Interview exclusive : Jean-Louis Levet, une voie innovante dans la coopération économique algéro-française (vidéo)

Jean-Louis Levet coopération économique Algérie France
Jean-Louis Levet, haut responsable à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne. Algeriepatriotique

Jean-Louis Levet, haut responsable à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne, a accordé une interview exclusive à Algeriepatriotique dans laquelle il revient sur la coopération économique entre l’Algérie et la France, détaillant la mission pour laquelle il a été choisi.

Pour Jean-Louis Levet – choisi par le président français Emmanuel Macron pour baliser le terrain pour une coopération effective – il faut dépasser les relations obsolètes de pays développé à pays sous-développé. «Nous avons besoin de travailler sur le long terme», ne cesse-t-il de répéter, convaincu que la coopération entre nos deux pays doit passer d’une relation fondée sur le commerce à une relation fondée sur la coopération et la coproduction. Interview.

 

Comment (3)

    St Arnaud, le retour
    9 mars 2018 - 10 h 30 min

    Ce monsieur tient peu ou prou le même discours que St Arnaud qui egorgeait, violait et enfumait notre peuple pour le civiliser, disait il…
    .
    Les Français veulent nous faire croire qu’ils veulent contribuer à notre développement alors que leur seul objectif est de nous vampirer en se gavant de l’argent de nos hydrocarbures jusqu’à leur assèchement total.
    .
    Il faut virer toutes les entreprises françaises d’Algérie, interdire aux entités publiques d’acheter français lorsque des alternatives existent.
    .
    Le salut de notre économie passera par des coopérations fructueuses avec la Chine, l’Allemagne, la Corée, la Grande Bretagne, la Scandinavie, etc…
    .
    ****** TSLF ******
    TOUT SAUF LA FRANCE

    coopération oblige
    8 mars 2018 - 21 h 20 min

    bref , il maitrise dans le détail son sujet , ce qui n’est pas le cas des autres …
    il a raison de parler des propriétés intellectuelles et du consommateur algerien qui est loin d’etre exigeant par méconnaisance de ses droits .

    Anonyme
    8 mars 2018 - 15 h 44 min

    La formation,la normalisation, et la métrologie sont évidemment les armes sur lesquelles compte la France pour évacuer la Chine de la première place en matière d’échanges économiques avec l’Algérie.
    Concernant le constat sur les IDE, je pense qu’il doit se référer aux chiffres fournis par les banques et parle de la contribution étrangère aux IDE, or les investissement en Algérie sont au minimum à 51 % sur fonds algériens. C’est à dire qu’il faut au minimum multiplier le chiffre pour l’Algérie par deux.
    Ceci dit la loi des 51/49 reste un frein assumé au IDE, car même multiplié par deux le chiffre reste faible rapporté aux possibilité de l’Algérie. Il faut peut être la limiter aux secteurs stratégiques comme cela a été préconisé.

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