Le DG de l’Alecso en visite officielle mardi à Alger

Al-Harbi Alecso
Saud Hilal Al-Harbi, directeur général de l'Alecso. D. R.

Le directeur général de l’Organisation arabe de l’éducation, de la culture et des sciences (Alecso), Saud Hilal Al-Harbi entame mardi une visite officielle de trois jours à Alger, lors de laquelle il aura des rencontres avec la ministre de l’Education nationale et plusieurs membres du gouvernement.

Al-Harbi aura, lors du premier jour de sa visite, une séance de travail avec la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, qui préside la Commission nationale de l’éducation, des sciences et de la culture.

L’ordre du jour de cette réunion comprend «le développement et le renforcement de la coopération entre l’Algérie et cette organisation arabe et la présentation d’exposés par les présidents des comités techniques de la Commission nationale, ainsi que des coordonnateurs nationaux des écoles affiliées, des sièges de l’Unesco et du représentant des clubs de l’Unesco», a précisé la même source.

Le directeur général de l’Alecso rencontrera lors de sa première visite en Algérie depuis son élection à la tête de l’organisation le ministre des Affaires étrangères, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels ainsi que le ministre de la Culture, a indiqué la même source.

R. N.

Comment (8)

    MELLO
    17 janvier 2018 - 13 h 46 min

    Paradoxalement, et connaissant les origines de ce DG , origine Koweitienne, les trois pays producteurs de pétrole les plus riches de la région Arabe— l’Arabie saoudite, le Koweït et le Qatar — font partie des lanternes rouges du classement TIMSS 2007, non seulement en termes moyens mais aussi en termes comparés. Les élèves des 14 pays participants ont été classés en quatre catégories, selon leur niveau de performance : seul un faible pourcentage d’élèves de trois pays — l’Égypte, la Jordanie et le Liban — ont un niveau « avancé ». Si certains pays arabes obtiennent parfois des performances « élevées », aucun des pays riches en pétrole comme l’Algérie, l’Arabie saoudite, le Koweït et le Qatar n’en fait partie. Ce n’est pas l’absence de cadre réglementaire mais le manque de clarté des définitions et l’insuffisance d’incitations à appliquer ces textes qui expliquent la médiocrité des performances, élèves et enseignants confondus. Comme le révèle , d’ailleurs,une enquête de la Banque mondiale sur les politiques régissant l’enseignement, les multiples politiques, réglementations ou décrets adoptés sont rarement appliqués de manière cohérente, dans la plupart des pays arabes. Un constat regrettable se fait jour depuis quelque temps selon lequel, trop souvent, scolarisation ne rime pas avec apprentissages dans ces pays arabes et que, très probablement, il convient d’incriminer la piètre qualité de l’éducation dispensée.
    Un indice évident de cette situation est ressorti de la première participation de pays arabes à l’enquête TIMSS sur les mathématiques et les sciences de 1999. Les résultats d’alors étaient décevants — et ils continuent de l’être :ainsi, 14 pays de la région ont participé à l’examen de 2007 de mathématiques destiné aux élèves de 8e année. La moyenne MENA s’établit à 389, contre une moyenne internationale de 451, une moyenne proportionnelle de 500 et un score maximal (pour un pays) de 598. Pourtant, un examen des dépenses publiques d’éducation en pourcentage du total des dépenses publiques révèle que les dépenses médianes de la région MENA (environ 20 %) sont les plus élevées du monde . Pour autant, la région n’en a pas pour son argent si l’on en juge par les résultats de ses élèves. Où se situe le problème ?

    Djaffar
    16 janvier 2018 - 23 h 37 min

    Je pense qu’il faudrait faire la part des choses car dès qu’un article contient le mot arabe il y a toute une faune qui débarque juste pour insulter les arabes, il y a des cites internet qui ont été crées pour ça mais pas sur AP.

      Anonyme
      17 janvier 2018 - 16 h 14 min

      Double morale, un Etat arabe impose’ a’ un peuple qui n’ en veut pas, cela pour vous est passable!
      On a pas la meme ethique,donc pas un meme peuple.

        zinette
        17 janvier 2018 - 20 h 01 min

        pourquoi vouloir imposé votre tamazighasisation à toutes le composantes du peuple algérien qui est hétérogène, divers et multiple .
        en cette chère Algérie tous les ADN du monde existent.
        couloir de dominations et de rebellions, on y trouve en plus des amazighs et des arabes d’autres minorités: les enfants des romains,sub-sahariens,vandales, carthaginois, turcs, français, espagnoles, maltais…ce sont ces minorités ,assemblées,qui sont en réalité majorité et qui, hommes de bonne volonté, font et chérissent l’algérie !!!

    anonyme
    16 janvier 2018 - 19 h 43 min

    L’Unesco et ses dérivés oeuvrent pour un Nouvel ordre mondial franc-maçon sans patrie ni foi, avec pour seule loi celle de l’Occident. Même les Arabes n’ont en pas encore compris les objectifs !

    Jean-Boucane
    16 janvier 2018 - 18 h 44 min

    Effectivement ils ont peur de l’amazighté de l’Algerie et vient s’assurrer qu’on reste leur vassaux mais l’Algerie diverse et fier de son histoire multimillenaire est en marche!!!

      Zoro
      17 janvier 2018 - 16 h 00 min

      Qui t as dit que tu etais vassal ????
      A moins que tu ne sois de ceux qui font du boucan
      pour dire » » » j ai changé de maitre «  » » »!!!!!!!!
      SIGNE.ZORO. …Z…..

    Anti Khafafich ⴰⵎⴳⵉⵍⵍ ⵜⵉⵢⵉⵍⵍⵉ
    16 janvier 2018 - 18 h 11 min

    mais de quelles sciences parle t on avec les enturbannés buveurs d’urine de chamelles .. la tamazighisation de l’Algérie est en marche, ..

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