La crise à l’APN tourne au feuilleton : à qui profite le blocage ?

APN
Report des questions orales à l'APN pour quels motifs ? PPAgency

Par R. Mahmoudi – Dans le bras de fer qui paralyse le Parlement depuis plus d’une semaine, l’information devient l’arme la plus redoutable utilisée par les deux parties pour essayer d’avoir raison de l’adversaire. D’où cette profusion de déclarations contradictoires qui ne font qu’ajouter à la confusion totale qui entoure cette histoire. Dans ce jeu machiavélique, les deux parties n’hésitent pas à faire carrément dans le mensonge pour essayer de faire bonne pression et manipuler l’opinion.

On a vu comme le président Saïd Bouhadja tentait de faire croire que la présidence de la République l’encouragerait à rester à son poste, et que le conseiller du Président, Tayeb Belaïz, l’aurait appelé pour le lui signifier, avant d’être démenti par une source autorisée. De son côté, la majorité parlementaire, guidée par un FLN aveuglé, joue sur la même fibre, en distillant à la presse que le FLN, parti du président de la République, ne se serait jamais engagé sur cette voie sans avoir eu au préalable le «feu vert» d’El-Mouradia.

C’est ce qu’a répété, mercredi, une «source proche» du bureau politique du FLN qui affirme avoir discuté avec Bouhadja pour tenter de l’amener à déposer sa démission. «J’ai dit à Bouhadja, relate cette source au journal Al-Araby Al-Jadid, qu’il était un enfant du système, et qu’il devait normalement bien comprendre les messages politiques lancés par le FLN». Avant de brandir cette arme désormais commune : «Je lui ai conseillé de démissionner afin de préserver sa dignité car il est clair que la décision de sa mise à l’écart a été prise en haut lieu.»

Les deux parties se réfèrent à la même source, sans qu’aucune d’elles daigne faire des concessions pour débloquer la situation. Au contraire, les choses se sont corsées davantage, avec l’annonce, mercredi, du gel des activités du Bureau de l’Assemblée et des commissions parlementaires dans une ultime tentative de pousser Saïd Bouhadja à la sortie.

Après l’échec de la première opération – motion de retrait de confiance facilement déjouée par Bouhadja –, les députés de la majorité n’ont plus le choix que de maintenir la pression et de continuer donc à bloquer l’Assemblée jusqu’au bout. Jusqu’à quand ?

R. M.

Comment (28)

    Nasser
    17 novembre 2018 - 22 h 55 min

    « Dans ce jeu machiavélique »…. »machiavélique »?
    La majorité des députés ne sont pas capables de définir le mot « inflation » !!

    Anonyme
    5 octobre 2018 - 0 h 16 min

    Plus d’ APN, plus de président, plus de soins santé, plus d’ évacuation des eaux, les jeunes nagent en plein houma avec un assortiment de jus de zbel dans l’ eau, le premier ministre sourit aux caméras et chante madame la marquise, les tam-tam battent leurs plein, certains écoutent la derbouka les autres le djembé, Ould Abbes joue de la flute, Bouhadja est parti refaire sa sono, apparemment la police va intervenir pour arrêter la grève des députés, les guezanattes de sont plus d’accord entre elles, certaines voient des astres tandis que les autres voient des désastres, Khelil qui se prend pour Boumediene, le nombre de chiattines augmentent, le nombre d’ anciens moudjahidines augmentent, le nombre de harkis augmentent, le prix du pétrole augmente donc pas d’ inquiétude il y aura toujours à boire et à manger, on aura du blé russe et du hlib, la bagra algérienne n’ est pas assez productive, le nombre des demandes de visas augmentent, la harba est devenu l’ avenir et l’ espoir de l’ algérien. Mais qui commande dans ce pays ?! Ou allons-nous ? Merci à AP.

    MELLO
    4 octobre 2018 - 21 h 02 min

    Les députés de la majorité préfabriquée ont décidé de bloquer l’APN ,on a l’impression que c’est des gérants de la supérette du coin. Cette majorité qui a largement contribué à la gestion catastrophique du pays a le culot de dénoncer la gabegie au sein de l’APN . La suppression des privilèges accordés , la volonté de récupérer les voitures de fonctions de certains députés et la limitation des recrutements ont fait réagir les députés de la majorité. Aucune position politique dans ce soit disant bras de fer, mais plutôt la protection des privilèges . Que tout ce beau monde foute le camp et la dissolution de l’assemblée est la voie la plus juste.

    AVEROES
    4 octobre 2018 - 20 h 44 min

    Citation du général De Gaulle.

    Eh bien, voyez ! C’est bien ce que je disais : le Parlement démontre qu’il n’est rien. Il fracasse, il pérore, il fait un peu de bruit et de scandale, mais tout cela n’émeut absolument pas l’opinion publique. Le Parlement, en réalité, s’est tué lui-même. Il est mort, il n’existe plus. À l’époque où nous sommes, nous ne pouvons plus continuer à croire à ces jeux stériles. D’ailleurs, personne ne s’y trompe, sauf ceux qui font profession d’y croire. Alors, bien sûr, ceux-là s’agitent, écrivent des éditoriaux dans les journaux, font des déclarations à la radio, mais tout cela, c’est de l’agitation qui ne touche pas le pays et il faut bien que vous en soyez convaincu.

    Entretien avec Jacques Foccart, 21 avril 1967.

    Saharien
    4 octobre 2018 - 20 h 30 min

    l’APN ce théâtre comique de marionettes qui n’a aucune importance et qui ne prend aucune vraie décision.
    les députés lèvent tous la main pour voter une loi pondue par le régime.
    l’APN n’a aucune base populaire et a été orchestrée pour servir à la majorité , le régime pour durer.
    qu’on le veuille ou non ,c’est un produit de la mafia élective.Je tire chapeau si un jour un apparatchik du pouvoir se dédouane en disant comment ils ont fait pour gagner les élections en bourrant les urnes (en tous les cas les algériens n’ont pas voté du tout ou à une très faible proportion (10% de chiatines)).
    Je donne un conseil au régime: économisez des milliards que vous distribuez à ces marionettes en fermant le parlement car tous les algériens savent qu’il ne sert absolument à rien et investissez les dans la maintenance des inondations des ouvrages bricolés.
    Quant àu président de l’APN,le limoger c’est en faire une personnalité de l’opposition et plus dures seront ses révélations !

    Anonyme
    4 octobre 2018 - 20 h 04 min

    C deputes mal élus vont finir par se coucher car ils ont peur de dissolution qui veut dire perte de leur siège- privileges. Et bouhadja le sait et les défie.

    LES FOUS C'EST NOUS !
    4 octobre 2018 - 14 h 26 min

    par quelle idiotie , voire folie , peut-on élire des députés et autres élus qui « défendront  » le smic des employés qui est à 18.000 DA alors que eux (les députés) défendent bec et ongle le leur et l’exigent à pas moins de 400.000 DA !!!
    quelle est cette folie ? sans rentrer dans les détails que 99% de ceux qui sont élus sont d’un niveau intellectuel juste honteux ?

      Tarass Boulba
      4 octobre 2018 - 15 h 48 min

      @LES FOUS C’EST NOUS ! , tu parles de 400 000 da par mois, mais tu ne comptes pas les primes, les indemnités, les bons d’essence chaque mois, la prise en charge des frais d’hôtel et de restauration, du téléphone portable, de l’électricité, du gaz etc… etc… Kouleche batel ya kho !! Il n’y a que la prime pour les livres et la culture à laquelle, ils ne peuvent pas prétendre puisque que la plus part d’entre eux sont des analphabètes trilingues !

        anonyme
        4 octobre 2018 - 22 h 09 min

        Vous avez oublié en plus d’une retraite dorée et un gros pactole à leur fin de soi disant mission
        il faut que ces gouvernants dégagent au plus vite on a plus que marre, rahoum yaklou fiha ghir binethoum tandis que le peuple se débat avec ses soucis quotidiens et une mal vie qui n’en finit pas

    Hakikatoune
    4 octobre 2018 - 13 h 21 min

    La Constitution dit que … « la dissolution de l’Assemblée populaire nationale (APN) relève du seul pouvoir discrétionnaire du Président de la République, et ce, après avoir consulté les présidents des deux Chambres du Parlement, le Premier ministre et le président du Conseil constitutionnel.

    Mais notre Bonaparte Bouteflika peut prendre cette décision seul, quand il veut et sans consulter ni ammar bouzouar, ni ammi ali, ni sidi zekri ! Tout le monde n’a le droit de faire qu’une seule et unique chose : fermer sa bouche, suivre son chemin de laudateur et de cireur de pompes ,…. épisitou !

    Soldat schweik
    4 octobre 2018 - 13 h 19 min

    Toute cette farce provoquèe par la smala des partis du pouvoir qui reclament la tete d’un des leurs , et ce dernier fait semblant de resister afin de creer une tension et un similacre de grave crise n’a pour but que l’installation d’el istimrariya avec fakhamatouhou’m qu’ils appellent de tout leurs voeux et ce sans passer par des elections :
    Dissolution de l’assemblèe comme l’a sussurè benyounes du bout des levres pour instiller l’idèe dans l’opinion
    Report indeterminè des presidentielles 2019
    Porte ouverte au mandat a vie pour fakhamatouhou’m comme il en a toujours revè
    Ainsi le tour est jouè et toute la smala predatrice sera aux anges et verra leurs affaires et magouille continuer a properer tranquillement et depecer l’Algerie sans etre derangè par quiconque… that’s all folks

    bedraham
    4 octobre 2018 - 12 h 51 min

    c’est ceux que veulent le clan anti boutef c’est capoter le 5 eme mandat par le blocage de l’APN ce qui amenera sans nul doute a la distitution de l’APN la mise en place d’une CNT et l’application de l’article 102 de la constitution et pourquoi pas des elections presidentielles anticipees au cas ou.

    LOUCIF
    4 octobre 2018 - 11 h 07 min

    Connaissant le pouvoir politique algérien , si vraiment il voulait réglER cette question de l’APN, il l’aurait fait dans les heures qui ont suivi l’affaire !

    Moi je pense que le pouvoir politique veut sciemment que la situation de dégrade pour que Bouteflika intervienne pour dissoudre l’Assemblée ! Cela va déboucher nécessairement sur l’organisation des élections législatives étou , étou … donc tout ce qu’il faut pour justifier le report de l’élection présidentielle ! Le pouvoir a besoin encore de beaucoup temps pour trouver la solution à l’après Bouteflika ! C’est mon petit doigt qui me la dit, et j’avertis que je ne suis pas ….. dans le secret des Dieux !

      condor
      4 octobre 2018 - 18 h 10 min

      certainement vous avez des contact avec les chouafate..

    yabdas
    4 octobre 2018 - 11 h 07 min

    que devient la legalite dans tout ca….et on ose parler d’un pays de droit.

    Djeha Dz.
    4 octobre 2018 - 11 h 01 min

    « La crise à l’APN tourne au feuilleton : à qui profite le blocage ? »

    Ce blocage devrait profiter d’abord au peuple dans la mesure où il a une image réelle des hommes qui sont au sommet des institutions.
    De leur capacité et manière d’affronter un conflit entre responsables, en immobilisant le fonctionnement des institutions et de l’état au mépris des règles constitutionnelles et du peuple.

    Alors pour ceux qui cherchent les ennemis du pays, cela ne devrait pas être difficile à trouver.

    Lghoul
    4 octobre 2018 - 11 h 01 min

    Tous les chemins mèment a celui de la corruption qui est leur principal dénominateur commun.
    Bouhadja l’a bien souligné dans son interview. Il voulait travailler en utilsant les lois du pays mais les ennemis du peuple ne sont pas contents.
    Dès que quelquu’un essaye de rendre un tout petit bout d’Algérie aux algériens, on le détruit ou on le descend au enfers. Ca a commencé avec Feu Boudiaf: Dès qu’il a parlé de « guerre a mener contre la corruption », ils l’ont assassiné. Maintenant tout est grangréné du haut au bas et rien ne pourra guerrir un tel cancer sans le couper complétement d’abord. c’est la première phase du processus pour avoir un espoir de guerrir notre pays et notre société de ce mal qui les ronge et qui continuera a les ronger jusqu’a destruction totale si rien n’est fait.
    Je ne me tromperai pas si la source de tout cela vient d’un plan pour nous faire imploser de l’intérieur et transformer l’Algérie en anarchie totale. Certains pays ont utilisé la méthode d’innondation d’autres pays par la fausse maonnaie pour asphyxier leur économie. Chez nous, ils ont utilisé et propagé la corruption a tous les échelons pour que rien ne marche et ainsi mettre le pays en entier a l’arrêt et dans une anarchie populaire irreversible. Le processus de notre destruction est donc en marche chez nous.

    fatigué
    4 octobre 2018 - 10 h 14 min

    EUREKA ! j’ai trouvé la solution au blocage de l’APN….
    y a environ 300 « dépités » qui ont signé la fameuse pétition et y a environ 100 autres qui ne l’ont pas signé.
    Voici la solution:
    Il suffit d’annoncer qu’il va y avoir des élections partielles dans les circonscriptions où les « dépités » ont signé la pétition et tous ces zigotos vont désavouer Ould Abbes et retirer leurs signatures car ils auront peur de perdre leurs places..

    Anonyme
    4 octobre 2018 - 10 h 06 min

    Les algériens ne sont pas bêtes comme le pensent les khobsistes du systeme ! les 90/00 d abstentionnistes n aime pas ce dinosaure de Bouhadja mais ils l approuve pour avoir déjouer une machination a l intérieure de l APN ! alors qu ils s entretuent et on applaudira encore plus ! Mieux ils viennent de fractionner ce fameux FLN en fragments régionalistes ; tant mieux pour le peuple algérien et bon débarrasser pour les khobsistes de ce systeme !

    elhadj
    4 octobre 2018 - 10 h 02 min

    dans son interview a un quotidien national M BOUHADJA dont la probité ne pourrait être mise en doute explique qu il est victime d une cabale menée a dessein par des pseudo députés de 2 partis dans le but inavoué de préserver leurs intérêts personnels frais de mission, voyages a l étranger, passes droits etc .DONT ACTE largement partage par les citoyens. On veut coûte que coûte salir la réputation d un homme intègre ,courageux et décidé a assainir les rouages pollues de cette institution qui précise t il n arrive pas ni a récupérer ses véhicules éparpillés et utilises a des fins personnels ,ni connaitre le nombre de fonctionnaires peut être fictif pour justifier des rémunérations sans aucun doute de complaisance,Le seul homme intègre représentant dans le cadre de l équilibre régional l EST algérien est malmené par des députés dont les électeurs sont en droit de connaitre leur identité .Si une telle situation ,en l absence d une mesure salvatrice de dissolution, perdure il est craindre qu elle risquerait de prendre des contours de pourrissement déplorables et préjudiciables pour la sécurité du pays et la cohésion sociale du peuple .Arrêtons la mascarade,les Algériens n ont pas besoin dans ce ni de conseil constitutionnel ,ni de Seat ni d APN lorsqu on constate leur rôle improductif en l état actuel des choses

    صالح/ الجزائر
    4 octobre 2018 - 10 h 00 min

    le ministre de l’Intérieur a fixé un ultimatum aux élus des communes bloquées pour « faire valoir la raison et l’intérêt des citoyens sur les considérations partisanes ». Dépassé ce délai, la gestion des communes en question sera confiée à des cadres de l’administration locale .

    fatigué
    4 octobre 2018 - 9 h 37 min

    Par les temps qui courent, n’importe quel petit escroc peut dire :  » je viens de la part de la présidence, veuillez me régler tel ou tel dossier en urgence ». et ça marche…..
    Dans le scénario de l’APN, c’est peut être la même chose qui se passe,:
    quelqu’un appelle Ould Abbes et lui dit: « allez y , le président veut le départ de Bouhadja » et l’autre abruti fonce tète baissée entraînant avec tous ces pseudo « dépités » beni oui oui.
    quelqu’un d’autre appelle Bouhadja et lui dit: « restez à votre poste, ne démissionnez pas, le président est avec vous » et l’autre refuse donc le diktat de ses adversaires.
    Maintenant allez savoir le pourquoi et le comment de tout ça………
    Y a plein d’analystes etc…qui essayent de démêler cet écheveau, vous avez le choix.

    Gatt M'digouti
    4 octobre 2018 - 9 h 14 min

    Quelques phrases intéressantes puisées s.. interview Said Bouhadja :

    « C’est alors que le ministre chargé des Relations avec le Parlement est venu me voir m’informant qu’il était porteur d’un message de la Présidence, me demandant de réintégrer le secrétaire général. Je pense que je suis très proche de la Présidence, qui n’a pas besoin de m’envoyer des messages.

    Mieux encore. J’ai été contacté par le secrétaire général du FLN, qui lui aussi dit avoir entre ses mains une décision de la Présidence d’annulation de la mise de fin de fonction du secrétaire général. Je lui ai dit envoyez-moi cette décision, mais il ne l’a pas fait. »

    TOUT LE MONDE EST PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE !!!!!!!!!!

    Les propos de l’ex ambassadeur de France en Algérie Bernard Bajolet se confirment malheureusement.

    Anonyme
    4 octobre 2018 - 9 h 12 min

    Tout est bloqué en Algérie sauf la construction des mosquées qui est pleine essor.

      Zaatar
      4 octobre 2018 - 10 h 33 min

      C’est dans l’optique de donner du travail aux muezzins..

    Zaatar
    4 octobre 2018 - 8 h 33 min

    On aimerait bien connaitre qui a écrit le scénario de ce feuilleton et surtout qui est le metteur en scène…car vraiment, chapeau…

    Mohamed
    4 octobre 2018 - 8 h 14 min

    Salam aleikoum,

    Ce scenario est prévisible quand le roi est absent et tout le monde commence à parler en son nom, c’est pour cela que nous avons différentes sources contradictoires, si nous les analysons naïvement, nous déduirons naïvement que si ces différentes sources émanent d’une seule personne, nous conclurons naïvement que cette personne est schizophrène, elle dit une chose ensuite son contraire, mais en réalité, nous savons tous quand les sources différent cela veut dire qu’elles émanent de plusieurs personnes qui parlent au nom du roi sans que ces personnes ne soient avisés par ce roi absent, donc elles prennent leur propres initiatives pensant ce que ce roi absent allait faire, comme si elles étaient des profilers ou des mediums.
    Pour faire simple, prenant un père de famille qui a plusieurs garçons et ce père n’a pas désigné un des fils pour le remplacer par intérim en cas d’absence pour gérer ses affaires et ses biens et surtout ses enfants ignorent tout comment leur père gère ses affaires (ses contacts, ses fournisseurs, ses clients, la nature de sa relation avec les salariés), car ce père se croyant invincible et invulnérable, mais lors d’un voyage, ce père fut retenu loin de ses enfants et de ses affaires, et le contact est difficile à établir, comme la fratrie sait qu’aucun d’eux n’a été désigné et que leur père est vivant mais dans l’impossibilité de gérer ses affaires, ses fournisseurs, ses clients, les salariés, les charges, alors chacun de ses enfants réagira à sa façon croyant que ça aurait été de cette façon que leur père aurait réagi, chacun va se croire meilleur que l’autre, et là nous aurons un bel exemple de contradiction et de conflit.

      Slam
      4 octobre 2018 - 8 h 37 min

      Appelons plutôt les choses par leurs noms : nous sommes, et depuis longtemps, face à une c avancé caractérisée de la fonction présidentielle et à l’usurpation de cette fonction par des cercles occultes qui ont commis un hold up institutionnel. Le conseil constitutionnel doit prendre ses responsabilités devant l’Histoire. Imaginez que ces cercles nous créent une guerre de toutes pièces ? Pour le moment ils ne font « que » siphonner la Rente. La situation est grave.

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