Pour un changement pacifique du système

élections insurrection
Marche pour l'avènement de la IIe République. PPAgency

Par Bachir Hakem – Pour ceux qui n’ont pas encore compris que nous assistons à une vraie insurrection pacifique qu’on a hâte de voir se terminer mais avec la victoire du peuple, j’alimenterai cela par cette citation de Robespierre : «Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs». Dans les Etats démocratiques, la souveraineté appartient au peuple, et le peuple est l’ensemble des citoyens.

L’application de l’article 102 permet de répondre à certains points du mouvement populaire pacifique du 22 février 2018 qui sont : non au cinquième mandat ; non à la prolongation de quatrième mandat ; non à la conférence nationale présidée par Lakhdar Ibrahimi. Mais celle-ci ne répond pas au changement auquel le peuple aspire. Aujourd’hui, même si la Constitution actuelle est dépassée, elle nous permet encore, grâce aux l’articles 7 et 8 qui mentionnent :

Art. 7. – Le peuple est la source de tout pouvoir.

La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple.

Art. 8 – le pouvoir constituant appartient au peuple.

Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne.

Le peuple l’exerce aussi par voie de référendum et par l’intermédiaire de ses représentants élus.

Le président de la République peut directement recourir à l’expression de la volonté du peuple.

Nous possédons une sortie de crise qui nous permet de barrer la route pacifiquement aux fers de lance du système que le peuple demande de changer et qui refuse de quitter le pouvoir et continue à dilapider les richesses du pays, à condition de réfléchir intelligemment par la loi et sans la transgresser, même si elle ne nous arrange car nous espérons construire un Etat de droit et nous devons donner l’exemple. Donc utilisons les articles 7 et 8 qui mentionnent la souveraineté du peuple et, surtout, en l’absence de Président, donc nous avons le droit de dissoudre les assemblées qu’on a élues.

L’élection d’une assemblée générale du mouvement populaire algérien, représentant toute la société civile, aussi bien partis qu’associations, que syndicats ou simples citoyens peut être la clé à la sortie de crise car tout le peuple y sera représenté et équitablement par wilaya et par nombre sans distinction, mais tous doivent être élus. Oui, la démocratie commence par le bas car c’est le peuple qui élira les membres qui le représentent au niveau d’une assemblée, laquelle élira un gouvernement et son chef et en l’absence d’un président de la République, elle élira un présidium pour le pays. Ainsi, tous dépendront de l’assemblée, laquelle sera issue du peuple qui, pour la première fois, sera souverain. Cette contribution se basera sur : le peuple choisit librement ses représentants ; la dissolution de l’APN et du Sénat ; l’élection d’une assemblée représentante du peuple chargé de faire la transition. Elle sera composée de 240 citoyens les membres de l’assemblée seront choisis équitablement par wilaya, parmi les partis, les syndicats, les associations et les autres citoyens.

Elle sera composée de :

– 25% parmi les représentants des partis, c’est-à-dire 60 avec au moins un représentant par wilaya ;

– 25% parmi les représentants non partisans des associations agréés ou non, c’est-à-dire 60 avec au moins un représentant par wilaya ;

– 25% parmi les représentants non partisans des syndicats agréés ou non, c’est-à-dire 60 avec au moins un représentant par wilaya ;

– 25% parmi les représentants du mouvement populaire du 22 février 2019 qui ne font partie d’aucun parti ni association ni syndicat, c’est-à-dire 60 avec au moins un représentant par wilaya.

L’Assemblée élira un gouvernement provisoire chargé de suivre les affaires courantes pendant la transition.

l’Assemblée élira le Premier ministre du gouvernement.

L’Assemblée élira un présidium composé de 4 personnes et une figure nationale qui fera l’unanimité au milieu du peuple.

Les quatre personnes du présidium seront élues comme cela :

– Un représentant des partis issu de l’assemblée et élu par les représentants des partis.

– Un représentant des syndicats issu de l’assemblée et élu par les représentants des syndicats.

– Un représentant des associations issu de l’assemblée et élu par les représentants des associations.

– Un représentant du mouvement populaire issu de l’assemblée et élu par les représentants du mouvement populaire.

La personne qui fera l’unanimité présidera le présidium.

L’assemblée ouvrira une chaîne de télévision ouverte H24 h sur, permettant au peuple de suivre tous les débats, à n’importe quelle heure.

L’assemblée ouvrira une page sur tous les réseaux sociaux accessibles pour être en relation avec le peuple qui lui permettra d’avoir des informations des problèmes vécus par le peuple.

L’assemblée sera chargée :

– De discuter sur les principes d’une nouvelle constitution, sans exclusion, qui permettra l’éclosion d’une nouvelle République.

– Une commission de spécialistes pour présenter cette nouvelle constitution.

– Une fois approuvée par référendum, celle-ci ne peut être changée que sur demande du peuple.

– Revoir les lois des élections et la méthode de vote aujourd’hui dépassée, car les moyens TIC peuvent nous éviter toutes ces sommes colossales perdues.

– Elections d’une commission de surveillance des élections.

– Aller vers l’élection présidentielle dans un délai ne dépassant pas 6 mois.

Une seule garantie pour des élections libres, transparentes et démocrates, c’est le peuple. Celui-ci devra aller voter en force et surveiller toutes les élections. Nous avons commencé à arracher certains droits mais ne nous arrêtons pas à mi-chemin. Les réflexes du système ne changeront pas du jour au lendemain mais notre rôle, maintenant, est de rester unis, même après le début de solution de crise car ce qui nous a réunis, ce ne sont pas les partis politiques, ni les syndicats, ni les associations mais l’humiliation que nous avons vécue depuis des années qu’on avait essayé d’oublier par la drogue ou la boisson ou la fuite du pays par tous les moyens.

Aujourd’hui, celle-ci fait partie du passé, et cela sur le témoignage des pays étrangers. Le système est humilié mais ne veut pas quitter car il n’a pas honte et n’a aucun principe ; il est capable de vendre son ami, son frère, sa famille pour rester mais, aujourd’hui, c’est au peuple de le chasser pacifiquement. L’espoir est en train de renaître, une nouvelle Algérie indépendante vient de naître grâce au mouvement populaire pacifique du 22 février 2019. La négociation avec le mouvement populaire se déroule sans représentants et presque toutes les revendications sont acquises, à part la principale : vous partez tous. J’espère que cette contribution est un moyen de changer une partie du système.

La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.

B. H.

Comment (15)

    Nasser
    28 mars 2019 - 22 h 30 min

    La proposition présente un grave danger !
    Elle fait fi des Institutions actuelles et néglige la Constitution en vigueur pour proposer des solutions « extra » à partir de presque rien pour ne retenir que l’article 7 et 8 qui dit bien « Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne ». Il y a bien des institutions depuis 1962. Sinon qui est ce « peuple » et qui le représente quand la base constitutionnelle est détruite ? La Constitution est « dépassée » en quoi, dans quoi ?
    Les lois existent ; le problème est l’application ! La Constitution existe le problème est la manipulation !
    Qui a le pouvoir de « raser » et proposer ? Le Peuple ? Qu’en savez-vous ? Les manifestations ? Ils sont combien ? 4..6..8..10 millions ? Il y a 46 millions de citoyens dont 25 millions d’électeurs ! Vous dites «donc nous avons le droit de dissoudre les assemblées qu’on a élues. » Qui « nous » et comment ? Vous dites aussi « assemblée représentante du peuple … composée de 240 citoyens les membres de l’assemblée seront choisis équitablement par wilaya, parmi les partis, les syndicats, les associations et les autres citoyens. » Elle représente le « peuple », mais « choisis » par qui ? Pourquoi 250 ? Ce n’est pas sûr que les partis, syndicats, associations représentent le « peuple »…et les « autres citoyens » qui sont « ces autres ». Ceci d’autant que vous affirmez contradictoirement plus loin que « ce qui nous a réunis, ce ne sont pas les partis politiques, ni les syndicats, ni les associations mais l’humiliation ». Vous dites aussi « à condition de réfléchir intelligemment par la loi et sans la transgresser, même si elle ne nous arrange pas… » Quelles lois si la loi Fondamentale est transgressée dès le début comme vous le proposez. Une chose et son contraire quoi !
    Vous terminez ainsi « La négociation avec le mouvement populaire se déroule sans représentants et presque toutes les revendications sont acquises, à part la principale : vous partez tous ». Toutes les revendications sont « acquises » ? De qui sont-elles «acquises » si ceux de qui ont les attend doivent « tous partir » ? Il y a une « anomalie » dans ce raisonnement !
    Laissons la Loi Fondamentale en vigueur ! Elle est suffisante. L’article 102 et suite existent dans tous les pays. La maladie, le décès et la démission ont leurs solutions chez ces pays et chez nous. Les changements de gouvernement, d’APN ou de Constitution sont du ressort du Président de la République élu ! Toutes autres propositions en dehors de ce que prévoit la Loi Fondamentale est anticonstitutionnel ! Celui qui sort de ce cadre sera hors la loi et rendra des comptes !
    Sortir de ce cadre sera un précédent grave qui nous collera aux chevilles, car les autres pays ne nous feront plus confiance ! On fait avec ce que l’on a sous la main, de la manière la plus légale, jusqu’à l’élection du nouveau Président !
    Le nouveau Président élu par le peuple de façon honnête et transparente se chargera de la suite des changements.
    L’urgent est de changer la loi électorale dans sa globalité avec le concours de juristes connues pour leur probité en consultation avec les partis et associations actuelles !

    Nasser
    28 mars 2019 - 20 h 29 min

    La proposition présente un grave danger !
    Elle fait fi des Institutions actuelles et néglige la Constitution en vigueur pour proposer des solutions « extra » à partir de presque rien pour ne retenir que l’article 7 et 8 qui dit bien « Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne ». Il y a bien des institutions depuis 1962. Sinon qui est ce « peuple » et qui le représente quand la base constitutionnelle est détruite ? La Constitution est « dépassée » en quoi, dans quoi ?
    Les lois existent ; le problème est l’application ! La Constitution existe le problème est la manipulation !
    Qui a le pouvoir de « raser » et proposer ? Le Peuple ? Qu’en savez-vous ? Les manifestations ? Ils sont combien ? 4..6..8..10 millions ? Il y a 46 millions de citoyens dont 25 millions d’électeurs ! Vous dites «donc nous avons le droit de dissoudre les assemblées qu’on a élues. » Qui « nous » et comment ? Vous dites aussi « assemblée représentante du peuple … composée de 240 citoyens les membres de l’assemblée seront choisis équitablement par wilaya, parmi les partis, les syndicats, les associations et les autres citoyens. » Elle représente le « peuple », mais « choisis » par qui ? Pourquoi 250 ? Ce n’est pas sûr que les partis, syndicats, associations représentent le « peuple »…et les « autres citoyens » qui sont « ces autres ». Ceci d’autant que vous affirmez contradictoirement plus loin que « ce qui nous a réunis, ce ne sont pas les partis politiques, ni les syndicats, ni les associations mais l’humiliation ». Vous dites aussi « à condition de réfléchir intelligemment par la loi et sans la transgresser, même si elle ne nous arrange pas… » Quels lois si la loi Fondamentale est transgressée dès le début comme vous le proposez. Une chose et son contraire quoi !
    Vous terminez ainsi « La négociation avec le mouvement populaire se déroule sans représentants et presque toutes les revendications sont acquises, à part la principale : vous partez tous ». Toutes les revendications sont « acquises » ? De qui sont-elles «acquises » si ceux de qui ont les attend doivent « tous partir » ? Il y a une « anomalie » dans ce raisonnement !
    Laissons la Loi Fondamentale en vigueur ! Elle est suffisante. L’article 102 et suite existent dans tous les pays. La maladie, le décès et la démission ont leurs solutions chez ces pays et chez nous. Les changements de gouvernement, d’APN ou de Constitution sont du ressort du Président de la République élu ! Toutes autres propositions en dehors de ce que prévoit la Loi Fondamentale est anticonstitutionnel ! Celui qui sort de ce cadre sera hors la loi et rendra des comptes !
    Sortir de ce cadre sera un précédent grave qui nous collera aux chevilles, car les autres pays ne nous feront plus confiance ! On fait avec ce que l’on a sous la main, de la manière la plus légale, jusqu’à l’élection du nouveau Président !
    Le nouveau Président élu par le peuple de façon honnête et transparente se chargera de la suite des changements.
    L’urgent est de changer la loi électorale dans sa globalité avec le concours de juristes connues pour leur probité en consultation avec les partis et associations actuelles !

    moi
    28 mars 2019 - 10 h 07 min

    اسمحولي خاوتي نحلم شوية و اقترح هذا:نطالب برئيس مؤقت كالسيد مصطفى بوشاشي او احد مثله مكان بن صالح الذي نرفضه.اول شيء يقوم به الرئيس المؤقت هو :١/تجميد الدستور الى حين اعادته و حل البرلمان بغرفتيه و حل الحكومة و تجميد الاحزاب الى حين٢/تكوين حكومة تسيير مهام تقنوقراطية مؤقتة لكي لا يتوقف اقتصاد الجزائر والمؤسسات و المصالح و الشأن العام٣/تأسيس حزب الحراك من اجل الجمهورية الثانية مستمدا شرعيته من الشعب الذي قام بالثورة(يختار ممثلي الحزب و لجنته المركزية بالاقتراع بعد تجمع ضخم و تجمعات في كل الوطن)٤/ تنظيم ندوة و طنية شاملة يشارك فيها حزب الحراك من اجل الجمهورية الثانية وكل الاحزاب و الجمعيات و النقابات و المجتمع المدني ينبثق منها ٥/مجلس تأسيسي يشرف على ٦/تعديل قانون الانتخابات(للضرورة) و انتخاب لجنة تنظيم الانتخابات
    ٧/اجراء انتخابات برلمانية (يشارك فيها حزب الحراك من اجل الجمهورية الثانية و كل الاحزاب) ٨/البرلمان الجديد ينشيء دستور جديد(واختيار نظام الحكم)بعد نقاش طويل و تقديمه ٩/للاستفتاء الشعبي١٠/ تنبثق من البرلمان حكومة جديدة(صلاحيتها و صلاحية البرلمان حسب الدستور الجديد)١١/تعيين ولاة و رؤساء دوائر جديدة١٢/انتخاب المجلس الدستوري ١٣/اجراء انتخابات رئاسية ديمقراطية دستورية شفافة تكون الاولى في تاريخ الجزائر١٤/ اجراء انتخابات بلدية. كل ذلك وبلدنا ينمو و يزدهراااوالى الامام اخواني اااااملاحظة اسم الحزب الجديد اقتراح ممكن اقتراح اسم اخر.

    Pour garder vivante cette flamme...
    28 mars 2019 - 7 h 02 min

    … Du soulèvement populaire, je pense qu’effectivement une forme d’organisation du peuple (style comités populaires ou démocratie participative) est indispensable à plus d’un titre :
    * Pour une représentativité équitable
    * Pour recueillir tous les avis et suggestions de tout un chacun
    * Pour un meilleur contrôle pour prévenir toute dérive
    * Cette forme de démocratie participative doit servir d’aiguillon et de poil à gratter pour ne pas s’endormir
    sur nos lauriers comme c’est le cas jusqu’à maintenant.
    Ce préalable n’est pas incompatible avec une organisation politique classique à définir à tête reposée (alimentée en personnes et en idées par la première structure en veille permanente).
    Je pense qu’il y a là un moyen pratique de garder les liens et d’entretenir des solidarités entre tous les algériens du pays comme de la diaspora, via des sites internet appropriés à créer.
    La notion de participation est vitale pour tuer dans l’oeuf tout culte de personnalité naissant.

    FETTA AÏT KACI
    27 mars 2019 - 22 h 34 min

    Robespierre n’est pas le bon exemple. C’est un sanguinaire qui a fini par tuer tous ses amis révolutionnaires tel que SAINT JUSTE mais… il fût à son tour assassiné. KAMA TOUDINE TOUDÈNE !
    NON, Monsieur Bachir HAKEM ! Nous n’assistons pas à….. « insurrection pacifique » mais à une VÉRITABLE RÉVOLUTION POPULAIRE DÉCLENCHÉE ESSENTIELLEMENT PAR DES JEUNES QUI DEMANDENT LE DISPARITION TOTALE ET DÉFINITIVE DU SYSTÈME OPPRESSIF !!!

    Pas de charrue avant les boeufs !
    27 mars 2019 - 20 h 11 min

    Ya si Bachir Hakem , auteur de l’article , avec tous mes respects, vous êtes en train de compliquer les choses : revenir aux élections législatives , maa t’efrèche , ya kho ! Et puis comment organiser des élections alors que le peuple de la rue demande un changement de système et de gouvernance ! Engager des élections (législatives ou présidentielle) maintenant est une hérésie politique ! Ces élections ne viendront qu’une fois la situation politique et institutionnelle assainies dans une nouvelle république !

    Pour l’instant, on a besoin d’une instance collégiale restreinte (ou une forte personnalité crédible, reconnue et respectée ) charger de présider le pays et qui va constituer un gouvernement de compétences pour gérer les affaires courantes, ainsi que toutes les instances composés de personnes compétences pour proposer une nouvelle constitution, une nouvelle loi électorale , une instance indépendance de contrôle et d’organisation des élections t ! La Constitution et la loi électorale seront proposées au référendum populaire ! Tout le reste ne fait que compliquer la donne , et il ne faut pas mettre la charrette avant les bœuf, surtout dans vous parler de pourcentage ! Restons sobre, simple et efficace et allons à l’essentiel ! Mes respects !

    MELLO
    27 mars 2019 - 19 h 25 min

    Proposition qui vaut par son contenu et son contenant sans être pilotée par le régime en place. Cela nous ramène à des années en arrière , en 1958 , le 19 Septembre , Fermat Abbes annonça le premier gouvernement provisoire Algérien. Les Algériens , de grande qualité, peuvent s’organiser pour prendre en charge les destinées du pays. Le Général Major Gaid Salah qui fixe les règles du jeu , peut bien les fixer au profit du peuple. L’article 102 , bien que présentant une issue , mais cette issue risque de se refermer définitivement sur le rêve exprimé de la jeunesse.

    k
    27 mars 2019 - 18 h 20 min

    et qui choisit ces représentants. Harry Potter?

    Argentroi
    27 mars 2019 - 18 h 12 min

    Mais monsieur Bachir Hakem, toute la société algérienne est quadrillée par les partis, syndicats, associations, comités de quartiers , organisations, et j’en passe, affidés sinon infiltrés par ce système, par le caporalisme algérien qui veut leurrer les algériens, et d’autres, en présentant une façade citoyenne. Ainsi, si on te suivait, on obtiendrait une assemblée populaire toute acquise à ce caporalisme. Et rebelote !

    Bahri
    27 mars 2019 - 17 h 30 min

    Les syndicats ne doivent pas faire de politique et sur quelle base proposer ces 4 catégories?.

    BASTA
    27 mars 2019 - 17 h 25 min

    On en a marre des comités et assemblées. Élections présidentielles libres et honnêtes dans 90 jours. Et Basta. Celui qui veut gouverner et presider qu’il passe par le suffrage universel. Il suffit de réviser la loi électorale et désigner une commission indépendante de surveillance des élections. Arrêtons de faire glisser les débats vers l’inconnu.
    Les réformes importantes seront engagés par le président élu selon justement le programme proposé et c’est au peuple de choisir entre les différentes thèmes de réformes: constituante, révision de la constitution etc….
    Que Dieu préserve notre unité et notre Armée.
    Un citoyen amoureux de la paix.

      Salim
      27 mars 2019 - 20 h 16 min

      Que dire apres cette lecture ? Rien.
      Tout y est, action.
      Le peuple Algerien uni pars l’envie de libéré sa terre et le monde.
      Qui lu cru !

      Anonyme
      28 mars 2019 - 12 h 26 min

      Très bien dit. Le prochain objectif, ce sont les élections, nanties de toutes les garanties anti-fraude possibles. Les manifestations dégagistes n’ont plus lieu d’être, c’est une étape terminée, ce sont les urnes qui dégageront le système.

    Anonyme
    27 mars 2019 - 17 h 21 min

    Ya Bachir Hakem…Yahdik..ne nous mene par sur ce chemin plein d embuches et incertain…Restons dans les termes de l actuelle constitution et exigeons la demission de Bouteflika et avancer dans le respect constitutionnel succeptible d etre amander par la suite……..tout est ecrit dans l actuelle constitution si on depasse l obstacle Bouteflika et c est tres simple en exigeant sa demission….Min fadhlik arretez de philosopher….

    Ahmed Ouyahia appelle le président Bouteflika à présenter sa démission…voila la solution
    Le general Gaied Salah devrait suivre Ouyahia et exiger la demission de Bouteflika….c est la meilleure solution pour debloquer la situation et gagner 3 mois au moin…C est a dire le depart immediat de Bouteflika.

    Article 102 concernant la demission immediate:
    En cas de demission ou de deces du President de la republique, le Conseil constitutionnel se reunit de plein droit et constate la vacance definitive de la presidence de la republique.
    communique immediatement l’acte de declaration de vacance definitive au Parlementqui qui se reunit de plein droit. Le president du Conseil de la Nation assume la charge de Chef de l’Etat pour une duree de quatre-vingt-dix (90) jours au maximum, au cours de laquelle des Èlections presidentielles sont organisees.

      Anonyme
      27 mars 2019 - 19 h 03 min

      Tout a fait vous avez parfaitement raison il faut faire tout pour reusir a faire demissionner Bouteflika aujourd hui avant demain….et le cours suivre son chemin legal…..
      Et si Bouteflika veut entrer dans l histoire il limogera tout le gouvernement et puis il demissionne,le president du conseil de la nation assurera l interim,et nommera un gouvernement de transition forme de technocrates et dans les 90 jous au maximum organisera les elections par la haute instance independante des elections….Notre armee assurera le bon deroulement et la securisation des transport des urnes jusqu au centres de trie…..

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