Ali Benhadj affirme avoir été autorisé par l’Etat à prononcer des prêches

présidentielle Benhadj
Ali Benhadj, le retour ? New Press

Par R. Mahmoudi – L’ex-numéro deux du FIS dissous Ali Benhadj se réjouit de se voir, enfin, autorisé à accéder à la mosquée de Kouba pour prononcer son premier prêche depuis longtemps. Dans un message posté sur sa page Facebook (tribune qu’il n’abandonne pas pour autant), il explique que cette autorisation est le fruit d’une levée d’interdiction partielle décidée par les autorités. Mais il ne dit pas si cette mesure de levée d’interdiction se limitait au prêche du vendredi ou si elle lui permettra de participer à d’autres rassemblements.

On constate, à travers la bande vidéo diffusée sur la même page, que la foule présente à son discours était relativement plus nombreuse et plus agitée que lors des précédents regroupements.

Dans son prêche, où il s’autoproclame cheikh, défiant au passage les autorités religieuses du pays, l’ancien bras droit d’Abassi Madani se félicite de ce retour parmi les siens après une absence de deux ans, et renoue aussitôt avec ses attaques en règle contre l’Etat et tout ce qui le représente. Il commence par qualifier l’interdiction dont il a fait l’objet d’«agression» et d’«atteinte à des droits légitimes». Devant ses ouailles surexcités, il pousse l’outrecuidance jusqu’à dire que dans un Etat de droit, ceux qui l’avaient interdit d’activer librement «doivent être jugés». Il s’est également permis de se moquer de l’état de santé du président de la République, parlant, lui aussi, d’«un groupe qui l’a pris en otage et produit des communiqués en son nom».

Pourquoi cette mesure de levée d’interdiction partielle maintenant ? Prélude-t-elle à d’autres largesses en faveur des anciennes figures du FIS ? Peut-elle avoir des incidences politiques ? Il faut noter que ce retour tonitruant de Benhadj à ses prêches du vendredi à la mosquée de Kouba survient au lendemain d’une visite autorisée, il y a quelques jours à l’hôpital Mustapha, en compagnie de certaines figures connues du parti dissous, à Abdelkader Boukhamkam, convalescent.

R. M.

Comment (73)

    Lamari mehd
    3 juin 2018 - 23 h 04 min

    Si cette information s’avérée vrai,c’est équivalent a une provocation et a une insulte intolérable du pouvoir vis a vis du peuple Algérien,qui devra obligatoirement réagir,car là,c’est comme si le pouvoir disait au peuple Algérien,vous êtes de pauvres cons,des thahna,des cocus..vos vies ne valent rien et je fais de vous ce que je veux.L’essentiel c’est de défendre mes propres intérêts et ceux de mon Clan…et je ne rajoute rien a cela…c’est exactement le contenu de ce message…ceux qui ont autoriser la crapule sanguinaire de ali belhadj a remonter sur scène et ouvrir encore sa gueule en publique.. pissent sur les 200.000 morts..sur les jeunes djounouds égorgés,sur les bébés enfournés,sur les femmes éventrées…ils n’ont absolument rien a foutre de l’Algerie..car leurs familles et leurs biens sont en France…ils ne sont là ,que pour profiter des biens des Algeriens,et quant il n’y aura rien a gratter..ils retournent chez eux a Paris…les salauds

    Anonyme
    3 juin 2018 - 21 h 36 min

    Pourquoi autoriser ce sinistre Benhadj à prêcher maintenant, en ce moment précis, c’est à dire à une année avant les présidentielles, alors que le pays est pris à la gorge avec la question du 5eme mandat pour un président en incapacité diriger le pays.
    Il y’a donc un consensus entre ces intégristes et les barons du pouvoir sur le dos du peuple. Le plan marche à merveille.

    Le prêche de la Bêche !
    3 juin 2018 - 21 h 14 min

    Donnez lui une bonne bêche et un jardin, il guérira du prêche qui ne produit aucune vie. Bêche, ya sidi, ne bêle pas ! Bêcher vaut mieux que pécher rabâcher. « Un riche laboureur sentant…

    RAYES EL BAHRIYA
    3 juin 2018 - 18 h 00 min

    le loup dans la bergerie.
    il est venu le temps de faire peur au peuple.
    l’épouvantail est enfin mis en branle.
    l’échéance de 2019 arrive à grands pas.
    merci

    Anonyme
    3 juin 2018 - 17 h 42 min

    Ce dégénéré génétique , il faut l’euthanasier une fois pour toutes.

    salah
    3 juin 2018 - 17 h 19 min

    Vous avez remarquer quand le pouvoir est attaquer en ressort le monstre du placard
    Après moi le KO

    Anonyme
    3 juin 2018 - 14 h 35 min

    On ressort de tristes personnages qui ont traumatisé le peuple algerien pour lui rappelez ses pires moments de son histoire juste avt les élections présidentielles ; pt être qu il y a eu un deal entre eux vs savez il y en a bien eu pdt la décennie noire avec certains islamistes pr trver ds compromis et maintenant ils les réactive tt simplement pr dire au peuple vs voyez c est sois eux sois nous ,vs n avez pas d autres alternatives ; ben si ni vous ni eux car on est en plus en 90 mais bien en 2018 . Ce homme a dit que la seule manière de prendre le pouvoir en Algerie c est avec les armes et vs le laisser reprendre ses prêches ; en Algerie on a plus de pilote c est grave; le peuple doit sortir et demander des explications ; plus jamais ceci et je comprend pas puisque la période de la décennie est marqué en article de la nvelle constitution reformé pr ne jamais oublié ; alors pkoi l autorisé lui a reprendre ses prêches qui ont fais saigné l Algerie pdt 10 ans ; il trve encor le moyen de parler il a pas honte ainsi que ceux qu ils l ont mis en prison à l epoque qui sont tjrs au commande aussi ?.

    qalawaqala
    3 juin 2018 - 14 h 26 min

    Prêchez quoi?
    Çà c’était avant lorsque les gens étaient analphabètes, que l’information prenait du temps…mais de nos jours voyons!
    Si c’est pour écouter des sornettes, et des qala wa qala inventés de toutes pièces, ça prouve qu’il y a du chômage et encore des naïfs .
    Prêche moi plutôt comment ne pas polluer, créer un entreprise, étudier une langue étrangère, fabriquer un drone, découvrir l’Astronomie…choses que font tous les jeunes dans les autres pays.
    Il n’y aura PLUS de pays émergents, les derniers ont bien eu leur chance (conjoncture) et l’ont saisi au lieu de s’encombrer de religion. Vous croyez l’occident étourdi?

    Anonyme
    3 juin 2018 - 14 h 10 min

    La concorde civile se fait pousser une barbe et un turban terroriste

    alsissiy
    3 juin 2018 - 14 h 09 min

    Faites comme feu Boumedienne ou demandez des conseils au Maréchal sissy.
    Les fils qui font bouger les marionnettes, et qu’utilisent Faffa et Cie , ce sont les ONG et autres institutions racketteuses.
    Coupez ces fils et vous aurez les mains libres, Messieurs les responsables sans aucune initiative!
    Faites d’abord avancer le pays et après piochez dans la caisse…
    Maghreb uni, Afrique unie, paix retrouvée…non mais vous croyez un seul instant que l’U.E vous laissera faire? surtout avec son cheval de Troie marhnez.
    Le premier mot révélé au Prophète était bien : « iqra' » ! mais nos illettrés n’ont rien pigé ou alors ne lisent que ce qui est religieux.
    « Wa idha fareghta fa’nssab » : ça signifie bien que lorsque tu n’as plus aucune occupation (travail, création, études) médite sur Dieu.

    Anonyme
    3 juin 2018 - 13 h 19 min

    Il ya des barbus en haut. C’est la preuve tangible.

      Anonyme
      3 juin 2018 - 16 h 58 min

      Je dirai même plus : il y a des responsables en haut qui manipulent des barbus !
      C’est bien plus conforme à la réalité.
      Et que ce soient les uns ou les autres, ils doivent en assumer les conséquences.

    Ouelechaab
    3 juin 2018 - 13 h 16 min

    C’est de jouer avec le feu que veut allumer et qu’alume en fait depuis 1928 les « frères misulmans», créés par l’Angleterre pour maintenir sa domination coloniale sur les ressources de l’Égypte (production de coton et gestion du Canal de Suez, …), que de revenir en 2918 en Algérie à donner de telles ouvertures aux représentants de l’idéologie terroriste de l’islam politique quels que soient les noms que cette idéologie prend et multiplie pour brouiller les pistes.
    Par la faute du système politique d’alors (1989-1990), l’Algérie et les Algériens ont vécus l’enfer durant plus de dix ans (1990 – 2000), avec plus de 200 000 morts, souvent attrocement assassinés et plus de 22 milliards de Dollars de dégâts et pertes matérielles.
    On aurait espérer, en 2018, que l’État et ceux qui le dirigent, auront enfin compris qu’aucune politique, aucune stratégie, aucune instrumentation de l’islam politique à travers ses têtes les plus visibles, ne peut garantir la paix et la modernité dans ce pays sans séparer entre la sphère publique gérée par la Loi qui s’impose à tous, et ou chaque individu qu’elles que soient ses croyances, bénéficie de ses droits et doit respecter ses devoirs.
    On aurait espérer que ces responsables centraux donnant souvent l’impression de diriger à l’aide de pensées de haute politique et de mettre en place de grandes stratégies !!
    En fait, de coups de têtes en coups hasardeux, l’Algérie navigue à vue, au jour le jour. L’actualité le montre à chacun d’honnette et d’objectif chaque jour et dans tous les domaines. L’etat des certaines institutions névralgiques le montre également avec netteté. Ne peut nier ces réalités de déliquescence du système de santé, de l’Université, de l’industrie manufacturière, etc. que soit le flagorneur du pouvoir, intéressé par quelques miettes qu’on lui jettera, ou l’incompetant intéressé, qui ne sait pas de quoi il parle, l’essentiel pour lui est d’aller toujours dans le sens mensonger et manipulateur car travestissant la réalité, voulu par le pouvoir.
    Ainsi de cette mesure, d’accorder cette tribune sociale et politique qu’est le prêche dans une mosquée, à un tel individu, coresponsable de dizaines de milliers de morts, et même responsable en tant que pere dans la mort de son fils terroriste abattu il y a quelques temps par l’ANP dans les maquis de l’Est Algerois, qu’il n’a su ni éduquer, ni proteger.
    Redonner une telle opportunité à un.tel être, à une telle idéologie, à un moment où la crise structurelle d’approfondie, est-ce de la «haute stratégie politique», une sorte de «sondage strategico-politique» pour jauger ce que représentent les membres de cette idéologie islamo-terroriste dans l’opinion Algérienne, surtout à Alger, et surtout à Kouba, à ce moment précis, «au jour d’aujourd’hui», surtout que l’Algérie est à la veille d’echeances politiques majeurs comme les élections présidentielles de 2019 ???!!!!
    Si ce sont la les réflexions et la pensée de ceux qui ont accordé l’autorisation de prononcer ces discours prétendument religieux à cet individu que repercute l’article d’À.P., je crois profondément qu’il s’agit d’une grave faute politique, faute stratégique et faute dans l’exercice de la responsabilité nationale dans ce malheureux pays, le notre. Ceux qui ont pris cette décision, non seulement semble ignorer les dangers immenses de cette idéologie diabolique de l’islam politique, mais en plus, ce qui est impardonnable et du niveau d’un crime, c’est que ces responsables semblent ne pas connaître ce qui s’est passé durant la décennie rouge 1989 – 2000.
    Comment expliquer que les institutions de l’Algérie peuvent renfermer en 2018, des responsables qui ne connaissent pas ou qui nient la tragédie dont est responsable l’islam politique de 1989 à 2000 ?
    Ah, j’oublie, pardon, qu’il y a en fait une explication toute logique : «C’est que Monsieur, n’est pas responsable qui veut !»
    Mais seulement celui bien.recommande, celui de la même région par exemple Tlemcen, etc. etc.

    Pr Ouelechaab

    Anonyme
    3 juin 2018 - 13 h 12 min

    Qui a autorisé Ali Belhadj à prêcher dans les mosquées ?
    Il y a de toute évidence un jeu malsain qui semble sciemment mis en place dont l’objectif apparent vise à créer une grave situation de crise sécuritaire dans le pays. Une enquête doit immédiatement être diligentée dans ce sens. Il faut absolument identifier la structure administrative ainsi que le responsable-décideur qui aurait ainsi officiellement autorisé Ali Belhadj à tenir des prêches dans les mosquées. Cette enquête devra de plus déterminer les raisons et les motifs d’une telle autorisation ainsi que les visées qui se cachent derrière une telle décision.
    La sécurité du peuple et de l’État algérien ne sont pas assujettis au simple bon vouloir d’un quelconque politicien et/ou fonctionnaire, quelque soit son rang dans la hiérarchie et/ou son grade.
    Nous exigeons que cette inadmissible affaire soit au plus vite tirée au clair, et que la responsabilités des uns et des autres soient identifiées et déterminées. Des explications sur ce genre de grave et de dangereux dérapage de la part des responsables politiques et/ou de la sécurité du pays doivent être rendues public et présentées au peuple algérien. Des sanctions exemplaires doivent être ensuite appliquées à ceux qui ont ainsi permis de délivrer l’autorisation de prêche à celui qui a une importante part de responsabilité dans le massacre de dizaines de milliers de citoyens algériens innocents.
    Et que chacun prenne l’entièreté de ses responsabilités, devant le peuple et devant Allah.

      Lghoul
      3 juin 2018 - 14 h 01 min

      Il n’y a qu’un seul qui pourra autoriser cet assassin pour prêcher de nouveau sa haine et pour nous diviser encore plus et nous replonger 50 ans dans l’abîme. Un seul, et c’est le prince de Machiavel. Pour un 5ieme mandat ils sont prêts à sacrifier tout le peuple. Sinon qui prend toutes les décisions finales ?

    LOUCIF
    3 juin 2018 - 12 h 48 min

    Le pouvoir algérien continue de louer à « ray-ray » ! Il nous sort l’épouvantail du FIS et s’accoquine avec les autres partis islamistes, jugés plus dociles à manier ! Même le FFS semble acquis à la stratégie récente du pouvoir qui est celle de promettre son intégration, après l’élection du futur candidat du pouvoir au présidentielle, dans un gouvernement de transition , avec les islamistes. La machine est déjà en branle avec la promesse de la constitution d’un « gouvernement de transition » après l’élection présidentielle, mais sans changement de gouvernance ni de système politique ! Il n’y a qu’à entendre les récentes déclarations de certains petits partis islamistes, du FFS et du MSP pour s’en convaincre ! çà sera le « changement » … mais dans la continuité et avec les mêmes anciennes méthodes politiques !

    En fait le pouvoir est en train de posé ce qu’on appelle l’ I.L.S (Instrument Landing System ou Système d’atterrissage) pour être sûr d’atterrir sans encombre et en toute sécurité sur le « tarmac » de la future élection présidentielle , et ce, avec ou sans Bouteflika !

    Clair-Obscur
    3 juin 2018 - 12 h 43 min

    Je n’ai même pas pu l’article… Le cauchemar Islmiste continue, trop c’est trop… Bezef 3liya !

    Sabrina-DZ
    3 juin 2018 - 12 h 41 min

    Serions nous les héritiers de la secte wahhabo-Sallafiste.

    L »Arabie Saoudite ouvre ses portes pour se démarquer du wahabisme, l’Algérie couve le wahhabisme ?

    Depuis la venue de Ouyahia, les barbus se sentent réconfortés ???

      Anonyme
      3 juin 2018 - 16 h 48 min

      C’est plutôt depuis l’arrivé de Bouteflika, avec une «réconciliation nationale» plus en faveur de la décriminalisation des islamistes terroristes que de leur jugement pour les crimes qu’ils ont commis contre les populations civiles.

    MELLO
    3 juin 2018 - 12 h 37 min

    La classe, c’est de la classe ce Ali Belhadj. Il défit ce pouvoir moribond qu’il tient comme seul responsable de toute cette gabegie. Il est citoyen Algérien, il est libre de ses mouvements, il peut prêcher là où il veut, puisque l’islam est religion d’État. Lorsqu’il prêche, une foule immense l’écoute avec dévotion. Donc d’après certains tous ceux qui le suivent doivent être bannis , ou bien refouler d’Algérie vers d’autres cieux. Il faudrait comprendre ‘une bonne fois pour toute, ce pays est plongé directement dans le gouffre islamiste, mais certains tentent de s’en débattre afin de croire au contraire. Faites un pari, prenez ce Ali Belhadj et prenez n’importe quel homme politique , soit disant démocrate, vous vrrez qui aura le plus de public. Inutile de cacher le soleil avec un tamis, l’islamisme ,qu’on voulait combattre, est définitivement enraciné dans notre pays. Les pratiques au quotidien, le langage au quotidien ne font que conforter cette thèse. En Europe ,ainsi que dans tous les pays étrangers, l’Algérien détient cette carte indélébile d’islamiste.

      Farida
      3 juin 2018 - 13 h 18 min

      Qui est responsible de ce retour de quelqu’un responsable de 250.000 assassinats d’algeriens
      en Algerie ? Le prince et ses mafiosis.

        MELLO
        3 juin 2018 - 17 h 31 min

        A votre avis, qui responsable de l’atrocité, responsable de l’assassinat de 200 000 citoyens et citoyennes.de grandes valeurs ? L’Algérie à perdu de grandes figures dans cette tragédie. Des figures qui pouvaient changer le cours des choses en cette Algérie verrouillée depuis 1962.

    Vangelis
    3 juin 2018 - 12 h 35 min

    Si l’Algérie était un état de droit, dixit le Belhadj, il aurait été le premier à être jugé, emprisonné et non pas gracié en vertu le loi « réconciliation ». En fait de réconciliation, elle a eu lieu avec le pouvoir et non pas avec les algériens et encore moins avec les victimes qui sont encore dans la douleur.

    Le a méprisé le peuple une première fois en décidant d’imposer la charte de « paix et de réconciliation ». Il le méprise à nouveau en autorisant un criminel dont le sang de ses victimes n’a pas encore séché de ses mains, à prêcher ses venins, alors qu’un « imam » digne de ce nom est là pour prêcher la paix et la concorde en conformité avec la religion.

    Cette façon de faire ne peut pas ne pas être liée aux futures élections présidentielles. Le régime continue donc dans ses manœuvres, à offrir aux islamistes rentes de l’informel et liberté de terroriser les citoyens par leurs prêches enflammées afin de mettre les citoyens dans la peur, en contrepartie de la conservation du pouvoir.

    pomme
    3 juin 2018 - 12 h 35 min

    Comment un grand pays comme l’Algérie n’a t-il pas pu se débarrasser de ces sophistes criminels ?Par quel miracle des citoyens raisonnables ont -ils pu suivre cette tête de diable? Et, on veut quand lui même lui dresser un piédestal?

    Anonyme
    3 juin 2018 - 12 h 17 min

    Ils sont prêts à flamber le pays pour un 5eme mandat. L’ État de droit est absent,autrement tous ces criminels,
    voleurs, et mafieux croupiraient dans l’ombre. Vivement l’ANP pour un grand nettoyage.

    tikouk
    3 juin 2018 - 11 h 47 min

    Le régime arabislamique a toujours été de meche avec ses mercenaires islamiques. Il les sort quand son jeu est mis à nu.
    Boycotte du parloir et sa farce

    TIZIRI-DZ
    3 juin 2018 - 11 h 43 min

    LA PSYCHOSE des élections commence !!!! Une psychose télécommandée, c’est clair.
    Les vampires sont de retour

    fatigué
    3 juin 2018 - 11 h 40 min

    c’est toujours la mémé chose, des que les idées et les forces de gauche commencent à séduire les gens on sort l’épouvantail du placard. Les américains l’ont déjà fait pour contrer le communisme des soviets -le summum avait été atteint en Afghanistan- Nos apprentis sorciers amateurs d’ici l’ont expérimenté à la fin des années 80 et ils veulent rejouer le match encore une fois maintenant.

    Anonyme
    3 juin 2018 - 11 h 40 min

    Au secours les anciens assassins reprennent du poil de la bête.

    Kahina-DZ
    3 juin 2018 - 11 h 13 min

    Hypothèses:
    1.
    Benhadj va hallaliser le retour des pieds noirs. Un imam de service.
    Benhadj va essayer à travers ses prêches de faire accepter le retour des pieds noirs avec des fattawates sur mesure.

    2.
    ou:
    Chaque clan fait sortir sa carte : Un clan se dirige vers la normalisation avec les pieds noirs,
    l’autre clan se dirige vers la normalisation avec les terroristes sanguinaires.

    Et l’Algérie se dirige vers l’enfer !!

    Tinhinane-DZ
    3 juin 2018 - 11 h 05 min

    C’est la seule réponse qu’a trouvé L’ÉTAT Algérien pour répondre à la vidéo de Lila lefèvre.

    Renouer avec les terroristes qui ont tué le peuple Algérien et qui ont détruit L’Algérie.

    Un signe pour les pays terroristes, pays du GOLF ….

    Le pays chavire sérieusement, C’est grave !!!

    Algérienne-DZ
    3 juin 2018 - 10 h 53 min

    Quel mépris envers l’Algérie et son peuple.
    La douleur des familles des victimes de ce terroriste sanguinaire n’est pas encore guérie.

    Pourquoi vouloir ouvrir leur plaie de nouveau ?? Juste pour avoir un billet pour le 5 eme voyage.

    TARZAN
    3 juin 2018 - 10 h 48 min

    si mes souvenir son bons c’est lui qui incitait les abrutis comme lui à assassiner les policiers et militaires?

    DYHIA-DZ
    3 juin 2018 - 10 h 37 min

    Le retour des Bourourou pour justifier un 5eme Mandat.

    La politique de faire peur pour le prochain mandat.

    Voilà l’Algérie qui se nourrit dans la mangeoire du charlatanisme religieux.

    Kahina-DZ
    3 juin 2018 - 10 h 33 min

    C’est une insulte au 200 000 morts de la decennie noire.
    Ils veulent le retour des islamistes pour se maintenir au pouvoir.
    Belkhadem aussi est de retour…
    Comment GAID SALAH peut-il tolérer une insulte pareille au peuple et à l’armée Algérienne.

    Anonyme
    3 juin 2018 - 10 h 17 min

    Faîtes gaffe, bouloulou est relâché de sa cage, venez vite vous réfugier sous l’aile protectrice de la 5eme dimension. Vivement l’ANP !

    Rachid Djha
    3 juin 2018 - 10 h 07 min

    Encore ce guignol de tunisien ?

      Anonyme
      3 juin 2018 - 12 h 31 min

      Au delà de la réalité géographique, les algériens sont vraiment pris en étau entre les marocains et les tunisiens.
      Quand est-ce que ce pays finira t-il par redevenir la propriété du seul peuple algérien ?
      La patience a des limites.

    HOUMTY
    3 juin 2018 - 10 h 06 min

    SALAM L’KHAWA… ( ALLAH YARHÉM LE MILLION ET DEMI DE CHOUHADAS ET LES 250.000 FRÉRES ET SOEUR MORT LORS DE LA DECENNIE NOIR ) . Pour revenir a cette individu, pour moi ces mains sont pleinent de sang ainsi que abassi madani, ils osent ouvrir leurs bouches . Qu’ALLAH vous punisse, vous étes des traîtres et des assassins vous avez plongé l’ALGERIE dans l’obscurité pendant 10 ans. ALLEZ EN ENFER et QU’ALLAH PROTÉGE LA MÉRE PATRIE L’ALGERIE ET SON ARMÉE.

    Gatt M'digouti
    3 juin 2018 - 9 h 42 min

    Selon l’article 2 de la constitution : L’Islam est la religion de l’État.
    Selon la loi organique relative aux partis politiques; il est stipulé que le parti politique ne peut, en outre, fonder sa création ou son action sur une base religieuse.
    Ce qui semble logique. En effet; à quoi sert un parti islamique dans un état musulman?
    Reste la question a 200 Milliards de dollars :
    Si l’article 2 de la constitution est faux, autant alors modifier la loi organique aux partis politiques et permettre à toutes les religions du monde ainsi que les cultes de créer leur propre parti.
    Si l’article 2 de la constitution est maintenu, alors Messieurs les législateurs, courage, faites votre devoir en supprimant tous ces partis qui ne ramènent que haine crime et désolation. Demain, peut être, vos propres enfants en seront les victimes de votre lâcheté et de votre fuite en avant et l’avenir de l’Algérie en dépendra. Tout se repose entre vos mains.

    Gatt M'digouti
    3 juin 2018 - 9 h 12 min

    C’est simple à décoder : Ou vous vous taisez (dixit Madjer) ou bien on fait appel à Bourourou !!!!

    Mhand
    3 juin 2018 - 9 h 00 min

    Je me demande si ce Mauritanien est légalement dans notre pays. Au contraire, s’il ne l’est pas, il devrait être déporté le plus rapidement possible avec tous les 450000 marokis, y compris ceux dans notre système politique

      abdel
      3 juin 2018 - 10 h 04 min

      pour ça, il faut une volonté politique qui n’éxistera que si il ya un changement radical de régime,un agitateur qui menace la securité du pays, a vocation d’etre déchu de la nationalité algerienne et reconduit dans son pays d »origine

    Argentroi
    3 juin 2018 - 8 h 57 min

    Bouteflika vous dit : vous voulez votez pour quelqu’un d’autre que moi, eh bien voici un autre ! On veut agiter les épouvantails du FIS pour choisir Bouteflika. C’est une bonne tactique mais qui s’avérera dangereuse, et pour le pouvoir et pour les islamistes. C’est une aubaine pour le camp démocratique, être ou ne pas être !

    LOUCIF
    3 juin 2018 - 8 h 14 min

    C’est normal que Belhadj revienne ! Il y a des signes évidents que le retour des islamistes est voulu par le pouvoir qui est en train de concocter la transition politique de l’après présidentielle (avec ou sans Bouteflika) pour opérer ce qu’il sait très bien faire : le changement dans la continuité. Tout çà avec la connivence des islamistes et bien sûr des partis politiques satellites traditionnels du pouvoir, que je n’ai pas besoin de citer !

    Anonyme
    3 juin 2018 - 7 h 59 min

    @Awrassi
    Encore excellent commentaire.
    Qui ose encore écouté ce CRIMINEL de guerre …a-t-il encore une CRÉDIBILITÉ après la guerre terroriste sioniste par procuration et le massacre des algériens ?
    Ses mains étant couverte du sang des algériens..

    AÏT Chaalal
    3 juin 2018 - 7 h 58 min

    Comment une société qui a tant souffert de l’islamisme peut-elle en avoir intégré à nouveau ces anciens tortionnaires ? .La violence de la décennie noire une violence venue s’ajouter à celles de la colonisation et de la guerre de libération a provoqué un traumatisme dont tout le monde souffre aujourd’hui. La religion islamique agit comme un antalgique. Le problème, c’est que certains antalgiques créent une dépendance forte. C’est le cas de la religion. D’autant plus quand la vente de cette fichue drogue est favorisée par l’état elle même . Remarquez, la charte de 2005 occulte les traumatismes, et aussi les responsabilités. Dans le texte, le mot  » terrorisme  » a disparu, remplacé par l’expression  » la tragédie nationale  » d’une tragédie seuls les dieux ou le destin peuvent être tenus pour responsables mais pas le FIS est ces branches armées de terroristes..J’ai l’ultime conviction que le pouvoir algérien est le père créateur ennemis du peuple algérien en arabisant le pays et ensuite islamisant la population ..Si le pouvoir veut utilisé cette racaille d’islamistes pour des fins électorales , les honorables algériens feront barrage à la cinquième quinquennat de la honte .

    Anonyme
    3 juin 2018 - 7 h 23 min

    Faire peur au peuple algerien par l intermédiaire du fis ,afin de faire basculer les algeriens naïfs vers la reelection de Bouteflika en 2019 ! AFIN DE RESTER AU POUVOIR ILS SONT PRÊT DE NOUVEAU A FAIRE FLAMBER LE PAYS ! allah yester el blad !

    Anonyme
    3 juin 2018 - 7 h 14 min

    Benhadj ce charlatan est le produit de l’utilisation de la religion pour faire de la politique et bien entendu accéder au pouvoir ou…le conserver.Les apprentis sorciers qui ont fabriqué ce zombies d’origine SNP né en Tunisie et entré en Algérie par effraction comme beaucoup d’autres qui ont fait tellement de mal à ce pays et qui tels des virus continuent leur oeuvre destructrice.Pendant les années GIA etc…ils ont éliminé physiquement ou poussé à l’exil l’élite de ce pays.Maintenant qu’il y a un semblant de paix ils font tout pour nous maintenir dans un sous développement chronique tout en veillant à ce que ni notre système éducatif ni celui de la santé,de l’agriculture,de l’industrie,de la culture etc…n’atteignent des niveaux performants.Et pour continuer cette stratégie rien de mieux qu’un ignare comme Benhadj qui s’improvise « cheikh » pour parachever cette oeuvre destructrice d’une Nation pourtant promise à un bel avenir.

    nectar
    3 juin 2018 - 7 h 03 min

    Au pays des charlatans Ali Bakradj est un cheikh vénéré, ayant inventé avec son ami Madani, la plus féroce des bêtes à tuer, tous ceux qui n’épousent pas leurs idées morbides..Drôle de conception de la vie en société, vouloir bénéficier des largesse du pouvoir, alors que lui, ôte la vie à eux qu’ils jugent de mécréants…Oh pauvre Algérie, ton sort est scellée entre un islamisme de façade et un pouvoir mafieux….

    Anonyme
    3 juin 2018 - 6 h 36 min

    C’est un mépris envers tous ce qui ont laissé leurs vies dans la période noire,la folie prend sa place en Algérie et on parle d’avenir ,c’est grave d’en arriver là.

    awrassi
    3 juin 2018 - 6 h 08 min

    La religion est l’opium du peuple, disait Marx. Je traduis : la religion est la seule arme qui permette aux puissants de maintenir le peuple sous leur joug … En partant du principe que Dieu est amour, le peuple ne recourt pas à la violence, même juste, quand ces puissants en abusent pour continuer à gouverner.

    Youssef
    3 juin 2018 - 5 h 57 min

    Personne ne peut le finir ce mec ,merde a la. Fin on est obliger de se taper sa sale gueule. Il n’y a plus d’homme dans ce pays

    Anonyme
    3 juin 2018 - 5 h 28 min

    Il a le droit de prêcher ! pourquoi, il n y a que les mecs du FLN qui doivent « prêcher » dans ce pays ! ? ils ont déjà fait main basse sur les riches du pays qu’ils se distribuent à travers tous un réseau d’associations, de peudo parti satellites, des mairies, ………….. si on ne peut même plus parler quand on est pas du sérail où va-ton ? ! Ne me prenez surtout pas pour un islamiste, je les détestes mais moins ceux qui les ont fabriqué et utilisé pour perdurer au pouvoir.

      Youssef
      3 juin 2018 - 5 h 54 min

      Tu es sérieux toi de quoi tu parles ,le mec est responsable de la mort de milliers de personnes. Ce mec devrait être en prison déjà a vie. Cet ignare rétrograde Qui a appelé à prendre les armes contre l’Algérie tu veux le mettre imam. C’est un traître à la nation n’oubliez pas qu’il appeler ses partisans à prendre les armes

        Anonyme
        3 juin 2018 - 8 h 04 min

        les véritables responsables de cette tragédie ce sont ceux qui cassé l’école algérienne hérité comme « butin de guerre » et importé des mercenaires du moyens orient, ce sont aussi ceux qui ont tout fait pour empêcher la démocratisation du pays, les gens avaient trouvé comme refuge la religion ! Dis-donc quand quelqu’un te répète à longueur de journée que ta parole ne vaut rien devant la sienne lui qui « aurait libéré le pays et toi avec !  » et bien au bout d’un certain temps, quand on nous propose une brèche salvatrice comme par exemple « allah » on s’engouffre sans réfléchir ! Tu me lance à la tronche ta guerre et bien j’utilise quelque chose de plus puissant que tout : Allah !
        Essayes de suivre cette logique honnêtement et tu comprendras qui est réellement responsable de cette tragédie qui n’est d’ailleurs pas totalement terminée.

          Anonyme
          3 juin 2018 - 10 h 13 min

          c’est pour ça qu’on continue a construire des mosquées et a les inaugurer en grandes pompes,et pas des bibliothèques pour cultiver le peuple,car un peuple ignare est a la merci du premier charlatan venu

          Youssef
          3 juin 2018 - 12 h 37 min

          Rien absolument rien ne justifie les massacres des années 90.Ce mec est un diable. Je me fout de la religion . Mais je préfère de loin ce régime plutôt que ces islamistes ringuard

        AÏT Chaalal
        3 juin 2018 - 8 h 06 min

        Certains de nos compatriotes sont complètement amnésiques ou des victimes de l’islamisme forcé de notre nation ..Dans un état de droit où la vie des humains à de la valeur, ce genre de gars sera placé dans une maison d’arrêt jusqu’à sa mort , mais on est en Algérie, un pays de paradoxes.

          Anonyme
          3 juin 2018 - 11 h 34 min

          @Aït Chaalal,tu veux dire le pays des mafieux,du gain facile,de la ruse et des moutons de Panurge.

    Moskosdz
    3 juin 2018 - 5 h 27 min

    Autoriser quelqu’un à reprendre ses discours enflammés dont il a été derrière le massacre de 200.000 Algériens au nom de l’islam,si ce n’est que pour déprimer encore une fois les Algériens,on ne voit pas autre utilité de ce charlatan.

      abdel
      3 juin 2018 - 10 h 21 min

      après, avoir gracié les criminels et les terroristes,on est simplement dans la continuité logique des choses,donner une nouvelle assise sociale a cet individu en l’autorisant a faire son boulot de charlatant agitateur

    Far-West-Republic
    3 juin 2018 - 4 h 59 min

    Le régime illégale autorise a nouveau un des ses alliés à utiliser son arme à tué,chez les hors la loi tout les moyens sont bons pour retenir le peuple en lèsse

      libre
      3 juin 2018 - 7 h 14 min

      on va revive les années 90 avec se charlatan mais le peuple a compris et a pris la le son les qatarienne et saoudienne on mis tout pour faire encore l’Algérie comme la Syrie

    Lghoul
    3 juin 2018 - 4 h 29 min

    Ceux qui l’ont autorisé ne sont pas de ceux qui ont des familles , entières complètement décimées. Pendant que l’on emprisonne des caricaturistes qui ne peuvent pas faire de mal à une mouche,, on ouvre les portes des avantages , des compensations et des libertés à ceux qui ont rasé 1/4 de million du peuple algérien. Conclusion: Ke FLN du business et des larbins est le père légitime du fis. Tout se confirme.

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