Le Trésor public menacé de faillite : les décisions urgentes d’Ahmed Ouyahia

enquêtes
Ahmed Ouyahia. D. R.

Par R. Mahmoudi Une nouvelle instruction du Premier ministre vient d’ordonner à tous les ministres de prendre des mesures urgentes pour réduire et éponger les dettes des entreprises économiques publiques de leurs secteurs respectifs avec le Trésor public.

La raison est que le Trésor public est aujourd’hui menacé de faillite en raison de l’accumulation des dettes, de l’incapacité des entreprises publiques à s’en acquitter dans les délais, ainsi que de la possibilité de recourir à de nouveaux emprunts auprès des banques et du Trésor, ce qui aurait un impact négatif sur l’économie nationale et les revenus publics.

Cette instruction portant le numéro 16/12, et adoptée suite à la réunion du conseil d’administration du Conseil de participation de l’Etat du 12 décembre 2018, présidée par le Premier ministre en tant que président du conseil, prévoit un certain nombre de mesures et d’ordonnances pour les ministres des secteurs concernés afin de faire face à l’accumulation de la dette et à la situation catastrophique de la plupart des entreprises économiques publiques, qui «menacent désormais le Trésor public de faillite», comme indiqué explicitement dans le même document.

L’instruction stipule que les ministres de divers secteurs sont tenus de suivre les recommandations issues du Conseil de participation de l’Etat afin de lutter contre la détérioration de la situation financière des entreprises publiques, notamment en ce qui concerne leurs dettes.

Le Premier ministre a ainsi ordonné aux membres de son gouvernement de mettre en place des comités ad hoc au niveau de leurs départements, lesquels sont appelés à rendre compte périodiquement de la situation  de ces entreprises au ministre du secteur.

La directive du Premier ministre enjoint également aux PDG de ces entreprises de faire leurs propositions sur les procédures à suivre pour payer ces dettes et leur accorder la plus haute priorité, tout en les obligeant à soumettre des rapports périodiques à leur tutelle sur la situation financière de leurs entreprises ou leurs groupes, ainsi que sur les procédures qu’ils ont suivies.

R. M.

Comment (70)

    Anonyme
    15 janvier 2019 - 5 h 20 min

    Le trésor public risque la faillite mais pas vous les politiques oligarques en Algerie en tout cas pas vos comptes perso bien remplis et bcps ont acheté des biens a l étrangers ; la vie est belle et la toujours été pour vous ; le trésor public algerien devrait non seulement saisir les comptes a étrangers de certains et les richesses biens amassé et surtout biens mal acquis qui appartient justement au peuple algerien et a son trésor public alors pour qui roule t il ce trésor public pour un groupe de personnes au pouvoir ou pour l Algerie et son peuple? ;Qu il commence à récupéré les voitures des députés qu ils ne veulent pas les rendre et demander les créances des entreprises étrangères qui exercent en Algerie 59/41 ainsi que ttes les taxes comprises . Tout s explique dans la vie ; un état riche un peuple pauvre et ce Monsieur notre PM Joe Dalton qui est au pouvoir depuis 1990 déjà PM à cette époque aussi donc presque 38 ans n a rien fait de bons pour la pays quand regarde bien et on fait son bilan perso , mais alarmiste et annonce toujours la misere ou le danger voir le mal pour l Algerie et son peuple pas pour eux par compte et aime faire peur au peuple donc joué avec les peurs ca marche très bien meme en Europe et état de droit et vraie démocratie ; la peur ca fonctionne partout mais a d autres cette fois ci Mr Ouyahia vous avez acheter une raffinerie à la casse pour 1 milliard de dollars, nous avons prêter 5 milliards de dollars au FMI tiens ou sont ils au FMI maintenant , nous avons effacer 1 milliard de dettes aux pays africains et pour les algériens il y a r en comme dab que le bail soit a 150ou 20 dollars c est la meme pour l algerien(ne)on se jettent a la mer on vaut rien à vos yeux comme dab on s en fout de ce peuple il sert a rien c est un peu ca il mérite pas ; qu avons fait au bon dieu pour méritez des responsables politiques aussi véreux et pourris l Algerie et son peuple sont maudit a ce point car c est une vraie malédiction depuis notre indépendance 62 ; il y a bcps de solutions à apporter et l Algerie en est capable mais la première c est de laisser libre vos places que vous occupez vous et vos sbires aux responsabilités depuis mathusalem à bien plus compètent et plus transparent que vous tout simplement car votre système est opaque et les algerien(nes) ont n en marre de vous. .

    Anonyme
    15 janvier 2019 - 2 h 33 min

    Mais qui sont donc les responsables d’une telle banqueroute ? Il n’y en a pas ?!? Personne n’a donc rien à se reprocher ?!?
    Ce n’est en tous cas pas le peuple algériens qu’il faut blâmer, mais bien ceux qui ont le pouvoir de décision, ainsi que leurs laudateurs intéressés et insatiables, qui vont bien finir par mettre le pays à genoux avant de l’achever.
    Et dire qu’ils veulent, et tiennent à tout prix (sic), que fakhamatouhoum rempile encore et encore… le temps de bien siphonner les coffres jusqu’au dernier centime !?!

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 23 h 55 min

    L’Endettement en lui-même n’est pas un suicide s’il sert VRAIMENT la bonne cause et ne se retrouve pas dilapidé par des incompétents.
    Quel pays au monde n’a pas de dettes.
    Mais au lieu de s’endetter pour importer (horreur!), construire des mosquées ou faire fonctionner l’oligarchie…visons des prêts à long terme directement avec un pays sous forme d’investissements/intégrations (Djendjen).
    Maintenant, il ne sert à rien de former des têtes pour les offrir à l’Étranger et faire venir des coopérants, ou de monter du diesel que l’U.E abandonne.
    Donnez un appartement à un couple et voyez la composition de sa famille et son orientation en 10 ans !
    Apprenez la notion de travail et laïcisez les citoyens, sans cela point de salut.
    ====L’Occident est patient, il attend qu’on mette le 2eme genoux à terre…====
    2030 bicentenaire de la traitrise franco-Maroco-ottomane, qu’allons nous dire à nos enfants s’ils manquent de médiathèques ou de mosquées?
    En effet 2019 va être brulant, et pas qu’en Algérie chers voisins, ne vous réjouissez pas si vite, et peut être vous les premiers !
    Il est affligeant de voir dans un reportage sur nos vergers (C.A) pendant toute la durée du film on avait droit au tracteur pulvérisant les pesticides !?!?!?!?!?
    Personne ne peut dire à nos ouvriers de ne pas jeter avec violence la marchandise au sol mais de la poser avec attention???????? Éduquez-vous !

    Soumia
    14 janvier 2019 - 23 h 28 min

    « Le Trésor public menacé de faillite… ».
    Ce n’est pas d’aujourd’hui que le Trésor Public est menacé de faillite. C’est depuis jUILLET 62 que la faillite a débuté…

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 23 h 09 min

    mais si ouyahia c’est le resultat de ta gestion ou tu es devenu amnesique?

    Chibl
    14 janvier 2019 - 21 h 52 min

    En fin la misère a un visage.

    Chibl
    14 janvier 2019 - 21 h 41 min

    De petits bacheliers, une petite licence en n’importe quoi, beaucoup de MAARIFA et vous avez un indéboulonnable premier ministre qui decide de tout et de rien.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 20 h 10 min

    un bon conseil ,une deuxième planche a billets que tout le monde en profite

    pacifico
    14 janvier 2019 - 19 h 47 min

    tonton AIE YAH YAH, imprimez de l euro directement ,ainsi vous aurez 220 fois la valeur du dinar, pourquoi etre alarmiste la vie est belle.

    Baka
    14 janvier 2019 - 19 h 32 min

    Dites se que vous voulez ouyahia ou autres. Nous sommes que des sujets assistés depuis 62.vou avez rien à craindre car vous et le système putschiste à réussi à nous faire avaller la pilule avec des gifles sans cris de détresse grâce au 2 clapets antiretour :nif et ennemis extérieurs. Mais jusqu’à quand ?

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 19 h 18 min

    Le Trésor public menacé de faillite : les décisions urgentes d’Ahmed Ouyahia
    On ne fait pas du neuf, avec du vieux, l’Algérie, et son économie ont besoin de sang neuf
    La crise d’aujourd’hui, est l’accumulation des problèmes, des déficits, des déséquilibres, de dépenses
    De gaspillages crées par
    La gestion imprudente, démagogique, populiste, volontariste, sans stratégie à long terme de sortie de crise
    Du système (1999-2019)
    A la veille des échéances électorales 2019,….., c’est maintenant qu’on commence à découvrir,
    Et à soulever les grands problèmes, les grands déséquilibres macro-économiques, et micro-économiques,
    Les grands déficits structurels, et les grands maux de l’économie nationale, ?!,…
    Une véritable campagne présidentielle…..économique, avant l’heure
    Alors que l’homme « aux sales besognes », aux tendances libérale-bourgeoise, et anti-populaire,
    Etait derrière l’émergence, l’encouragement, et la domination de l’oligarchie bourgeoise, riche, protégée, Compradore, parasitaire, marchande, des importations de tout, et des services divers,
    Et des bradages des fonciers (1994-1999)
    Le pays a besoin de l’alternance de pouvoir, de vrais changements, et de réformes crédibles,
    Et démocratiques, des institutions paralysées, pris en otages,
    Et de l’économie rentière-pétrolière, structurellement déséquilibrée, et en faillite
    Qui ne produit, et exporte que du pétrole, et qui importe tout, (1999-2019)

    Med
    14 janvier 2019 - 18 h 58 min

    N’oubliez pas que Ouyahia eat un diplome de l’ecole national d’administration???? C’est un bureaucrate qui ne comprend pas que le monde a changer et que la technology control le développement. Les Etat Unis ont 2 grands partis politiques alors que l’Algérie a un trentaine. C’est de la rigolade. Ils font tous du bla bla bla. Ils sont tous payer par l’argent du petrol. Les hanoune et les Mokri. Ils ne représentent pas le peuple. La seule chose qui sauveras le pays est que le peuple ce reveille, met fin a la mafia qui a ruiner le pays et ce met au travail. Comme ils ont fait nos Chouhadas.

    Citoye
    14 janvier 2019 - 18 h 54 min

    Avec tous les actifs a lexterieur du pays on nous parle de faillite lool
    Ils ont vraiment pas de scrupule ces
    Gangster qui pille le pays .

    La Fourmi
    14 janvier 2019 - 18 h 44 min

    Quand le pays était prospère aucun dirigeant n’avait songé à l’avenir du pays. Ça dépensait à profusion à jouer au bourgeois,malgré les messages alarmistes émanant de quelques économistes intègres.
    Alors,pas la peine de crier famine la cigale! Tout le monde sait où sont passés les sous!
    Je dirait plutôt, dansez maintenant!
    Signé La Fourmi.

    le niveau
    14 janvier 2019 - 18 h 25 min

    aalabiha casse-croute garantita welat 50DA

      Karan
      14 janvier 2019 - 23 h 13 min

      Karantika elle est toujours a 30 da fi wahran

    Habib
    14 janvier 2019 - 18 h 12 min

    Ouyahia l homme qui ne croit pas en lui et il le sais .

    Karamazov
    14 janvier 2019 - 17 h 38 min

    Le Trésor public menacé de faillite ???

    N’importe quoi ! 

    Moua je souhaite rendre ,ici un grand hommage à notre vénérable Ouyaya pour sa trouvaille dont même Dieu autre fois si généreux quand il s’agissait de nous gratifier de la Begra n’a pu eu l’idée.

    Rien que pour la plancha ya si Ouyaya , je te dirai Ma3ek ya Ezzine dhalimoune oula medhloumoune ! Grâce à la Plancha nos entreprises pourraient faire des déficits revolving permanents.

    Beza3 loulou ya Khouya !

    L'Afrique du nord mchette
    14 janvier 2019 - 17 h 14 min

    – Vouloir garantir un niveau de vie semblable aux pays développés sans en avoir les moyens perennes fût une erreur monumentale .
    – Implanter l’Arabisation et la religion dans le systeme politique a été une faute impardonnable.
    – Ne pas avoir réussi à juguler la corruption (importations, marchés, contrats…) va mener le pays au chaos .
    – Avoir continué à commercer…avec le colonistauer qui nous assène des coups de toutes parts et chaque jour plus forts nous a fait reculer dans tous les domaines.
    – Comme les hauts placés ne veulent pas se punir eux-mêmes au sujet de leurs tentations et leur incompétence, seul une prise de conscience populaire, mais alors avec des sacrifices énormes, pourrait peut être commencer à remettre les choses en place.
    – Vite remplissons-nous les poches avant la cata. Si ça privatise on achètera.
    – Il faut apprendre à travailler et se taire et ne pas multiplier les annonces de réalisations, de production record, de donner des statistiques du pays et dévoiler les plans pluri-annuels à tout va pour attiser la jalousie des ennemis !
    ##Personne ne parle du Vietnam, mais en sourdine il avance vers le développement comme tous les pays asiatiques!##
    Chez nous tout est mis à découvert pour mieux être attaqués. Il ne faut pas parler de projets…c’est votre travail ! nous on aime apprendre les choses une fois réalisées.
    Renforcez nos médias (TV et presse à l’état des années 70) et développez-les c’est la 2eme force apres l’Armée !
    Remettez les Français (et non la France!) en première ligne sans craindre les faux frères Arabes.
    Les pays Arabes ou Musulmans nous ont causé le plus de torts, vrai ou faux?
    Une vache peut nourrir une grande famille mais pas tout un village !
    La Chine a su limiter la démographie (trop) et elle a aussi réussi à la remettre en route (à temps).
    Quand on voit la travailleuse..;complexée crispée sous son foulard on réalise qu’on est pas sortis (nos enfants aussi) de l’auberge !
    Sur ce, je lève mon verre à la votre ! et ce n’est pas du rayeb importé en poudre à sachet!
    Et pourtant, les premiers mots de la révelation ont été : Iqra’ et en insistant !
    Là c’est plutôt : Pleure !

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 17 h 12 min

    Le trésor national en faillite et vous attendez un solution de Ouyahia l’homme qui a détruit l’economie national. C’est grave. La majorité des sociétés déficitaire. Un pays qui depend du pétrole depuis 62?? Des sociétés national avec des dizaines d’agent de sécurités, des dizaines de chauffeurs pour les PDG et leurs femmes??? Un pays avec la majorité des travailleurs dans l’armée, la police et la gendarmerie?? Qui vas payer leurs salaires??? Les prix du petrol en chute libre? Et vous croyez que Ouyahia et la solution?? Bon courage???

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 16 h 04 min

    La seule décision qu il devra prendre c est de prendre ses clik et clac et rapidement avec tous ses énarques administrateurs (wali , chefs de daira , sg ) qui ont menè l Algérie vers la faillite et le chaos !

      Kouder Belala
      14 janvier 2019 - 17 h 18 min

      S’il y avait que cela seulement mon ami, la vérité « CRU » celle là c’est que la majorité de nos entreprises étatique sont gérer par des petits COPAINS d’en haut, donc des « BRAS CASSER » dans le jargon technico/économique. Leur majorité cherche seulement comment faire du business à titre personnel, se flanquer de missions BIDON à l’étranger en gonflant les frais de mission. J’en connais un BON BOUT car j’étais avant ma retraite CADRE TECHNIQUE sous la houlette d’un ZIGOTO parachuté qui ne connaissais rien à notre entreprise ni à ses débouchés « HÉLAS c’est une triste VÉRITÉ qui fait mal au cœur!!!. Aller savoir le pourquoi de ces promotions ou parachutage dans nos entreprise qui ne rime aucunement avec les réalités du terrain??? On dirait que c’est voulu quel part!!!!!

    Et Le Tour est Joué !
    14 janvier 2019 - 15 h 43 min

    Il a omis de nous expliquer qu’il a mis l’équivalent de 40 milliards de dollars en circulation, sous la forme de billets algériens,tirés sur la planche à billets magique pour « résorber la crise financière « . Résultat : la crise est toujours là et au mieux de sa forme,malgré les 40 milliards de dollars soustrait au trésor publique,sans parler des devises détournées de manière informelle au profit de comptes off-shore illégaux.
    Au lieu de faire face aux réalités du pays,on préfère faire semblant que tout va bien,et puis soudainement on crie au loup. Déstabilisé,le citoyen est brutalement mis dans une situation qui l’obligé à accepter l’austérité sous toutes ses formes,et sans broncher. Et le tour est joué !

      Lghoul
      14 janvier 2019 - 16 h 45 min

      En effet, c’est l’équivalent de 40 – 45 milliards de dollars qui ont été injéctés au circuit publique. Savez vous avec quoi ils vont les couvrir ? Le ministre des habousse vient juste d’annoncer qu’il va recruter plus de 2000 imams. El Hemdou Lilah, le peuple ne manque de rien sauf d’un nombre suffisant d’imams pour nous reveiller a 4 heures du matin 7 jours sur 7. Et le reste ? Le travail par exemple ? C’est simple: il faudrait juste suivre avec fébrilité les cours du pétrole avec des milliers de « daawas » journalières pour que le pétrole remonte a plus de $100 – Inchallah, amen. Et tout ira bien.

    Corso
    14 janvier 2019 - 15 h 26 min

    Un type est allé retirer de l’argent à la banque. On lui a donné à la place de l’argent, une petite imprimante pour lui faire gagner du temps et lui éviter ainsi un aller retour pour un service dorénavant personnalisable.

    Felfel Har
    14 janvier 2019 - 15 h 03 min

    Les dettes des entreprises publiques sont normalement exigibles (en majorité) auprès d’autres entreprises publiques, (dettes inter-entreprises), zitna fi dqiqna en quelque sorte, et elles sont le résultats de la mauvaise gestion des contrats publics. J’ai encore en mémoire le cas de cette entreprise nationale de bâtiments qui réalisait des logements pour le compte des wilayate dans le cadre d’opérations planifiées et dûment financées par le Trésor Public. Les crédits étaient gérés par le trésorier de la willaya et devaient être libérés sur présentation d’états d’avancement des travaux. Il n’en fut rien! Les logements ont été finis et distribués et ont été financés par le découvert bancaire, en l’absence de paiement du wali qui ne se privait pourtant pas pour s’approprier son quota de logements afin de servir sa « clientèle ».
    Par ailleurs, l’obligation de la prise en charge par l’entreprise publique de certaines missions sans compensation financière de l’État, plus sociales qu’économiques (recrutement d’anciens moudjahidine, de la cantine, du transport du personnel, des colonies de vacances, des coopératives de consommation, de centre médico-sociaux) couplée au mauvais choix des gestionnaires et l’imposition de la GSE, a fortement obéré la rentabilité financière de l’entreprise, qui, privée de ressources propres, a accumulé des dettes. L’État a failli dans sa mission de bien réguler l’économie et d’assainir l’environnement dans lequel se débattaient ses entreprises.
    Le mal est fait. Il faut maintenant mettre la main au portefeuille (le Trésor Public). Il est dommage que cela n’ait pas été fait quand la manne financière le permettait. Au lieu de sauver ses entreprise, l’État s’est employé à remplir quelques poches profondes et à la dilapider en projets pharaonesques budgétivores.

    Farida
    14 janvier 2019 - 14 h 47 min

    La planche a billets ? C’est le dernier clou du cercueil Algérie. Comme c’est facile de printer des billets de banque quand ils n’ont pas d’équivalence en richesse ! Qui ne sait pas faire marcher la planche a billets ? La chimère en chair et en os.

    Francis Blanche !
    14 janvier 2019 - 14 h 41 min

    Ce grand comis(que) de l’Etat nous fais rire jaune par une situation économique qui devient anxiogène. dans un sketch qui dure depuis une vingtaine d’année. Il a été l’homme qui a pris les pires décisions économiques du pays (la loi de finance 2009, la règle 49/51, la chasse et l’emprisonnement des cadres, la loi sur la diaspora versus éligibilité des fonctions, ect….) bien sur tout cela avec la bénédiction du président. Il est temps que le sketch se termine, la situation n’est plus risible mais devient cauchemardesque.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 14 h 35 min

    Tiens tiens tiens………
    Faisons appel au Polisario il va nous résoudre la problème
    Pourquoi pas, nous les avons soutenu pendant plus de 40 ans

      ???? ????
      14 janvier 2019 - 16 h 24 min

      Esclave de mimisex, les composants de la Zetla royale (???? ????) ont été changés ?

    Sur Les Cactus!...
    14 janvier 2019 - 14 h 08 min

    Tiens tiens! On dirait que l’autruche est forcée de retirer sa tête des sables dans lesquels elle la tenait cachée pour fuir les réalités du pays. La planche à billets avait pris le relais en attendant,mais là on dirait que le Dinar, qui ne vaut pas un clou, a soudainement déserté les caisses du trésor public. De l’encre y’a madame l’Autruche, de l’encre! les chinois en ont en plein ! Mais à mon avis ça n’est pas la solution !
    Pourquoi avoir renvoyé sur les roses (sur les cactus de figues de barbarie serait une connotation plus juste) et verrouillé portes et fenêtres aux investisseurs algériens qui veulent fructifier les richesses du pays? On n’en serait pas là à attendre le FMI.
    Madame l’Autruche et Cie ont systématiquement mis le potentiel de la production locale au placard, ouvert la porte aux copains pour s’enrichir, tout en se voulant les Followers d’une économie mondialiste qui pompe les richesses et ressources des pays tiers mondiste pour les offrir,pieds et poings liés au FMI. Lamentable! En attendant, certains pays européens profite au maximum du génie managérial d’une élite algerienne, qui investit brillamment et à qui on déroule le tapis rouge sans réfléchir 2 fois,mais… à qui on continue à tourner le dos ici!
    Et bien madame l’Autruche,ne dit-on pas qui sème le vent récolte la tempête?

    karim
    14 janvier 2019 - 13 h 41 min

    l exemple de la mauvaise gestion de la sonelgaz est edifiante a plus d un titre. en effet le grave deficit de cette ste tres tres mal gerees notamment avec des recrutements exageres d agents sans aucun niveau surtout a bejaia par piston comme a la sonatrach .en plus les retraites de sonelgaz ne paie que 1% de leur consommation de gaz et electricite. c est aberrant. et il prevoit d augmenter les prix aux autres consommateurs pour reduire leur deficit.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 13 h 40 min

    Si j etais president j ordonnerais un audit aux entreprises etatiques et fermer celle qui sont irrecuperables et privatiser les autres apres assainissements…..l Etat doit se degager de ce lourd fardeau dont seuls sont les ouvriers et leur direction responsables de la mauvaise gestion……oui c est la mauvaise gestion ,l egoisme et l opportunisme profiteurs qui sont les principales causes de leur faillite.il n y a pas d autres solution.Le contribuable n est plus en mesure d accepter ces depassements dans la gestion des biens publics..mieux vaut donc s en debarrasser et laisser le prive fournir les efforts indispensables…..L urgence aujourd hui est de convoquer les electeurs pour le mois d Avril pour les presidentielles….sinon la rue eclatera pour les balayer dans la poubelle de l histoire une fois pour toute….L ANP est formee de patriotes elle n obeira pas aux directives des corrompus qui ont mene le pays au bord du gouffre…

    Bibi
    14 janvier 2019 - 13 h 11 min

    Monsieur, il faut créer au plus vite un billet de 5 000 dinars puis un billet de 10 000 dinars afin de diminuer le nombre de billets en dinars dans les poches des citoyens ? Voilà, ce qu’il faut faire.
    Ensuite, la politique économique devrait vous inciter à imprimer le plus de billets possible, mettre en circulation 1000 milliards de dinars en billets tout neuf. Puis, dans 06 mois, remettre 2000 milliards de dinars afin de transformer le pays en franc CFA africain. Nous comptons sur vous, pour agir rapidement.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 13 h 10 min

    Une solution urgente c est la privatisation au moins partielle des entreprises etatiques….l Etat doit se concentrer sur les grands projets d infrastructures,l education,la sante,la defense,la securite…etc.et laisser le secteur prive se developper convenablement en mettant a sa disposition toutes les facilites administratives….etc. La lutte contre la corruption est la plus grande priorite pour le nouveau gouvernement apres les elections d Avril 2019….
    Faillite ou pas faillite rien ne sert aujourd hui de semer un chaos bien espere par la classe actuelle au pouvoir..
    Restons calmes mais manifester sa colere pour exiger du pouvoir autour de Bouteflika d annoncer solennellement la convocation des electeurs pour le mois d Avril (la date doit etre fixee) pour les elections presidentielles…..c est vraiment du jamais vu dans les annales politiques ,a moins de 3 mois on est toujours dans le flou.

      Kouder Belala
      14 janvier 2019 - 17 h 37 min

      Mon ami cela se voit dans ton commentaire que tu n’as rien compris au sketchs en cours à coté de la plaque; dis toi bien que la plus part d’entre elles reçoivent des ordres de donner/remettre/livrés au ADM et autres communes….. , de charger du ciment, de remettre des téléphones vidéo, des cables etc.., de remettre du gravier du sable mème de l’eau en bouteille pour SAIDA et la liste est longue encore!!!!!!! Comment voulez que ça marche sans qu’ils ne soient payés en retour dans les 03 mois qui suivent????? Et ça se dit crouler sous les dettes?????????

    Conseils à tonton Ouyahia
    14 janvier 2019 - 13 h 09 min

    Encore une fois c’est la preuve flagrante de l’échec du programme de Bouteflika que tout le monde soutient et adule depuis presque 20 ans !

    Petits conseils à « Ouyahia and Co » :
    1/- ne parlez plus du programme du Président, çà vous rend ridicule
    2/- en attentant que « rebi eferadj », il est préférable de fermer en urgence et avec des cadenas les entreprises qui ne produisent que du vent (c’est à dire rien) pour ne pas aggraver leurs dépenses de fonctionnement et leurs charges (essence, électricité, téléphone fixe et mobile, papier, encre d’imprimante, etc… etc… ). Il faut juste continuer à payer les salaires pour éviter la révolte tout en demandant aux personnels de rester chez lui car l’entreprise gagne plus à voir ses personnels rester chez lui plutôt que de l’obliger à se déplacer sur le lieu de travail juste pour fumer des cigarettes et prendre des café dans les bureaux !

    MELLO
    14 janvier 2019 - 12 h 42 min

    Non, le cours du pétrole n’est pas la cause principale de la dérive de notre pays. L’Algérie va mal, l’Algérie est malade de ses dirigeants qui ne savent pas analyser les séries de Fourier . Pourtant la vie d’un pays reste une suite d’événements cycliques qui tendent ,par une amélioration de gestion afin d’en assurer la convergence des forces capitales du pays , à savoir la capacité humaine.
    Si notre développement dépendait du cours du pétrole, qu’ont ils fait tous ces dirigeants ( président, ministres,sénateurs, députés ,directeurs centraux, etc…) lorsque cete ressource faisait 140 Dollars le baril ? Que ce pétrole fasse 140 ou 50 Dollars, le résultat est le même et le trésor public ne peut en aucun être impacté, puisque les lois des finances se basant initialement sur 37 Dollars, puis sur 50 Dollars ces dernières années. La différence avec le valeur réelle du pétrole est versée dans un autre compte dénommé le fond de régulation des recettes. Dans toute cette histoire, l’Algérie possède une force juvénile âgée en moyenne de 30 ans représentant 60 % de la population, un véritable creuset de développement, mais le pouvoir l’à marginalisé, comme ils l’ont fait avec Rebrab qui pouvait faire sortir notre pays de ce marasme.

      soleil
      14 janvier 2019 - 17 h 56 min

      c est bon on est en faillite,n importe quoi une personne écrit ça et tous le monde tombe dans le piège de ces charogne qui ne rêve que de ça,comment explique qu un pay qui n a pratiquement pas de dette extérieur puisse être en faillite,alors que nous avons malgré tous 80 milliards de dollars de réserve,je ne suis pas économiste mais je me pose la question,nos voisin son étrangler de dette et jamais je les est entendu parler de faillite,je ne défend pas le pouvoir,car il a trop de chose a ce faire pardonner,je suis critique sur énormément de chose,mais quel est le pay aux monde qui n a pas de problème même les plus riche,regarder les usa vive a crédit normalement il sont en faillite depuis une décennie,la France ou les gilet jaune se sont réveiller,il se sont aperçus qu il était devenue esclave du système,Kennedy disait ne regarde pas se que votre pay peut faire pour vous, mais vous ce que vous pouvez faire pour votre pay,de belle chose on était faite dans notre pay en une décennie,je ne dit pas que tous est parfait,il reste beaucoup a faire,a nous de relever le dèfie,et n oublier pas mes frère et soeur que nos ennemie nous guette et jette de l huile sur le feux,

        Anonyme
        14 janvier 2019 - 20 h 18 min

        Les ennemis ? Les ennemis sont en Algérie. Tous ceux qui s’arrogent le droit de mettre la main sur la rente, tous ceux qui écartent les véritables cadres et universitaires patriotes , sont les ennemis de notre Algérie. La faillite ne peut qu’être l’oeuvre de ces vautours sans conscience. L’Algérie doit revenir entre les mains de ses vrais enfants.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 12 h 06 min

    Et votre solution miracle ,la planche à billets . Il n y a plus d encre ?

    Abou Langi
    14 janvier 2019 - 11 h 36 min

    « Une nouvelle instruction du Premier ministre vient d’ordonner à tous les ministres de prendre des mesures urgentes pour réduire et éponger les dettes des entreprises économiques publiques de leurs secteurs respectifs avec le Trésor public. »

    Non, mais ! Franchement , et quoi encore ? Si ce n’est pas une façon sournoise de demander à nos entreprises publiques d’être performantes , et un jour peut-être de faire des bénéfices , ce serait quoi de plus insidieux encore ? Si ça continue on exigera aussi aux entreprises privées de s’autofinancer et de trouver les devises qu’il leur faut sur le marché à leur prix réel.

    Là , exagère , car on voudrait s’attaquer à ce qui fait notre identité nationale qu’on ne s’y prendrait pas autrement.

    Sortir de l’économie de la rente est une grave atteinte à nos constantes nationales. Nos entreprises sont à l’image de notre société et nous valent aussi bien. Leur demander de payer leurs dettes c’est tout simplement leur demander d’exploiter le travail , pardon, le service que leur rendent leurs collaborateurs . Ne serait-ce pas là une façon déguisée de les spolier de leur droit à la rente ?

    Il y a une façon très simple d’éponger ces dettes , c’est tout simplement de les effacer et de bannir ce mot du jargon économique.

    lhadi
    14 janvier 2019 - 11 h 26 min

    Confronté à la chute drastique du baril de l’or noir et l’or bleu ainsi que les réserves de change qui s’amenuisent comme peau de chagrin, le premier des ministres instruit les obséquieux serviteurs de l’Etat à préparer le citoyen à affronter la politique de rigueur alors que d’autres solutions existent pour relancer la croissance économique.

    En effet, comment comprendre qu’au moment où il recourt pleinement à la planche à billets, le premier des ministres n’en profite pas pour freiner la mégalomanie du P.D.G de la Sonatrach qui ne cesse de faire des investissements à l’étranger alors qu’il y a beaucoup à faire en Algérie.

    Le manque de cohérence politique constitue un problème sérieux auquel le premier des ministres se doit de s’atteler à mettre fin.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    elhadj
    14 janvier 2019 - 10 h 40 min

    ce constat reflète donc que le pays est en faillite d ou l urgence et la nécessité de participer massivement au prochain scrutin afin sanctionner par les urnes ce régime a l origine de la très mauvaise gestion des ressources du pays et le choix d un président jouissant de toutes ses facultés mentales et physique pour le redresser et de la restauration des libertés démocratiques, de la mobilisation de la société et de la participation des partis politiques d opposition pour les mesures obligatoires d éviter au peuple et au pays de s effondrer. les résultats de la planche a billets tant décriés par les spécialistes révèlent donc ses conséquences désastreuses

      elhadj
      14 janvier 2019 - 13 h 36 min

      des ministeres budgetivores qui ne sont pas d utilite publique urgente doivent pour des raisons économiques disparaître et les services rattaches ou regroupes a des ministères de souveraineté , notamment les Moudjahidines a la défense nationale dont le budget énorme devra être revu en baisse ,les affaires religieuses avec le ministère de l intérieur,la solidarité, conditions féminines,formation professionnelle avec le ministre du travail ;l énergie avec l industrie.les salaires classes de 1 a 10 selon le SMIG,le budget de l état ,civil ou militaire ,devra être soumis dans son ensemble a un contrôle méticuleux quant a la régularité de son exécution,la suppression des fonds spéciaux.pour convaincre dans un esprit de justice partagée les citoyens a subir les affres de l austérité et de l inflation il faut d abord donner l exemple en haut lieu.en tout état de cause il semble a priori que le pays est au bord de la faillite a cause de sa mal gouvernance par le système actuel qui a trop dure

    Fellag
    14 janvier 2019 - 10 h 37 min

    Où est allé nôtre argent, dans une vraie république,les premiers Ministres seraient condamnés sévèrement…

    Zaatar
    14 janvier 2019 - 10 h 05 min

    Et dire qu’il y en a encore qui disent et qui croient qu’on a une économie, un PIB, des sources de richesses…etc. ils ne doivent certainement pas connaitre Kouar oua3ti la3ouar. C’est exactement la façon de faire de nos dirigeants, et donc si faillite du trésor public il y a, cela ne m’étonnera guère…

    Abdel
    14 janvier 2019 - 9 h 38 min

    D’une main invisible qui a tous pillés.

    Où est la justice
    14 janvier 2019 - 9 h 24 min

    Mais où sont passés les mille milliards ? Qui peut nous rendre justice.?

      Anonyme
      14 janvier 2019 - 10 h 22 min

      Dans les banques Européennes aux noms des nababs et dans les investissements sous des prete-nom

      RAS
      14 janvier 2019 - 10 h 44 min

      Quelle justice, celle de la jungle ou le plus fort à toujours raison

    Mohamed
    14 janvier 2019 - 9 h 20 min

    Salam aleikoum,

    C’est grave, très grave, si le trésor public d’un pays est menacé d’une faillite, si certains peuvent comprendre cette situation, je pense que même certains prennent ça à la légère et s’en foutent, si cela arriverait beaucoup de mauvaises choses se produiraient, car la faillite du trésor public c’est c’est pire que d’être attaqué par une bombe H thermonucléaire.
    Cette faillite du trésor public menacerait gravement la souveraineté et la stabilité d’un pays que même notre ANP ne pourrait pas l’endiguer car elle serait désarmée face à cette menace car ce n’est pas de son domaine de compétence, cette menace est pire qu’une invasion armée.
    Cette menace n’est pas issue d’un complot ourdi par l’otan, ou par bhl, ou par les satanistes sionistes, ou par notre voisin belliqueux le maroc ou par l’immigration clandestine des subsahariens, des syriens, des palestiniens ou des yemenites.
    Sérieusement, vous me cassez les pieds par votre paranoïa excessive de l’otan, bhl, des extra-terrestres, des ogres, des croquemitaines qui nous veulent du mal et souhaitent notre disparition et vous ne faites une distraction et un divertissement pour nous faire oublier l’ennemi de l’intérieur que lui seul est à l’origine de la faillite du trésor public qui risquerait de nous faire plonger dans un chaos.
    Je considère que celui qui nous fait divertir pour oublier l’ennemi d’intérieur, ne peut être que son complice.
    L’ennemi d’intérieur qui agit dans l’ombre est pire que de toutes les sommes du danger

      Lghoul
      14 janvier 2019 - 10 h 46 min

      @Mohamed – Tout a fait d’accord. On fait semblant de regarder ailleurs pendant que le pan de notre burnous prend feu. En effet, la ruine d’un pays signifie que le pays sera pris en otage par ses dettes le restant de son existence. Le FMI pour certains (Argentine) et l’Europe pour d’autres (Grèce) malgré que les deux pays produisent de la richesse et la Grèce a un tourisme developpé qui fait rentrer beaucoup d’argent. Que voudrait dire tout cela ? Le budget est décidé et controllé par les autres. Vous avez mentionné l’ANP comme exemple et cela voudrait dire aussi qu’elle ne pourra pas acheter les armes qu’elle voudrait pour se moderniser – donc la neutraliser indirectement et la rendre vulnérable devant toute menace extérieure si son budget est réduit. Ajoutez a cela les reductions des subventions sur tout, les soins des citoyens inclus. Un vrai volcan. Donc quand on dépense plus que l’on gagne, on va vers la faillite. Et en gros c’est ce qui s’est passé depuis 2 decennies: Le gros des « dépenses » était de siphonner les fond ailleurs et « dépenser » dans des projets bidons qui n’en finissent jamais sans aucun contrôle. A chque budget « voté », il ajoutent un « budget supplémentaire et des enveloppe budgetaires ». Voila pourquoi le pays est maintenant ruiné au point ou Ouyahia en personne vient de le reconnaitre. Mais qui payera pour cette catastrophe ? Ce ne seront certainement pas les citoyens qui sont déja déplumés jusqu’aux os. Avoir le luxe de bloquer des Rebrab par exemple, est une preuve que ces incompétents vivent dans leur cocquilles et isolées pendant que le bateau ou ils se trouvent coule. Soit ils s’en fichent car ils ont leur « ailleurs », ou ils sont si incompétents qu’ils ne se rendent même pas compte. Et ils persistent dans leur aveuglement d’avoir le luxe de ne parler que de « mandats », comme si un ou des mandats feront l’effet de la bague magique. que le FLN et le RND se réunissent ou se battent a mains nues, ne changera rien a notre condition économique. Ils sont sous l’effet de la « drogue » du pouvoir qu’ils oublient que l’indépendance du pays est en jeu, eux inclus.

      Anonyme
      14 janvier 2019 - 12 h 18 min

      A cette cadence il faut bien que ça arrive un jour ou un autre ,la mauvaise gestion et la corruption à outrance entraîne toujours la faillite

    Karim
    14 janvier 2019 - 8 h 43 min

    Un système qui dirige le pays depuis plus d’un quart de siècle et qui nous a mené à la faillite. Au lieu e vous excuser auprès du peuple et de déguerpir, vous vous accrochez encore au pouvoir. Honte à vous….

    Lghoul
    14 janvier 2019 - 8 h 38 min

    Les preuves qui prouvent qu’ils ont ruiné le pays et dilapidé ses richesses s’acculument. Le peuple s’en rendra compte le jour ou il ne pourra plus payer pour son repas quotidien. Pendant ce temps, discutons sur un 5ie et ce qu’ould abbas ou belkhadem ont dit on n’ont pas dit. Un plan économique mené dans une une transition nationale pacifique et dépourvue de tous les calculs des rapaces et les vautours ignares, est urgent et necessaire. Sinon, la dégringolade du dinar, suvie de l’improvisation quotidienne est en train de nous conduire doucement mais surement droit au mur. Mais si kouna et compagnie vont nous parler de la feuille de route et du fameux programme. Dans quel pays une situation comique pareille existe. Que voudrions nous de plus pour comprendre que la seule issue de secours pour le pays est de commencer avec une page blanche avec des gens compétents et intèges, pas en s’entourant de rapaces et de goinfres incompétents qui préparent leurs arrières a dubai et istambul.

    Hibeche
    14 janvier 2019 - 8 h 12 min

    Que ceux qui ont mené le trésor public, donc l’état, à la faillite partent . Sinon c’est la dislocation du pays qui va s’en suivre.

    Brahms
    14 janvier 2019 - 8 h 06 min

    Les pleureuses et les pleureurs. Quant tout va bien, on ne voit jamais la couleur de l’argent et quand cela commence à sentir le roussi, un membre de la caste crie au secours, le feu arrive. Malheureusement, je ne suis pas le pompier pour éteindre l’incendie et je n’ai jamais mangé un centime du produit intérieur brut algérien et ce, depuis l’indépendance de ce pays pour devoir rembourser ce que les autres ont pris pour fuir à l’étranger avec femmes et enfants. Il faut donc aller chez ceux qui ont tapé dans la caisse.

    zad
    14 janvier 2019 - 7 h 54 min

    le.pillage de dernière minute est le plus pernicieux

    FAR WEST
    14 janvier 2019 - 7 h 41 min

    Ça-y-est on touche le fond,au secours la FMI,au secours à la famille d’Oujda,au secours aux faux frères Arabe, s’était prévisible tout le monde attendait ce moment là,ou sont-ils nos sauveurs,les Haddad,les Chakib,les Bouchouareb,les Bensalah,les Saidani,les Tliba et Djemai et les autres, nos caisses sont vide et pourtant le modeste citoyen,il ne mange toujours pas à sa faim,Alors où sont aller nôtre argent, certainement sur l’autre rive

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 7 h 32 min

    Dans les dictatures les sanctions de la mauvaise gestion sont endossées au peuple avec la technique du trésor « public » et les « rallonges » budgétaires des entreprises qui n’ont pas d’autres objectifs que la clientelle. Aucun critère de gestion sinon celui de l’indulgence politique pour les amis qui y sont placés. Après le désastre et à l’approche des « élections » on nous vend la « veille » sur les « dette »

    Karim
    14 janvier 2019 - 7 h 14 min

    Entre les mises en application des directives du programmes du Président depuis 20 ans et leurs applications par cet homme depuis 23 ans… On se doit de se poser de vraies questions quand on met 1 heure quotidiennement pour faire 7 km en voiture avec un bon tronçon d’autoroute en plus.
    Franchement les gars, il y a moyen de faire un peu mieux.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.