Le chanteur Idir entamera sa grande tournée nationale le 19 janvier

concert Idir
Le chanteur Idir sur scène. New Press

Le célèbre chanteur kabyle Idir ne tardera pas à revenir en Algérie pour une série de concerts dans plusieurs villes du pays, sous l’égide de l’Office national des droits d’auteurs (ONDA). Visiblement stimulé par la réussite de ses «retrouvailles» avec le public algérien jeudi et vendredi derniers à la Coupole Mohamed-Boudiaf, au complexe olympique du 5-Juillet à Alger, ce grand artiste, qui a fait connaître à travers le monde le chant et la culture berbères, va entamer sa tournée nationale le 19 janvier courant.

Selon une source proche du chanteur sollicitée par Algeriepatriotique, Idir se produira dans neuf villes du pays. Il s’agit de Constantine, Batna, Bouira, Oran, Tlemcen, Mostaganem, Tamanrasset, Ghardaïa et Tizi Ouzou. Les organisateurs n’ont pas encore choisi la ville par laquelle il va entamer cette tournée mais savent déjà dans quelle ville elle sera achevée. En effet, Idir terminera sa tournée dans la ville de Tizi Ouzou.

La durée de cette tournée à travers le pays n’est pas encore déterminée car elle se fera en parallèle avec sa tournée internationale qu’il entamera le 13 janvier à Bruxelles et qu’il terminera le 22 juin à Moissac, en France. Après une longue absence de trente-huit ans, Idir a donc retrouvé la scène algérienne, avec deux concerts à la Coupole à guichets fermés. Deux concerts qui ont été un franc succès et qui ont démontré le degré de notoriété de ce chanteur, qui a toujours milité par la chanson pour les libertés, pour l’émancipation de la femme mais aussi et, surtout, pour tamazight.

Par ses anciens tubes qui émanent du fond des âges, Idir a ébloui son public. Sa chanson A Vava Inuba a fait le tour du monde, traduite et chantée en une vingtaine de langues. Idir, de son vrai nom Hamid Cheriet, né en 1949 à Aït Lahcène, à 35 km de la ville de Tizi Ouzou, a fait une dizaine d’albums qui ont toujours connu un grand succès. Le dernier en date est sorti en 2015.

Intitulé Ici et ailleurs, cet album constitue un hommage du chanteur lui-même à son enfance. «Avec le temps vient ce moment important où l’on sent confusément qu’il faut faire le chemin à l’envers pour se sentir totalement rassemblé, unifié, pacifié. Les chansons populaires sont ainsi toutes les routes qui le ramènent à son berceau de paix et d’identité», lit-on dans la présentation de son nouvel album par lequel Idir opère un pèlerinage musical en donnant «une leçon et un bel exemple de ce que peut être l’ouverture dans un monde où tout semble être déterminé par le désir du repli».

H. A.

Comment (36)

    Kahina-Dz
    8 janvier 2018 - 17 h 55 min

    Écoutez, il faut gardez une certaine logique.

    Je crois aussi, qu’il vaut mieux que IDIR utilise la Derja Algérienne que le Français.

    Anti Khafafich ⴰⵎⴳⵉⵍⵍ ⵜⵉⵢⵉⵍⵍⵉ
    7 janvier 2018 - 21 h 00 min

    s’il veut être aimé partout comme khaled il faut qu’il parle en darja à ses fans dans les régions « darjaphones ». pourquoi en français? j’espère qu’il ne pense pas que la darja c’est de l’arabe et de ce fait il la boycotte!

      RAÏ ESSOUAB
      7 janvier 2018 - 23 h 24 min

      Continue à rêver ya snoussi,tu verras Idir parler en darija dans tes songes!!!
      Signé ZORO. …Z…

        Anti Khafafich ⴰⵎⴳⵉⵍⵍ ⵜⵉⵢⵉⵍⵍⵉ
        8 janvier 2018 - 0 h 33 min

        ya weddi ana algérien ya sahbi. mais je pense que rêver c’est mieux que ne rien faire du tout. rani msellem 3lik

        karimdz
        9 janvier 2018 - 21 h 46 min

        Pourquoi alors revendiquer le tamazigh et s exprimer en francais, langue de l ancien occupant, au lieu d utiliser la darija ?

      Anonyme
      8 janvier 2018 - 0 h 51 min

      Khaled ??
      Khaled est devenu l’ombre de lui même.
      Il est insulté même par ses marocains

        Anti Khafafich ⴰⵎⴳⵉⵍⵍ ⵜⵉⵢⵉⵍⵍⵉ
        8 janvier 2018 - 2 h 20 min

        tout le monde sait maintenant que le Raï est Algérien en grande partie à cause de khaled. quant aux mokokos, je n’en ai que faire, alors bouffe les tes mokokos falsificateurs

    karimdz
    7 janvier 2018 - 17 h 49 min

    Le chanteur sioniste patrick bruel devait l accompagner Idir, mais fort heureusement, les autorités du pays ont été fermes, pas de sionistes chez nous.

    RAÏ MODAD
    7 janvier 2018 - 17 h 42 min

    Le public a bien compris en francais l eloge faite àu dialecte et la culture  » kabyle par une pensée couvée sous un chapeau melon qui prédit un avenir radieux au nouveau monde amazigh.
    SIGNÉ ZORO. ..Z…

    DYHIA
    7 janvier 2018 - 16 h 23 min

    Ce que les arabophones Algérien oublient:
    Les Algériens avec toute leur diversité ont toujours fêté YENNAYER chez eux. On l’appelle en arabe Algérien  » BAB EL3AM ( début de l’année).
    Qui n’a jamais fêté BAB EL-3AM chez lui ??

    J’ai suivi le GALA de IDIR à la coupole, j’ai été impressionnée par les présents. En BREF : J’ai retrouvé l’esprit Algérien avant la venue du Terroriste Abassi El-Madani. C’était ça l’Algérie !!

    De ma part aussi: Mes bijoux Kabyles + Ma robe Kabyle pour YENNAYAR !!

      karimdz
      7 janvier 2018 - 17 h 43 min

      Je suis algérien arabe, et yannayer ne me dérange pas, mais je suis pas certain que c est fêté partout en Algérie.

      Il y aurait également un problème de date, puisque la vraie date serait le 14 janvier,

        RAÏ MODAD
        7 janvier 2018 - 20 h 47 min

        Je suis un algerien ARABE qui a fêté ennayer depuis son enfance sans avoir à l arimer à la queue d un éléphant montė paraît il par un pharaon parti de quelques part en Algérie pour aller troquer les plaines verdoyantes de notre pays contre des blocs de pierres pour construire sa pyramide.
        Signé ZORO. …Z….

          karimdz
          8 janvier 2018 - 19 h 04 min

          De quelle ville es tu ?

    Sourire kabyle
    7 janvier 2018 - 13 h 27 min

    @Anonyme
    7 janvier 2018 – 9 h 33 min

    Je comprend ta réaction, sur sa déclaration avec deux poids, deux mesures au sujet des libertés démocratiques dans les pays nord-africains..
    Mais malgré tout Idir pour moi reste un chanteur qui a marqué fortement, mon enfance, mon adolescence et jusqu’a maintenaient à l’âge adulte. À la maison, ma mère, mes tantes fredonnaient ses chansons, donc c’est un grand pilier de la chanson kabyle. Il mérite notre admiration et notre respect malgré tout. Une chose à préciser, malgré ces 40 ans d’exil en France, il n’a jamais demandé la nationalité française, contrairement à d’autres..et il le dit fièrement à chaque fois exhibant son passeport algérien et sa carte de séjours

      LaJoconde
      10 janvier 2018 - 2 h 53 min

      Le sourire n’est rien sans la boulette de chemm coincée sous la lèvre. Dans ton cas où Dr ytoibr la boulette?

    Anonyme
    7 janvier 2018 - 12 h 36 min

    HASSINA HAMMACHE à @ AL -HANIF Riche analyse ; Edward Said les qualifiera «de menottes de l’esprit» et Kateb Yacine « Ces fusées qui ne décollent jamais ! »
    Je vous dédie le poème que j’avais écrit en hommage à Kateb Yacine
    ITHRI :NADJMA
    Sammadhiyi ithri
    Amkèn iythafkidh dhigani
    Anda thalhidh andna thadidh asthighriw thaglidh
    Thouguidh oudhmiw adhyètswafèr
    Thouguidh thamziw atsatswaadhèm
    Thouguidh thilaliw atsatswaqèn
    Thanidh iwoumi thilisaw dhamna
    Thanidh iwoumi dhaglaswaq tsamsawamèn falli tsdoudjar
    Thanidh iwoumi thoudhèrthiw dhahoun yes thoughalasèn adhlaqmar
    Thanidh nèk dhamdèn igkesbèn achbaha
    Achbahaw dhagawel itharwa marathili athhous
    Achbahaw dhithmoughliw arthagmats marathili athkhous
    Achbahaw arwamdakoul marahdhough afous
    Achbahaw dhagamazroug tsafath ournatsnous
    Anda thalhidh andna thadidh asthighriw thaglidh
    Dhimanik inèk thahdhidh
    Iwakèn adhadragh tsanaslith
    Assa adhnèk ithadjidh.

    NEDJMA
    Tu m’as appelée Nedjma
    Tu m’as réservé le ciel
    Où que tu ailles où que tus sois
    Tu fis entendre ma plainte ( Appel)
    Et tu refusas que mon visage soit voilée
    Et tu refusas que ma jeunesse soit fauchée
    Et tu refusas que ma liberté soit enchainée
    Tu interrogeas :
    Pourquoi ma frontière fut le seuil ?
    Pourquoi ma valeur fut mise aux enchères
    Dans les marchés entre les vendeurs
    Pourquoi ma vie représenta pour eux
    distraction et jeux de hasard ?
    Tu affirmas que suis un être
    Avec une grande beauté
    Ma beauté est dans mes mots
    Pour mes enfants dans la douleur
    Ma beauté est dans mon regard
    Vers mes frères dans le besoin
    Ma beauté est dans ma main
    Tendue à mon compagnon.
    Ma beauté est dans L’HISTOIRE
    Telle une clarté qui brille éternellement
    Où que tu ailles où que tu sois
    Tu fus entendre mon appel
    Tu te consacras à ma cause
    Pour que je vive digne
    Aujourd’hui tu me quittes

    az
    7 janvier 2018 - 9 h 35 min

    ceci est mon premier commentaire sur Algeriepatriotique que je lis depuis longtemps.avec tous le respect que je doit au chanteur Idir,sont retour en Algérie est vraiment trop tard.40 ans c’est long pour un artiste qui aime son pays et sa région.je me souviens d’avoir lu certaines de ses interview ,ils n’envisageait pas de chanter en Algérie parce que les libertés démocratiques n’existaient pas.au même moment il sillonnait les villes de Tunisie de Ben A.li et les autres villes du Maroc.je trouvais l’argument absurde qui cache d’autre argument. Matoub,Ait menguelet au d’autres ont toujours honoré leurs publics tout en restant fidèles au idéaux démocratiques.

      Anonyme
      7 janvier 2018 - 10 h 01 min

      Mais il a refusé le passeport que le mekhzen lui a proposé.

      MELLO
      7 janvier 2018 - 13 h 10 min

      IDIR a accepté de se produire en Tunisie ou au Maroc , c’est parce qu’il ne veut s’ingérer dans la politique de ces deux pays, lui qui est Algérien à 100%. Il avait refusé de se produire en Algérie, car de son temps , aucune avancé de la question Amazigh n’était enregistrée, il disait que si Tamazight n’est pas reconnue , on me dénie mon droit d’Algérien à part entière. Ses positions étaient très claires sur la question.

      Algérien
      7 janvier 2018 - 18 h 15 min

      Quand tu dis « idéaux démocratiques » je comprends « idéaux séparatisme et de haine de l’arabe ». Et la lecture des commentaires débridés …ne laisse aucun doute sur ce que va devenir notre beau pays aux mains des racistes régionalistes s’ils arrivaient à leurs fins.

      RAIS
      7 janvier 2018 - 19 h 09 min

      sur ce point je te rejoint ses fausses revendications ont fait du buzz comme le mehenni, idir n’a jamais était ma tasse de thé un opportuniste qui cultive son culte de personnalité, je lui dirait reste chez tes maitres occidentaux l’Algérie on l’aime ou on la quitte.Je préfère le dictat Algérien que le dictat occidental oppresseur par le moral ou chaque occidental est esclave de ses maitres banquiers, et lobbyistes.

      bougamouss
      8 janvier 2018 - 9 h 26 min

      Il n’a pas besoin de la nationalité Française parce qu’il est anti Arabe et anti-Algérien, pro Bruel,Enrico, etc…. Et ça, c’est largement suffisant pour être aimé par les Français.
      D’autre part, lors de son concert, je n’ai rien vu d’optimiste concernant les Arabes Algériens ou se considérant comme tels.

    Anonyme
    7 janvier 2018 - 9 h 33 min

    ceci est mon premier commentaire sur Algeriepatriotique que je lis depuis longtemps.avec tous le respect que je doit au chanteur Idir,sont retour en Algérie est vraiment trop tard.40 ans c’est long pour un artiste qui aime son pays et sa région.je me souviens d’avoir lu certaines de ses interview ,ils n’envisageait pas de chanter en Algérie parce que les libertés démocratiques n’existaient pas.au même moment il sillonnait les villes de Tunisie de Ben A.li et les autres villes du Maroc.je trouvais l’argument absurde qui cache d’autre argument. Matoub,Ait menguelet au d’autres ont toujours honoré leurs publics tout en restant fidèles au idéaux démocratiques.

    Anonyme
    7 janvier 2018 - 7 h 21 min

    Asseguas Ameguaz From CANADA !!!

    J’ai mes bijoux Kabyles et ma robe Kabyle pour fêter YENNAYER AU CANADA .
    UN GRAND HOMMAGE À NOS MÈRES ET NOS GRANDS MÈRES QUI ONT SU NOUS TRANSMETTRE LE PATRIMOINE AMAZIGH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Sans la femme Kabyle, la culture Amazigh serait dans les oubliettes.

      WizzaRosa
      7 janvier 2018 - 13 h 22 min

      Je me permets de partager cet hommage que vous rendez à nos mères et aïeules en évoquant un souvenir douloureux de Yé (maman) qui regardait la télé,sur une chêne ‘nationale et unique’ qui refausait de communiquer dans notre langue amazigh. Quand moi et Vava (papa) oublions de lui interpréter ce que nous entendions, elle introduisait d’une voix douce un « achou d’yekkar? » (Qu’est-ce qu’il dit?). Yemma même ayant quitter depuis bien longtemps son village natale et se trouvant quasiment dans un environnement stimulant l’apprentissage du dialecte arabe, a choisi de continuer à communiquer en kabyle. Elle a résisté, pacifiquement résisté et aujourd’hui grâce au beau travail qu’elle a fait, elle et bien d’autres comme elle, d’une façon ou d’une autre, elle regarde sa chaîne nationale et bien d’autres en kabyle sans avoir besoin de demander de l’aide. Merci à mon Ghandi de maman et à à toutes les Ghandi d’Algérie qui ont su préserver notre culture avec fierté, patience et amour.

        Anonyme
        7 janvier 2018 - 16 h 48 min

        MERCI!!
        JE VEUX QUE NOS GRANDS MÈRES NE SOIENT PAS OUBLIÉS.
        Elles ont tellement donné au fil de l’histoire, pour que nos villages kabyles restent vivants sur ces majestueuses Montagnes Kabyles.

    Anonyme
    7 janvier 2018 - 6 h 58 min

    Assegas amégas de Mghagha

    Kahina
    7 janvier 2018 - 1 h 16 min

    MERCI IDIR !!
    Tu resteras toujours le grand IDIR !!!!

    Zoro
    6 janvier 2018 - 19 h 21 min

    A la difference d un enturbanné,IDIR, L enchapeauté looks like an Amazigh jouissant de sa totale liberté.
    SigneZORO. …Z…..

    MELLO
    6 janvier 2018 - 19 h 11 min

    Il avait choisi de partir , il y a 40 ans , mais il a gardé son ALGERIE dans son cœur. Les montagnes de la Kabylie ne l’ont jamais quitté , même à travers ses concerts en France, au Canada et aux Etats Unis, sans oublier la Lybie, la Tunisie où les citoyens de tous ces pays se demandaient où est cette Kabylie qui le suit partout, cette Kabylie qui a enfanté cet artiste hors du commun. Idir avait  » modernisé » la chanson BERBERE, puisque ni les Chleuhs, ni les Chaouis, ni les Chénouis ou encore les M’zab n’ont échappé dans ses rythmiques. Des artistes, d’abords Algériens ( kHALED et MAMMI, sans parler de MATOUB et de AIT MENGUELLET) , Français ( Manu Chao, Dan ar Vraz, Maxime le Frorestier,le groupe Zebda, Titi Robin et tant d’autres), des artistes Ecossais, Irlandais, Africains ; tous ces artistes ont eu l’honneur de s’imprégner de la musique bèrbere d’Algérie. Idir a rassemblé des milliers de spectateurs d’origines diverses sous une même mélodie : la mélodie de la pensée . Pensées des mères, des épouses, des sœurs et de tant de femmes qui continuent de souffrir de l’isolement. Rare sont les artistes qui s’affichent avec leur fille , elle était sublime. Sa déclaration d’attribuer les recettes de ses galas en Algérie à des associations qui sont dans le besoin me va droit au cœur. LONGUE VIE HAMID CHERIET dit IDIR.

    Yeoman
    6 janvier 2018 - 18 h 29 min

    De tout cœur je lui souhaite tout le succès qu’il mérite. Il est de ceux, nombreux, sans qui l’Algérie de demain, authentique et moderne, plurielle et unie, ne pourra pas se construire.

    karimdz
    6 janvier 2018 - 18 h 14 min

    J aime bien les chansons d Idir, par contre je n aime pas trop certaines de ses frequentations, en espérant, qu’à l instar de l Etat algérien, il change aussi…

    Anonyme
    6 janvier 2018 - 18 h 09 min

    Hassina HAMMACHE
    Hier c’était une belle soirée qu’on a passé avec ce grand chanteur, et j’ai chanté avec lui tout son répertoire. Mes amis m’ont posé la question comment se fait-il j’ai appris toutes ses chansons ? J’ai raconté mon histoire étant jeune et j’ai toujours vécu à Alger on avait la télé, la radio, le tourne disque le magnéto et ma grand vivait en Kabylie, elle n’avait même pas d’électricité, durant l’année scolaire j’apprenais toutes les chansons nouvelles de tous les chanteurs kabyles Cherif Kheddam, Nouara, Idir, Ait menguellet, Mouloud Habib, Ahcène Abbassi, Annissa, Hanifa …..Et en été je passais des soirées avec ma grand et je lui chantais tous les nouveaux répertoires de nos chanteurs, je voulais qu’elle soit à la page j’actualisais ses connaissances en matière de chanson kabyle. Leurs chansons étaient de grands livres de philosophies.
    Et ma chanson préférée d’Idir « TIWIZI » « Le Jour Du Don » Tiwizi l’une des anciens traditions chez nous, et Idir nous la décrit à la manière de la faire vivre « IDIR » je l’ai chanté hier et je compte un jour la dessiner, elle va comporter plusieurs tableaux,  » la cueillette des olives, la moisson, le retour des champs et la fêtes de la récolte et de la moisson « 

      Anonyme
      7 janvier 2018 - 1 h 14 min

      Je passais aussi mes vacances avec mes grands parents sur les montagnes de la petite Kabylie, Il n’y avait pas de l’eau dans le robinet ni de l’électricité d’ailleurs. On utilisait les Jarres en Argile pour boire de l’eau Fraiche. On buvait de l’eau de source pure !!
      YENNAYER EST OFFICIEL, UNE PENSÉE À MES GRANDS PARENTS qui m’ont transmis notre culture. Mes grands parents ne comprenaient aucun mot en arabe, mais ils priaient à leur façon.
      En tout cas, je suis très chanceuse d’avoir connu cette KABYLIE AUTHENTIQUE!!!

    Anonyme
    6 janvier 2018 - 17 h 30 min

    ASSAGUES AMEGAS DE BENI SNOUS IMAZIGHENE

      Mhand
      6 janvier 2018 - 20 h 07 min

      Asseguas Ameguaz des Chenoui de Tipasa.

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