Une ONG bruxelloise fantasme sur une «montée de la répression» en Algérie
«Les autorités doivent cesser la répression contre les manifestants», titre l’ONG EuroMed Droits dont le siège se trouve à Bruxelles, en Belgique, dans une déclaration qui coïncide avec les manifestations pacifiques organisées ce vendredi à travers toute l’Algérie.
«La huitième semaine de mobilisation en Algérie a été marquée par une montée de la répression policière», fabule cette organisation dont la réaction est soit mue par une volonté de désinformer l’opinion publique internationale, soit due à des fausses informations qui lui parviennent d’Algérie.
Son président, le Libanais Wadih Al-Asmar, revient sur le «traitement dégradant dont ont été victimes les militantes au sein du commissariat de police», bien que la DGSN ait démenti toute atteinte à l’honneur des manifestantes qui avaient été libérées sur le champ. L’ONG commente aussi «l’introduction illégale d’agents de police pour réprimer des étudiants», en amplifiant les faits sciemment pour faire accroire à une répression généralisée.
Les ONG hostiles à l’Algérie, désarçonnées par le caractère pacifique des manifestations, cherchent le moindre incident pour travestir la vérité et justifier les fonds dont elles bénéficient en contrepartie de leur intoxication médiatique. C’est ainsi qu’EuroMed Droits invente une «répression violente», des «arrestations brutales» et des «interpellations musclées» pour décrire une situation apocalyptique en Algérie, bien que la répression des Gilets jaunes en Belgique, il y a quelque mois, ait connu des débordements autrement plus violents sans que cela n’émeuve outre-mesure cette organisation parasite.
K. B.
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