Aujourd’hui, toutes les cartes sont chez le président du conseil constitutionnel Tayeb Belaiz, c’est à lui que revient la lourde responsabilité du pays, c’est à lui de prendre la décision qui s’impose conformément à la constitution et au cri populaire exprimé par la rue.
Une période de transition d’au moins
2 ans avec un gouvernement provisoire est nécessaire et fera consensus pour préparer l’avenir de l’Algérie. Un avenir qui sera en rupture avec le système actuel, clanique, corrompu et au dessus des lois. L’instauration d’un état de droit s’impose d’elle même , il s’agit d’ un prérequis nécessaire à la nouvelle Algérie, le peuple sera attentif et n’acceptera pas les tours de passe passe, il faudra jouer la transparence pour préparer une 2e république.
L’Algérie a besoin à sa tête de gens intègres et instruits.
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