Abdelmadjid Sidi Saïd : «L’UGTA mène une politique souple à l’égard de ses partenaires»

janvier 14, 2018 - 9:36 Rédaction 13 Commentaires

sidi saïd de l'ugta : pas de développement socioéconomique sans sécurité et paix sociale

Abdelmadjid Sidi Saïd, SG de l'UGTA. New Press

«Nous évitons le discours virulent et le choc avec le patronat et nous optons pour l’encouragement du dialogue que l’on considère comme le moyen idéal pour obtenir des résultats palpables», a indiqué Sidi Saïd lors de la cérémonie d’ouverture des travaux du 7e congrès de wilaya de l’UGTA dans un hôtel de la ville.

L’UGTA est aujourd’hui «une organisation respectée» grâce à cette politique adoptée également avec le gouvernement, a-t-il ajouté, relevant que cette politique, qui repose sur «le dialogue calme et rassembleur», a permis d’obtenir des acquis pour les travailleurs algériens, d’atténuer leurs souffrances et de préserver la stabilité du pays.

Relevant l’encouragement de l’UGTA de la culture du dialogue avec tous les partenaires économiques, Sidi Saïd a affirmé que l’UGTA soutient les décisions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui tendent vers la préservation des acquis sociaux des travailleurs.

Affirmant que l’UGTA fera obstacle à tous ceux qui veulent toucher à la stabilité de l’Algérie et œuvrera à protéger cette grande maison qu’est l’Algérie, le SG de l’UGTA a annoncé que les festivités nationales officielles commémoratives du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures coïncidant avec le 24 février auront lieu à Oran et auront pour thème la femme syndicaliste militante.

R. N.

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Comment (13)

hakim

15 janvier 2018 - 19 h 53 min

exusez moi mais personellement je n’aime meme pas voir sa drole de geule

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elhadj

15 janvier 2018 - 18 h 53 min

ma parole c est une véritable girouette qui tourne au gré du vent , hier il était le co initiateur d un funeste plan de liquidation des entreprises publiques et puis changement de direction du vent c est un autre stratagème qu il tente de nous fourguer.c est une honte pour une structure censée défendre les droits des travailleurs dont le responsable principal s érige en auxiliaire et porte parole du patronat.sans renouvellement générationnel de ses cadres l UGTA demeurera ce qu elle est actuellement

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Felfel Har

15 janvier 2018 - 18 h 21 min

Mr. Sidi Saïd peut chanter sa chanson autant qu’il veut, la réalité est qu’il s’est affiché plus souvent avec Ali el Goudroun qu’avec les travailleurs qu’il prétend défendre. Il sait de quel côté son pain est beurré et son beurre il le fait avec les patrons. Sa versatilité est légendaire, son opportunisme est notoire. On a tort de vouloir implanter des éoliennes quand on a des ventilateurs comme lui qui brassent tellement de vent qu’on peut se passer de l’énergie fossile. Travailleurs d’Algérie, méfiez-vous de lui! Unissez-vous sans lui!

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Tinhinane

15 janvier 2018 - 16 h 03 min

Sidi Said,

Tu n’es pas souple, mais élastique !!
Tu es avec celui qui a le pouvoir, selon les circonstances et les conditions atmosphériques de la saison politque.
Tu es un caméléon . Tu joues avec toutes les cartes qui permettent que tu t’éternises sur le syndicat des trabendistes.
En bref. Tu es un objet ambulant sans personnalité ni position.

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Kahina-DZ

15 janvier 2018 - 15 h 29 min

Souple ?? tu es très souple ya Sidi-Said, tu sautes d’un camp à un autre selon tes intérêts et ceux de tes baznassa.
Il est temps que tu disparaisses du notre champ de vision, tu es tout sauf un défenseur des travailleurs.
Tu es un grand parasite souple qui mage à tout les râtelier…

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Fuji Yama

15 janvier 2018 - 12 h 50 min

» Nous évitons le discours virulent et le choc avec le patronat » = A.S.S.
se range du côté du patronat, au lieu
de défendre les droits des travailleurs.

« L’ UGTA soutient …….la préservation des acquis sociaux des travailleurs »
Quels acquis ?! Le salaire de misère
de toute une vie +une retraite de
misère.
Sidi Saïd a bel et bien enterré l’UGTA
de feu Abdelhak Benhamouda.

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lhadi

15 janvier 2018 - 11 h 36 min

La pensée sociale du système algérien, qui veut nous faire croire que le passage d’un type de société à un autre est entrain de se faire, a constamment confondu la question du changement, melant analyse synchronique et analyse diachronique, problèmes de changement et problèmes du fonctionnement.

Comment les héritiers de ce système d’un autre âge peuvent-ils intérioriser le changement, en faire une valeur, un mode de réalisation de soi et le produit d’une action volontaire si en même temps ils se noient dans la mer agitée de l’ambiguité et la confusion ?

Le changement viendra, sans aucun doute, des élites modernisatrices ; celles qui s’identifient au progrès, à la science, aux forces productives et à la rationalité.

Ces élites, qui veulent le meilleur pour l’Algérie, s’opposent, avec la santé mentale, aux groupes qui résistent à tout changement menaçant leurs équilibres, leurs traditions, leurs intérêts ou tout au moins, préfèrent la sécurité des positions établies fussent-elles reconnues injustes et peu efficaces.

Fraternellement lhadi
([email protected])

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Kamel Megari

15 janvier 2018 - 11 h 03 min

Je suis syndicaliste militant à la Cgt depuis plus de 18 ans dans le terrain pas dans les bureaux, d’origine Algérienne. j’ai un conseil à te donner Sidek Said: ce n’est pas du syndicalisme que tu fais, c’est du cirage de bottes et de l’opportunisme. Tirer profit de ta soit disant responsabilité, c’est ton métier. Les salariés ne sont pas du tout protégés en Algérie. on n’a pas la photo de Macron dans nos bureaux. Chacun est responsable de ses actes devant le Bon Dieu.

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lhadi

15 janvier 2018 - 14 h 55 min

Ce qui caractérise le syndicalisme d’encadrement, par rapport au syndicalisme libéral qui demeure indépendant de l’Etat et du patronat, ce sont les liens étroits avec le pouvoir politique… il bénéficie d’emblée d’un statut officiel et dispose même du monopole de l’organisation professionnelle afin de remplir les taches que lui fixe l’Etat. C’est un organe de participation à l’intérieur de l’appareil étatique, ce qui le caractérise en termes d’agent d’une politique économique centralisée.

L’U.G.T.A est un élément du système économique planifié, une organisation du pouvoir politique. Ce qui m’amène à dire que l’idéologie du système actuel n’a pas changé d’un iota.

Nombreuses les citoyennes et nombreux les citoyens qui comme moi, s’époumonent pour une insurrection des consciences afin que la vision de l’Algérie de demain, les besoins populaires puissent devenir l’objet de choix démocratiques définis au terme d’études, de débats, de consultations multiples, et fixés dans les grandes orientations qui apparaitront sans aucun doute à travers la gestion démocratique et décentralisée.

Fraternellement lhadi
([email protected])

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El fellag

15 janvier 2018 - 10 h 34 min

Mr sidhoum Saïd est un complice du des nouveaux patrons enrichit sûr le dos de la population Algériennes victimes des intégriste du FLN et du FIS,seul rescapés les émigrés

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Anonyme

15 janvier 2018 - 10 h 27 min

on a pas cessez de le dire, cet energumène est indigne de représenter les travailleurs algériens point barre

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rebel

15 janvier 2018 - 9 h 32 min

Sidi said a délaisser sa 1ere fonction qu’est de défendre les travailleurs algériens et de les protéger de la cherté de la vie,on ne la pas entendu une seule fois réclamer par un mot,un geste sur la précarité du travailleur algérien,il ne fait que pousser les autorités a s’allier avec le patronat et a pousser la privatisation des entreprises publique en offrant ceci sur un plateau a son ami haddad avec lequel il s’affiche toute honte bue ,mais ne vous en faite pas il y a l’éternel qui veille sur nous

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Zaatar

15 janvier 2018 - 7 h 53 min

Le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a affirmé dimanche à Bordj Bou Arréridj que la centrale syndicale mène une «politique souple à l’égard de ses partenaires. Mais qui sont ses partenaires? Le gouvernement et sa tête le chef du gouvernement (peu importe le nom). Le FCE et à sa tête le président du FCE (peu importe le nom), le président de la république (peu importe le nom). En fait de partenaires il s’agit plutôt de collègues… car ils travaillent tous les trois dans la même boite et sont tous les trois sur le même front.

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