Et si le Conseil constitutionnel invalidait l’ensemble des candidatures ?

Belaiz président
Tayeb Belaïz, président du Conseil constitutionnel. New Press

Par Karim B. – La question de l’invalidité du dossier de candidature de Bouteflika reste posée. Le fait que le Président sortant ait délégué son directeur de campagne pour accomplir les formalités administratives auprès de cet organe juridictionnel suprême avait soulevé un tollé général et valu à l’ex-directeur de campagne du général à la retraite Ali Ghediri de vives critiques sur les réseaux sociaux. Mokrane Aït Larbi avait été accusé d’avoir cautionné une entorse à la loi commise par le candidat contesté. L’avocat et militant des droits de l’Homme s’était alors défendu d’avoir «signé un quelconque document» à la place du principal concerné.

De son côté, le président de la Haute Instance de surveillance des élections, Abdelwahab Derbal, avait déclaré que seul le candidat pouvait déposer son dossier auprès du Conseil constitutionnel, avant de tourner casaque, en affirmant dans les médias que ses propos avaient été «mal compris».

Cette déclaration, bien que contredite par son propre auteur et étouffée par les cris des citoyens qui manifestent depuis le 22 février contre le cinquième mandat, ne révèle pas moins la situation délicate dans laquelle se trouvent les membres du Conseil constitutionnel. Ce dernier, en raison de sa prééminence au sommet de la hiérarchie, est tenu de rendre sa décision loin de toute influence ou pression politique. C’est vers lui que sont rivés tous les regards à quelques heures de l’expiration du délai imparti pour rendre publique la liste des candidats éligibles à l’élection présidentielle.

Une invalidation de l’ensemble des dossiers de candidature est-elle possible ? «Oui», répond un constitutionnaliste. Une telle situation induirait un report inéluctable de l’élection présidentielle et annulerait de fait le cinquième mandat de Bouteflika tant qu’il ne pourra pas se déplacer en personne au siège de cette institution, considérée comme le «juge des élections législatives et présidentielle et de la surveillance des référendums».

Les candidatures du général à la retraite Ali Ghediri et du président du parti El-Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, semblent, elles aussi, compromises, tant les millions de manifestants ne refusent pas uniquement le cinquième mandat mais rejettent tout le système politique actuel. Il est, dès lors, difficile d’admettre que les deux candidats, dont le premier a «promis de se plier à la volonté du peuple» et le second menacé de se retirer de la course, aient pu réunir les 60 000 signatures nécessaires à la validation de leur candidature.

Fait inédit depuis l’indépendance du pays, l’Algérie semble cheminer inexorablement vers l’annulation de l’élection présidentielle d’avril prochain.

K. B.

Comment (46)

    Pig pong
    11 mars 2019 - 22 h 43 min

    Le conseil constitutionnel applique ce que le peuple décide. Le peuple ne lâchera jamais.Le peuple a confiance qu’a lui même et à personne d’autres surtout pas à ce système. On dit que le peuple n’a personne pour le représenter. Je lance un appel à nos élites dévoué et incorruptibles de se présenter.

    TOLGA - BISKRA
    11 mars 2019 - 19 h 32 min

    A présent, que le président ait renoncé officielement à briguer un cinquième mandat, il a donc INVALIDÉ de LUI-MÊME sa propre candidature, ouvrant ainsi la voie à Monsieur Belaïze pour… INVALIDER LUI-MÊME TOUTES LES AUTRES CANDIDATURES qui n’ont plus personne en face contre qui « candidater ».
    Au demeurant, le problème de fond n’est, ainsi posé, point résolu à savoir le changement du système/pouvoir
    tel que demandé avec force par le peuple et sa jeunesse.
    J’ai peur…..

    Anonyme
    11 mars 2019 - 18 h 06 min

    Où est l’ami des Bouteflika, Chakib Khelil. Il a arrêté ses conference d’idiotie.

    N’oubliez pas de mettre Kaddour de la Sonatrach sous observation. Il risque de vendre toute l’Algérie à ses amis des USA.

    LE DIRECT .
    11 mars 2019 - 17 h 54 min

    SI LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL VEUT BIEN SAUVÉ LE PAYS ET SON PEUPLE , POUR RENTRER DANS L’HISTOIRE , IL DOIT IMPÉRATIVEMENT ANNULER ET CATÉGORIQUEMENT TOUS LES CANDIDATS ET SANS EXCEPTION , APRÈS CE REFUS TOTAL, L’ALGÉRIE SE DIRIGERA VERS UN CONSENSUS NATIONAL OU TOUS LES SAGES ASSISTERONS POUR DIRIGER L’ALGÉRIE VERS UNE NOUVELLE ÈRE ET UNE NOUVELLE PAGE S’OUVRIRA OU TOUT LE MONDE TROUVERA SON COMPTE . AMINE YA RAB .

    SaidZ
    11 mars 2019 - 16 h 58 min

    Toutes les candidatures sont déjà INVALIDÉES par le PEUPLE. Qu’on cesse de cacher le soleil avec un tamis. ça dure depuis 189 ans ça suffit!

    Echec Et Mat
    11 mars 2019 - 16 h 48 min

    Le peuple algérien vient de se distinguer avec panache et brio en s’imposant avec un échec et mat historique.
    Par ailleurs, à travers les contestations et les grèves qui secouent les 4 coins du pays, la population persiste en signant haut et fort son refus d’avoir à ingurgiter la marchandise rassie et avariée écoulée par le C.C, (l’illustre Centre Commercial de Ben Aknoun ), sachant qu’elle est importée par Dupond &Dupont. Tout est à mettre à la poubelle. Les Algériens boudent même le chocolat suisse,dont ils sont pourtant si friands. Tout le monde sait que le chocolat est fabriqué à base de cacao, mais aller jusqu’à fabriquer des recettes chimères pour le vendre spécialement aux Algériens, alors là, le peuple dit stop! Non aux bonbons et chocolats avariés, pour ne pas dire  » empoisonnés » et soigneusement emballés, en provenance notamment des EAU, du Qatar, de Suisse, de France, et de la monarchiechiot, importés par Dupond & Dupont,et largement distribués par le Centre Commercial, fort heureusement boycotté par le peuple. Fermez ce centre,et retirez les clés aux Dupond
    & Dupont. Le peuple est mature et souverain, il saura facilement s’accommoder de kesra, de l’ben ,et de delicieuses dattes, all made in bladi,en attendant que les choses se mettent sérieusement en place.

    Anonyme
    11 mars 2019 - 16 h 15 min

    1- Tayeb Belaïz fait partie du clan de fakhamatouhou qui l’a d’ailleurs intronisé, une nouvelle fois, à la tête du Conseil Constitutionnel, juste à la veille de son départ vers la Suisse.
    2 – Le dépôt du dossier de la candidature de Bouteflika a été effectué alors que ce dernier se soignait dans un hôpital en Suisse. Le candidat à la candidature se trouvant donc à l’étranger (!?!).
    3 – Tayeb Belaïz n’a pas hésité à allègrement transgresser la Constitution en acceptant de recevoir et d’enregistrer le dépôt du dossier de candidature de Bouteflika sans sa présence physique, pourtant clairement et expressément exigée par la loi. Le dossier de Bouteflika a donc été déposé par «procuration» (!?!), au détriment de toute la réglementation en la matière. Mais monsieur le président du Conseil Constitutionnel n’y vois, manifestement et étrangement, aucun vice !?!…
    Conclusion : Quand on en arrive au point où ceux qui doivent veiller à l’application stricte des lois se mettent ouvertement à transgresser ces dernières, pour des raisons totalement étrangères au Droit, c’est qu’il y a vraiment péril en la demeure.
    Il ne sert alors à rien de venir aujourd’hui s’offusquer de voir tout le peuple algérien exiger le départ, sans conditions, de ce système profondément gangréné par la corruption, l’injustice et le non respect du Droit. Il y va de la pérennité même de l’État algérien. Et à ce stade, aucune marge de manœuvre ne peut être tolérée. Ce serait irresponsable que de ne pas y remédier de la façon la plus urgente et la plus intransigeante.

    Jazayria
    11 mars 2019 - 15 h 37 min

    La solution intelligente est de montrer au monde entier que nous sommes contre ce système en allant voter en masse pour Ghediri l’unique candidat qui est resté face à ce système. Un homme intègre et honnête. Il ne faut surtout pas boycotter les élections, ça serait dérouler le tapis rouge au système.

      Anonyme
      11 mars 2019 - 16 h 20 min

      Parce que les scrutins se déroulent à la loyale en Algérie ?! Et depuis quand au juste ?
      Mais on voit bien que tu ne connais pas du tout la formidable capacité de fraude qui caractérise les élections en Algérie.

        Jazayria
        11 mars 2019 - 18 h 03 min

        @Anonyme
        l’Union fait la force, et si le peuple vote en masse contre le système, ils ne pourront pas nier l’évidence. Et si les citoyens s’organisaient pour vérifier le bon déroulement des élections, il n’y aurait pas de fraude. La plus grande fraude c’est si on les laisse décider pour nous. Nous sommes des citoyens et nous avons le devoir de voter pour notre pays. Je persiste et signe : j’appelle tous les algériens à voter contre le système.

        Jazayria
        11 mars 2019 - 20 h 50 min

        C’est au peuple de faire valoir son droit de vote et de s’unir pour ne faire qu’un face au système et là il n’y aura pas de fraude. La plus grande fraude, c’est de ne pas voter et les lisser décider à notre place. C’est un devoir de voter en tant que citoyen. Une mobilisation générale du peuple empêchera toute fraude et ils ne pourront donc pas nier l’évidence.
        Merci à AP de publier mon droit de réponse.

      ABDEL
      11 mars 2019 - 16 h 31 min

      la solution c’est invalider tous les candidats, et reporter les élections de 3 mois afin de permettre a tous les candidats eligibles et valides, de faire connaitre leurs programmes en direction du peuple; c’est une démarche normale dans tous les pays démocratiques,et faire une rupture et les travers des anciennes pratiques. il faut que tous les cadidats investissent les médias publics et privés afin d’exposer leurs programmes,si non comment mobiliser le citoyen qui se trouve au fin fond du pays pour l’inviter a voter en toute connaissance !

    Kenza
    11 mars 2019 - 14 h 59 min

    Et si le Conseil constitutionnel invalidait l’ensemble des candidatures ?

    On n’en a cure de ce que va décider ce conseil constitutionnel, car il faut d’abord que ce conseil lui-même soit validé par le peuple. Ce qui loin d’être le cas à partir du moment où, en validant la candidature de Bouteflika , il a violé la constitution… un crime grave contre le peuple !

    Mahnoul
    11 mars 2019 - 14 h 52 min

    S il ferait cela il s invalidetait lui meme. Tous les dissiers ne se resemblent pas et ne connaissent pas la meme nullite… Tous les candidats ne sont pas malades.. L’amende collective n existe plus depuis l abrogation du code de l indigenat…. Reporter les elections c est une chose, invalider les candidatures parce qu on ne peut pas invalider celle de boutef toute seule est un autre ptobleme qui entamera définitivement la credibilite de ce conseil si jamais il a eu un iota de crédibilité…

    MELLO
    11 mars 2019 - 14 h 43 min

     » Et si le conseil constitutionnel invalidait l’ensemble des dossiers … » ● Ne le souhaitant pas, car une autre voie prend le relais en conformité avec l’art 105 de la Constitution. Ce sera le noir total ,si c’est le cas. Il serait plus judicieux de rejeter la candidature de Bouteflika ou encore décider de l’annulation des élections du 18 Avril. Exceptionnellement, si le président existe, il annulera et proroger ces élections de 6 mois .
    Mais , à voir de très près ce qui s’est passé hier , l’avion de la présidence est revenue juste avec la famille du président . Aucune information fiable et véridique nous ai été transmise.

    Anonyme
    11 mars 2019 - 14 h 11 min

    Belaiz doit disparaitre aussi du champ politique. Il est au service des intérêts du clan et non de l’Algérie.

    Tinhinane-DZ
    11 mars 2019 - 13 h 52 min

    À mon avis c’est la seule solution pour éviter une déstabilisation de l’Algérie et l’ingérence des émiratis.
    Annulez toutes les candidatures.
    Je crois que le peuple n’ira même pas voter…Pour éviter la paralysie totale il faut annuler les élections.
    Débarrassez vous de tout l’entourage du président y compris sa famille qui squatte la présidence.

    Laissez Bouteflika comme président d’honneur sans pouvoir, pour ne pas abuser de sa signature et lui permettant ainsi une sortie honorable. Un comité d’élites Algériennes dirigera la période de transition.

    Juste un avis.

      Anonyme
      11 mars 2019 - 14 h 29 min

      apparemment Bouteflika a rejoint l’au-delà.

      Said a terni l’image de son frère. Quel gâchis

    Mir
    11 mars 2019 - 13 h 18 min

    Permettez-moi de partager avec vous cette brillante contribution de Rachid Ouaissa, Professeur de sciences politiques à l’universite de Marburg en Allemagne… après un rappel historique et sémantique des étapes de toute Transition, voici ce qu’il propose pour l’Algérie : c’est la 1ere analyse pertinente qui propose un calendrier et une méthode précise, nos Elites devraient s’en inspirer.

    Un Pacte de Transition pour l’Algérie :

    Etapes pré-transitionnelle :

    Du côté de la mouvance nationale :

    – Organiser une Table ronde pour présenter un groupe de personnalités nationales non partisanes, mandatées à parler au nom de cette mouvance.
    – Organiser une deuxième table ronde où les délégués de la mouvance vont négocier des positions communes avec les partis de l’opposition, les organisations syndicales, etc.
    – Une troisième table ronde pour négocier avec les softliners du régime (la frange la moins dure du régime) pour tracer l’agenda de transition. Incluant l’armée et les services de sécurités.
    – Imposer une personnalité nationale comme Premier ministre de la transition.
    – Accompagner tout ce processus par des actions politiques : marches, grèves, etc.

    Du côté du pouvoir:
    – Reporter les élections présidentielles du 18 avril,
    – Maintenir le Président Bouteflika comme président pour une période délimitée, mais en faire un président juste représentatif (comme en Allemagne),
    – Le Président nomme le premier ministre proposé par la première table ronde.
    – Un gouvernement de transition constitué des softliners de l’ancien régime, des personnes de l’opposition et de la société civile.

    L’étape de La Transition : Durée une année
    – Réforme de deux secteurs clés : Justice et liberté de la presse/Information
    – Dissolution du FLN et du RND
    – Confiscation des biens des deux partis par l’Etat
    – Tables rondes à travers tout le pays pour un débat sur la constitution
    – Réforme de la constitution
    – Organisation des élections présidentielles
    – Organisation des élections parlementaires

    La consolidation démocratique:
    – Entamer un processus de justice transitionnelle
    – Reformes radicale du système économique.

    Abokhzer
    11 mars 2019 - 13 h 07 min

    Il se tire une balle dans le pied s’il est à ontre courant de la volonté exprimée par ce monumental mouvement populaire du 22 février ( puisqu’il faut bien le baptiser ainsi) et il a obligation- s’il prétend être respectueux de LA LOIS FONDAMENTALE- dormir en repetant 33 fois ce qui suit:
    La Constitution affirme en son article 7 : «Le peuple est la source de tout pouvoir. La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple».

    La Viriti
    11 mars 2019 - 12 h 34 min

    Belaiz, un des rares personnages à qui la famille Bouteflika fait entièrement confiance.
    Les Bouteflika fonctionne sur un mode familial et tribal, pour tenir en laisse un peuple tout entier.
    Belaiz,comme Louh ou Hamel, sont des serviteurs exclusifs des intér^ts de la famille bouteflika.

    Il fera à la lettre ce que Said lui dira. L’Algerie et son devenir ??? Il n’en n’a cure, c’est la cadet de ses soucis.

    Comme Belaiz, des milliers de naturalisés agissent de la même manière. Bouteflika a favorisé l’arrivée de ces derniers depuis 1999, car il savait qu’il pouvait s’appuyer sur eux et que ces derniers lui obéiraient aveuglément, car n’yant ni liens affectifs, ni liens historiques avec l’Algerie, si ce n’est pour la dépouiller.

    Ces bataillons de naturalisés sont des extrémistes qui n’auront aucuns scrupules à voir le feu dans la maison Algerie. Leur point de retraite étant déjà en place, au Maroc principalement, mais aussi en France.

    Enfin, tout le monde a pu constater, une fois de plus, que le makhzen marocain se réjouit et se gargarise de ce qui se passe en Algerie, celui leur permet de faire oublier la cocotte minute sociale dans laquelle ils se trouvent, avec un roitelet gravement malade qui passe son temps dans les palaces luxueux…

    La fin du clan Bouteflika ne devra pas permettre une ouverture des frontières avec ce royaume d’aigris jaloux et qui ne vivent qu’à travers nos mlaheurs pour mieux accépter leur dégradante situaiton d’esclaves consentants qui pataugent dans la misère au milieu de pédophiles et de sionistes qui les ont colonisé.

    IL FAUT DEMAROCANISER TOUTES NOS INSTITUTIONS AVEC LE DEPART DE LA FAMILLE BOUTELFIKA. C’EST IMPERATIF ET VITAL.

    Mir
    11 mars 2019 - 12 h 30 min

    Arrêtons de rêver, le Conseil Constitutionnel fera exactement ce que  » la Présidence » lui dira de faire.
    Tayeb Belaïz fait partie du Problème, il ne peut donc participer à la Solution. Toute décision venant de sa part sera suspecte car il travaille pour leur compte et leur obéit au doigt et à l’oeil. C’est le peuple qui doit apporter la Solution, et pas ce Pouvoir disqualifié.

    Selecto
    11 mars 2019 - 12 h 03 min

    L’Algérie cette belle créature se fait prostituer depuis des années par des maquereaux qui ont acquis sa nationalité par effraction, il est temps que ses fils et filles de la libérer de ces minables et lui rendre sa fierté d’antan.

      Hello
      11 mars 2019 - 12 h 25 min

      #selecto

      Bonjour
      Vous avez raison Selecto
      Une famille marocaine qui eux même on importé des marocains pour présider l’Algérie.
      Bouteflika a trahi Dieu et le peuple. Une famille qui a dilapidé la richesse du pays vers la Suisse et les Emirats

    Antisioniste
    11 mars 2019 - 12 h 00 min

    Arrêtons de nous disperser et de polémiquer sur des sujet secondaires et inutile nous devons nous préparer à l’après Bouteflika, c’est se qu’ils font en ce moment EUX!

    icialG
    11 mars 2019 - 11 h 58 min

    ILS NE ON ENCORE RIEN COMPRIS ILS CONTINUENT A NOUS BERNER A NOUS LEURRER ILS NOUS PRENNENT VRAIMENT POUR DU BÉTAIL ET MANIPULER LA CONSTITUTION ET LES LOIS LES RÉGLÉS A LEURS GUISE COMME ÇA LES ARRANGENT ILS N ON PAS COMPRIS QUE C EST CONTRE ÇA QU ON SE BAT

    Anonyme
    11 mars 2019 - 11 h 35 min

    Tayeb BELAIZ va trancher dans les 48h, entre deux situations :

    Soit il valide la candidature du maître en fourberies, auquel cas il assumera son acte qui ne manquera pas d’ouvrir la voie à la politique de la terre brûlée,

    Soit il invalide la mascarade de la Commedia algérienne, qui tient le monde en haleine, auquel cas il offre à son clan la possibilité d’évoquer, au moment opportun auprès du Peuple Algérien, le bénéfice des circonstances atténuantes.

    Il n’existe pas de troisième situation et la balle est dans son camp !

    TOLGA - BISKRA
    11 mars 2019 - 11 h 15 min

    EXCELLENTE IDÉE ! CELA PERMETTRA DE REMETTRE LES COMPTEURS A ZÉRO. ET PROPOSER POUR CES PROCHAINES ÉLECTIONS AU MOINS UNE CANDIDATURE DE CES JEUNES POUR VIVIFIER ET REVIGORER LES INSTANCES DE LA CHOSE PUBLIQUE EN INJECTANT DU SANG NOUVEAU… YES, WE CAN !!!

    Cheikh
    11 mars 2019 - 11 h 12 min

    Cela veut dire qu’il donnerait un sursis au régime de Bouteflika. Dans ce cas le Conseil constitutionnel devient complice caractérisé et anti peuple. L’unique solution qu’il exerce ses prérogatives dans la logique des choses et la transparence en invalidant ceux qui sont censé êtres invalide dont le candidat sortant pour incapacité de santé. et validant ceux qui sont censé valides

    Anonyme
    11 mars 2019 - 11 h 07 min

    Comme nous sommes kamim le pays des mou3djizates et que nous ne sommes pas à une abracadabrance près , l’annulation de cette élection ne choquerait que ceux qui voudraient l’être.

    Il suffit de déclarer que Fakfamatouhou ne peut pas se présenter pour des raisons de santé et que tous les autres n’ont pas toutes leurs signatures.

    Et après ? C’est par où la sortie ?

    ABDEL
    11 mars 2019 - 10 h 53 min

    si ce conseil anti- constitutionnel,invalide la candidature du président- candidatt, ses membres pour une fois prendraient le chemin de l’honneur et cesser d’etre serviles!!mais encore une fois, ça ne sera qu’une étape,car le peuple demande la fin de ce systeme !!

    Abou Galbe
    11 mars 2019 - 10 h 41 min

    Est-ce quelqu’un peut m’expliquer, comment quelque chose d’invalide peut valider ou invalider quoi que ce soit ???

    Quelqu'un
    11 mars 2019 - 10 h 16 min

    Si c’est la solution optimale à moindre risque pour éviter l’instabilité, pour quoi pas !
    comme ça on laissera la politique aux politiciens.

    Anonyme
    11 mars 2019 - 10 h 06 min

    Mesdames – Messieurs
    la transition sera difficile , mais nécessaire
    Pour la désignation d’un 1er Ministre , il faut une personnalité qui n’ait jamais été désigné à aucun gouvernement et qui n’a pas de liens avec les partis – Une personnalité connue et reconnue comme indépendante et courageuse – Le courage il en faudra
    Dans cette phase de transition , il est impérieux de retirer le sigle FLN à tout parti ou organisation quelque soit elle – Le FLN doit etre inscrit dans la constitution comme étant celui de la nation , de notre histoire et qui a rassemblé les Algériens pour combattre pour leur indépendance.
    Il a été toujours dit que le seul héros est le peuple – Effectivement l’histoire de la révolution faite par le peuple n’a jamais écrite – La souffrance si grande de notre peuple durant cette période a été confisquée par de nouveaux colons – Qu’ils s’en aillent – Allah la yaradhoum
    Gloire aux Martyrs – Gloire et reconnaissance à tous ceux qui ont servi la patrie avec honnetteté et courage
    Abdou Bendi

    halim
    11 mars 2019 - 9 h 58 min

    Dans la Crise algérienne on se pose deux Question a Savoir: soit l’élection est reportée et on va une transition pacifique vers une conférence national et des élection anticipée, le perdant dans cette option c’est Bouteflika et ne mérite pas cette sortie humiliante pour lui seul, car durant ses premières années il a fait pour l’algérie, réduit la dette l’a rendre a Zéro, et a réussi a concilier la population divers couches populaires, la 2ème Option ; sera réélu et vers une conférence National et des élections anticipés et la il sort de la grand porte cette option est difficile vu le refus du peuple de parler d’un autre mandat.

    l'Algerie arabe terminus
    11 mars 2019 - 9 h 46 min

    Conception toute arabe celle ci. Pour ménager le roi on dilue la peine sur tout le peuple…

      Djaffar
      11 mars 2019 - 10 h 51 min

      Le sujet n’a rien a voir avec Arabe ou Berbère.

      Algerien Pur Et Dur
      11 mars 2019 - 21 h 15 min

      Ne mélange pas chaabane maa ramdhane comme on dit chez nous en Algerie. Tu dois etre un marocain en train d’enfumer le debat en essayant futilement de creer la fissure.

    Confidentiel, danger !
    11 mars 2019 - 9 h 28 min

    La clique est entrain de vider le Trésor Public et de couler le pays avant de s’envoler pour Paris, Rabat, Dubai, Beyrouth, Amman et d’autres destinations.

    d’Après Ouyahia c’est l’équivalent de 55 milliards de dollars qui ont été imprimés et ce n’est pas fini, c’est un crime passible de la peine capitale sur une place publique !
    Que les citoyens se préparent a une inflation destructrice dans le très proche l’avenir.

      Abou Rtunistes
      11 mars 2019 - 11 h 40 min

      @Confidentiel, Danger ! 11 mars 2019 – 9 h 58 min
      Bonjour mon frère, avec une Algérie Algérienne, fraternelle, unie, nationaliste, patriotique … et respectée du monde entier, ce qui se dessine de plus en plus.
      Rassures-toi, même si ces opportunistes retournent dans leurs ventres de leurs mères (mes respects pour ces dernières, façon de parler), on les sortira pour jugements et punitions en conformité avec la loi, procédures et déontologie de nos ancêtres. .

    anti menteurs
    11 mars 2019 - 9 h 13 min

    Prononcer sa décision loin de toute influence, vous m’avez fait rire.un conseil dont le président a juré fidélité à son président qui l’a honoré de cette nomination, ose invalider le dossier de sa candidature .vous révez.et puis de quel droit; il va invalider les autres dossiers, s’ils réunissent les conditions exigées.j’ai honte pour mon pays. d’un coté, y a un peuple digne et mature soucieux pour son avenir et celui de son pays et jaloux pour son image à l éxtérieur et de l’autre un pouvoir illégitime, incompétent et médiocre qui ignore les lois et l’éthique, qui consacre ses efforts pour trouver des subterfuges nécéssaires pour garder le pouvoir et ses privilèges meme si cette folie peut couter la disparition du pays.après moi le déluge.

    Moh
    11 mars 2019 - 9 h 00 min

    Ce qui arrangerait la bande de Bouteflika ce type protecteur des clandestins Marocains et d’autres malfrats le ferait car il fait partie de la bande des Dalton.

    On se rappellera de son fils qui a été arrêté a l’ouest du pays pour trafique de drogue mais la justice de Louh l’a blanchi en prenant comme prétexte qu’il a été confondu avec son sosie un autre trafiquant, finalement c’est un innocent qui a été condamné a sa place.

    anonyme
    11 mars 2019 - 8 h 01 min

    Pourtant il ne Il reste que 2 candidatures Ghediri et Bouteflika et peut être nekkaz-mécanicien, qu’est ce que ce conseil va t-il invalider?? les choses sont claires et on ne comprend pas le pourquoi de cette grisaille autour d’un pauvre vieux président extrêmement malade qui devrait démissionner pour garder les honneurs du passé.

    KUCHEN BLEB
    11 mars 2019 - 7 h 56 min

    Messieurs Belaiz,Derbal,Louh, Gaid salah,Bensalah,c’est des Bouteflika bis,c’est la famille Bouteflika décidé de tout annuler même l’APN des Voyous,ca demande cinq minutes,alors toutes ces personnalité ce que du vent dans des filets des pêcheurs ‘amateurs,combien de millions d’euros dépenser pour les deux semaines de repos pour le plus corrompu où monde,on aurait pu acheté des médicaments pour des milliers de nos malades

    DZA
    11 mars 2019 - 7 h 46 min

    Cela ne nous avance pas pour autant, bien au contraire, cela fait le jeu du système qui cherche à gagner du temps pour faire sa mue.
    Le pays, peut-il se permettre le risque réel de l’instabilité. Un président impotent, un gouvernement qui tâtonne, des partis politiques en déconfiture, un peuple en ébullition, une économie en déclin, etc.
    La question mérite d’être mûrement réfléchie.
    20 ans d’improvisation ça suffi.

    Citoye
    11 mars 2019 - 7 h 42 min

    Ce monssieur nest pas neutre a son poste.

    Il fait parti du serail il fera ce qu’on lui dit

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