L’ex-secrétaire général du FLN Djamel Ould-Abbès s’est dit «choqué» par l’élection de Bensalah

L’ex-secrétaire général du FLN Djamel Ould-Abbès s’est dit «choqué» par l’élection de Bensalah

Comment (17)

    Med
    9 avril 2019 - 14 h 54 min

    Moi je suis choque tu n’est pas en prison avec Ouyahia.

    Abdelcadre El Mali
    9 avril 2019 - 13 h 03 min

    Il veut s’acheter une virginilé, ce traître!

    Zenaty
    9 avril 2019 - 12 h 57 min

    Invité hier par la coordination locale des étudiants de Béjaïa, Djamel Zenati, ex-député du FFS et conseiller de feu Hocine Ait Ahmed au Front des forces socialistes a plaidé pour un pacte historique basé sur le changement des mentalités.

    «Ma venue ici est d’ouvrir les débats», a indiqué d’emblée le conférencier. «L’Algérie d’en haut est l’implication directe de l’armée par le biais de l’état-major», soulignant toute l’évolution de l’institution militaire à travers le discours du chef d’état-major de l’ANP, passant du discours à la proposition, puis à l’action». Parlant de la perversion de la problématique, en nous faisant croire que tout le problème de l’Algérie se résume à la mise à l’écart du clan Bouteflika et à des arrestations sans ouvrir au préalable une enquête sur la situation réelle. «Il s’est débarrassé de Bouteflika et c’est donc à lui que revient le droit de présider aux destinées du pays et ce sont tous les prémices d’un retour de la primauté du militaire sur le politique», argumenté par l’article 8 de la Constitution Zenati, ancien membre du Mouvement culturel berbère (MCB), a estimé que la «seule issue est la transition démocratique avec l’engagement, la responsabilité, le sens du compromis dans le peuple». Il s’agit, pour le militant, de «définir les contours de l’Algérie de demain», passant impérativement par «l’institutionalisation du pouvoir, la limitation du pouvoir, la séparation des pouvoirs de l’économie et de la religion et la séparation des régions autonomes à compétition stimulante, dans un état de droit».
    Il s’agit de traduire les exigences du mouvement en un pacte historique qui soit de nature à relever la perspective historique en l’Algérie, qui peuvent mettre le pays sur la voie du progrès et de l’émancipation. Dans un second temps, ce pacte doit été traduit par des réformes profondes, en tenant compte des priorités dont la réforme des codes électoraux. Quant au slogan «système dégage», l’orateur s’interroge: «Qui va partir?», car le système, ce «n’est pas seulement des gens mais c’est une culture autoritaire à travers les comportements et les pratiques qui ont déteint sur nos comportements autoritaires». «Il y a actuellement des gens qui pensent que Gaïd Salah nous a sauvés», cite-t-il comme exemple. En d’autres termes, il faut libérer les mentalités. Parlant des propositions des uns et des autres, le conférencier n’a pas hésité à parler de «piège», faisant tomber la démocratie dans le procédural. Il estimera que «le mouvement populaire est un moment fort de la modernité, totalement opposé au mouvement de 1988 car le citoyen est libéré». L’Algérie, avec toutes ses couleurs et ses contradictions est dans la rue et c’est «uniquement la démocratie qui peut régler tous les conflits, pacifiquement». Quels sont les grands défis de la transition? Le conférencier parle de défi politique, qui dépend de notre entente et du défi économique, qui est mondial et pas facile, mais pas impossible, car nous avons des ressources importantes». Il faut passer de l’économie rentière l’économie productive», ajoute-t-il, soulignant qu’il faut mettre fin à la concentration des pouvoirs dans le temps et l’espace, par la limitation des mandats et la «délégalisation».

    Fellag
    9 avril 2019 - 12 h 39 min

    Un Bouteflika peut en caché un Autre, et voila ! la réponse un relais entre corrompus et traitres;quand-es-que nous serons vraiment indépendant et souverain;tant que les commis et les ex collabo de l’ex occupant vient nous resterons sous occupation

    Hamalaoui
    9 avril 2019 - 12 h 20 min

    453 députés votent . 453 députés optent pour la continuité du système mis en place par Bouteflika. 453 e députés défient 42000000 algériens (_ le clan Bouteflika et les 453 votants:- un nombre négligeable par rapport à la population algérienne). 453 députés consacrent la corruption et défient le peuple algérien. 453 députés crient haut et fort « houna yamout kaci – masmar djeha . 453 demandent au peuple ::: degage:::. La balle est dans la rue. La confrontation va débuter avant la date prévue à savoir le vendredi. L’Algérie est la perdante , de par la décision des 453 députés illégaux qui s’autoproclament les garant de la constitution 2016!!!!???

    Anonyme
    9 avril 2019 - 12 h 11 min

    ces gens n’ont aucune dignité,malgré le rejet par le peuple de leur systeme,,ils veulent se maintenir au pouvoir et continuer a détruire ce pays !!

    Chaib
    9 avril 2019 - 12 h 10 min

    Un Marocain qui va vraiment présidé l’Algérie pendant 90 jours et préparer des élections présidentielles « propres, transparente, sans gabigies » où sont passés dès lors les Articles 7 et 8 de la constitution et ceux même exigés par son Exelence Peuple Algérien.
    Donc, ils veulent recicler le régime et le refaire naître de ces cendres.
    Oh nonnnnnn vous êtes hors service, je sais vous avez bien compris la demande de la révolte populaire mais vous jouez le sourd, sachez bien que seule la Volonté de DIEU et de ce peuple qui va l’emporter et sans grabuge.

    Sindra
    9 avril 2019 - 12 h 04 min

    Quelle Charade et quelle arrogance! Un vrai pied-de-nez. La contre-révolution a déjà commencé. La balle est maintenant dans le camp du peuple. A commencer, j’invite le peuple a boycotter tous ces ‘parlementaires’ qui ont voté pour Bensaleh (poster leurs noms durant les manifestions et demander au peuple d’arrêter tout contact et relation avec eux, à la mouvement BDS). La plupart sont des privés, hommes d’affaires, commerçants, docteurs, avocats, etc. Pour les ‘sénateurs’ (version Algerienne du « House of Lords » Anglais), c’est surtout des retraités ‘anciens bla bla bla » qui ragda wat mangi.

    saad odhar
    9 avril 2019 - 12 h 02 min

    bensallah et bedoui en mission pour intoniser Louh comme president pour 20 ans prochains.
    on ne deracine pas un systeme sans foi ni loi avec « selmia selmia  » et du folklore .
    on a offert quelques victimes expiatoire de KDS Ouyahia ,Haddad, et sidi Said qui n’etaient que de minables serviteurs de syad houm les decideurs, et le tour est joué .on black liste avec des faks news quelques mafiosos connus sur la place publique pour donner le change de changement et puis tout reprend sa place.

      Sindra
      9 avril 2019 - 12 h 28 min

      « on ne deracine pas un systeme sans foi ni loi avec « selmia selmia » et du folklore… » J’ai bien peur que vous ayez raison.

    Ali-Vision
    9 avril 2019 - 11 h 59 min

    La montagne qui accouche d’une souris on change pas une équipe qui magouilles, qui confisque les biens publics et spoliation du terrains du peuple Qui corrompre, c’est du Kif Kif dans ce cas là, il fallait mieux garder Said Bouteflika plus jeune et moins gourmand que de son professeur Bensalah, le peuple à été trompé et humilié, notre peuple n’est pas souverain chez lui, que recherche-t-ils les décideurs de ce pays, ceux qu’ils l’ont choisi ne sont pas légalement élus, se sont que des corrompus et traîtres et rien d’autre, il faut continuer le combat et virer tout les traîtres corrompus

    daro
    9 avril 2019 - 11 h 56 min

    Ceux qui ont misé sur l’armée pour accompagner la transition ils ont eu la réponse auj!!! Les généraux sont tous impliqués dans la corruption,!!! ils ont sonné la fin de la récré, et bonjour l’affrontement .. le risque est très grand et la situation est très grave!!! on va passer par des moments très très compliqués…et Les généraux sortiront gagnants dans tous les cas… soit en continue selon leur agenda dans la paix, et là on s trouvera avec un président imposé par ces généraux, soit on va aller vers un état d’affrontement et là, ils appliqueront la 107 de leur constitution !!! et voilà, tout ça pour ça

    ADMI
    9 avril 2019 - 11 h 53 min

    Il se voyait en bon président pour conduire comme il l’a toujours pensé les 40 millions d’Algériens comme un troupeau bien discipliné.

    Anonyme
    9 avril 2019 - 11 h 43 min

    Il faut mettre en application l article 7 et l article 8 de la constitution….dont voici les textes.:
    Article 7 : « Le peuple est la source de tout pouvoir. La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple. »

    Article 8 » Le pouvoir constituant appartient au peuple. Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne. Le peuple l’exerce aussi par voie de référendum et par l’intermédiaire de ses représentants élus. Le Président de la République peut directement recourir à l’expression de la volonté du peuple. »

    Dans l article 8: je cite: » Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne.  »
    Notre armee nationale est cette institution constitutionnelle qui doit realiser les demandes et les exigences du peuple Algerien…..Ce qu elle doit faire immediatement siffler la fin de la recreation et renvoyer tous ces hurluberlus devant la justice…et avec le peuple Algerien l armee doit ouvrir la voie vers la 2 eme republique..il n y a plus rien a douter ,la voie constitutionnelle avec les articles 7 et 8 sont clairs,il ne sagit plus que de les appliquer….le peuple exerce sa souverainete par l intermediaire de l institution militaire..Le chef d Etat major de notre Armee et vice ministre de la defense Gaied Salah doit appliquer et immediatement…point barre.
    A AP de publier mon commentaire..merci a l avance

      harissa libre
      9 avril 2019 - 13 h 25 min

      manipulateur !!!!
      il faut apprendre a lire et être honnête à défaut d’être nationaliste ,a moins d ‘être un etranger
      l’art 7 de la constitution precise dans son alinéa 2
       » le peuple l exerce par referendum et par l’intermediaire de ses representants elus  »
      cela veut dire,que ,le peuple doit elire ses representants,cad ses deputes qui defendent ses revendications
      ce n’est pas dans la rue que les lois seront faites
      Oublier cette disposition ,c’est detourner le peuple de sa prerogative : IL APPARTIENT AU PEUPLE, ET A LUI SEUL, DE DESIGNER SES REPENTANTS ET IL DISPOSE DE TROIS MOIS POUR FAIRE SON CHOIX
      les aventuriers et les assoiffés de pouvoir veulent gouverner par un pouvoir né d un consensus.
      Or,le consensus, réalisé par cent personnes devient anti démocratique si le peuple peut s’exprimer librement
      le consensus réclamé par ces aventuriers consiste a étouffer l ‘expression de 44 millions de citoyens
      le peuple algerien n’est ni handicapé , ni malade mental et encore monis arriéré mental pour être mis sous tutelle
      IL FAUT CHOISIR ET VOTER

    Nul et non avenu
    9 avril 2019 - 11 h 39 min

    Cette décision du fait accompli émanant d’un parlement croupion composé de partis mercenaires ne sera jamais reconnue par le peuple

    K. DZ
    9 avril 2019 - 11 h 36 min

    Une figure en caoutchouc anti hachma et antichoc qui se dit choqué, on aura tout entendu. Il n’y a pas si longtemps cet énergumène nous assenait des âneries à faire rougir de honte une marmite noircie par la suie, et là il s’offusque d’une procédure qui permettra un énième viol de la constitution en permettant à un citoyen algérien d’origine marocaine de présider aux destinées du pays pendant au moins 90 jours, durant lesquels il fera en sorte qu’on ne s’en sorte plus. Alors il faut le sortir en vertu de l’article 102 bis qui stipule : pas de traître potentiel à des postes sensibles. Dont acte !

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