L’association écologique marine Barbarous nous écrit
Le premier article intitule «Un responsable d’une association écologique fait la loi aux iles Habibas», paru le 29 avril 2019 et signé Houneida A., fait ressortir un acharnement et une haine caractérisée à l’encontre de cette association et porte des accusations graves contre son secrétaire général,l’accusant d’avoir enlevé une plaque commémorative qui a été érigée sur ces îles.
Cette accusation n’a aucun fondement et constitue une atteinte à la personne de notre secrétaire qui se réserve le droit d’intenter une action en justice envers son accusateur.
Les commentaires qui ont suivi cet article , ont répondu à ce sieur mi algérien mi français ( car possédant une double nationalité) fonctionnaire en France et n’honore nullement ni le métier qu’il exerce, ni la corporation dans laquelle il exerce (médecin dans les sapeurs-pompiers en France).
Ce sinistre personnage devrait répondre de son acte devant la justice.
Un deuxième article intitulé «Les îles Habibas, les dessous d’une gestion chaotique», signé par Mohamed El-Ghazi en date du 10 juin 2019, dénote une méconnaissance avérée de la réglementation quant à la gestion des réserves marines naturelles.
L’association Barbarous reste une association qui n’est plus à présenter,vus ses riches bilans et son palmarès.Aussi faut-il préciser qu’elle n’est nullement une entreprise de nettoyage ni une compagnie d’éboueurs.
Les détritus présents sur les lieux (îles Habibas et l’île Plane) sont laissés par des gens incultes , de comportements qui ne reflètent nullement leurs apparences.
Ces parvenus visitent les lieux et laissent derrière eux des spectacles de désolation et c’est ces gens qu’il faut combattre à travers votre journal.
Cette mauvaise fréquentation a toujours été dénoncée par notre association et les preuves existent.
Quant à l’île Plane, elle a été classée par une commission de wilaya, conformément à la réglementation et suite aux travaux d’aménagement entrepris par l’association et dont les membres sont fiers d’avoir réalisé une première en Algérie et qui reste à féliciter.
La gestion de cette île est du ressort d’autres organismes.
Ces articles diffamatoires sont le résultat d’un manque de professionnalisme et de méconnaissance des lois et règlements , ce qui constitue une tare pour un journaliste sensé informer et éclairer ses lecteurs.
Nous , membres de l’association Barbarous dénonçons cette manipulation afin de porter atteinte à sa renommée.
A l’heure où le monde évolue à grands pas,découvrant de nouveaux horizons dans les sciences,s’appuyant sur des médias chevronnés, dont la mission est d’éveiller les consciences ,de sensibiliser les gens , d’éclairer les visions de tout un chacun dans un monde nouveau qui demande l’apport ne serait-ce que minime de tous les acteurs de la société, notre cher Algeriepatriotique s’attelle à colporter des informations destructrices, des allégations mensongères dignes des discours de masseuses de bain (tayabate el-hammam).
Le monde évolue et avec lui évoluent ces concepts d’environnement et de lutte pour la sauvegarde de la flore et de la faune marines, la lutte contre la pollution. Votre journal essaie de casser l’élan d’une jeune association, dynamique, et animée d’une volonté de donner un plus à la protection de l’environnement qui reste un concept à l’état embryonnaire en Algérie.
Les membres de l’association écologique marine Barbarous
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