Il ne s’agit pas d’une bagarre mais plutôt d’une agression de pèlerins chiites par des pseudo pèlerins sunnites venus d’arabie saoudite donc des wahabistes pro régime saouchiens agresseur et sioniste ce sont probablement des éléments des services secrets soudchiens qui sont derrière cette infamie cela me parait évident ! vous voyez des chiites non saoudiens ou même saoudiens risquer de se faire couper la tête pour avoir balancé des pierres sur des bons ‘sunnites wahabistes sionistes saouchiens’ ??? à bas l’arabie saoudchienne ! vive le peuple yéménite libre !
Je vais être très terre à terre l’Hchouma.
Leur pèlerinage ne vaut rien.
Le chiisme c’est la reconnaissance de l’imam Ali pour faire court.
Au passage où était la police saoudienne.
Quelle idée de filmer, ils vont au hadj pour faire du tourisme ou quoi ?!!!
il n y a plus d islam nul part même a la Mecque a cause des extrémistes et du fanatisme des deux bords et cette division ne fera q affaiblir l islam quel qu il soit celui on qui vous croyez
C’est ce modèle que Abassi Madani et ses sanguinaires ont voulu nous imposer dans les années 90.
Merci M. Zeroual, Merci M. Nezzar, Merci à ceux qui ont sauvé l’Algérie !
Malheureusement, les islamistes sont encore actifs. L’islamisme politique est en train de tuer l’Algérie à petit feu au nom de la cocott civile.
Dans 10 ans l’Algérie sera méconnaissable si rien n’est fait.
Ce que la majorité des musulmans ne savent pas est le fait que la division des musulmans en deux sectes a été provoquée ou bien ficelée par les juifs de l’époque après la mort du prophete (SA).
Selon les historiens cette fitna à été créé par Abdullah Ibn Sabaa, un homme aux origines juives. Wallahou A3lem.
Ya latife !!! Combats entre hordes d’animaux sauvages !! Voilà ce qui attend aussi l’Algérie si sa Constitution continue de dire que l’islam est religion de l’Etat … ou religion d’Etat et que le pouvoir politique algérien continue d’utiliser et de jouer avec la religion !
Quand l’islam s’embrouille avec le politique, quand le politique se mêle de religion, quand le pouvoir utilise la religion a des fins politiques pour rester ou conquérir le pouvoir, maa t’frèche ya el khaoua !!! Ici c’est la guerre fratricide religieuse entre les Sunnites et les Chiites dans l’enceinte même de la Mecque, demain cela peut se passer chez nous à la Place de Martyrs d’Alger ou la Place du 1er Mai, entre tel ou tel courant de l’islam, entre tel ou tel partisans de tel ou tel rite musulman, etc… etc… ! Il faut séparer en urgence, et c’est vital, la religion de la politique d’abord chez nous, ensuite dans les pays arabo-musulmans et chez les perses et je ne sais où , sinon l’instabilité permanente est garantie , la guerre civile est toujours possible, à laquelle s’ajoute déjà l’instabilité due à l’absence de république digne de ce nom, de démocratie, de justice et de liberté dans ces pays là !
NB : il me semble, même si je ne suis pas un exégète du Coran et des livres révéles, qu’il n’y a qu’un seul Dieu Unique pour tous les musulmans et même pour tous les croyants du Dieu Unique quelque soit leur culte et leur rite ! Donc, les sunnites et les chiites ont normalement un seul Dieu et il est commun aux deux ! Et pourtant voilà le résultat ! Et dire que tout çà remonte au lendemain de la mort du Prophète Mohamed où des tribus, des membres de la famille par alliance du Prophète se disputent comme des bêtes féroces la prise du pouvoir politique, le pouvoir de gouverner au nom du Prophète et même au nom de Dieu , lui qui n’a jamais voulu cette situation !!
Soyons moins idiots, rite païen (supercherie flagrante).
-Jérusalem, première direction de la prière islamique
La Mecque était le sanctuaire pré-islamique le plus important de toute la péninsule arabique. A l’origine, la ville n’était pas au centre de la religion musulmane, les croyants se tournant vers Jérusalem. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu millénaire païen. La vénération de la pierre fut une occasion pour Mohammed de ramener vers lui les païens.
Les 3 déesses de La Mecque :
A la Mecque (مكة), avant l’Islam, la tribu des Quraïch (قريش) adoraient une triade de trois divinités féminines, il s’agit d’Allat (اللآت), al-’Uzza (العُزة) et Manat (مناة), ils citaient leurs noms au cours de leurs tournées (الطواف) autour du Ka’ba (الكعبة). Selon Ibn al-Kalbi, les Quraysh avaient coutume de faire le tour de la Ka’aba en disant : ”Au nom d’Allat, d’ʿUzza, et de Manat la troisième idole. Elles sont réellement les ”al-gharānīq” (femmes de condition supérieure ) Dont il faut demander l’intercession.” Comme aujourd’hui, les pèlerins se rasaient la tête.
Hubal, le nouveau dieu-père des déesses.
Alors que pour les Nabatéens (Pétra en Jordanie), Allat était la mère de tous les dieux, pour les autres Arabes, Allat, al-’Uzza et Manat étaient les filles d’Allah (الله جل جلاله), et étaient les intermédiaires entre Dieu et les hommes pour obtenir ses bénédictions. Allah (le-dieu) est le titre du dieu lunaire Sîn-Hubal (Baal), pièce rapportée tardivement de Mésopotamie dans le panthéon arabe, qu’il domina par la suite à La Mecque. De ce dieu, très peu de temples, de représentations, et de traces écrites nous sont parvenues jusqu’à aujourd’hui. Le terme Allah est antérieur à l’islam puisque le père de Mahomet s’appelle lui-même Abd’Allah, c’est à dire, ”le serviteur du dieu”.
La Kaaba, temple de la déesse Allat
Ka’aba signifierait cube en arabe, mais la Ka’aba elle-même serait l’ancienne “Kaabou”, du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l’al-’Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité. Les anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam (jahilya, l’ère de l’ignorance), il y avait 24 ka’bas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus. Selon des recherches saoudiennes, il existait dans la région de nombreuses Ka’bas (tawaghit) consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importants semblent avoir été les ka’abas des déesses Allat à Taif, d’Uzza à Nakhlah et de Manat près de Qudayd.
Les prêtresses d’Allat
A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés ”fils de l’Ancienne Femme”,”fils de Saba”, en arabe ”Beni Shaybah”. La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé Shaybah, signifiant sage-femme, ou, “Celle de l’ancienne sagesse”. Avant l’Islam, les gardiens du Sanctuaire étaient des prêtresses appelées ”Bathi-Sheba”,”filles de l’Ancienne Sage Femme”. Bethsabée, ”fille de Saba” signifie, ‘‘prêtresse de la maison de Saba”. Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique, et marchent encore autour, tout comme on le faisait à l’époque où on vénérait la Déesse.
Ramadan, la grossesse d’Allat ?
Le calendrier musulman ou calendrier hégirien (hijri) est un calendrier lunaire, basé sur une année de 12 mois lunaires de 29 à 30 jours chacun (pour être précis : 29,53059 jours solaires). Une année hégirienne est donc plus courte qu’une année grégorienne d’environ onze jours. Les païens ont souvent fait le rapprochement entre les cycles lunaires et les cycles menstruels féminins, de durée similaire.
Ramadan également orthographié ramadhan ou ramazan, (arabe : رَمَضَان ou Ramaḍān) est le neuvième mois du calendrier musulman. Au cours de ce mois, les musulmans adultes ne mangent pas, ne boivent pas, et n’entretiennent pas de relations sexuelles tant que la lune n’est pas visible. Le début du mois est basé sur l’observation du premier croissant visible après la nouvelle lune.
Est-il possible que le 9ème mois de Ramadan corresponde au 9ème mois de la grossesse de la déesse-mère Allat ? La fête de fin du Ramadan célébrerait alors l’accouchement de la déesse. Pendant le jeûne, il ne serait alors possible de manger et copuler qu’en présence de la lune, c’est-à-dire d’Allat.
Le culte des pierres
Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle (de l’hébreu béthel ”pierre sacrée”), et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité. La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle. Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n’est pas isolé dans l’Antiquité : on peut citer la pierre noire d’Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c’est sous la forme d’un bétyle qu’en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l’objet de la vénération des fidèles, telles l’Artémis de Sardes ou l’Astarté de Paphos. En Arabie ce n’était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamiques. Par exemple la “pierre rouge” était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la ”pierre blanche” dans la Kaaba d’al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
La pierre noire, vulve d’Allat ?
Beaucoup d’occidentaux, surtout des sages-femmes, ont observé que l’écrin de la pierre noire, à l’angle de la Kaaba, a une forme de vulve, avec une tête de bébé qui en sort. Le mot Hajj (pèlerinage islamique à La Mecque) est dérivé de «Hack» qui veut dire friction en langue Arabe car il y avait un rituel païen dans lequel les femmes frictionnaient leur partie génitale sur la pierre noire espérant ainsi augmenter leur fertilité.(Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam» partie 5,page 223). Elle enduisaient la pierre avec le sang des menstrues et tournaient nues tout autour.
Une survivance de culte phallique à La Mecque ?
La Lapidation de Satan (arabe : رمي الجمرات, Ramy al-Jamarat signifiant « lancer [de pierre] sur les cibles [piliers] ») est une cérémonie pratiquée par les musulmans lors de leur pèlerinage ( Hajj ), au cours de laquelle ils jettent des pierres, qu’ils auront collectées durant une phase antérieure du pèlerinage, sur trois rochers qui symbolisent le diable. Ce rite s’effectue le 3e jour du pèlerinage à Mina en Arabie saoudite, à 5 km à l’est de La Mecque. Les trois piliers de pierre (un petit, un moyen et un grand) furent remplacés par les autorités saoudiennes en 2006 par trois murs de pierre, pour prévenir les accidents. Si l’écrin de la Pierre Noire de la Kaaba fait irrémédiablement penser à un vagin, les 3 piliers semblent représenter des phallus, ce qui confirmerait que La Mecque ait été un sanctuaire païen dédié à des cultes de fertilité.
Shiva (hindouisme), culte phallique pré-aryen : des vestiges dans l’islam ? Les piliers de Jamarat.
Juste après la mort du prophete (SAWS), les Qoreichis ont façonné l’islam à leur guise…Les bédouins ont vite renoué avec leurs rituels de El-Djahilya. Beaucoup de Ahadiths ont été inventés. Même les compagnons du prophete n’ont pas su préserver l’islam.
Le wahhabisme de l’Arabie Wahhabite et le chiisme des Mollahs sont une preuve vivante de la falsification de l’islam.
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