet argent librement gagné à la sueur de son front ou de celui de capitaines d’industrie ingénieux, mais de cet argent amassé par de pseudo industriels nationaux alimentés par le sein de commande publique nationale.
    Reste que ces dernières semaines la presse a également révélée les interrogations d’officiels français et de ministres turcs s’étonnant de l’action de Mr Tebboune. On peut se demander de quel poids ont pesé ces interrogations. Celles émanant de Turquie allant jusqu’à, ce qui jusqu’à hier, pouvait paraître comme de simples fanfaronnades.

    Il faut donc prendre acte de ces forces. Ces forces de l’argent ont gagné. Elle ont gagné contre l’économie nationale et contre le peuple algérien. Quid de l’emploi des jeunes si nous continuons à importer par exemple ces produits bas de gamme turcs et chinois ?

    Mais au delà de la politique économique nationale on peut se demander si ces forces pourraient agir un jour sur la politique extérieure de l’Algérie ? Agir par exemple sur le soutien jusque là indéfectible au peuple palestinien, ou peuple syrien et à toutes ces causes qui faisait jadis d’Alger la « Mecque des révolutionnaires ».

    En tout cas, pour ma part, il est une certitude : plus jamais je n’achèterais de halwa turc…
    Djamel BELAID.

    Gavroche
    16 août 2017 - 0 h 19 min

    La même soupe réchauffée!!! Toujours les mêmes qui reproduisent les mêmes erreurs, qui procréaient entre eux ce qui donne des générations de politiques « mongoliens » inaptes aux fonctions de décisions en décalage avec le monde d’aujourd’hui. Juste compétents à la corruption tournant autour d’un président ne pouvant plus exercer ses fonctions présidentielles. La constitution doit être appliquée concernant l’article 102. Quand j’entend que le président à nommé Mr Ouyahia après avoir consulté la majorité au parlement, on se moque vraiment du peuple. Nous venons de vivre un coup d’Etat.

    yassine
    16 août 2017 - 0 h 15 min

    Tebboune jete aux chiens par Bouteflika !
    Le 26 juillet dernier Monsieur Noureddine Boukrouh dans un article predisait que Tebboune sera jeter aux chiens comme Sellal et tous les autres ( c’est le 19-ieme gouvernement de fakhamatou ).
    Apparament Tebboune n’a pas ete « FEHAM  » !!!!! Bouteflika s’attendait a ce que Tebboune fasse le clown et donne l’illusion qu’il s’attaque a la corruption . D’ailleurs le « GHACHI » algerien y’a cru !
    Mais le pauvre bougre ,il pensait que Bouteflika etait sincere ! El le voila qu’il commence a chercher des poux dans la tete d’un proche de la  » Famillia » a savoir Haddad !
    Et hop , il est vite degomme comme il a ete nomme ! Le meme scenario a eu lieu avec Rab D’Zair (TOZ TOZ) . Il a enquiquine
    Chakib le voleur ………………et Hop degages !!!!!!!!!!
    Bouteflika n’a peur que d’une chose …………LA RUE !!!!!!!!!!!!!!!!!

    Farouk HAMZA
    15 août 2017 - 23 h 41 min

    Suite à la nomination de Monsieur Ahmed OUYAHIA, l’espoir est permis.
    Le monde vit une période caractérisée par une crise de multiples facettes : politique, économique, culturelle et spirituelle. Plusieurs états occidentaux dont les USA et les états européens ont souligné l’urgence de la situation et ont rapidement pris des initiatives thérapeutiques face à ces déséquilibres économiques en particulier. L’Algérie ne fait pas exception. Elle doit réagir et s’adapter à ces difficultés. La stratégie ayant été adoptée par le gouvernement Tebboune n’a pas donné les résultats escomptés, au contraire elle a aggravé la difficile et complexe situation économique qui a eu des retombées négatives sur la vie du citoyen algérien de manière générale et sur les petites et moyennes entreprises qui étaient menacées d’une faillite certaine à court terme si ce n’est la décision lucide et pragmatique du Président de la République qui a intervenu dans l’urgence pour mettre fin à ce désordre et redonner un peu d’espoir par la nomination d’un grand homme d’état chevronné, rompu aux situations difficiles, qui jouit d’une très grande crédibilité auprès de la nation et de la classe modeste de notre peuple, à savoir Monsieur Ahmed OUYAHIA. Durant ces trois mois, l’Algérie a vécu une période de découragement et d’un blocage économique sans précédent qui est à l’origine d’une panique généralisée dans la vie économique. Les prix ont flambés avec une augmentation de plus de cinquante pour cent (50%) que les ménages moyens ne pouvaient plus supporter,alors que dire des citoyens qui n’ont aucun revenu ou un revenu modeste comme les retraités et ils constituent la majorité de notre nation. Durant ces trois mois, l’Algérie a connu un climat de panique générale, je le répète. Aujourd’hui, l’espoir est permis avec la nomination de Monsieur Ahmed OUYAHIA, un homme sage et éclairé qui a la capacité d’initier une nouvelle approche qui fera renaître la confiance entre gouvernants et gouvernés. Nous lui souhaitons bon vent.
    Docteur Farouk HAMZA.
    TIZI-OUZOU, le 15/08/2017

      MELLO
      16 août 2017 - 14 h 39 min

      Docteur, j’éprouve toujours un réel plaisir à lire vos commentaires, néanmoins je trouve incohérent qu’une personnalité, comme vous, puisse accepter la nomination d’un premier Ministre dans des conditions aussi opaques, sans véritablement s’en remettre à la caution du peuple. Oui, certes ce peuple a été mis « entre parenthèse » depuis 1962, mais encourager ce genre de nomination c’est enfoncer davantage le clou de la dictature. Le problème fondamental de nos dirigeants est leur éloignement de la réalité. Dans la plupart des cas, ils prennent leurs fantasmes pour des projets effectifs. Ainsi, bien que nous vivions dans un siècle où la vie politique se construit sur les desiderata du citoyen, force est de reconnaître que le régime algérien refuse uniment d’accepter cet état de fait. Au lieu de remédier à cette situation, le régime encourage le statu quo, bien que dans les discours il soutienne l’inverse. Dans ce cas, de quelles « conquêtes démocratiques substantielles » parle le chef de l’État, ainsi que ses valets, en évoquant la nouvelle constitution ? Mais, qui a choisi le jacobinisme institutionnel ? Qui a opté pour la prééminence du pouvoir exécutif – au sens propre et au sens figuré – sur les pouvoirs législatif et judiciaire ? Jusqu’à preuve du contraire, le peuple algérien n’a jamais été consulté sur ces choix.

        Delende Carthago
        16 août 2017 - 17 h 02 min

        Docteur,
        M. Ahmed Ouyahia a certes les qualités requises pour exercer son premier ministère dans le but et l’objectif de développer le pays, et éviter les erreurs réelles ou supposées de M. Tebboune. La vraie question, Docteur, est « aura-t-il les coudées franches pour mener à bien son œuvre. J’entends par-là, qui ne contrediront pas et ne s’opposeront pas aux intérêts et aux engagements avec l’étranger de la smala en place. Ces intérêts ne sont pas forcément ceux du pays et du peuple, ne soyons pas naïfs. Ouyahia, s’il veut durer à ce poste devra rentrer dans les rangs fautes de quoi il sera appelé à « d’autres fonctions » sans hésitations et sans regrets.

        Delende Carthago
        16 août 2017 - 17 h 08 min

        MELLO
        La réponse s’dressait bien sûr au Dr HAMZA. C’est par erreur que j’ai appuyé sur le « répondre » vous concernant. Mille excuses et bonne journée. D.C

    YOUCEF
    15 août 2017 - 23 h 16 min

    Quelle feuille de route du president? Quel president? Vous prenez les gens pour…..

    Nasser
    15 août 2017 - 23 h 09 min

    La fin de Tebboune est bien une défaite de l’État algérien et une victoire de Haddad et ses amis milliardaires qui espèrent surement ne pas rembourser les 40 milliards de dollars de crédits contractés auprès des banques publiques!!!

    Anonyme
    15 août 2017 - 23 h 09 min

    J avais compris selon un article de AP que le rdv de Teboune avec Edouard Philipe PM Français qui n avait pas suscité les medias Français et l APS parlait d une visite informel et qu’ on a appris par la suite pkoi il avait ce fameux rdv pr justement récupéré une partie des 40 milliards pr renflouer les caisses du trésor publique algérien. Et que ce voyage en France était sur ordre du président ;car nos banques publiques avait octroyé pr 40 milliards de dollars à différents operateurs économiques et qu il n y avait tjrs pas de retour et que les projets n était pas finalisés ? peut on avoir des explications du chef de l état lui meme sans perroquet concernant ce limogeage du PM en direct face a son peuple ; comme ca on pourra dire que c est bien lui qui a pris cette décision pour que le doute ne persiste pas au sein du peuple et éviter aussi le fameux art.102 ; sinon le peuple va parler d une seule voix et remplacera Medelci et le président de APN si il y a pas de réponse au peuple algérien ce peuple est mure et nous sommes a l ère de l informatique et que des décisions sont prises sans vraiment savoir si c’est le président en personne qui les ai prise?

    Si-Ahmed El Wahrani
    15 août 2017 - 23 h 01 min

    C’est vraiment « DAR KHALI MOUH’ ou tout simplement « Bled mickey »

    Nasser
    15 août 2017 - 22 h 54 min

    SI … »«La feuille de route établie par le Président est toujours en vigueur», souligne notre source, qui précise que «le nouveau Premier ministre devra, de toutes les façons, poursuivre le travail commencé par son prédécesseur pour obliger les opérateurs à rembourser leurs dettes, à s’acquitter de leurs impôts et à achever les projets dont ils ont obtenus les marchés par divers moyens»…..pourquoi alors enlever Tebboune????

    SI…Ahmed Ouyahia accepte cela ainsi que « la présence dans le champ politique d’hommes d’affaires » , Il est alors certain qu’. «Au RND, [il y a] l’argent de la drogue, du conteneur, de l’import-import ou de la corruption», sans aucun doute !!!

      62, La Cata!
      16 août 2017 - 12 h 28 min

      Exactement !!!

    difou.guery
    15 août 2017 - 22 h 45 min

    C EST UNE DÉFAITE DE L ETAT ET UNE VICTOIRE DE HADDDAD

    A3zrine
    15 août 2017 - 22 h 39 min

    Le retour de ce mec coïncide toujours avec des conjonctures économiques néfastes. On est prévenu qu’on rentre dans un tunnel tellement obscure, que même la lumière allumée et on ne’ verra que du noir.
    J’aimerais tant que ce mec envoie les hommes d’affaires véreux en prison comme il en a fait avec les cadres des sociétés nationales, qui sont allés moisir pendant des années en geôle. Nous sommes arrivés au point de laisser le soins à Mister Goudroune de le féliciter en premier avant les ministres et les cadres de son parti, c’est un message envoyé à Tebboune pour lui dire tu as perdu la bataille et la guerre en même temps. Dans un pays qui se respecte et ayant des traditions politique, ce genre de félicitations est réservé à son parti d’abord suivi par les organisations syndicales, les représentants de la société civile et à la fin s’il y a de la place l’organisation patronale, mais hélas! On est fi blad Mickey, pays où tout marche sur la tête.
    Ya dra comment sera la suite!

    HANNIBAL
    15 août 2017 - 22 h 30 min

    La démagogie reprend de plus belle et la gabegie continue Reste que le clan Dalton qui fait un hold up sur 40 millions
    d’Algeriens les prenant pour des Autistes avec Mr. Ouyahia qui revient croit’il que nous sommes les moutons de Panurge les cigales vont chanter tout l’été applaudissons l’Aid approche reste le nif pour humer l’odeur des brochettes !!je suis dépiiiiiiitééééééééééééééé !! écoeurééééééééééééééééééééé !!!

    karim
    15 août 2017 - 20 h 39 min

    ok il n’y a pas d’argent sale haha mais desorme plus grave encore vous avez sucez le sang de l’algerien lamda

    MELLO
    15 août 2017 - 20 h 38 min

    Que dira Louiza Hannoun? Elle qui a défendu ardemment Mr TEBBOUN, je cite: Le Parti des travailleurs (PT), qui a réuni i son bureau politique, défend ardemment le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, et dénonce ce qu’il qualifie de «cabale médiatico-politique haineuse et abjecte» orchestrée par des centres prédateurs. Et d’ajouter : «Tout en enregistrant positivement les mesures d’assainissement du secteur économique annoncées par les ministres de l’Industrie, des Travaux publics et du Tourisme, le PT attend de voir se traduire dans tous les secteurs la décision annoncée du Premier ministre de récupération des fonds et des biens de la collectivité nationale, car c’est une question de survie en cette période de crise», souligne le parti.
    Tata Louiza va être orpheline .

    anonyme
    15 août 2017 - 20 h 25 min

    Mr. Ouyahia, et l’oligarchie affairiste vont, peut etre, dans une mesure économique populiste, et démagogique,
    Faire peser sur … les prix des moutons, « un cadeau empoisonné » pour le peuple algérien
    A la veille de l’Aid El Adha
    Afin de distraire un peu, de détourner, et d’absorber l’étonnement, et le mécontentement du peuple algérien
    A l’éviction du nationaliste, et ancien premier ministre Mr. Abdelmadjid Tebboune

    abcd...
    15 août 2017 - 20 h 20 min

    Il nous est présenté les infos suivantes. Mr Tebboune prend 10 jours de vacance (en plain tempête) en France avec la permission du Présidant, dans les qu’elle il fait une visite au PM français, il est virer à son retour!!! D’abord on ne prévoit pas des vacances quand on veut maitre de l’ordre dans le pays. Ce n’est pas logique que le Président donne une mission a son PM durent ses vacance et le virer après. Ce n’est pas logique que Tebboune rencontre durent ses vacance le PM FR et de son plain grée après la déclaration qu’il a fait contre la France. Donc les déclarations qui ne sent pas logique ne valets rien, que se soit du côté de Tebboune ou du clan adverse surtout qu’ils prétendent (les deux camps) agir au nom du président. Que faut-il pensé de tout ça? Que le président est belle et bien absent. Que le Générale Ahmed Gaied Salah chef de l’ANP et le garent de la sécurité et la protection de notre patrie, mon Générale faite votre devoirs car le peuple n’a confiance dans aucune autre institution. Vous serait comptabilisé devant Allah et devant le peuple. Allah y awnek mon Général.

    MELLO
    15 août 2017 - 20 h 08 min

    Le révisionnisme ne consiste pas seulement à nier les luttes populaires d’hier, il consiste également à refuser aux peuples de leur reconnaître, aujourd’hui, les qualités de maturité, d’unité, de solidarité et de lucidité dont ils ont su être capables hier. A trop vite oublier que les peuples ont une mémoire, que cette mémoire structure leurs adhésions et leurs rejets, les régimes finissent par perdre tout lien avec leurs sociétés. Plus de Cinquante ans après la proclamation de l’indépendance nationale, nous voici face aux mêmes absences : Absence d’un Etat de droit, absence de vie politique, absence de constitution digne de ce nom, absence d’institutions légitimes capables de protéger le peuple autant que le pays des abus et d’assurer son droit à vivre dans la liberté et la dignité.
    A peine l’indépendance proclamée par le peuple algérien et reconnue par la puissance coloniale ; un régime oppressif n’a ni tergiversé ni hésité avant de confisquer cette indépendance en enterrant les rêves démocratiques, les droits et la liberté. Quel que soit le lourd soupçon de manipulation par le pouvoir réel qui pèse sur ces courants, il n’en demeure pas moins qu’une clarification de leur part demeure indispensable pour signifier clairement un saut qualitatif dans la formulation du sacré en politique. A chaque moment-clé de notre histoire nous avons été mis en demeure de choisir entre les instruments du politique et les illusions politiques. A chaque fois nous avons dit non aux illusions et avons mis en avant les instruments du politique. Ne jamais oublier que c’est par les coups de force et les manipulations de toutes sortes que le régime n’a cessé de gagner du temps. En écrasant ou en détournant à son profit les occasions de changements et d’alternances véritables .
    Un Etat de droit, des institutions fortes de leur légitimité, une justice indépendante, des contre – pouvoirs efficaces, une vie politique démocratique réglée par un contrat national, social et politique qui garantisse les libertés individuelles et collectives au même titre qu’il se porte garant de la justice sociale. Le droit à la sécurité, au travail, au logement, à une scolarité de qualité, à une santé de qualité, à une justice de qualité, à un environnement de qualité, à une vie culturelle de qualité sont des questions qui intéressent tout le peuple. Et par ce que ces questions intéressent tout le monde, elles mettent en jeux des intérêts contradictoires.

    Aidouni
    15 août 2017 - 20 h 04 min

    L’histoire retiendra que Mr. TEBBOUNE a été chassé du Premier Ministère, parce qu’il a mis en branle le mécanisme de récupération de 40 milliards de dollars que les oligarques et leurs parrains de l’ombre, ne veulent pas restituer aux banques publiques, qui vont droit au mur. D’où la nécessité pour la banque d’Algérie de réduire le taux des réserves obligatoires des banques, de 12 % à 8 puis à 4% depuis aujourd’hui.

    Avec le coup de tonnerre d’aujourd’hui, le milieu mafieux de l’argent sale vient de gagner la bataille des futures élections présidentielles. C’est un coup d’état en absence du président de l’état menu par le clan oligarque, qui à travers le siphonage des deniers publics et en raison des caisses vides poussera l’Algérie vers l’endettement extérieur, pour que l’oligarchie locale et ses associés internationaux continuent à remplir leur compte. La vente de l’Algérie commence aujourd’hui.

    Mus
    15 août 2017 - 19 h 55 min

    M. Bouali, vous avez raison d’écrire que ce n’est pas la défaite de l’Etat parce qu’il est inconcevable de parler d’Etat en Algérie, actuellement. Il s’agit plutôt d’un ramassis de prédateurs, d’incompétents et d’inconscients qui mènent le pays vers le chaos. Quoiqu’on dise de Tebboune qui est un pure produit du système, il a donné l’impression de vouloir « faire quelque chose » pour sauver ce qui peut l’être du pays et s’est brisé les reins sur les potentats de l’import-import et des projets inachevés ou bâclés comme Haddad. Ces prédateurs n’ont pour référence que d’avoir financé la campagne pour le 4eme mandat. Leur « mérite » est d’être associés au cercle restreint du pouvoir politique avec lequel ils ont réussi la :prouesse » de placer notre pays dans la non envieuse 131 eme place sur 139 dans la dernière édition 2016 du classement des « meilleurs pays pour les affaires » du magazine Forbes. Qui dit mieux? Le pays est en ruines et va a la dérive. Apres Lamamra, Bouterfa, Tebboune, a qui le tour parmi les rares responsables patriotes qui résistent au sein de ce pouvoir maffieux? Et pendant ce temps, nous le Peuple vaillant d’Algérie, admirons impassibles ce spectacle désolant pour lequel l’Algérie est en train de payer le prix le plus cher…

    Nedjar
    15 août 2017 - 19 h 50 min

    J’ai honte d’être algérien par respect à nos martyrs

    SOYONS CLAIRS
    15 août 2017 - 19 h 35 min

    soyons francs : ceux qui pensent que l’origine ou la raison de la décision du limogeage de Teboune ne peut venir de A.H , se raconte des histoires …car sans l’incident entre lesdeux et surtout sans la mise en demeure pour le remboursement …etc : y’aurait jamais eu éviction !
    résumé : désormais les cercles de l’argent sont dans le cercle de décisions .

    anonyme
    15 août 2017 - 18 h 45 min

    Déstabilisation du pays, et de l’état algérien
    Avilissement , humiliation, et mis au pas de ses institutions, et de ses hommes
    Bradage, alignement, et dépendance de l’économie algérienne, à l’économie française
    (Renault, Peugeot-Citroen, Total, Technip, Industries alimentaire,agroalimentaire,médicaments, services,…)
    Vassalité, et dépendance de l’état algérien, et de son régent-vizir, à l’état protecteur français
    L’état français grand bénéficiaire, complice secret, et commanditaire, est derrière le coup d’état d’Alger,
    Du 15 Aout 2017

    Des gagnants:
    Le très ambitieux régent-vizir, l’oligarchie ambitieuse, affairiste, corrompue, et incompétente du FCE,
    Les responsables opportunistes-arrivistes de l’UGTA
    Les responsables opportunistes-arrivistes du FLN
    Les responsables opportunistes-arrivistes du R.N.D
    Et bien sur l’état commanditaire-secret-protecteur français,derrière tout les conflits, et les divisions, en Algérie

    Des perdants:
    Les élites nationalistes de l’état de droits, et de justice, désolidarisées, désunies, et résignées
    L’économie algérienne bradée à vil prix à l’Import-Import, aux faussaires patrons industriels(ETRHB,Hyundai,)
    Le peuple algérien insouciant, désuni, résigné, marginalisé, et humilié

    SIDI-ZEKRI
    15 août 2017 - 18 h 36 min

    UNE CHOSE EST CERTAINE Mrs K.B C’EST UNE DÉFAITE POUR TOUTE L’ALGÉRIE QUI PERD UN PEU PLUS DE SA CRÉDIBILITÉ SUR LE CONCERT DES NATIONS. SINON, ILS SONT TOUS LES MÊMES DU PREMIER AU DERNIER. ILS FONT TOUS PARTIE DU PARTI QUI S’EST JURÉ DE METTRE À GENOUX CE VAILLANT PEUPLE QUI A RÉUSSIT À TENIR TÊTE À LA FRANCE ET À SON ARMÉE QUI ÉTAIT CLASSÉE PARMI LES PLUS PUISSANTES DU MONDE. ALORS PARLER DE TEBOUNE OU DE HADDAD C’EST DU PAREIL AU MÊME.

    atlassien
    15 août 2017 - 18 h 13 min

    mission accomplie pour les tombeurs de Tebboune ,ils ont réussi à terrasser Hulk ,ils l’ont mis Ko technique ,l’uppercut de Haddad qui encaissait les coups de Tebboune jusqu’au dernier round mais à la dernière minute Haddad se ressaisit et envoie ce fameux uppercut à son adversaire le mettant au tapis.dans ce match on dit qu’il était truqué ,le protège-dent de Tebboune était en pâte à modeler .

    Maizi
    15 août 2017 - 18 h 13 min

    On ne peux pas juger le travail de monsieur Tebboune après deux mois,mais en cette brève période a gagné la confiance de beaucoup d’algeriens.On est fiers de vous et merci monsieur le ministre.

    Nordesque
    15 août 2017 - 18 h 01 min

    Il est temps de siffler la fin de la partie, ce cirque avec ce clan n’a que trop durer et on est devenu la risée du monde! Vivement l’arrivée des patriotes intègres, même militaires, mais nés après 1962!!!

    aberkane
    15 août 2017 - 18 h 00 min

    merci monsieur tebboune au moin tu n’es pas un voleur

    Akli Boughzer
    15 août 2017 - 17 h 46 min

    Tebboune qui vient d’être limogé après moins de 3 mois à la tête du premier ministère n’a pas lutté contre la corruption et l’argent sale.Il a ciblé (au hasard?) certains chefs d’entreprises tout en laissant les autres,beaucoup d’autres continuer la rapine.La lutte contre la corruption et l’argent sale est une stratégie globale et non ce « carnaval fi dechra » qui nous a été donné de voir en pure perte de temps.Pour une fois Bouteflika ou ses représentants ont pris une bonne décision en limogeant Tebboune venu régler des comptes et non lutter contre la corruption.Mieux il voulait nous faire revenir au temps béni des pénuries avec ses barons et ses réseaux.Certains l’ont applaudi,est-ce par ignorance ou par accointances?

      Firmus
      15 août 2017 - 19 h 58 min

      Desolé , ce commentaire ne vous est pas destiné

    malik
    15 août 2017 - 17 h 45 min

    Heureusement que ce n’est une défaite de l’Etat ni une victoire pour Haddad. L’Algérie est plus grande pour qu’elle puisse reposer sur une personne; à plus forte raison quand cette personne (Teboune) en l’espace de deux mois a crée un malaise socio-économique sans précédent en raisons de décisions irrefléchies.
    Concernant HAddad, meme s’il a été malgrès lui, au centre de la controverse, il ne peut s’attribuer l’origine ou la raison de la décision du limogeage de Teboune.
    A travers ses réponses aux mises en demeures médiatisées, dont il a fait l’objet, il n’a jamais fait montre d’un quelconque dépassement de langage. Il s’est contenté de répondre techniquement et par les chiffres aux reproches qui lui étaient adressés. Il doit bien savoir que les décisions de nomination ou de limogeage à ce niveau de l’Etat ne se prennent par le seul dépositaire de la légitimité populaire: le président Bouteflika

      mourad
      16 août 2017 - 7 h 56 min

      Quelle légitimé populaire de Bouteflika????Vous rêvez ou quoi?
      Tout a été truqué, falsifié avec la bénédiction des puissances étrangères qui ont reçu de gros chèques à blanc ..
      Vous devez être bien régalé, vous aussi,par ce système usurpateur .

        Anonyme
        16 août 2017 - 12 h 07 min

        Il est clair que vous faites partie de ceux qui bouffent à la gamelle de ce pouvoir corrompu, ou alors vous descendez carrément d’une autre planète.
        Pas une défaite de l’état? Si, s’en est clairement une: L’état s’enfonce encore un peu plus dans sa déliquescence. Il était déjà la risée du monde entier avec un président momifié, marionnette ou complice d’affairistes dont le but est de sucer le sang de l’Algérie jusqu’à l’os. Il n’avait pas besoin de cette énième frasque.
        Pas une victoire de Haddad. Cet arriviste de par la grâce du clan Bouteflika ne mériterait même pas sous d’autres cieux d’être cité. Sa fortune est si intimement liée à l’ére des Bouteflika qu’on est en droit de se demander s’il n’est pas qu’un prête-nom pour les activités mafieuses de ces derniers.
        C’est une victoire de Saïd Bouteflika. Quant à son protégé/associé, on a vu sa mine déconfite lorsqu’il s’est senti à tort lâché par le clan sans lequel il n’est rien, rien qu’un petit affairiste inculte.
        Mais puisqu’on en est à compter les points, la grande défaite dans ce coup d’état déguisé, c’est celle de l’Algérie et de son peuple qui avaient placé un espoir dans Tebboune pour les débarrasser des voleurs qui ont fait de ce pays leur terrain de chasse.
        L’heure viendra où le peuple reprendra ses droits, il en a toujours été ainsi dans tous les pays, et l’Algérie ne fera pas exception.

    Anonyme
    15 août 2017 - 17 h 43 min

    La fin de Tebboune est une défaite du peuple algérien face à la mafia qui gangrène les hautes sphère de l’état.

    riri
    15 août 2017 - 17 h 33 min

    « La fin de Tebboune n’est ni une défaite de l’État ni une victoire de Haddad » affirme le titre de cet article, peut-être est-ce le cas. Et pourtant ce que je perçois de cette décision est que seuls l’argent et les relations comptent dans ce pays. La compétence, le travail et l’intégrité, c’est bon pour les naïfs et les idéalistes. Maintenant, je ne vois pas comment le gouvernement fera pour faire accepter les mesures d’austérité auprès de la population en cédant aux pressions des parasites des finances publiques.Et je comprends mieux maintenant pourquoi mes cousins du bled refusent d’aller voter. Déception. Que Dieu protège l’Algérie.

    Anonymaoui
    15 août 2017 - 17 h 17 min

    Ils ont désigné Ouyahia pour être sûr de n’avoir aucune surprise comme les tracasseries qu’a causées Tebboune au clan au pouvoir et surtout ses soutiens financiers. Ouyahia n’a pas besoin d’un plan d’actions ni d’instructions du clan il va juste faire le contraire de Tebboune et il le fera sans état d’âme il est formate pour exécuter les basses besognes avec zèle et célérité. Mais à la moindre occasion il lâchera le clan si le rapport de forces change c’est sa nature.

    MELLO
    15 août 2017 - 16 h 42 min

    MELLO 9 août 2017 – 17 h 59 min
    – La préoccupation étant , comme toujours , soit de reconduire les notabilités et les élites domestiquées de la société civile et politique soit d’en promouvoir .d’autres après les avoir programmées .Il n’y a là , décidément ,rien de nouveau dans ce processus rôdé à longueur de décennies : les mêmes manipulations tactiques au service d’un objectif stratégique immuable : Recomposer le champ politique pour ne pas en perdre la maîtrise . » Il fallait bien que quelque chose change pour que tout puisse rester comme avant »
    MELLO 8 août 2017 – 15 h 28 min – Article de Karim Bouali, j’écrivait:
    – Ne vous en faites pas Mr Karim, l’habitude est une seconde nature. En Algérie, on est habitué à cette dépravation de la pratique politique. Après avoir annihilé toute chance d’alternance au pouvoir, les « minis crises » à l’intérieur du système donnent lieu à des luttes d’une violence parfois inouïe. Il faut rappeler, en effet, que tous ces acteurs partagent un seul programme. C’est celui du chef de l’État. Et chacun d’eux s’en réclame avec force et conviction. Vous savez ce qui se passe dans un jeu de boules, c’est pousse toi que je m’y mette. La boule Sellal poussée par la boule Tebboun laquelle vient d’être poussée par la boule Ouyahia, qui sera la prochaine ?

      Abou Stroff
      15 août 2017 - 17 h 04 min

      « La boule Sellal poussée par la boule Tebboun laquelle vient d’être poussée par la boule Ouyahia, qui sera la prochaine ? » disais tu! en fait il est inutile de poser ce genre de questions. les bougnoules de service sont tellement nombreux et interchangeables qu’il n’y a pas lieu de se triturer les méninges. il parait que saadani, la danseuse du ventre, a repris su service et je ne trouve aucune raison à ce que belkhadem ne revienne pas par la grande porte. moralité de l’histoire: les figurines sont remplacées mais le système et son mode de fonctionnement sont là pour longtemps (du moins tant que les prix des hydrocarbures ne s’affaissent pas trop)

      linaimane
      15 août 2017 - 20 h 56 min

      c’est très grave ce qui se passe …pour tous les observateur , neutres, et ceux avertis, et même pour ceux qui ont été ces dernières années des fervents soutiens du president bouteflika, ils sont tous tétanisés et même surpris, par les actions entreprises , sans protocole, ni ménagement contre un 1er ministre pourtant , distingué par le président bouteflika lui même, par une médaille du mérite national, et qui est jeté en pature, comme une proie, entre les griffes des mafiosi comme hadad et ses acolytes…le clan presidentiel, ne mesure pas encore l’ampleur de la fissure et du désastre qu ‘il a lui même provoqué , au sein de l’opinion publique, totalement abasourdie, par le limogeage, de tebboune, le seul ministre crédible, du gouvernement sellal, la seule personne du sérail, qui jouissait d’une popularité, bien méritée, et d’un préjugé favorable, auprès de toutes les couches de la sociéte, à l’exception des prédateurs des logements sociaux…qui lui ont jamais pardonné l’instauration du fichier national du logement , grâce auquel aucun nabab ni ponte du systeme n’a pu faiure la razia sur les logements, realisés, de peur d’etre demaqués, devant le reste des cotoyens, en limigeoant tebboune, bouteflika vient de se priver d’un atout majeur, symble de droiture et d’integrité,le seul en mesure de mener les reformes economique, en douceur, sans heurts, à l approche de la rentrée sociale, notamment le dossier brulant, des dizines de millards de dollars injectés à perte dans les subventions bidon, du carburant, du pains, et d’autres pacotilles qui profitent aux contrebandiers…mais pas aux couches sociales defavorisées…tebboune était capable, de faire passer cette reforme, et a meme preparé un plan de ciblage des subventions, qui ne devront allé qu aux necessiteux, son depart…et une catastrophe pour le clkan presidentiel lui meme, qui vient de se faire harakiri, c un suicide, volontaire, et mediatisé, qui pousse à l’etonnement…comment va faire un ouyahia, deja ecorné, mauvais communicateur, dont l’image est ternie par des années de gesticulations et de demagogie, vomis par l ensemble des citoyens, c lui qui va jouer au pompier…pour eteindre les feux des contestaions à venir…c un pari risqué , et tres dangereux qu on pris les apprentis pyromanes,tapis à la presidence…comptent ils sur les discours de ouyahia, pour amener l ensemble de la société à accepter les reformes dures et douloureuses à venir…c un jeu qui ressemble à la roulette russe…ouhaia n’est pas la personne designée , en cette conjoncture hautement risquée, pour defendre le programme des reformes exigées par la banque mondiale et le contexte economique international, ceux qui ont designé ouyahia aux commandes du pays , viennent de se tirer une balle dans le pieds, et accelerer d’un cran, une revolte qui couve, à l’etat latent….et du in beni à toute l’opposition meme celle des integristes islamistes fossoyeurs de la republique…le limogeage de tebboune, aura des consequences desastreuses, sur tout les plans, c un jeu dangereux,,qui met en danger la cohesion de la nation et de ses institutions, les plus nevralgiques…comme l’anp et les corps de securité, qui seront tres affectées…et dont l’image en patira, severement..s’ils sont appelées à mater un jour une manifestaion ou un rassembelement de constestation d’une mesure prise par le gouvernement ouyahia…l’intervention des corps de securité…ou la kadara ellah, l anp…sera percu par l ensemble de la societé…comme une action repressive, arbitraire, menées par les forces de la predation et de la rapine, contre la volonté et les aspirations legitimes de la société, …le limogeage de tebboune, a été percu par la société et la majorité silencieuse comme un choix du clan presidentiel…d’une voie hostile..aux intérêts et aux aspirations du peuple , à plus de justice sociale et a etat de droit …de meme qu il a été capté par la majorité des algerien coimme un signal fort aux affairistes et predateurs, de prendre d’assaut les institutions de l’etat…pour plus de rapine…et delapidation..des deniers publics…le message est tres clair…aux hada…et tliba…et aux autres predateurs…que le clan presidentiel les protege…et qu ils n ont rien à craindre dorénavant ..ni des politique ni des technocrates…qui ont tous compris le message du schow d’el alia…que la republique democratique, juste et sociale..n’est pas à l’ordre du jour…du clan presidentiel….c’est une tres grave erreur strategique et perilleuse….pour l’etat et la nation….

        MELLO
        16 août 2017 - 14 h 44 min

        Conséquences d’un laisser aller total, d’une démobilisation totale d’un peuple désabusé et désorienté. En somme, il va de soi que la mainmise du régime sur les institutions n’est pas de nature à libérer les énergies saines de la nation. Or, pour ériger des institutions justes, il faudrait que le peuple apporte sa caution. Pour donner une telle apparence, le chef de l’État aurait dû opter pour la voie référendaire populaire.

    IamFreezingHere
    15 août 2017 - 16 h 35 min

    Tebboune a trahi la confiance du Président et il a payé cash sa trahison.
    AA vous avez fait le mauvais choix, le canasson sur lequel vous avez misé a perdu!

    Zoro
    15 août 2017 - 14 h 17 min

    La fin de Teboune n est peut etre pas une defaite de l etat mais surement une KO pour le l ENA suite a un uppercut de l ENB (Ecole Nationale de Beznassa).Esperons que le 2eme round verra l ENA prendre le dessus .mais entre nous je pense que le match est vendu d avance pour le bien du SYSTÈME. SIGNE ZORO. ..Z…

      AIT Chaalal
      15 août 2017 - 18 h 13 min

      Le pouvoir politique Algérien se recycle sur lui même pourvu qu’il ne lâche pas prise sur le grenier à blé ou la poule d’or ( le pays) ..c’est de recyclage politique pour gagner du temps ni plus ,ni moins ..Le problème ce n’est pas Tebboune, ni Ouyahia, ni Pierre paul-Jacques..le problème c’est le président âgé affaibli par la maladie ) et son entourage proche qui sont associés avec Les nouveaux riches malfrats qui n’ont jamais été si nombreux. Comme si l’Algérie découvrait sur le tard les charmes de l’ascenseur social et les vertus vivifiantes du sang neuf dans les grandes fortunes

    anonyme
    15 août 2017 - 14 h 12 min

    Les institutions algériennes sont, malheureusement, devenues, la risée du monde entier
    Ce n’est pas sérieux, ça va écorner, encore plus, la réputation de l’état algérien, déjà, fortement, entamée
    Par les affairistes, futurs ambitieux politiciens, dans les sphères politico-économiques de l’état algérien
    Une personne « conseillère » agissante, secrètement, derrière les rideaux de l’opacité, de l’illégalité, et de l’illégitimité
    Un patron,protégé, et poussé, et une minorité affairiste, protégée, corrompue, parasitaire, illégale, et illégitime
    Arrivent à déstabiliser, à eux seuls
    Les institutions, et l’économie du pays, avec une facilité déconcertante, et un sang froid
    Sans aucune opposition
    Ne serait ce que démocratique, pacifique, et symbolique
    Où est le role de notre moderne, professionnelle, et puissante Armée Nationale Populaire, l’A.N.P
    Protectrice de l’Algérie, de ses institutions ( fortement déstabilisées, et entamées),
    De son économie (en faillite, des infrastructures, de l’import-import, et des faux constructeurs de voitures,…)
    Dans cette instabilité de l’Algérie, et de ses institutions, aux yeux des étrangers

      bird
      15 août 2017 - 18 h 02 min

      La place de l’armée dans toutes les démocraties du monde ,depuis la Grèce et la Rome antique c’est dans les casernes et pas ailleurs .

    elhadj
    15 août 2017 - 14 h 10 min

    bravo pour la victoire du clan de l argent ,

    [email protected]
    15 août 2017 - 13 h 56 min

    dommage…. les mafieux ont repris la main sur la partie de « poker menteurs »,un Algérien (enne) averti(e) en vaut deux.Manifestement nous avons un problème de légitimité avec nos dirigeants et cet énième rebondissement ,n’ est pas fait pour baisse la tension qui monte dangereusement.si le politique bienveillant ne pousse pas à l’ application de l’ article 102 de la constitution, alors est ce que l’ANP sera notre rempart pour tordre le cou à ces malfaiteurs ou sommes nous condamner à subir passivement pendant que d’ autres s’en réjouissent , je vous le demande?????

    Djamel BELAID
    15 août 2017 - 13 h 54 min

    Quelle tristesse de voir un premier ministre aux orientations patriotiques limogé. En tout cas, ceux qui détiennent les rênes du pouvoir en Algérie doivent savoir l’espoir qu’à fait naître Mr Tebboune dans la population. C’est là un désaveu de la direction politique du pays concernant la liberté donné aux prédateurs de l’économie nationale. C’est un signe de rejet de la politique actuelle. C’est un véritable coup de semonce qu’a adressé la population. Or, dans les épreuves à venir, suite à la baisse du baril de pétrole, rien ne sera possible sans une adhésion de la population. Gare au syndrome vénézuelien… Djamel BELAID.

    Aidouni
    15 août 2017 - 13 h 46 min

    Soyons sérieux! De quel Etat parlez-vous? Avec ce qui se passe depuis 3 mois, peut-on parler encore d’État? On nomme des ministres et on les dégomme en 2 jours. On nomme un Premier Ministre avec une feuille de route et on le dégomme en 2 mois! Jamais dans l’histoire de l’humanité moderne, vous ne trouverez une gabegie pareille!

    On croyait que nous avons atteint le fond. Non on creuse encore.

    Monsieur TEBBOUNE, le peuple algérien est fier de vous!

    Les vrais ennemis de l’Algérie sont à l’intérieur et non à l’extérieur.

    Jean_Boucane
    15 août 2017 - 13 h 44 min

    Le seul point positif que je trouve a Ouhyaya c’est qu’il deteste les mokokos et c’est deja un bon point! hormis ce point, je ne pense pas qu’il puisse redresser le bateau Algerie!

    Pays ou Bois de Boulogne
    15 août 2017 - 13 h 43 min

    Chers amis journalistes d’Algérie, ce n’est la peine de revenir sur ce sujet, on a tout compris et les citoyens algériens n’ont pas besoin qu’on s’étale plus sur cette information !

    Remarque 1/ : si, on peut revenir sur le sujet un petit peu quand même pour dire un mot de plus. Sans se tromper, le nouveau « chikkour » du pays est bien Said, le frère du Président Bouteflika. Voilà un gus qu’on a présenté comme un gentil professeur d’université tranquille, timide, inoffensif, désintéressé alors qu’il a le gène politique malsain de son frère !
    Il n’est pas sûr qu’il se présentera aux prochaines élections (peut-être anticipée, ce n’est pas impossible) mais c’est clair et net qu’il est à la manœuvre !

    Remarque 2/- : moi ce qui me dégoûte le plus, ce n’est même cette façon de jeter aux orties un Premier Ministre (ou un ministre) de la république algérienne, mais le fait que la hyène de Ouyahia revienne au commande …. et au grand jour !

    Reamrque 3/- est-e pour cela que la chancelerie française a recommandé , il y a un moment, à leur citoyens d’eviter l’Algérie, parce qu’elle a eu l’info avant les algériens ??

    mourad
    15 août 2017 - 13 h 41 min

    Nous n avons plus de doute ,ni de questionnement sur qui nous dirige maintenant,tout est clair et net.
    Maintenant que Said Bouteflika dirige le pays,pourquoi organiser des elections présidentielles en 2019,ce ne sera qu une perte d argent et de temps une fois de plus…

      elhadj
      15 août 2017 - 14 h 06 min

      c est triste pour le pays et un mépris total affiche envers les citoyens qui avaient place beaucoup d espoir pour que M TEBBOUNE procède a l assainissement de la gestion des ressources de la nation et l élimination de l oligarchie mafieuse des sphères décisionnelles de l Etat. l interet personnel l a remporte sur l interet général subissons et taisons nous faute d une société civile organisée et de partis politiques structures et représentatifs

    Jean_Boucane
    15 août 2017 - 13 h 37 min

    Ouyahia on sait tous ce qu’il ne sait pas faire… par contre, personne peut me dire ce qu’il s’est faire LOL… Bizzarement, Ouhyaya revient en meme temps que l’ambassadeur francais Driencourt, est ce une coincidence???

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