Convocation ou pas de Bouteflika par la justice : une question controversée

Bouteflika justice
L'ex-président Abdelaziz Bouteflika. D. R.

Par R. Mahmoudi – Des voix s’élèvent depuis quelques jours, dans la rue comme au sein des partis de l’opposition, pour demander que le président déchu puisse être entendu par la justice sur toutes les dérives qu’a connues le pays durant son règne et, notamment, sur celles liées au fléau de la corruption qui a atteint des summums lors de ses deux derniers mandats.

Dans les manifestations de vendredi dernier, des slogans ont été scandés par des manifestants – qui, en général, ne s’identifient pas politiquement – considérant la comparution d’Abdelaziz Bouteflika devant les juges comme «une suite logique» du processus en cours, où de nombreux anciens ministres et Premiers ministres ont été mis en détention provisoire, dans l’attente d’un procès qui fixera le sort de chacun. Certains slogans signifient clairement que toute cette «purge» n’aura de sens que si l’ex-chef de l’Etat emboîte le pas aux anciens responsables politiques jugés.

A ce sujet, le RCD a été le premier à formuler cette revendication, en appelant la justice à entendre l’ex-président Abdelaziz Bouteflika «sur ses actions et sur les activités de ses collaborateurs», estimant que cela constituait «l’unique gage de crédibilité» pour la justice.

Cet appel est corroboré par le député islamiste proche de Djaballah, estimant dans une déclaration récente que l’ex-chef de l’Etat méritait qu’il soit convoqué par la justice «même dans son état grabataire». Lui aussi juge qu’une telle décision est susceptible de «rendre justice» et de «rendre son honneur à la nation».

Plus prudent, le MSP, par la voix d’un membre de sa direction exclut pour l’instant cette hypothèse, du fait que, selon lui, tous ceux qui ont été interpellés par la justice l’ont été pour des affaires de malversation et de mauvaise gestion. Tandis que le Président déchu avait une responsabilité plutôt politique de la gestion du pays, a-t-il ajouté dans une déclaration au quotidien arabe Raï Al-Yawm. Pour ce dirigeant islamiste, ceux qui soulèvent aujourd’hui cette revendication «cherchent à diluer les interpellations et arrestations en cours».

R. M.

Comment (109)

    chan
    18 juin 2019 - 18 h 35 min

    je me permets de douter de l’algerianite des commentateurs. Vous parlez du panafricaniste et revolutionnaire international, celui qui avait fait rentrer l’olp aux N U et fait sortir l’aparthaid , celui qui a fait rentrer le vietnam et permit a la chine d’avoir son siege permanant . pas etonnant que les  » amis sionistes  » veulent se venger d’un homme qui a tant donne sur la scene diplomatique qui a ete jete comme un malpropre au lendemain du G rand Boumediene . celui qui nous a ramene la respectabilite a l’echelle internationale et que le peuple aime car il a transforme le pays sans parler de l’habitat et dans les campagnes , l’eau etc … et pas de dettes . je rends hommage a cet homme pour la justice sociale qu’il a etablit et tout ce qu’il a fait pour mon pays . je suggere qu’on le rappelle pour nous guider vers une transition en attendant de trouver un remplacant . une algerienne qui aime son pays plus que tout . merci de votre lecture.

    Anonyme
    18 juin 2019 - 14 h 40 min

    Triste fin de règne ?!,…..
    Malheur au vaincu, où à celui qui se fait rattraper, par son passé, et par son bilan lourd, et insupportable
    Est ce que la fatalité, et le mauvais destin tombent, toujours, sur la pauvre Algérie, depuis 1962 ?
    Pourquoi nous endurons, et nous souffrons de tout les conflits, les déchirements, les déstabilisations
    Les coups d’état, les coups de palais de clans bureaucratiques, puissants
    De tout les luttes pour le pouvoir, de sa rente, de ses privilèges d’ascension sociales,
    Et de son confort bureaucratique, et corrompu, au grès de l’humeur des tenants, et des aboutissants
    De ses dirigeants, et de ses responsables démagogues, populistes, et très opportunistes
    D’un pouvoir arrogant , corrompu, coupé de sa base populaire, insouciant, impopulaire, et incompétent
    A décoller, et à faire sortir le pays de son sous développement chronique hérité du colonialisme
    L’Algérie dépendante à 98% des recettes de ses hydrocarbures, en 1999, et meme, avant 1999
    L’Algérie dépendante à 98% des recettes des hydrocarbures, en 2019
    Pendant que notre Agriculture éternelle, renouvelable, mais agressée, marginalisée, négligée, et souffrante
    Pour remplacer notre pétrole instable, et non renouvelable
    L’Agriculture algérienne source de grandes richesses, de productions, d’emplois
    Et d’accumulations, pour les exportations en devises, a été massacré, sacrifié, bétonné, déserté
    Par les Mafias corrupteurs-corrompus des Domaines des Fonciers Agricoles
    Et gravement négligé par l’état corrompu

    L’économie dégringole, et se dégrade depuis 20 ans (Agriculture massacrée, Infrastructures développées)
    Meme si les discours réconfortants, illusionnistes ont changé, maintes fois,
    Selon les circonstances, et les conjonctures politiques de l’heure
    L’Algérie a stagné, et meme, elle a reculé, et régressé, et devient, économiquement, très fragile,
    Et très déséquilibrée, mono-exportatrice d’une seule ressource: le pétrole instable, et non renouvelable

    Anonyme
    17 juin 2019 - 17 h 29 min

    Le peuple algérien, et ses élites nationalistes les plus populaires, et son opposition démocratiques,
    Et pacifiques, doivent tirer les grandes, et meilleures leçons historiques
    Des expériences dramatiques, destructrices, meurtrières, sanglantes, et tragiques,
    Avec son anarchie, son chaos, en Libye, en Egypte, en Syrie, au Yemen, et dernièrement au Soudan
    Le peuple algérien est civilisé, démocratique, modéré, pacifique, prudent, responsable, sage, et vigilant
    L’Algérie a besoin de changement démocratique, civilisé, et pacifique qui épargne le pays
    De tout les glissements dangereux, et incontrolables

    Anonyme
    17 juin 2019 - 16 h 26 min

    L’ancien système affairiste- corrompu – parasitaire – prédateur – rentier – sécuritaire résiste encore,
    Dans les institutions étatiques corrompues, il n’est pas mort, il combat par tout les moyens,
    Illégales, secrets, et sournois, y compris pour survivre, et faire vivre ses clans, ses clients, ses courtisans,
    Ses serviteurs zélés, nombreux, et secrets, à travers leurs réseaux
    Le processus de changement, de démocratisation, de réformes, et de restructurations du pays,
    Du pays, de ses institutions, et de son économie, prendra du temps, d’organisation, de travail,
    Et de patience
    Seuls le civisme, la modération, l’organisation, la patience, la sagesse, la solidarité, l’unité, et la vigilance
    Du peuple algérien, et de ses élites nationalistes représentatives, et populaires pourraient venir à bout
    Des manoeuvres basses, et secrètes mafieuses de divisions de ses rangs

    Anonyme
    17 juin 2019 - 15 h 35 min

    Oeuvre de salubrité publique : pour l’exemple et afin que nul ne s’avise dorénavant d’avilir le glorieux peuple Algérien, Abdelaziz Bouteflika doit être jugé, ne serait-ce que par contumace. Il ne s’agit pas de se venger sur un homme malade et déchu, qui a fait plus de mal à ce pays et à son peuple, que nulle autre personne au monde. Aucune peine qui lui serait infligée ne compenserait le milliardième des forfaitures et des dégâts qu’il a commis. Il s’agit de le condamner, quitte à le laisser libre par charité musulmane ( étant donné son âge et ses maladies ). Cependant il est impératif de l’obliger à restituer tous les biens indûment acquis en Algérie et à l’étranger.
    Sa fratrie qui a participé avec lui à la catastrophe que nous vivons doit elle aussi ( Abdelghani : avocat conseil de Moumène Khalifa, qui s’est fait oublier, Saïd le Rastignac ) être jugée avec l’obligation de restituer les milliards de dollars indûment acquis qu’ils ont planqué à l’étranger. Sans cela l’état de droit réclamé chaque semaine depuis 4 mois par 30 millions d’Algériens ne serait qu’une vue de l’esprit.

    Abou zelouf
    17 juin 2019 - 13 h 43 min

    Il n`y a que devant dieu que les êtres humains seront égaux un jour. Bouteflika devant la justice !!! Vous dites n`importe quoi…Enfin je veux dire vous rêvez logiquement. Est il normal que la justice de l`ancien système juge l`ancien système? Non ..et pourtant c`est qui entrain de se passer. Alors arrêtons de prendre le peuple Algérien pour un débile. Ils peuvent sacrifier quelques gouvernements et leur ministres mais à perdre le pouvoir et ramener une justice aveugle qui va juger tout le système et SA PROGÉNITURE!!! impossible même si ça coutera la vie des 43 millions d`Algériens sans faire couler une seule goutte de sang mais ils vont tous nous irradier). Tous mâchés mais jamais avalés. Ils vont tous subir les peines de Boumarafi (l`assassin de Boudiaf). Ils disparaitront comme lui pour profiter ailleurs du butin pillé au peuple Algérien. Ils proposent 18 mois pour Haddad avant appel malgré les passeports, les permis, les kalachnikovs qu`il contait utiliser contre la population et les jeunes écervelés qui ont poussé le policier du haut du camion à 5 ou 6 ans pour tentative de meurtre. Je souhaite juste que le dicton qui dit «  un bien mal acquis ne profite jamais«  soit vrai.

    Anonyme
    17 juin 2019 - 12 h 28 min

    L’ancien système ses collaborateurs, et ses réseaux corrompus, dans les institutions étatiques, sont intacts
    Ils ont de l’endurance, résistent, et résistent encore,et ils ne s’avouent pas, pour autant vaincus
    Actifs dans les arcanes, les circuits, et les rouages secrets des institutions étatiques
    D’une Justice, encore clémente, hésitante, passive, et tiède
    Dans des Banques les plus Corrompues Sources de la Corruption, des Détournements, de Dilapidations
    De Gaspillages Monstres, et Incroyables, et de la Faillite de l’Economie Algérienne
    Dans les Directions du Fisc, des Domaines des Fonciers Agricoles, des Douanes,.
    Du Commerce Exterieur, de l’Import-Import
    La révolution du « Hirak » n’est qu’au début d’un long processus de démocratisation, et de réformes
    Des institutions malades, et corrompues du pays…

    Anonyme
    17 juin 2019 - 11 h 42 min

    C’est indéniable que les Bouteflika considéraient l’Algérie comme leur bien et particulièrement la richesse qu’est le pétrole comme la vache à traire puisque l’ex président dans son langage utilisait souvent le terme  »vache » en faisant allusion au pétrole comme si c’était son bien.
    Un autre fait , lors de la visite en Algérie de Zidane le footballeur ,reçu par les Bouteflika, rappelez vous ce que Said avait dit au caméraman qui voulait les photographier à la sortie d’El Mouradia : »non, c’est privé, la visite est privée  » .Comprenez l’Algérie est aussi privée..Le malheur de l’Algérie en 1830 était la France , en 1999 c’était Bouteflika .
    Fakhamatouhou mérite d’être jugé comme l’a été le président Moubarak en se présentant devant les tribunaux meme dans un brancard….

    Vangelis
    17 juin 2019 - 11 h 42 min

    Pour l’histoire, pour les citoyens et pour les générations futures, il doit passer par la justice.

    Il doit dire pourquoi il a agi ainsi contre l’Algérie et nous expliquer pourquoi il avait demandé pardon au peuple algérien car, à ne pas en douter, il avait beaucoup de choses à se reprocher et la seule manière de la savoir c’est qu’il dise tout, absolument tout. L’instruction judiciaire est faite pour.

    Une fois qu’il aura dévoilé ses néfastes desseins, la justice fera son travail en attendant le châtiment suprême, lui qui croyait se laver les mains en faisant construire une mosquée au lieu de construire un hôpital digne de ce nom ou encore atténuer les misères des algériens.

    Malade ou pas, il doit y passer et advienne que pourra.

    Anonyme
    17 juin 2019 - 11 h 33 min

    Bouteflika est responsable de toutes les corruptions, sans son aval et l appui d une partie de l état major de l armée qui le soutenait la corruption n aurait pas atteint ce degré…
    Mon frère ( Allah Yarhmou) qui travaillait dans une grande entreprise nationale agro-alimentaire et qui est mort de chagrin à la suite des accusations gratuites de ce régime m a raconté qu au cours d une réunion avec des partenaires investisseurs étrangers ,un représentant d une très grande entreprise internationale leur a carrément exprimé son refus d investir en Algérie car il fallait être protégé par un des puissants généraux de l époque contre 10% du marché..
    Et là ce n est qu une infime partie de l histoire de la déliquescence de notre pays…
    Voilà comment certains ont tout fait pour s enrichir et casser l économie algérienne et c est pour ça que les partenariats ont été conclus avec des entreprises de pays moins compétents mais surtout dociles à ces demandes abjectes…

    Anonyme
    17 juin 2019 - 10 h 39 min

    Même la justice ne suffit pas pour demander des comptes à ce président déchu.

    Mourad Iciriddir
    17 juin 2019 - 9 h 14 min

    boutesrika est l’ennemi de Dieu et de la nation; le traite.

    Anonyme
    17 juin 2019 - 7 h 56 min

    Il a massacré l’Algérie, est ce que ce n’est pas suffisant pour qu’il aille faire une visite à la cour suprême.

      anonyme
      17 juin 2019 - 10 h 44 min

      OUI il a massacré le peuple et le pays, on ne pardonne pas.

    Mon opinion
    17 juin 2019 - 6 h 31 min

    Que Dieu te m……. pour l’éternité ainsi que ceux qui savaient et qui t-on offert cette présidence, le mal que tu as fais à l’Algérie est incommensurable, preuve à l’appui qu’il ne faut jamais faire confiance à toutes personnes ayant des origines marocaines.
    Tu as détruit l’Algérie lentement et sûrement tout en sachant se que tu faisais par ta jalousie maladive et ton avidité démesurée et tes fourberies phénoménales qui ont conduit notre beau pays à cette catastrophe sans précédent.
    L’ensemble de ces crimes entrepris sous l’égide de ton clan depuis 1962 et même un peu avant ainsi que ta personnalité médiocre sont impardonnables et imprescriptibles car ayant conduit des millions de gens au bord du gouffre et des dizaines de milliers d’autres à une mort certaine.
    Il ne s’agit pas seulement d’un fait divers mais de toute une nation qui risquait de sombrer dans un tourbillon catastrophique.
    Pour cela, ta place ainsi que celle de tes frères, tes plus proches complices, est en prison jusqu’à la fin de vos jours.

    Anonyme
    17 juin 2019 - 5 h 15 min

    dites 127 algériens, c’est suffisant, pourquoi préciser qu’ils sont kabyles …Et les 200 000 algériens morts pendant la décennie rouge, de quelles régions étaient-ils et quels dialectes parlaient-ils?

    BERET VERT.
    17 juin 2019 - 0 h 13 min

    C’est l’oeuvre de boutef , ce que nous vivons aujourd’hui.mission accomplie pour lui , puisque il est venu pour détruire. C’est aussi sa création ce gang de traîtres. Il doit être juger et condamner.boutef , à laisser une ALGERIE , de désolation , que nous reconstruisons forte , IN-CHALLAH.

    Anonyme
    16 juin 2019 - 23 h 53 min

    C’est malheureux, et c’est triste,…..
    La faillite de l’Algérie, de son économie, de ses institutions, et de son système corrompu-sécuritaire est, aussi
    La faillite, et la démission, de ses élites, et de son peuple désorganisés, désolidarisés, désunis,
    Et trop passifs, qui ont, trop, laissé faire,…..,jusqu’au pourrissement, et l’incurie
    Des institutions, de l’économie, des banques, du fisc, du commerce extérieur de l’Import-Import, des douanes Corrompus
    Le peuple n’est pas irréprochable du tout,…..

    Anonyme
    16 juin 2019 - 23 h 22 min

    La faillite du pays est avant tout, la faillite de ses élites, la faillite de ses intellectuels, la faillite de ses cadres
    La faillite de son opposition, la passivité, et l’inertie de son peuple, à la limite de la complicité, et de la fatalité

    Ali 2
    16 juin 2019 - 22 h 53 min

    Logiquement c’est les personnes qui ont donner le pouvoir à ce traitre Marocain de Bouteflika, d’etres entendus et emprisonnés a vie,les Bouteflika sont connus depuis leurs arrivée en Algérie,leurs sport favoris enrichissement illégale,trahison,magouille,et corruption,c’est la maladie de tout Marocain,l’argent à n’importe quel prix

    El-Harrachi
    16 juin 2019 - 20 h 42 min

    Est ce que les partis politiques grands ou microscopiques à la botte du système qui faisaient l’apologie du grand guide Bouteflika qui étaient certainement rémunérés par en dessous la table, leurs responsables seront-ils poursuivis ?
    Je pense à Mme Chalabia Mahdjoubi du MJD qui l’avant veille de la démission du Président, nous vendait haut et fort les mérites et l’intégrité  » indiscutables  » de son maitre.

    karimdz
    16 juin 2019 - 19 h 57 min

    Je pense que compte tenu de l’état d’Abdelaziz Bouteflika, il ne sera pas possible d’entendre celui ci à quelque titre que ce soit.

    Il ne peut pas non plus répondre des agissements du clan said bouteflika ould yahia et d autres qui ont profité de l’état de santé du président pour se permettre toutes les dérives que nous savons.

    Le principal est que les principaux protagonistes ont été convoqués et pour la plupart écroués.

      Anonyme
      18 juin 2019 - 17 h 12 min

      rien que pour sa concorde civile au profit des criminels,il doit rendre des comptes,y compris pour la corruption,devenue une institution par ce clan …. son etat de sante n’est nullement une excuse, faut -il rappeler son implication dans les détournements d’argent durant les anneées 70 !!

    K. DZ
    16 juin 2019 - 19 h 54 min

    Je constate beaucoup d’incohérence et de manque de logique chez certains partis et autres concitoyens, je m’explique :
    -D’un côté ils avaient soutenu mordicus que le président n’était plus en possession de ses moyens notamment ses facultés mentales
    -et d’un autre on veut le traduire devant un tribunal et dans ce cas, pourra t-il se défendre?
    Il se trouve que ceux qui veulent qu’il soit traduit devant la justice sont ceux qui avaient « certifié » son incapacité mentale à gouverner et surfent sur la colère du peuple.
    Alors il ya lieu de traduire ceux qui se sont accaparé de sa fonction et de ses prérogatives, je parle des forces extra-constitutionnelles qui continuent d’abuser de ce pouvoir.
    Quant à fakhamatouhou, il a été jugé et condamné par le peuple qui l’a chassé de la manière appropriée et qui ne lui a laissé aucune gloire pour la postérité.

      hercule
      16 juin 2019 - 21 h 30 min

      Abdelaziz bouteflika était bien au courant que son frère Said bouteflika gérait les affaires du pays et il acquiesçait puisqu’il considérait l’Algérie comme leur bien.
      En plus de ça il a violé la consitution à deux reprises.
      Pas de pitié. Et que justice soit faite pour que ça soit un exemple pour les futurs présidents.

    El-Harrachi
    16 juin 2019 - 19 h 41 min

    Contre tous les suspects, il faut une justice JUSTE juste cette fois-çi car par le passé les juges n’ont pastoys été juste avec les citoyens. Et leurs mandats de dépôt abusifs ont été un crime contre certains malheureux non coupables.
    Des hauts responsables se croyants invincibles les voilà boule à zéro et enfermés pas trop loin de la cité PLM.
    En tout cas ça servira aux future hauts fonctionnaires.
    Merci mon général Gaid Salah. Et dites vous bien que vous pouvez avoir le même sort si vous manipulez le peuple.

    Brahms
    16 juin 2019 - 19 h 09 min

    Le masque est tombé. Les mensonges remontent toujours à la surface de l’ouvrier au Président de la République et c’est comme cela dans tous les pays du monde. Les forces supérieures savent ce que vous faîtes chaque jour de votre vie. Il y a toujours un retour flamme.

    Anonyme
    16 juin 2019 - 19 h 01 min

    Qui va convoquer Naima Salhi, cette vipère qui incite à une guerre ethnique. Elle a même attaqué la grande Djamila Bouhired. Qui soutient cette psychopathe.

      Personne n'osera...
      16 juin 2019 - 22 h 08 min

      …Elle fait partie du nouveau clan au pouvoir. Elle agit en toute impunité en mission commandée. Quant-à Boutef, en dehors de saïd pour calmer le peuple, il y’a un deal qui le protège (lui et sa famille). C’est ça la Répoublique des clans qui se renvoient l’ascenseur. Pour le peuple, comme le commerçant qui ne veut plus faire crédit, il met sur la devanture de sa porte la formule suivante « Le crédit c’est pour demain ». Il en sera de même pour ce régime s’agissant de démocratie : « La démocratie c’est pour demain » !

      Nadjib
      16 juin 2019 - 22 h 33 min

      Comme le dit un vieux dicton.
      La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe

    Citoyen Dz
    16 juin 2019 - 18 h 49 min

    Avant qu’il ne soit trainé devant les tribunaux , surtout qu’on lui interdise la sortie du territoire ( ISTN ) et donc d’aller se soigner dans les cliniques suisses ou francaises , il faut qu’il se soigne dans les hopitaux d’ici et avec les médicaments  » fabriqués  » ici , ca sera déja un immense supplice pour lui .

    Anonyme
    16 juin 2019 - 18 h 34 min

    Ya sidi, le peuple ne connait pas la vérité.
    Est-ce que Bouteflica était gravement malade et donc un otage de ses (sous) hommes?
    Ou est-ce que Boutefica était le cerveau de la bande?
    Comme on nage dans le flou, on demande à la justice de nous éclairer et faire éclater la vérité.
    Rien (et ce n est pas chose futile) que pour ca, Bouteflica doit etre entendu par la justice!

    Anonyme
    16 juin 2019 - 18 h 08 min

    Bonsoir :
    Boutesrika doit être juger sur l’ensemble de sa carrière politique c’est à dire depuis 1962 à nos jours et même avant , et là le peuple algérien découvrira que tout les malheurs qui l’ont frappé viennent en grande partie de cette hyène insatiable de revanche et de haine a l’égard de ( ses frères de combats ) et de sa population .
    Je lance un appel urgent pour l’arrêter avant qu’il ne soit trop tard et l’interroger sur tout les dossiers dont le pays a souffert .
    je vous jure qu’on tombera des nues
    Comparer toute l’équipe incarcérer à El Harrach paraîtront des enfants de chœur devant lui .

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