Vers un soutien de l’islamiste Djaballah à la candidature du général Ghediri ?

Djaballah leader
Abdallah Djaballah. PPAgency

Par R. Mahmoudi – C’est la question que se posent nombre d’observateurs après la dernière sortie du leader islamiste appelant à un large rassemblement autour d’une candidature unique de l’opposition, sans afficher une préférence précise pour le moment.

Dans son plan, Abdallah Djaballah prévoit de rencontrer, dans les prochains jours, trois candidats à la candidature : Ali Benflis, Abderrazak Mokri et Ali Ghediri. Mais il sait d’emblée que celle de l’ex-officier militaire est celle qui recueille le plus d’adhésions et suscite le plus d’enthousiasme dans les milieux divers politiques. Le ton radical et le discours de «rupture» que prône Ali Ghediri contre le pouvoir en place semblent avoir séduit le chef du FJD qui, lui-même, se positionne dans l’aile radicale de la mouvance islamiste légale.

Cette tendance recoupe avec des informations évoquant le besoin exprimé par le candidat Ali Ghediri à son entourage de se voir renforcé par un ou des représentants du courant islamiste. Soucieux d’apparaître sous un visage de rassembleur et d’homme de consensus, ce candidat, néophyte en politique, a intérêt à ratisser large dès le départ, soutient-on dans son entourage. Avec un staff trop marqué «démocrate» ou «libéral», il risquerait, selon cette analyse, de se voir coupé de larges segments de la société s’il ne décidait pas de s’ouvrir à d’autres couleurs politiques.

Cela dit, la problématique que poserait un éventuel ralliement d’un homme de la trempe de Djaballah est celui du projet de société que doit défendre le candidat. A moins que celui-ci ait une vision tactique innovante pour s’accommoder de deux options idéologiques antagoniques. A cela s’ajouterait le contentieux historique lié à la position d’Abdallah Djaballah et de ses partisans par rapport, notamment, à l’arrêt du processus électoral de janvier 1992 et au rôle de l’ANP.

Sur ce point, les tirades quasi quotidiennes de son fidèle poulain, le député Hacene Aribi, contre «le mouvement du 11 janvier» et ses promoteurs se passent de tout commentaire.

R. M.  

Comment (44)

    SANS HYPOCRISIE
    6 février 2019 - 9 h 35 min

    Le peuple est en quête d’un « Poutine-Algérien » en mesure de faire un pacte avec le PEUPLE et L’ARMEE et de lancer l’opération de nettoyage pour toute un mandat et le seul candidat en mesure c’est Saïd Bouteflika.

    Pas de barbus pour Ghediri
    5 février 2019 - 21 h 43 min

    Un barbu ne convient pas aux projets présidentiels avec option « la modernité », ce type anti-modernite n’a rien à soutenir, djaballah essaye de se trouver un moyen pour se soutenir derrière quelqu’un et il a tout de suite repérer Ghediri.

    Drapé Dans Les Couleurs De La République
    5 février 2019 - 21 h 01 min

    Djaballah est issu de la mouvance qui rêve depuis des décennies à mettre sur pied une république islamique. Ces gens là sont foncièrement contre une école républicaine,contre la laïcité, contre la modernité, contre la culture, et les arts, contre la révision du code de la famille, contre le statut de la femme et son épanouissement à la maison, à l’école, à l’Université, dans l’espace publique, contre le sport, et contre tout ce qui pourrait contribuer à l’équilibre et à l’épanouissement d’un être humain des 2 sexes. Franchement, vous voyez ce type travailler et dialoguer avec Zoubida Assoul,et Ghediri ? Pourquoi pas, diraient certains. Oui pourquoi pas,mais pour vraisemblablement semer des embûches et des obstacles de bas calculs politique pour discréditer la candidature de Ghediri auprès des républicains.
    Franchement, pourquoi ne s’est- il pas rangé, du côté de Makri? Pourquoi précisément Ghediri ? L’islamisme tente simplement de ressusciter, drapé de couleurs républicaines. Et donc,retour à la case départ des années 90.

    TNT
    5 février 2019 - 20 h 53 min

    Les Algériens face a leur avenir continuité de sombrer dans les profondeurs,ou la sauvegarde de la nation est la remettre en surface, vingt d’essai et bricolage résultat,on est devenu premier ou monde de la corruption,de la trahison,de pillages,de la fraude,et de mensonges, ça suffit maintenant la gentillesse à des limites

    K. DZ
    5 février 2019 - 19 h 07 min

    Un adage dit: il vaut mieux avoir un ennemi qui craint Dieu qu’un ami qui ne le craint pas. Les islamistes ne craignent pas Dieu. Quand on égorge des bébés et on eventre des femmes enceinte ce n’est pas craindre le Créateur c’est le défier. Djabellah (wela madjabche) est un allié encombrant à tout point de vue.

    lalgeried'abord
    5 février 2019 - 19 h 05 min

    L’appel du 1er Novembre 1954 a réuni tous les algériens sans distinction pour une Algérie libre et indépendante.L’Algérie d’abord et avant toutes les considérations politico-partisanes.Notre diversité est notre richesse pour peu qu’on la mette en oeuvre au service de notre pays.L’heure n’est pas au leader-ship voire zaim!L’espoir et l’engouement que suscite Mr Ghediri -l’homme de la rupture-avant l’entame de la campagne électorale laisse présager une victoire que tout le peuple attend pour une Algérie puissante, démocratique et unie dans toutes ses composantes nationales.
    Mr Djaballah n’a pas à en rougir de sa sage décision de prendre le train du renouveau pour Algérie plurielle.Que les autres partis le suivent ,les personnalités politiques, les ONG…
    Que la hogra et les dépassements cessent!L’exemple de l’APN cadenassée doit interpeller tous les citoyens épris de justice.L’heure est grave!

    UMERI
    5 février 2019 - 19 h 04 min

    Le soutien de Djaballa à Ali Ghediri, ne fera que l’encombrer, pour vaincre, il doit être clair dans sa démarche, une alliance contre nature ne le servira certainement pas. Le peuple algérien, attend l’instauration d’une vraie République démocratique,garantissant les mêmes droits, pour tous les algériens, sans exception. Bouteflika, a lui aussi tenté de concilier l’inconciliable entre les démocrates et les islamistes, on a vu les résultats, après 20 ans de règne.Il faut agir comme l’a fait le F L N historique, un ralliement individuel, sans étiquette partisane, à défaut, ce sera un ramassis d’ éléments hétéroclites sous la bannière républicaine.

    Pourquoi Pas Le Soutien De Djaballah ?
    5 février 2019 - 18 h 48 min

    @Argentroi – 16 h 42 min , ya kho je ne suis pas le porte parole de Ghediri pour te dire s’il est pour ou contre les gaz de schistes, mais je suis sûr qu’il est pour l’Indépendance du Sahara occidental ou du côté des Palestiniens que tu as oublié de mentionner dans ta question ! Mais ais au moins la décence d’attendre le début de la campagne électorale pour lire son programme quand il sera publié au moment voulu et après tu donnes ton avis, tu le critiques ou même tu lui poses tes questions si tu le rencontres dans un meeting de campagne ! Une chose : je suis persuadé que tu n’as pas exigé de la part de Boutelfika de publier son programme d’une manière claire et détaillée ou de répondre à des préoccupations précises importantes (comme les tiennes) des citoyens à la veille des élections de 1999, ni même après !
    Moi je ne suis pas celui qui rédige le programme de Ghediri, ni son porte-parole, mais si on en juge par ses premières déclarations et ses premières interviews, il ne me déçoit pas pour l’instant, il faut le reconnaître!

      Argentroi
      5 février 2019 - 21 h 41 min

      @ Pourquoi Pas Le Soutien De Djaballah ?
      D’abord, je n’ai pas dit que tu étais le porte-parole de Ghédiri mais seulement qu’il me sembles que tu es proche de lui du moment que tu prends fait et cause pour tout ce qu’on avance sur lui comme l’indique ton pseudo où tu veux bien que Djaballah rejoigne ton poulain. D’ailleurs, pour ce qui est de moi, je n’ai pas critiqué ouvertement ton candidat sauf de dire que c’est un militaire et donc Djaballah, de par son vécu et son expérience, ne peut se rallier à lui. Et, si tu crois le contraire, c’est ton affaire.
      Et je viens d’apprendre de ta part qu’il est indécent de poser les questions avant que la campagne ne soit lancée : le porte-parole de Ghédiri lui-même n’irait pas à cette extrémité, à cet écart de langage désobligeant. Enfin, j’avoue que je n’étais pas assez pointilleux envers le programme de Boutéflika en 1999, pour la simple raison que je faisais confiance, à cette date, au choix, que tu devines bien, qu’a fait Ghédiri ! Peux-tu lui faire alors le même reproche que tu m’as fais et prendre tes distances avec lui. Allez, sois conséquent avec toi-même !

    Anonyme
    5 février 2019 - 16 h 34 min

    Ce barbu aurait été actionné pour salir la candidature de Ghediri

    Anonyme
    5 février 2019 - 16 h 22 min

    GHEDIRI ALI doit faire très attention à ceux qui lui proposent leurs services; le peuple veut un changement radical prôné par Ghediri. si on ne sait jamais le peuple voit des anciens ou nouveaux khoubsistes ils verront mal ces appuis contre nature qui veulent se recycler chez ali ghediri ! Pour sa crédibilité populaire AliGhediri doit impérativement s eloigner des élus et et oligarches! il a une bonne note du peuple algerien, à lui de saisir sa chance !

    Zone Interdite
    5 février 2019 - 16 h 02 min

    Un obscurantiste ne pourra jamais s’entendre avec une républicain. Les manœuvres de ce gourou religieux sont guidées par la peur d’être sanctionné un jour ou l’autre,lui et ses sbires islamistes pour le mal qu’ils ont fait subir au peuple, et surtout,de voir les partis islamistes interdits d’exercice politique, ou simplement dissous si un candidat républicain, en l’occurrence Ali Ghediri est élu président. Pour rappel, la constitution algérienne interdit de fonder un parti sur une quelconque assise religieuse. Le gouvernement Hamrouche est responsable de cette entorse que le peuple subit à ce jour, et de plein fouet! Deuxième rappel: le charlatanisme est en plein boom dans le pays.
    Décidément, on dirait que Ghediri commence à donner des sueurs froides à tous ceux qui ont piétiné le peuple, la constitution et les droits républicains. Épisode à suivre!

    Un Islamiste et un Militaire? Cela m’interpelle!
    5 février 2019 - 15 h 10 min

    Les Islamistes ne sont ni pour la Constitution, ni pour un Etat de Droit, ni pour l’hymne national, ni pour la République MAIS POUR: Un Etat Islamiste, la Charia, les appels à la prière et le Coran en lieu et place de la Constitution. Les militaires sont pour un Etat Autocratique sous une couverture de façade Républicaine tout en gardant le pays fermé politiquement et économiquement. Quelle est le dénominateur commun des ces 2 acteurs de la société Algérienne? La dictature religieuse ou militaire MAIS la dictature ! Je crois que ce soit ce que l’on appelle la majorité ou l’opposition, à l’intérieur de ces 2 pôles il y des pôles contradictoires, qui n’ont rien en commun mais en parallèle il y a des forces dans l’opposition et de la majorité qui peuvent se rejoindre sur un projet de société moderne, ouverte et prospère. La solution de sorti de crise de mon point de vue: 1/ La recomposition des partis politique doit se faire en Algérie car héritée du passé. Elle doit trancher sur le modèle économique, sociétale et politique. Une restructuration s’impose 2/ Les militaires doivent rester muet et dans leurs casernes en se focalisant dans leur fonction régalienne, la sécurité intérieur et extérieur uniquement, sortir du politique et du business, 3/ La religion doit rester dans les mosquée mais surtout dans les cœurs de façon privé, elle doit sortir du politique car nul n’a le monopole de la religion, nul ne peut se prévaloir d’être l’interface de Dieu. La religion appartient à tout les Algériens d tout bords et elle est clairement mentionné dans notre Constitution. C’est la raison principale de mon point vue qu’aucun consensus ne peut se faire à l’intérieur de l’opposition et la majorité actuelle car à l’intérieur les partis sont aussi divisés qu’à l’extérieur. D’ où la nécessité d’une phase transitoire afin de remettre les choses à plat pour s’aligner sur un mode de société politique, économique, sociétale, cultuel et culturel.

    mergou
    5 février 2019 - 14 h 38 min

    L’auteur de l’article, ainsi que certains analystes nous présentent Mr Ghediri comme étant néophyte en politique, feignant d’ignorer qu’il a déjà su rallier à sa cause de grandes figures telles que Assoul, Aghliz et Ait Amokrane et bientôt d’autres encore. J’invite ces analystes à revoir leur appréciation.

      Show-dz
      5 février 2019 - 15 h 15 min

      @mergou
      Quel opportunisme chez les islamistes.Ils cherchent toujours le plus fort du moment pour assurer leur arrières et rester sur les rails pour continuer leur travail de sape et d’islamisation des mentalités.Mais Ghediri n’a pas le choix que de composer avec eux s’il veut récupérer l’électorat de l’algérie profonde (villages et douars..) qui ne connait que Bouteflika et les mosquées contrôlées par les islamistes.

    Le MSP a choisi son adversaire !
    5 février 2019 - 14 h 10 min

    Le parti islamiste de Makri , le MSP, qui a décidé de partir tout seul au combat, commence déjà à s’occuper de Ali Ghediri alors que le vrai danger c’est Boutaflika et sa troupe FLN/RND/TAJ/MPA/UGTA/FCE.

    Par la voix de Saidi, ex-président du Conseil consultatif national du MSP, ce parti accuse déjà Ali Ghediri de se prendre pour un zaim, un dictateur (rien que çà). Il l’accuse d’utiliser le discours de la menace en faisant croire que Ghediri a dit « ou c’est moi, ou c’est eux (le pouvoir) », alors qu’il n’a jamais dit çà ! Ce cadre du MSP a poussé l’outrecuidance jusqu’à dire que le discours de la menace et de la peur de Ghediri «rappelle tristement celui adopté par l’ex-parti dissous avec les conséquences désastreuses que l’on sait». Quel culot !

    Bref, il ne fallait pas s’attendre à ce que le MSP s’occupe d’abord de s’attaquer au régime de Bouteflika, il ne le ferra pas puisqu’il compte recueillir des dividendes après la reconduction de fakhamatou ! Pour le MSP les adversaires sont ceux qui s’opposent au régime !

    Abou Stroff
    5 février 2019 - 13 h 28 min

    je pense, avec la modestie qui m’étouffe, que la crise en Algérie reflète une lutte à mort entre un monde ancien (le monde dont la rente est le rapport social dominant et dont l’idéologie dominante repose sur une interprétation archaïque de la religion) qui ne veut pas mourir et un monde nouveau (un monde qui reposerait sur le travail en tant que rapport social autour duquel s’imbriqueraient tous les autres rapports sociaux, et dont l’idéologie reposerait sur une critique radicale de la religion, étant donné que « la critique de la religion est la condition préliminaire de toute critique »).
    en d’autres termes, la lutte à mort doit aboutir à la mort de l’un des protagonistes et la lutte à mort signifie clairement qu’il ne peut y avoir de compromis entre les deux mondes que TOUT sépare.
    moralité de l’histoire: tant que nous continuerons à rechercher un compromis (qui ne peut être que bancal à l’image de la soi disant réconciliation à la boutef) entre les deux mondes pré-cités, nous continuerons à tourner en rond, tout en favorisant, indirectement, la perpétuation du monde ancien qui nous empêche de réintégrer la dynamique de l’histoire qui se fait, jusqu’à présent, sans nous.

    Pourquoi pas le soutien de Djaballah ?
    5 février 2019 - 13 h 19 min

    @Argentroi – 12 h 14 min Cher compatriote je suis désolé de te dire que tu te trompes lourdement ! Le soutien possible de Rebrab n’est qu’un élément important pour conforter la campagne contre Bouteflika et son armada ! Djaballah a aussi son mot à dire. L’Algérie a besoin d’une nouvelle république, d’une nouvelle gouvernance, d’un Etat de droit ! Et ce projet Ghediri compte le faire avec tous les algériens, avec toutes les tendances politiques de quelque ligne idéologique à condition seulement qu’elles aspirent au vrai changement de régime politique ! Même la mouvance islamiste cherche cela. Alors pourquoi l’écarter ? La question de l’utilisation de la politique ou du régionalisme à des fins politiques est déjà pris en compte et réglé par la Constitution de 2016 dans son article 52- alinéa 16. L’Etat de droit qu’on bâtira s’occupera de tout çà et çà ne se fait pas en claquent des doigts ou avec une baguette magique. Donc calmons nos chevaux !

    PS : il me semble , si je ne me trompe pas, que Djaballah en tant que chef de parti islamiste n’a jamais appelé comme Ali Belhadj et Abassi Madani à la lutte armée ou à pendre le maquis ! Certes Il est fort possible que des militants d’Ennahda aient rejoins le FIS mais la direction politique n’a jamais encouragé cette solution ! Certes Djaballah rêve toujours d’une république islamique régit pas la Charia, mais je pense qu’une solution pareille ne sera jamais possible dans un authentique Etat de droit qui consacre le respect des libertés, le respect de la liberté de culte et de la liberté de conscience !

      Pourquoi Pas Le Soutien De Djaballah ?
      5 février 2019 - 14 h 13 min

      J’ai oublié de préciser que la mouvance islamiste cherche le changement … sauf le MSP de Makri !

        Argentroi
        5 février 2019 - 16 h 42 min

        @ Pourquoi Pas Le Soutien De Djaballah ?
        Puisqu’il semble que tu es un proche de Ghédiri, tu dois savoir si ce dernier est favorable à l’exploitation du gaz de schistes ou non ? Et que pense t-il des relations entre le Maroc et l’Algérie au vu du problème du Sahara occidental ?

    Argentroi
    5 février 2019 - 12 h 14 min

    Si Djaballah devait soutenir un militaire, il n’a qu’à se rappeler combien de fois il a été infiltré et mis en minorité dans les différents partis qu’il avait lui-même créés. C’est vraiment une fake news cette histoire de soutien de Djaballah à Ghédiri !
    Ce qui serait fortement intéressant, c’est de savoir si Rebrab soutient Ghédiri ou non. Mais de cela, personne n’en parle ! Dzaïr ya dzaïr !

      abdel
      5 février 2019 - 15 h 55 min

      a choisir il vaut mieux etre soutenu par un créateur d’entreprises et donc de richesses et d’emplois (…
      il est peut etre temps de se retrousser les manches,sinon avec l’épuisement des réserves financieres qui fondent avec des importations de bazar, sans aucune production locale, j’ai bien peur que le pays se dirige vers une situation a la vénezuelienne!

    Calomnie et mensonge
    5 février 2019 - 11 h 55 min

    Si Djaballah soutiendrait Ali Ghediri cela sera une très bonne nouvelle pour lui. çà va calmer ceux qui l’accusent d’être un impénitent laïc radicalisé ! Tout est bon pour l’abattre même la calomnie et le mensonge !

    Anonyme
    5 février 2019 - 11 h 42 min

    J espère que Ghediri va rejeter l alliance avec Djaballah l islamiste, car il ne représente rien sur l échiquier politique.
    S il accepte la plupart de ses soutiens qui veulent une Algérie débarrassé de la religion en politique ,vont lui tourner le dos.
    Aucune formation politique basée uniquement sur la religion ne doit figurer parmi ses alliés car nous avons vu où nous a mené l alliance du pouvoir avec les islamistes.
    L islam est la religion de la majorité des algériens,elle n a pas à être représenté par des partis politiques!!!

    Akli
    5 février 2019 - 11 h 29 min

    AU MOINS LAISSER LE PEUPLE ALGERIEN CHOISIR EN TOUTE LIBERTE SON PRESIDENT SI MONSIEUR DJABALLAH EST POUR LE CANDIDAT GHEDIRI IL FAUT RESPECTER SON CHOIX MEME MONSIEUR ALI BENHADJ EN TANT QUE CITOYEN PEUT AUSSI SOUTENIR MONSIEUR GHEDIRI SI LE FUTURE PRESIDENT ALGERIEN VA NOUS FAIRE SORTIR DE CETTE SITUATION INCHALLAH.

    Une Hassana
    5 février 2019 - 11 h 16 min

    Si ce monsieur s’allie avec Mr Ghadiri, je dirai que c’est la seule bonne décision qu’il aura commis dans sa vie.

    el kahane
    5 février 2019 - 11 h 06 min

    @AP
    Concernant djaballah : son revirement fait suite a la rencontre qu’il a eu avec rebrab et l’ambassadeur US…donc rien de nouveau sous le soleil : l’ISLAMISTE reste le meilleur indicateur de la tendance « Traitrise « ……. dans ce cas Saison Printanniere

      Anonyme
      5 février 2019 - 12 h 09 min

      Si tu n’as pas honte, fais ce qui te plaît, dit le dicton. Vous n’héditez devant rien (rumeurs, coups bas) pour continuer à bouffer la chair de vos propres frères et à humilier votre pays. Mais est-ce vraiment le vôtre? Une chose est certaine: vous paierez…

    Antisioniste
    5 février 2019 - 10 h 59 min

    Ce serait une première dans la mouvance islamiste si Monsieur Abdallah Djaballah venait à soutenir vraiment la candidature de Monsieur Ali Ghediri, cela relevé d’une maturité politique que Madame Zoubida Assoul avait initié, et je pense que d’autres devrais suivre son exemple.
    En dépit des divergences politique et idéologique existante, et qui ont très bien servi les tenants du pouvoir en place depuis ses 20 dernières années, je crois qu’il est grand temps que les parties politique se rendent à l’évidence qui est simple, notre patrie à besoin de tous ses enfants pour mettre dehors la synarchie mafieuse qui sévit encore depuis 20 ans, et pour cela il faut opté pour le soutient massive d’un seul candidat afin d’enclencher la vrais rupture, ensuite on aura tout le temps de débattre d’autres choses.

    Abou Langi
    5 février 2019 - 10 h 25 min

    Notre ami Zaatar qui n’est pas foncièrement que misanthrope comme moi, nous a souvent décrit l’âme humaine : veule, cynique, cupide, égoïste, pour s’attendre qu’il change rien que pour ces élections. Autrement il est claire que seule une candidature unique et solidaire pourrait donner des chances au candidat de l’opposition. Mais là , hélas , le seul soucis de ces ténors de l’opposition, c’est comment se placer.

    Alors que le Pouvwar ne veut entendre parler ni de transition , ni de changement le soutien à un candidat unique comme Khediri avec une feuille de route à minima est la seule posture raisonnable.
    Ce n’est pas un homme providentiel , mais c’est une alternative tout de même au statut quo.

    Et même si cette feuille de route à minima est inconcevable vu l’inconciliabilité des partis de l’opposition, il faut soutenir avec des réserves et sans illusion.

    L’important n ‘est-il pas de se débarrasser du système ?

    Alors, allons y pour un soutient actif en occupant le terrain. Inna allahou la youghaytrou ma bi nassi hetta youghayirouna ma bi anfoussihim.

    Sinon awar d’yiqli3 segnagh: Sekifidir: lahla itella3 lfes 3la hrawa!

    Pig pong
    5 février 2019 - 10 h 11 min

    Quoique que je n’ai aucun sentiment pour les partis islamistes, je pense que c’est une bonne décision et je dirais même que tout les partis d’oppositions doivent soutenir un seul homme M.Ghediri, c’est le moment où jamais de faire un changement dans ce pays.En cas de victoire de M.Ghediri je suis absolument sûr q’un défilement de joie se fera dans tout le pays comme le jour de la libération nationale.

    MAINTENANT OÙ JAMAIS.
    5 février 2019 - 9 h 48 min

    TOUT LE MONDE A COMPRIS QUE L’ALGÉRIE SE DIRIGE DROIT VERS LES TÉNÈBRES À CAUSE DE CEUX QUI NOUS GOUVERNENT DEPUIS 4 MANDAT PRÉSIDENTIEL.
    CERTAINS SONT PRIS DE REMORDS ET DANS UN ÉLAN DE PATRIOTISME ET CUPABILITÉS ET SURTOUT DE COMPTES À RENDRE.
    DÉCIDENT TOUS DE REJOINDRE LE VALEUREUX PATRIOTE EX GÉNÉRAL ALI GHEDIRI POUR L’INSTALLER AUX COMMANDES DE NÔTRES PATRIES ALGÉRIE.
    L’ALGÉRIE EST EN ÉTAT DE DÉLIQUESCENCE AGRAVEÉ ET DANS UNE ULTIME PRISE DE CONSCIENCE GÉNÉRAL CERTAINS SE DISENT : MAINTENANT ARRÊTONS NOS CONNERIES CAR LA TOUTES LES LIGNES ROUGES VONT ÊTRE BIENTÔT FRANCHISE SI NOUS NE RÉAGISSONS PAS MAINTENANT EN SOUTENANT LA CANDIDATURE DE MSR ALI GHEDIRI.
    TOUS ENSEMBLES MAINTENANT POUR LE CHANGEMENT.
    MOBILISATION GÉNÉRALE AUTOUR DE NOUS POUR DONNÉES NÔTRE VOIE BULLETIN ÉLECTORALE À MSR ALI GHEDIRI.

    Anonyme
    5 février 2019 - 9 h 44 min

    LE DANGER PRESENTEMENT C’EST LE POUVOIR, S’IL FAUT S’ALLIER AVEC LE DIABLE (ASTAGHFIROU ALLAH, je suis Hadj) IL FAUT LE FAIRE.

    anonyme
    5 février 2019 - 9 h 38 min

    On va revenir lentement mais sûrement vers l’alliance arabo-islamiste qui a détruit le FLN historique et qui détruit l’Algérie depuis le 19 mars 1962. D’un côté comme de l’autre, le peuple sera perdant ! Les islamistes ne vont pas voter gratuitement …

    anonyme
    5 février 2019 - 9 h 36 min

    les autres partis de festi doivent suivre cet exemple et virer ces clochards qui nous empoisonnent la vie
    Tous pour ali Ghedirri

    Hibeche
    5 février 2019 - 9 h 27 min

    Il faut le rassemblement le plus large possible contre fakhamatouhou…

    firmus
    5 février 2019 - 9 h 05 min

    J’ allais dire et pourquoi pas mais attention à ces pourritures suspendus tel que des vaux riens sans honneurs aucun aux saoudo- wahhabites suivant des etrangers devenant des etrangers identitaires eux mêmes et ayant le culot d’ être anti Amazigh en terre Amazigh preuve de leur hybridation et leur aliénation émanant de leur dogme qui dégomme les êtres et le soi même. Attention à ces races de morts, à ces tarés, aliénés, fourbes et pourris. Qu’ ils rentrent dans le moule National de l’ identité commune ou qu’ ils dégagent ! Dans ce cas, tous les Algériens sont bienvenue avec Ghediri, un homme qui rassemble et qui reconnait tous les siens, c’ est à dire les National patriotes souverains Algériens.

    L'Huile et l'eau
    5 février 2019 - 9 h 04 min

    L’Huile et l’eau ne se mélange, c’est juste pour combler le vide sidéral du niveau politique Algérien, pour exister. But let’s see !

    Emiliano
    5 février 2019 - 8 h 58 min

    Honnêtement je ne vois rien de commun entre l’islamiste Djaballah qui rêve d’un Etat islamique avec la « chariâa » comme constitution et Ali Ghediri ex-officier supérieur de l’ANP,républicain et moderniste déclaré.Sois on regarde vers le passé comme le fait Djaballah,sois on regarde vers l’avenir comme le fait,je pense Ghediri.On ne peut pas être les deux. Djaballah est certes un Algérien authentique comme Ghediri mais sa tête est formatée à une vision dépassée du monde.Je vais vous surprendre,mais malgré les progrès gigantesques fait par la sciences,certains ne croient pas encore que la terre (notre planète) est ronde et tourne sur elle-même et autour du soleil.Tout un programme que les obscurantistes mettent à profit pour endormir les peuples…et s’imposer en maîtres du savoir chez ceux qu’ils endorment encore.Mais la Vérité finira par s’imposer et balayer tous les imposteurs.

      Anonyme
      5 février 2019 - 10 h 23 min

      Le point commun? C’est la dictature soit militaire soit religieux. « Comme tu veux tu choises », la caserne ou la mosquée.

        Emiliano
        5 février 2019 - 15 h 46 min

        @Anonyme 5 février 2019 – 10 h 23 min,c’est vrai que toutes les dictatures sont néfastes,mais je ne pense pas que Ali Ghediri,malgré son passé militaire ambitionne de devenir un de ces potentats arabo-africains comme Mugabé…. Il m’a tout l’air d’être tout à fait leur contraire vu son niveau et sa culture.

    Anonyme
    5 février 2019 - 8 h 43 min

    l idée est bonne si c est sans condition aucune et pour une deuxième république sans le f l n (équivaut sans la corruption)
    Les seuls qui soutiennent le f l n sont ceux tirent 100% profit sans rien donner en échange
    le f l n après 62 est le malheur et la déchéance avec ces rapaces ces résidus de harkis des faux f l n ces assoiffés de pouvoir de corrompus jusqu’a moelle sans âme et encore moins de noblesse

    Fellag
    5 février 2019 - 8 h 00 min

    Ils n’existent pas d’autres solutions a part de choisir un leader capable qu’il n’a pas peur ni de Mugabe,ni de Pinochet et faire bloque dernière lui, où s’abstenir boycotté les élections,le pays est en Danger et on est tous responsables, nos anciens ont chassé l’original est à nous de chaussée la copie

    Vérité
    5 février 2019 - 7 h 42 min

    Seule est unique solution pour notre chère patrie, c’est de se débarrasser de ces traîtres corrompus,une fois fait nous organisons des nouvelles élections et le meilleur gagne, qu’attendez vous d’un régime qui réhabilite les traîtres et facilite la fuite des voleurs et des traîtres,qui instaure une justice aux enchères et légalise la corruption, sans la fraude et bourrage des urnes il ne serait éliminé dès le premier tour,le citoyen est devenu un Zombie et il n’a même pas le droit de réfléchir,le régime recherche a mettre le feu et partir sans être jugé

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