Inauguration de la raffinerie de Sidi Arcine à Alger

Raffinerie-SIDI-ARCINE
Raffinerie Sidi Arcine de Baraki. D. R.

La raffinerie de Sidi Arcine à Baraki (Alger) a été inaugurée jeudi après plusieurs années de travaux de réhabilitation pour renforcer les capacités de raffinage pétrolier du pays.

Le coup d’envoi a été donné en présence du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, du ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, et du PDG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour.

Pour rappel, Sonatrach et le groupe China Petroleum Engineering and Construction (CPECC) avaient signé en 2016 un contrat de 45 milliards de dinars pour réaliser les travaux de réhabilitation de cette raffinerie. Le groupe pétrogazier national prévoit, en outre, la réalisation de deux nouvelles raffineries à Hassi Messaoud (Ouargla) et à Tiaret.

R. E.

Comment (5)

    Anonyme
    6 mars 2019 - 19 h 51 min

    Je n’ai jamais vu une raffinerie dans une capitale.
    Une raffinerie c’est aussi de la pollution
    Rien n’est fait d’une façon subtile et réfléchie.
    Bricolage à la puissance infini.

    Algerie
    25 février 2019 - 18 h 17 min

    Bonjour je voudrais savoir s’ il y aura un recrutement pour le specialite de genie chimique, merci.

    Le rat-fouineur
    22 février 2019 - 6 h 15 min

    Les raffineries en Algérie
    – au centre, sidi arcine. La seule laissée par la France et nationalisée en 1971
    – à l’ouest, Arzew inaugurée en 1972
    – à l’est, Skikda inaugurée en 1978
    -au sud, à Hassi Messaoud et à InAmenas
    Toutes réalisées sous Boumediene e et son ministre de l’énergie le nationaliste et patriote Belaïd Abdeslam avec l’objectif de l’indépendance énergétique et implantées suivant le principe de l’équilibre régional.
    Un un autre projet de raffinerie à Béjaïa très avancé, fut arrêté net à la mort de Boumediene.
    Cette capacité de raffinage devait assurer la couverture des besoins du pays en carburants jusqu’à l’horizon 2025.
    La politique des années 1980 devait parachever ce dispositif par le doublement de Hassi Messaoud et la réalisation de 2 raffineries l’une à l’est à El Eulma, l’autre à Tiaret.
    L’annonce passe sous silence celle de l’est, ce qui va accentuer le déséquilibre dans le développement de cette grande partie du pays.

      soleil
      24 février 2019 - 6 h 11 min

      sait une honte et un sabotage économique,l Algérie pay producteur de pétrole n a pas fait la transitions,pour raffiner son pétrole depuis l indépendance,on continue a acheter du gazole,et de l essence a l étranger et cela n étonne personne,mais pas les responsables,du gouvernement,et de sonatrac,des raffinerie avait ètait mis en chantier 5 ,dont la ville de tiaret,hassi messaoud,biskra,celle de biska a était complètement abandonnée,pourquoi?la basse de vie complètement démonter des milliard ont était investie,et aucun compte rendu,pas de raffinerie,même pas la plate forme que l oued a détruit,aucune audite,j ai l impression que ses voulue,on achète a l étranger et en même Temp on se sert,on a affaire a des escrocs qui pense qu a leur ventre,mais pas aux pay,il faut leur demander des comptes ses les deniers du peuples,alors que il disait que la centrale était a 30 pc fini,donc sait que l argent est sortie pour ses 30 pc,aller vérifier sur place monsieur les journalistes,il y a un vrai scandales et des tète doive tomber

    Recherche boulot
    21 février 2019 - 14 h 53 min

    J’ai un master 2 mécanique option énergétique et cela fait depuis plus de 3 ans aucun recrutement, à part des petits boulots par-ci par-là chez des privés. A Naphtal, j’ai fait un entretien et même la visite médicale, à la dernière minute une pistonnée a pris ma place. Je veux savoir si il faut du piston pour être recruté dans cette raffinerie, sinon où faut-il s’adresser. Merci.

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