Le professeur Djellaoui nommé président de l’Académie de tamazight

djellaoui
Le professeur Mohamed Djellaoui. D. R.

Par Hani Abdi C’est officiel. Le professeur Mohamed Djellaoui, doyen de la faculté des lettres de l’Université de Bouira, est nommé président de l’Académie algérienne de la langue amazighe.

Le décret présidentiel de sa nomination a été publié dans le Journal officiel. Le professeur Djellaoui trouvera à ses côtés le professeur des sciences du langage Abderazak Douarari et d’autres enseignants et chercheurs en langue amazighe comme Salah Bayou, Malek Boudjellal, Djoudi Merdaci, Djamel Nahali, Abdelkrim Aoufi, Saïd Hadef, Samia Dahmani, Hassina Kherdouci, Abdelaziz Berkai, Moussa Imarazene et Zahir Meksem.

L’Académie de la langue amazighe, tant entendue, est composée de quarante membres. La création de cette académie intervient ainsi à quelques jours de la célébration du nouvel an berbère. Un jour consacré depuis l’année dernière fête nationale, chômée et payée.

L’Académie de la langue amazighe est prévue dans la nouvelle Constitution adoptée en 2016 et consacrant cette langue comme officielle. L’article 4 de la Constitution consacre le statut à tamazight comme langue nationale et officielle au côté de la langue arabe.

Beaucoup de linguistes et de spécialistes du langage ont jugé nécessaire la création rapide de cette académie afin qu’elle fasse avancer et développer la langue amazighe.

L’Académie, placée auprès du président de la République, a pour mission de réunir les conditions de la promotion de tamazight, sur la base des travaux d’experts, en vue de concrétiser son statut de langue officielle.

L’Académie aura, comme expliqué dans sa loi organique, à mener des recherches dans tous les domaines de la promotion de la langue amazighe, à travers «la codification et la standardisation de la langue sur la base de l’ancrage social et de la dynamique culturelle dans toutes ses variétés par une approche convergente». Ces missions seront réalisées avec l’aide de tous les partenaires concernés, notamment les institutions nationales et les associations qui activent dans le domaine de la promotion et du développement de la langue amazighe.

H. A.

Comment (31)

    Fettou
    9 janvier 2019 - 22 h 22 min

    Vive Ali ghediri et je dirai même general ghediri président . Thanmirt ayarghaz

    Anonyme
    9 janvier 2019 - 13 h 21 min

    Tamazight vaincra !!

    Anonyme
    9 janvier 2019 - 4 h 01 min

    Que des conneries et des âneries,les francais et lès canadiens sont entrain de rigoler de ses quelques centaines de connards qui vivent chez eux,comme on dis chez nous klaw el ghela ou sebou el mela,ce sont les maitre d’ecole et proffesseurs Algeriens musulmans qui leurs ont appris à lire et écrire la langue française,vacciné et traiter par des medecins musulmans,leurs diplomes reconnu et signé par des Algeriens musulmans,bande de cons ils unsultent la langue arabe avec une langue qui ne leurs appartient pas, imbeciles ils ont même pas ecris un livre comme tout les peuples et si on leurs enleve la langue francaise ils seront perdu,hey quoi que vous faie et quoi que vous dite ,à leurs yeux vous êtes des bougnoules,ils s’en foutent de votre religion.

      Anonyme
      9 janvier 2019 - 5 h 21 min

      tu vas bien ?
      Ils rigolent de toi et la logique de tes semblables

      Anonyme
      9 janvier 2019 - 5 h 32 min

      La caravane amazighe avance, les chiens arabo-islamistes aboient.
      Pourquoi tant de haine ? Vous êtes prêt à apprendre n’importe quelle langue étrangère (français, anglais, espagnol , italien, chinois, russe, turc…), mais dès que vous entendez parler de tamazight (langue de votre pays pourtant), vous voyez rouge !!
      Les orientaux rigolent lorsque vous vous présentez comme arabes.

    Anonyme
    8 janvier 2019 - 21 h 22 min

    @Anonyme 8 janvier 2019 – 19 h 36 min
    Franchement et sans démagogie,la langue arabe très liée à la religion n’est pas une langue ordinaire car chargée de tabous elle ne véhicule que fatalisme,fanatisme religieux,régression et sous développement.On le voit tous les jours les langues évoluent et celles qui restent figées l’arabe deviendront des langues mortes comme l’est le latin.L’arabe est une langue liturgique certes très efficace pour les prêches…et les appels au djihad mais pas pour la modernité à laquelle aspire l’homo sapiens ce bipède dont nous sommes les descendants.Ouvrez les yeux et regardez autour de vous,le monde avance et vous adorez l’immobilisme en rêvant les yeux ouverts…de paradis.Réveilles-toi « anonyme »,ton profond sommeil t’empêche de voir la réalité.

    Dzair1
    8 janvier 2019 - 20 h 57 min

    J’espere que la prochaine étape sera que chaque région aura son drapeaux à côté du drapeaux national comme ça on dira que nous sommes tous des berbers et nous avons choisis notre destin et aucune region sera notre portes paroles, si on continue à lès entendre un jour ils nous dirons nous sommes descendu à la terre 1000 ans avant adam et eve et ce pays est a nous ,vous êtes tous des envahisseurs et la france est venu juste nous aider pour se débarrasser de vous.

    Fettou
    8 janvier 2019 - 20 h 46 min

    Quelques questions pour les esprits courts :
    1-Qui s’est battu pour que thamazighth soit à ce stade .
    2- qui s’est sacrifié pour en arriver là
    3-connaissez- vous la crise berberiste de 1946 ?
    4- connaissez- vous
    les poseurs de bombes des années 70?
    5-connaissez- vous le printemps berbère de 1980 ?
    6- connaissez- vous les prisonniers de ce printemps et ceux d’avant et après ?
    7- connaissez- vous les chanteurs et artistes engager pour la cause amazigh ?
    6 connaissez- vous les martyrs du printemps noir (2001) ?

    -Connaissez/vous?
    -Connaissez- vous?
    Connaissez-vous ?
    Alors , maintenant que vous connaissez je vous dit shut et shut mille fois

      MELLO
      9 janvier 2019 - 12 h 51 min

      Trop de questions pour des petits esprits. Ils ne connaissent rien , sauf poser la tête cinq fois par jour pour terminer ensuite la soirée fi zetla. Ils font semblant d’aller à la mosquée le Vendredi tout en guettant la paire de chaussures à usurper, comme ils l’ont fait pour la véritable culture Algérienne. Ibn Khaldoun s’est déjà prononcer sur ce problème. L’homme libre ne s’est jamais dessaisi de sa langue maternelle.

        Anonyme
        9 janvier 2019 - 22 h 06 min

        Que des insultent de la haine du mélange et de l’ignorance ,même le chef dès diables est un peu juste que certains « humain ».s

    MELLO
    8 janvier 2019 - 20 h 28 min

    Félicitations au professeur Mohammed Djellaoui , personnage sage et réservé, mais plein de projets pour le développement de cette langue ancestrale. Le défi , y compris pour naima Salhi, c’est d’apprendre cette belle langue comme l’ont fait les amazighs avec la langue arabe. Aujourd’hui , ces berberophones ont une longueur d’avance sur les arabophones en maîtrisant les deux langues. Quant à la transcription, personnellement j’opte pour le tifinagh originel de cette langue. Bien que la plupart des travaux soient fait en lettres latines, l’alphabet de la langue arabe n’est apparu nul part.

      Bouzorane
      10 janvier 2019 - 0 h 11 min

      Entièrement d’accord. Vive le tifinagh!

    ISSAM
    8 janvier 2019 - 20 h 23 min

    On va pas nous imposer une langue qui a été inventé par le colonialisme français tout de même .Qu’est ce ça veut dire .
    Si ça continue on va changer le drapeau,l’hymne nationale ,ça suffit les conneries !

      Anonyme
      9 janvier 2019 - 12 h 55 min

      C est toi qui a été inventé par les arabes,va apprendre tes origines au lieu de dire n importe quoi!!!!

        issam
        10 janvier 2019 - 1 h 28 min

        Celui qui inventé ton dialecte c’est charles de foucault .

        Google est ton ami

    Anonyme
    8 janvier 2019 - 19 h 36 min

    De « langue » nationale a « langue » officielle et puis académie et puis quoi encore ? On a enterré la loi sur la généralisation de la langue Arabe faite du temps du Président Zeroual, après son départ on a tout fait pour saboter la langue Arabe, langue de 95 % du peuple Algérien et tout ceci pour imposer un dialecte du moyen-âge pour plaire a une minorité qui n,a même pas de vrai origine Berbère. ( voir l,histoire des Vandales qui
    se sont réfugiés dans les montagnes du centre Est du Pays.) Ou va-t-on avec cette obsession a vouloir effacer la mémoire, la culture, l’histoire et l’attachement de tout un peuple a son identité Arabo-Musulmane pour satisfaire le caprice d’une minorité manipulé par les services étranger pour déstabiliser notre pays.

      Anonyme
      8 janvier 2019 - 20 h 34 min

      Tous des militaires vos Brizidan élus dans la caserne…
      Meme Poutine se fait élir, que dire d’Erdogan, mais vous risée du monde etes indècis entre la photo de bouteflika ouyahia demi-dieu qui est né ministre par la grace du conclave!

    selma
    8 janvier 2019 - 19 h 14 min

    Je reste un peu perplexe de connaître le nom de l’heureux élu. On a présenté que le poste qu’il occupait à savoir le décanat de lettres. Or, il se trouve que d’autres professeurs dont le CV est époustouflant, des sociolinguistes quadrilingues, n’ont pas eu cette chance. J’aimerais simplement connaître l’appartenance politique de cet ex doyen pour être fixée sur sa nomination

      Anonyme
      8 janvier 2019 - 22 h 59 min

      Tu me fais rire.On ne cherche pas des sociologues et des hommes politiques ou des quadrilingues mais on veut ceux qui ont travaillé et travaillent pour épanouissement de cette langue, c’est à dire ceux qui ont fait plusieurs publications avec cette langue chère pour nous( je parle de ceux qui croient réellement en leur amazighité). Mohamed Djellaoui n’est pas des moindres

    Acenwi
    8 janvier 2019 - 18 h 15 min

    @_L’Etat arabe s’offre l' »cademie » Amazigh – 8 janvier 2019 – 12 h 46 min
    Oui, je suis absolument d’accord avec votre titre «L’Etat arabe s’offre l' »cademie » Amazigh», révélateur à bien des égards. Une des raison.

    Je cite : « L’Académie, placée auprès du président de la République, a pour mission de réunir les conditions de la promotion de tamazight, sur la base des travaux d’experts, en vue de concrétiser son statut de langue officielle.»

    Ce qui revient à dire que tamazight est déclarée, d’après la constitution algérienne de 2016, dans un sens, langue officielle, sauf que cette officialisation est vide de sens, puisqu’elle attend la concrétisation de son statut en tant que telle. Et cette attente va la renvoyer aux calandres grecques. C’est-à-dire après l’arabisation et la salafisation de l’ensemble de la Kabylie et de tous les amazighs. Ce qu’on vous donne, de droit – après l’avoir arraché par un combat digne de ce sens, d’une main on vous le reprend par l’autre. Du machiavélisme pur et propre à sa Fakhamatu-hu.

    Cet apprenti sorcier, s’il aurait eu, peu à peu, à lâcher du leste – de sa reconnaissance comme une langue nationale, comme si tamazight se trouvait au Ouzbékistan en 2002, à son officialisation non officielle en 2016 – c’est, comme à ses habitudes, pour mieux la museler, c’est-à-dire l’étouffer dans l’œuf, en la chapotant d’en haut par une structure du type HCA, « Academie amazighe » – rattachée, telle une chienne en laisse, à la présidence, donc à «Fakhamatu-hu » qui finira par la vider de sa substance on ne gardant d’elle que cet aspect folklorique et symbolique tel que l’on fait ses Maîtres d’Orient – chez lesquels il s’est réfugié des décennies durant. L’Egypte avec ses Pharaons, L’Irak avec ces Akkadiens, Babyloniens, La Syrie avec les Assyriens, etc., … une reconnaissance symbolique (cf. l’article de Chaker avec intitulé « Autour de Yennayer : Ansi i d-nekka, sani nteddu ? » daté du 16 janvier 2018 – 18:21 dans ce même journal) : Faire des Imaziγen ses fiers et lointains « ascendants ? » que l’islam « aurait arabisé, dixit Président Chadli.

    Taqbaylit et avec elle toutes les variantes régionales amazighes sont, chacune avec son état de délabrement, sur le bon chemin de disparition, si les forces qui les ont épaulé à ce jour ne sauraient pas, de si peu, se renouveler pour parer à cette intrusion qui consiste à l’appropriation de tamazight par l’état, et sa « vente » aux Algériens arabistes et islamistes, ceux qui l’on combattu et la combattent encore aujourd’hui comme leur patrimoine et ainsi avoir, aussi bien qu’Imazighen, le droit de regard sur elle. C’est-à-dire sa destruction, officialisée, par l’Etat algérien.

    A bon entendeur salut

    Dzair1
    8 janvier 2019 - 17 h 34 min

    Voila un mechieni pas content de voir un mohamed nommé,ya aghioul lès amazighs,les berbers et les autres sont tous Algeriens, la religion est un choix personnel,même massanissa qui est né à khenchela est un Algerien.

    Une excellente chose MAIS ATTENTION !!!
    8 janvier 2019 - 17 h 29 min

    Bravo et félicitations, l’Algérie commence à se réconcilier avec elle même mais du chemin reste à parcourir dans la mentalité, nous venons de le voir avec la réaction des xénophobes extrémistes bien de chez nous et qui n’ont rien à envier aux partis BRUN Occidentaux. Les 3 maux de l’Algérie aujourd’hui qui empêchent notre émancipation et le progrès sont les Berbéristes et les Islamistes extrémistes fascisants qui ont le même combat sur les notions de l’identité: falsification de l’histoire, réduction de notre identité et la volonté de la pureté . Le dernier mal est l’extrémisme ultra gauche qui empêche le pays de s’émanciper économiquement sous couvert de téter a la mamelle de la rente.

    mouatène
    8 janvier 2019 - 16 h 46 min

    du moment que vous admettez que l’algérie est amazigh, pourquoi placer un kabylophone à la tete de cette académie. il y a beaucoup d’algériens docteurs. pourquoi pas Saaidi ou un Djelfaoui ou aussi un Djidjelli. ce serait bien quand meme, non ? kabyle n’est pas forcément amazigh, il peut etre d’ailleurs, non ?

      Islam colonial
      8 janvier 2019 - 17 h 08 min

      L’arabe n’a aucune légitimité pour etre langue officielle. Mais le coup d’Etat a fait d’une infime minorité la majorité qui compte.
      Nous voilà recevoir en dragées ce qui devait couler naturellement dans nos vaines. Colonialisme islamique

        elgat
        8 janvier 2019 - 18 h 42 min

        Les algeriens sont a 99.99% amazigh ou plutôt descendant de berbères numides et pour des raisons historiques parlent arabe et non berbère alors de quelle légitimité parles tu?Toi tu fais certainement parti de ceux qui sont contre tamazight pour parler ainsi , tu crois en provocant la majorité tu leur fait haïr la langue de leur ancêtres . Les vrais berbérophones savent trés bien que le mépris ne fait que renforcer la conviction.

          Anonyme
          8 janvier 2019 - 20 h 32 min

          Faites un referendum sur la langue arabe et vous verrez le taux d’adhèsion réel à ce que vous avez imposé comme langue d’Etat ( constitutionette écrite dans un cinema puis refaite au gout de chaque Brizidan illégitimement imposé… La dictature militaire décide meme l’identité: Hitler devrait prendre des lecons dans vos labos fascistes du fln

      Tikjda
      8 janvier 2019 - 22 h 51 min

      Dis moi tu es dérangé qu’un Kabyle soit désigné comme président de l’académie de la langue Amazigh?Tu voulais, peut être, quelqu’un comme Athmane Saadi qui serait désigné à la place de Mohamed Djellaoui. Ce monsieur (Athmane Saadi) qui a toujours affiché sa haine à tout ce qui trait à l’amazighité du peuple Algérien. Mais si tu veux la nomination de ce dernier, il faut qu’il cesse d’être ennemi juré de l’identité et langue Amazigh n’est ce pas?En plus pour être nommé, désigné ou élu comme président, il faut au préalable travailler et faire des recherche pour développer cette langue exclue ou étouffée chez elle parmi les siens. Sinon du moins on doit prouver qu’on mérite cette nomination et qu’on aime sincèrement cette langue pour inspirer de la confiance à ceux qui rêvent de voir cette langue soit enseignée. Saches que la langue tamazight est persécutée chez elle par ses propres enfants, par ignorance et l’importance que ces derniers accordent aux langues des peuples envahisseurs.Elle mérite alors d’être prise en charge par ses meilleurs enfants, c’est à dire ceux qui la portent réellement dans leur cœur,ceux qui l’étudient et ceux qui la développent. La langue tamazight est menacée de disparition si rien n’est fait en urgence pour la sauver.Ceux qui aiment cette langue doivent alors se réjouir de cette nomination, bien que le chemin qui reste à parcourir est lent, sinueux et rude pour prétendre précocement que tout est acquis pour cette langue suite à la création de cette académie.Le travail le plus dur nous attend pour crier à la victoire.Les obstacles seront nombreux, qui viendront pour tenter de l’étouffer ou de s’y opposer.Pourquoi tu dis  » Kabyle n’est pas forcément Amazigh »? Et toi tu l’es?Tu es venu d’où?De l’Arabie?Si c’est le cas, il faut être intelligent de te poser de bonne questions à toi même et de te culpabiliser avant de jeter le doute sur les origines des autres.A bon entendeur salut!

        mouatène
        10 janvier 2019 - 11 h 19 min

        vous n’avez rien compris ya cheikh. par Saaidi, je voulais dire un saadien. c’est à dire quelqu’un de Saida. et comme vous etes pressé de mettre la charrue avant les boeufs, voila le résultat. remerciez ceux qui vous permettent de vous exprimer de la sorte et bonne continuation.

    Pas simplement une langue
    8 janvier 2019 - 15 h 07 min

    On ne parle pas de langue mais ce qu elle représente en Algérie. On parle de retrouver ses racines algériennes authentiques tant mises sous l édredon moyen orientaliste. Les algériens sont de plus en plus sensibles à ce sujet et pas que les berbérophones, donc un travail sérieux est attendu de la part de cette académie.

    Anonyme
    8 janvier 2019 - 13 h 46 min

    Espérons qu’avec la nomination d’un universitaire à la tête de l’Académie de langue Tamazight les choses iront vite car trop de temps a été perdu pour promotion de cette langue plusieurs fois millénaire chère à tous les Algériens soucieux du développement harmonieux de leur pays.

    L'Etat arabe s'offre l'"cademie" Amazigh
    8 janvier 2019 - 12 h 46 min

    Thamazight sans liberté est juste un instrument de plus entre les mains du régime arabe et islamique

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