Huit poids lourds de la politique pour un dialogue avec l’institution militaire

Hamrouche dialogue
l'ancien chef de gouvernement Mouloud Hamrouche. D. R.

Par Saïd N. – Les forces de l’opposition ont décidé de reporter la tenue de la conférence de dialogue national au 6 juillet prochain, après l’avoir programmée pour le 29 juin, et ce afin de finaliser les préparatifs techniques et, surtout, pour essayer d’obtenir un maximum d’adhésions.

Les organisateurs cherchent, en effet, à assurer une large participation des forces politiques et de la société civile, et se donnent un peu plus de temps pour convaincre les plus réticents, notamment les partis démocrates, comme le FFS et le RCD, même si ce dernier, selon des sources proches de l’opposition, a donné son accord pour y prendre part. Or, le FFS risque même de ne pas être invité, au motif que la conférence rejette d’emblée toute discussion sur l’idée d’une Assemblée constituante, ardemment défendue par le parti fondé par Hocine Aït Ahmed.

En sont aussi exclus tous les partis ou personnalités ayant «collaboré» avec le régime d’Abdelaziz Bouteflika. Cela dit, les organisateurs misent beaucoup sur la présence d’une belle brochette de personnalités de poids, telles qu’Ahmed-Taleb Ibrahimi, Youcef Khatib, Djamila Bouhired, les ex-chefs de gouvernement Mokdad Sifi, Sid-Ahmed Ghozali, Ahmed Benbitour et, probablement aussi, Mouloud Hamrouche, en plus de l’incontournable Abdelaziz Rahabi qui est déjà désigné comme coordinateur de cet événement.

Le choix de la date du 6 juillet pour la tenue de cette conférence semble dicté par le souci d’anticiper la fin du mandat du chef d’Etat intérimaire, Abdelkader Bensalah, qui interviendra le 9 juillet. Le Conseil constitutionnel avait décrété une prorogation de ce mandat jusqu’à l’organisation d’une nouvelle élection présidentielle mais le mouvement populaire et l’ensemble de l’opposition ne cessent de réclamer le départ du chef d’Etat et du Premier ministre, Noureddine Bedoui, désigné en février dernier par l’ex-président Abdelaziz Bouteflika, en posant cette revendication comme un préalable pour un vrai processus de changement. Leur maintien à leur poste est devenu la principale source du statu quo actuel qui est entretenu par le commandement de l’état-major de l’ANP.

Il faut donc s’attendre à ce que la conférence de dialogue interpelle solennellement le commandement de l’institution militaire et son chef pour l’amener à accepter un compromis salutaire.

S. N.

Comment (98)

    lhadi
    25 juin 2019 - 19 h 56 min

    Esclaves de leur désir et de leur imagination, de leur habilité et du préjugé, ces taureaux à mamelles sont hors de mesure.

    Ils sont les ennemis de la république, les censeurs de la démocratie, parce qu’ils sont bloqués en eux-mêmes et bloqués sous la tutelle d’un système insane qu’ils ont servi sans état d’âme ; un système que la constitution lui a beau tracé la voie ; il a toujours marché dans la sienne.

    Ils doivent, donc, à mon sens, exorciser leurs propres démons et mettre à nu leurs propres fantasmes pour être en capacité à faire disparaitre l’obésité du médiocre ; cette norme d’incapacité, créative, orpheline des vertus de discernement ou intellectuelles et des vertus de caractère ou morales.

    C’est dans la compréhension du sens de cette analyse que le patriotisme républicain doit puiser la volonté et la capacité d’infléchir les gesticulations de surface en butte au projet de rousseau qui a inspiré la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.

    Fraternellement lhadi

    ([email protected])

    Blakel
    25 juin 2019 - 19 h 43 min

    ll est vrai que toutes ces figures ont participé à la « faillite » morale du pays, ils se sont compromis avec le pouvoir. Cependant il serait juste de rappeler une chose. La plupart de ces personnalités n’ ont détenu aucun vrai pouvoir (à l’exception de Ahmed Talb El Ibrahimi qui avait une influence importante au FLN). Comme l’avait si bien rappelé dans un article sur AP un intervenant (journaliste ?) Arav Khenouche il me semble, les ministres et Premiers ministres n’ont toujours été que des hauts fonctionnaires, technocrates, chargés de mettre en application une politique dont les grandes lignes sont décidées ailleurs. Ces gens là ont toujours mis leur compétence et talent au service des décideurs (Etat major et présidence avant tout, et responsable des renseignement dans une moindre mesure). Je ne dis pas cela pour les défendre, ils y trouvaient leur compte en étant récompensés par de l’argent et l’obtention de privilèges (Sid Ahmed Ghozali a au moins le mérite de l’avoir reconnu). Si je dis cela, c’est pour rappeler que ces gens n’ont jamais été les vrais responsables. Quelles décisions auraient-ils prises s’ils étaient les vrais décideurs ? On ne le saura sans doute jamais. En effet le pouvoir en Algérie dès 1962 a pris une tournure aristocratique et féodale. Il y a dès le départ une élite aristocratique, celle des miltaires de haut rang responsables du coup d’Etat de 1962, et quelques figures historiques qui leurs étaient associés. La présidence a toujours été réservée à cette aristocratie. Les autres ne pouvaient attaeindre au maximum que le rang de premier ministre. C’est un peu comme l’Ancien Régime en France avant 1789. On trouve en haut de la pyramide cette aristocratie, en dessous les technocrates commis de l’Etat (comme à l’époque les Turgot, Necker…), et une grosse bourgeoisie en développement qui vient bousculer l’ordre établi (comme les oligarques d’aujourd’hui). La reprise en main opérée par l’Etat Major en profitant du Hirak a permis de rappeler qui sont les véritables maîtres.
    Toute initiative allant dans le sens de la sortie de crise, mérite d’être étudiée. Mais si ça doit se résumer à une offre de service d’anciens commis de l’Etat à l’Etat Major pour sauver le Système le peuple ne l’acceptera pas. Les gens ne sortent pas dans les rues par millions depuis des mois juste pour aboutir à un toilettage du système. Les doléances du Hirak devront être prises en compte.
    Gloire à nos martyres.

    karimdz
    25 juin 2019 - 19 h 01 min

    Des poids lourds lol, laissez moi rire, des personnes sages sans aucun doute. Cela dit, toute action visant à créer le dialogue est bienvenue.

    Il faut mettre fin à la situation qui ralentit l’activité de l’Etat, il faut se mettre autour d’une table, nommer des représentants, et discuter avec l’armée pour proposer un plan visant à désamorcer la crise, et permettre la continuité du changement en Algérie.

    Je pense au delà des soucis des uns et des autres, qu’il y a un point d’achoppement, qui pourrait être résolu avec de la bonne volonté et de l intelligence. L’armée veut demeurer en réalité indépendante dans l Algérie de demain. Je peux comprendre cette volonté.

    Dans les pays démocratiques, c est le chef de l’Etat qui est le chef des armées et c est lui qui décide. Toutefois, ce n est pas forcément la solution idéale. Voyons ce qu’il se serait passé si le frère de l’ancien président qui tenait véritablement les renes du pouvoir, avait destitué le Général Gaid Salah, à coup sur, l’Algérie vivrait des moments terribles que Dieu nous en protège, amine. Voyez ce qui s est passé en France sous sarkozy. Je me souviens, d’une déclaration des services secrets francais qui mettaient en garde contre le danger de cet individu au service d isra hell, on connait la suite et je pourrai citer d autres exemples.

    Il faut discuter, et définir les contours des pouvoirs, civil, militaire. Le premier définit la politique de l état algérien, le second, la politique de défense du territoire, l’état bien entendu assurant les moyens à notre glorieuse ANP et Dieu sait qu elle en a besoin, pour assurer ses missions.

    Il restera à l institution militaire de définir les moyens de nomination et de renouvellement des états majors etc.

    samir
    25 juin 2019 - 18 h 38 min

    l’essentiel est d’appliquer les articles 7 et 8, et la loi au dessus de tout le monde ,et puis pas de passe droit pour quiconque, un parlement issue du peuple ,des maires élus par le peuple, dissolution de la police politique ,les services travaillent pour l’intérêt du pays à l’extérieur et l’intérieur,qu’il ne s’occupent plus de la fraude, placer des personnes compétentes dans tous les domaines, pas les fils de la nomenklatura, incompétents et voleurs, sachez bien que l’Algérie est la propriété de son peuple ,voilà ce que veut le peuple,

    Felfel Har
    25 juin 2019 - 18 h 20 min

    @Anonyme 14h39
    Une chose est sure, ces compétences existent dans tous les domaines de la vie économique, politique technologique, etc. Pour vous retourner la question, leur a-ton permis d’émerger ou de se signaler quand ce sont le plus souvent des médiocres qu’on promeut?
    Le clanisme, le clientélisme, le népotisme n’ont pas abouti à la reconnaissance de leurs talents. Ne me dites pas que vous n’en connaissez aucune?
    Salutations!

      Anonyme
      25 juin 2019 - 21 h 32 min

      @Felfal Har
      Concrètement qu’est-ce qui empêchent ces compétences de se manifester et de s’organiser au jour d’aujourd’hui !
      La solution n’est pas dans la sempiternelle complainte la solution est dans l’action.
      Bien à vous !

        L'Algérois
        26 juin 2019 - 22 h 08 min

        @ Anonyme
        25 juin 2019 – 21 h 32 min
        Vous le sachez ce qui empêche les compétences de se manifester autant que nous.
        Toutes les personnes qui sont en prison sans aucun jugement ni avoir commis un délit quelconque, certains meurent en prison, vous n’entendez pas parler!!!
        Vous n’avez pas compris qu’on est dans un état de droit cher ami et que demain, on ne sait pas ce qui va nous arriver.

    les traitres du pouvoir archaique et incompétent
    25 juin 2019 - 18 h 15 min

    des dinosaures et rien que des dinosaures !!!
    on ne veut plus de ces dinosaures, l’Algérie a t elle arrete d’infanter ??? nous savons tous ce que ces dinosaures ont causé comme mal a l’Algérie sous leur pretexte bidon de « légitimité révolutionaire » chachez vous bande d’incompétents !

    Abdellatif
    25 juin 2019 - 16 h 27 min

    Poids Lourd quel poids lourd ? ghozali un poid lourd ? un traite à la botte d’américano-atlanto-sionistes contre tous les nations fières et libres comme la Russie la Chine l’Iran la Syrie et forcément l’ALGERIE!!!
    Ce vendu juste pour son égo nous livrera sur un plateau d’argent à ses maitres avec qui il est constamment en train de cogiter servilement (voir ses innombrables interventions sur le net y a pas photo) en contrepartie de se faire dépoussiérer son nœud de pap… comme bien d’autres il n’en reste pas moins qu’à son stade de représentativité à ghozali que c’est d’un ridicule monstre un ridicule qui à lui seul est un scan parfait de ce qu’est réellement ce personnage prouvant qu’il ne peut parler en temps qu’Algérien ni Amazigh ni même Musulman Il ne suffit pas de faire semblant dans la vie ! NON !!!
    Et faut pas nous prendre pour des demeurés ! Il ne sera pas dans le chapiteau cette fois-ci ! c’est FINI !

    Abou Stroff
    25 juin 2019 - 15 h 51 min

    « les poids lourds », quels poids lourds et qui a décidé de la lourdeur de ces poids?
    en fait, encore une fois, nous sommes en présence du dilemme mentionné par le Camarade Mao Zé Dong:
    « L’œuf qui a reçu une quantité appropriée de chaleur se transforme en poussin, mais la chaleur ne peut transformer une pierre en poussin, car leurs bases sont différentes. »
    comme la société algérienne s’est graduellement fossilisée, le mouvement y est quasiment impossible et le seul mouvement perceptible est un mouvement circulaire où tout bouge pour que rien ne bouge.
    ceci dit, il me semble que le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation n’est pas prêt de disparaitre pour la simple raison que:
    « Une formation sociale ne disparaît jamais avant que soient développées toutes les forces productives qu’elle est assez large pour contenir, jamais des rapports de production nouveaux et supérieurs ne s’y substituent avant que les conditions d’existence matérielles de ces rapports soient écloses dans le sein même de la vieille société. »
    en d’autres termes, tant qu’un tsunami (une baisse prolongée des prix des hydrocarbures, entre autres) n’aura pas entamé la destruction systématique et irréversible du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui domine la formation sociale algérienne depuis des décennies, nous continuerons à tourner en rond et à faire appel à des fossiles vivants pour nous sortir de la mélasse dans laquelle nous pataugeons.

    Lyes-DZ
    25 juin 2019 - 14 h 55 min

    Être contre un système qui gère l’Algérie depuis 1962, c’est courageux, cela s’appelle une révolte, mais ce n’est pas suffisant ; être pour un autre projet de société, durable, ouvert, rassembleur et inclusif, autrement dit, faire la révolution des mentalités, c’est encore mieux, mais cette tâche n’est pas facile car l’Algérie est traversée par divers courants idéologiques diamétralement opposés aux antipodes les uns des autres ( courant séparatiste, courant islamiste, coutant baathiste, etc …..ceux qui veulent une démocratie en Algérie avec les émottons, la division et la diversion, sont inaptes au dialogue, nous voulons construire notre ALGERIE avec les idées, les débats, la plume, l’encre et la sueur, on doit accepter même les plus dérangeantes
    NB une République fédérale impose une solidarité de régions entre elles ayant une convergence unique applicable en Algérie, je reste sceptique mais pourquoi pas!!!! !!!!
    Nous devrons prendre le chemin de la raison et laissez celui du lyrisme, nous n’avons guère le choix

    MOHAMED kRARROUBI
    25 juin 2019 - 14 h 44 min

    Vous annoncez que les organisateurs de la conférence nationale ont décidé d’exclure tous les collaborateurs ( partis, associations … ) ayant participé à la politique, de désagrégation et la déliquescence du pays, entreprise par Bouteflika durant vingt années; Bouteflika faisait dans la grandiloquence et le peuple le prenait pour le Khalif des Khalifs allant jusqu’à le vénérer. L’ignorance est une cécité innommable. Au lendemain de l’indépendance la malfaisance et les turpitudes se mettaient en place ; nul n’ en était conscient … les discours grandiloquents s’en chargeaient de la gestion du  » moi algérien vaniteux et j’en arrête là « . Le peuple applaudit, VIVE ! VIVE ! …
    En dehors de la seule action citoyenne, celle de la caisse de solidarité ( sandouq tathamoun ) que l’on a nommé  » interaction symbolique  » du fait du lien qu’elle a fait naître entre les citoyens. Sauf, le lendemain, la fiche communale, s’est invité dans la danse, à la différence de la première, elle ne renfloue pas les caisses non elle les vide.
    Je me suis laissé aller dans l’histoire de ma [ misère ] ; je voulais surtout parler de ces anciens auxquels on fait appel alors que chacun est animé du principe du critère en soi. Si l’on veut sauver l’Algérie il y a assez de bonne volonté et de gens capable de mettre en place des règles de conduite pour qu’aucun empiétement ne vienne paralyser la sortie de crise.
    Pour cela, il faut réaliser que ce qu’on appelle parti politique n’est rien d’autre qu’une boutique de communiqués de presse. Alors, premièrement il faut saborder tous les partis et associations s’y rattachant.
    Mettre en place une commission qui désignera le conseil constitutionnel
    Le conseil constitutionnel avec l’appui de la commission que l’on peut considérer comme un conseil de sage se chargeront de nommer une assemblée constituante et organiseront, en nommant des technocrates dont l’intégrité est mise à toute épreuve, pour la gestion des institutions de la république
    Il revient à l’assemblée constituante, dans les deux ans qui suivent, de soumettre, au peuple, la nouvelle constitution par voie référendaire
    L’armée par sa nature doit être au service du peuple et du pays ; l’on ne doit jamais oublier qu’elle est sa création et non le contraire.
    L’on ne doit jamais ignorer que les gouvernants sont la volonté des gouvernés.
    L’Algérie est un gruyère de 2 300 000 KM2 ; Allons doucement !

    Anonyme
    25 juin 2019 - 14 h 32 min

    Il faut arrêter de faire dire tout et n’importe quoi au hirak et le pousser dans tous les sens , ca le discrédite. Ceux qui critiquent leur pays , leurs gouvernants sans retenue et sans limite ne font ils pas preuve d’ingratitude envers leur pays , leurs parents et grands parents qui ont fournis tant d’efforts .Pourtant il leur suffit de regarder autour d’eux et regarder un peu en arrière . aujourd’hui les algériens , bien plus nombreux mangent à leur faim , ils boivent de l’eau potable, ils s’habillent correctement, ils s’éclairent et se climatisent à l’électricité , ils ont des centres de santé de proximité, ils ne se déplacent plus à dos d’ânes ou de mulets sur des sentiers incertains , ils habitent dans des habitations connectées à des réseaux d’assainissement , ils voyagent dans des moyens modernes, avions , trains , metro ,tramways, bus , les routes sont pleines de voitures , etc…etc..etc..ces résultats sont ceux de ces anciens qu’ils faut respecter et remercier. Et une marque de respect particulière à l’armée et aux services de securité qui veillent et protègent.
    Ah ! Si jeunesse savait et si vieillesse pouvait.. La jeunesse devrait plutôt remercier dieu que des anciens soient encore là et chercher à tirer profit de leur expérience, de leur sagesse et de leur patriotisme . bonne chance et bon courage à ceux qui déploient d’immenses efforts pour rapprocher les positions des uns et des autres et trouver une issue à cette crise préjudiciable et que les ennemis de l’Algérie mettent à profit pour donner des coups à notre pays.

    Cheick Belhadj Président
    25 juin 2019 - 13 h 53 min

    Le seul a remettre le pays sur les rails avec une lutte contre la corruption sans merci par une application de la Charia.

      Apache
      25 juin 2019 - 18 h 28 min

      Ya latif! Jamais!

      Salim31
      25 juin 2019 - 21 h 10 min

      Rabi yestourna menak ou men hada ali belhaj ou jma3tah el moufsidoun fi ard ..amine

      Anonyme
      25 juin 2019 - 22 h 27 min

      Non! Merci, on a déjà donné !

      Anonyme
      26 juin 2019 - 12 h 24 min

      un tunisien aux origines douteuses pour remplacer un crypto marocain ! solution pour achever de détruire ce pays entamé dans les années 90

      Votre serviteur Seigneur
      26 juin 2019 - 21 h 28 min

      @ Cheick Belhadj Président
      25 juin 2019 – 13 h 53 min
      Oui Rassol, on appliquera la charia mais on va commencer par vous pour vous honorez,
      On vous jettera dans une arène de fauves qu’on aura laissé crever de faim pour vous déguster.
      Pour nous, on souhaite un monde réel et vivre heureux, libre et pleins d’espoir pour l’avenir de notre peuple.

    Anonyme
    25 juin 2019 - 13 h 39 min

    poids léger de la politique féodale oui ??? tout ces pseudos opposants politiques assoiffés de pouvoir ne font même une aile de moustique devant l’ANP la toute puissante.
    les opposants politiques sont pas des idiots ils savaient très bien que la démocratie n’existe ni en France ni aux États-Unis.
    notre vrais démocratie , le pain pour tout, le travail pour tout, logements pour tous, les soins pour tous, l’ecole pour tout, les droits et devoirs pour tous…. … ect…. voilà la vraie démocratie
    nous ne voulons pas cette démocratie du blablament des palaces…. qui ne s’agrippaient qu’a leurs privilèges.
    d’abord aucun pouvoir civil ne peut exister sans son approbation et son contrôle par les dirigeants militaires, c’est une loi non écrites existe depuis le premier GPRA (1958) de Ferhat Abbas tête d’affiche. sous contrôle des colonels du CNRA (conseil national de la révolution algérienne)
    tout ce rabotage médiatique c’est comme pisser dans un violon. ces pseudos opposants politiques en plastique ils prennent les gens pour des imbéciles.
    l’armée nationale populaire ne laissera jamais la destinée de la nation algérienne entre les mains des aventuriers opposants politiques.

      Sam
      25 juin 2019 - 15 h 48 min

      Hamrouche !!!!! On a oublié son passage déjà ! Brahim allons soya’t sérieux, le plus valable c est rahabi lui il a claqué la porte au nez de boutef, quand aux partis ils doivent se dessoudre d eux même comme ça les leaders auront à convaincre tous le monde et présenter un projet de société si non pas la peine ils ont tous manger avec les autres

    Anonyme
    25 juin 2019 - 13 h 31 min

    L´Algérie a pris énormément de retard sur les plans économique, technolgique et scientifique!
    Il faut d´abord redresser l´Algérie sur ces plans et la mettre à niveau.
    Sans cela, toutes les réformes socio-politiques, culturelles seraient vouées à l´echec.
    On a besoin donc de notre diaspora dans ces domaines, de ceux qui ont fait leur preuve dans les pays développés.
    Ces gens sont habitués à la rigueur dans le travail et à l´efficacité et au « think big »
    Ce n´est pas pour rien que la bande destrutrice de l´Algérie les a exclus de tout haut poste de responsabilité en Algérie, dans la nouvelle constitution revisée pour perpétuer la médiocrité et donc leur emprise sur
    l´Algérie.
    Je vous jure qu´une équipe d´experts expatriés sortirait l´Algérie de son sous-développement en moins
    d ´une dizaine d´années.
    Après ca, place au politique!
    PS: Nos experts expatiés sont aussi au moins aussi patriotiques que les plus patriotiques au pays.

      Mohcine Belabbas 1er Ministre et Said Sadi President
      25 juin 2019 - 20 h 00 min

      Pour une République Laïque (séparation du religieux et de la politique), ouverture des frontières avec le Maroc, mise en place rapidement de l’Union Maghrébine, signature avec la France d’un traité stratégique sécuritaire, économique et d’amitié, amnistie des « Harkis » et colons avec la possibilité de les intégrés dans la nouvelle République, rupture avec les monarchies du moyen Orient et de la ligue arabe,… ouverture de l’économie et libéralisation de tout les secteurs sans exceptions , privatisation devsonatrach, de sonelgaz,… et de la santé, de l’éducation nationale,…. Seul le RDC pourra mener ce programme de changement. Vive Mr Belabbas et Mr
      Sadi

    Mouna
    25 juin 2019 - 13 h 23 min

    Pas les prédateurs du FLN qui ont occupé les postes de décision et se sont enrichis en pompant les ressources du pays quelles soient technologiques, industrielles, agricoles, de services et autres. C’est de véritables rapaces qui ont raflés les marchés des entreprises et institutions publiques haut la main avec l’aide de leurs amis du FLN ou se sont enrichis en orientant les enfants de leurs amis vers des filières qui n’avaient pas la note requise tel que la médecine, la pharmacie, l’école de commerce et les grandes écoles.

    Anonyme
    25 juin 2019 - 13 h 18 min

    L´Algérie a pris énormément de retard sur les plans économique, technolgique et scientifique!
    Il faut d´abord redresser l´Algérie sur ces plans et la mettre à niveau.
    Sans cela, toutes les réformes socio-politiques, culturelles seraient vouées à l´echec.
    On a besoin donc de notre diaspora dans ces domaines, de ceux qui ont fait leur preuve dans les pays développés.
    Ces gens sont habitués à la rigueur dans le travail et à l´efficacité et au « think big »
    Ce n´est pas pour rien que la bande destrutrice de l´Algérie les exclus de tout haut poste de responsabilité en Algérie, dans la nouvelle constitution revisée pour perpétuer la médiocrité et donc leur emprise sur
    l´Algérie.
    Je vous jure qu´une équipe d´experts expatriés sortirait l´Algérie de son sous-développement en moins
    d ´une dizaine d´années.
    Après ca, place au politique!
    PS: Nos experts expatiés sont aussi au moins aussi patriotiques que les plus patriotiques au pays.

      Seridji
      25 juin 2019 - 15 h 56 min

      Vous semblez porter bien haut votre mépris des élites algériennes ( scientifiques,profs d’universités ,de médecine ,économistes, politologues ,écrivains , journalistes …..) qui ont , malgré toutes les difficultés rencontrées dans l’exercice de leur travail ,ont fait le choix de rester dans leur pays avec courage et abnégation dans l’espoir de pouvoir le faire renaître de ces cendres ! Que ceux qui ont préféré d’autres cieux ( en oubliant souvent que c’est avec l’argent du contribuable algérien qu’ils ont été formés ) par manque de courage et de persévérance ou tout simplement par choix ,si leur venait l’envie de revenir au pays , ils seront les bienvenus mais en laissant derrière eux ,leur suffisance ,leur arrogance et leur prétention de tout savoir vis à vis de leurs confrères restés au pays ! Car s’expatrier n’est pas toujours la panacée pour mieux conduire son pays vers le progrès ! Tout est affaire d’engagement,de dévouement et surtout de savoir faire en toute humilité ! L’amour pour son pays n’a pas de prix !

        Anonyme
        25 juin 2019 - 17 h 22 min

        Loin de moi d´avoir du mépris pour quiconque.
        Je suis tout simplement réaliste parce que je ne veux que du bien pour mon pays.
        Je le souhaite sortir du sous-développement et voir son peuple fier de son travail, de son génie et non pas de son ADN uniquement!
        On sait tous comment sont classées nos universités.
        On connait tous la qualité de notre travail, si déjà on se met á travailler.
        Tout cela est le résultat d´une certaine mentalité dans laquelle on baigne en Algérie.
        Une mentalité comparable à un virus duquel on ne guérit pas du jour au lendemain.
        En Algérie on a toujours mendié un certain transfert de technologie aux nations développées.
        Mais notre meilleur transfert de technologie c est bien
        l´appel à notre diaspora!
        La Chine, l´Inde et d autres pays émergeants doivent leur développement à leurs diaspora respectives.

          L'Algérois
          26 juin 2019 - 21 h 59 min

          @ Anonyme
          25 juin 2019 – 17 h 22 min
          Je crois que vous vous trompez cher ami,
          Les pays que vous citez, ce n’est pas leur diaspora qui elle est restée ou elle se trouve,
          C’est les gouvernements de ces pays qui ont compris qu’ils faillaient libérer leurs économies pour développer leur pays pays, ce qui a donné des ambitions à leurs concitoyens et a mis leurs peuples au travail.
          Beaucoup des nos citoyens ont essayé de développer et faire évoluer notre peuple ils sont empêchés par des blocages artificiels et inhumains pour continuer à patauger dans les ordures, nos gouvernements successifs nous ont réduit à l’impuissance et nous ont déshumaniser de part leurs esprits qui a un dysfonctionnement de la perception de la réalité.
          Si on avait eu un homme comme Ferhat Abbas (il n’est pas le seul) au pouvoir à notre indépendance au pouvoir, je ne crois pas qu’on vivrai ce que l’en aujourd’hui.
          Vous n’avez pas l’air de comprendre que c’est les pseudos politiques qui bloquent tout notre peuple et qu’il faut s’occuper en premier lieu du politique pour débloquer toutes les situations, quelque soit le domaine, vous mettez la charrue avant les bœufs cher ami.

    Chibl
    25 juin 2019 - 12 h 46 min

    Il faut etre naif de penser que l’armée va transféré le pouvoir aux civils, regardez le Soudan,l’Egypte, pour ne citer que ces exemples, l’armée ne cédera sur rien donc il ne faut meme pas qu’il y ai un dialogue avec cette institution, je suis pour la formation d’un gouvernement et une assemblée parallèle et faire rentrer l’armée définitivement dans les casernes.

    Mouloud
    25 juin 2019 - 12 h 17 min

    Je suis parfaitement d accord avec l ensemble des commentaires..sauf qu il n ya aucune initiative de la nokhba..les technocrates..les diplomes..les ctacks..les jeunes cadres..enfin la classe pouvant vraiment diriger la patrie et la sortie de ce marasme..ces messieurs se proposent pour la transition..bien..qu attendent nos cerveaux pour les rejoindre ou carrement les pousser a la sortie??..entierement d accord pour l exclusion des partis subventionnes par le systeme et qui ont ine tres grande responsabilite dans le desastre actuel..que ces messieurs fassent la transition..ok..perso je dis banco..mais il faudrait obligatoirement leur adjoindre ce que j appelle les civils.cadres competents..jeunes..technocrates..ils feront juste la transition et n ont pas le droit de postulet a la presidence..c est la condition sine qua non..le futur president ne sortira d aucun parti ni d aucun systeme..un chaabi..mais pas un epicier non plus..khlass la periode des boukoukou…et pardonnez moi de vous dire que monsieur benbitour est largement au dessus du lot.ramtane lamamra..s est compromis avec boutef..mais apparait recyclable..l important est l exclusion des partis compromis..ou responsables dans la decennie noire..en attendant leur dissolution par le futur president..alors..tentons le coup avec ce groupe qui doit etre elargi..et zttendons la reponse de g.s…une republique algerienne.libre et democratique..on comprend que c est la fin de l hegemonie francaise en afrique..et ca donne le delirium tremens aux emirs..rrois..routelets..et dictateurs aux petits pieds..et le pouvoir actuel doit comprendre qu il ne doit ceder en aucun cas et pour n importe quel pretexte..aux pressions exterieures..il y a 40millionsd algeriens sur la balance..et on n est pas la pour faire des cadeaux ou baisser le froc..on a dit 2eme republique…et ca va naitre..bi fadl allah el karim ou baraket echouhadas..sans oublier nos enfants et notre jeunesse..allah yahfed bledna…amine

    Bof
    25 juin 2019 - 11 h 54 min

    A eux tous ils doivent totaliser 6 ou 7 siècles d’âge. Soit exactement l’âge mental de nos dirigeants actuels.
    Ils sont coincés dans l’Espace-Temps de leur propre contradiction.
    Le Hirak regorge de jeunes compétences, dynamiques, ouvertes, tolérantes, mais on nous ressort toujours les mêmes vieux recyclés à chaque crise. Ils font partie du problème, pas de la solution !
    Ils vont donc dialoguer avec l’armée pour nous trouver une solution, nous seront toujours des mineurs incapables de nous débrouiller tous seuls ?
    Le Hirak ne doit pas se laisser berner.
    Les revendications sont claires : yetna7aw ga3, pas de dialogue avec la nouvelle 3issaba.

    Felfel Har
    25 juin 2019 - 11 h 49 min

    Vous les qualifiez de poids LOURDS, mais ce sont des poids MORTS pour nous qui les supportons depuis des lustres. Leurs états de service parlent pour eux. Ils n’ont rien apporté pour conforter un état de droit et de lois ou pour promouvoir la démocratie quand ils étaient en poste. Ils ont été formatés par l’ancien régime du parti unique et n’ont pas pris le train de la démocratie en marche. Ils sont encore à l’âge de la pierre.
    Leur contribution aujourd’hui sera quasi-nulle, sinon contre productive. Ni Taleb, ni Benbitour, ni Tartempion ne nous sortirons de l’ornière car ils ont tous des idées périmées et des plans personnels secrets qui ne vont pas nécessairement dans le sens de ce que nous voulons.
    L’Algérie ne manque pas de compétences qui ne demandent qu’à s’exprimer et leur carte de visite est étoffée: honnêteté, savoir-faire, patriotisme et engagement/volonté d’écouter le peuple et de réussir le sauvetage du pays.

      Anonyme
      25 juin 2019 - 14 h 39 min

      @Fefel Har
      Qu’attendent-elles pour se manifester ces compétences dont je ne doute absolument pas qu’elles existent !!!

    Bensmain
    25 juin 2019 - 11 h 42 min

    Le peuple algérien attend toujours la réponse du plus urgent,pourquoi eux ils se précipitent pour dépasser le HIRAK seulement en restant assis sur leur sièges. Eux aussi usent aussi des mêmes manoeuvres du système pour voir,sans comprendre vraiment que le temps de la loterie nationale est fini.

    saad odhar
    25 juin 2019 - 11 h 29 min

    kheliouna men la casse et les rebus
    voir avec les Rahabi, les mohcen, les Tebbou , ma3miche, bouchachi et hamrouche , bouhired ,khatib comme referents.
    mais les brahimi sifi , benflis , exception ghozali, les eternels embusqués que les autres leur murissent les fruits , qu’ils aillent voir aileurs .les « non mais oui , »

      Sidi Fredj
      25 juin 2019 - 12 h 17 min

      Tabbou fait parti du mouvement Rashed (ainsi que Mohamed Laarbi Zitout). Rashed est financé par Mourad Dhina. Mourad Dhina à l’origine du grouoe Fida. Ca vous dit quelque chose ? Groupe terroridte des Annees noires, plisieurs assassinats d’artistes, journalises et autres intellectuels.
      Sifi, il ne se passait pas un semestre sans qu’il ne denonce via lettres ouvertes ou entrevues télévisées, les derives de l’Etat. Pour quelqu’un qui s’était retiré de la politique depyis 1999, il etait bien actif.

    Apache
    25 juin 2019 - 11 h 15 min

    Le « Hirak » rejette toute participation des partis politiques aux discussions. Ces derniers ont été conçus, pour la plupart, dans les officines du DRS du Général Médiène, au temps où il était « Rab Dzaîr »Les seules personnes « clean » qui pourraient être acceptées par le Hirak sont Abdelaziz Rahabi, Docteur Youcef El Khatib, Madame Djamila Bouhired ainsi que les docteurs Benbitour et Mebtoul.

      Zina
      25 juin 2019 - 18 h 15 min

      Mme Djamila Bouhired représente le symbole du combat de la femme algérienne au temps de la révolution. Personne ne peut le lui dénigrer. Ceci étant, personnellement je ne vois pas ce qu’elle pourrait apporter dans le cadre de cette concertation. Depuis l’indépendance, on ne l’a pas trop entendu donnant un avis sur des questions d’actualité. La seule fois où j’ai réalisé qu’elle est encore en vie, c’est lorsque la presse avait rapporté ses cris de colère pour être soignée en France et logée dans un hôtel « digne de son statut »…

        l'Algérois
        26 juin 2019 - 22 h 26 min

        @ Zina
        25 juin 2019 – 18 h 15 min
        Elle n’est pas la seule cher amie, au moins avec elle, on sait qu’elle a participé au combat,
        vous avez des centaines voir des milliers qui ont le même statue qu’elle en ayant jamais rien fait si ce n’est être planqué dans la douceur pendant cette guerre atroce.

    Lyes-DZ
    25 juin 2019 - 11 h 14 min

    Les événements en Algérie pourraient mener à une impasse, à souligner que la société algérienne n’est pas divisée c’est le point fort , aucun des deux camps ( militaire et système en place) ne semble disposé à céder, la seule solution, l’armée doit prendre ses responsabilités à réactiver les articles 7 et 8 pour restituer le pouvoir au peuple, de facto dissoudre au passage le parlement et de nouvelles élections pourraient conduire à une large coalition entre plusieurs petits partis émanant du Hirak, désigner une constituante composée de juristes, constitutionnalises assistés par des personnes venant de la société civile pour modifier progressivement la constitution, à faire très attention aux anarchistes et extrémistes qui sont à l’affut pour destroy nos institutions, le concept ‘YETNAHAOU GAA’ ne devrait pas être dilué dans toutes les sauces, forcement et naturellement l’Algérie regorge de diplomates compétents qui sont prêts à relever le défi pour leur patrie

    ABOU NOUASS
    25 juin 2019 - 11 h 00 min

    Vous dites poids lourds ? De quoi ? De bon sens ou de roublardise?
    Soyez sérieux, votre proposition est mal venue, le Hirak n’est pas dupe.
    Les bazaristes, les khobzistes, les aplaventristes, etautres types d’aventuriers ne
    seront jamais acceptés.
    Hamrouche, Sifi ou El ibrahimi ont tous été au gouvernail et le résultat est le même.
    On ne fait pas du neuf avec du vieux.
    Cassez vous oiseaux de malheur.

    Anonyme
    25 juin 2019 - 10 h 54 min

    On a pas á inventer la roue:
    On prend la constitution allemande, la meilleure du monde,
    on l´adapte bien sur à notre réalité socio-culturelle.
    Comme ca, on épargnera au pays beaucoup de temps.
    Chaque wilaya élira 3 représentants du hirak,
    Ils formeront le nouveau parlement,
    qui désignera à son tour une personne ou équipe, qui s´occupera des affaires courantes du pays et,
    organisera des élections présidentielles.
    C´est pas le moment de perdre du temps, il faut etre pragmatique et effectif.

      Zina
      25 juin 2019 - 13 h 28 min

      Si on adopte la Constitution de l’Allemagne à notre « réalité socio-culturelle », nous allons travailler comme des Allemands ? Nous n’allons pas du coup devenir aussi Allemands ?

        L'Algérois
        26 juin 2019 - 22 h 18 min

        @ Zina
        25 juin 2019 – 13 h 28 min
        Quelle question que vous posez cher amie,
        Pour être franc avec vous, je préfère devenir allemand sur tout les domaines et je ne suis pas le seul que devenir un citoyen de certains pays qu’on considère comme pays frère si vous voyez ce que je veux dire.

      MELLO
      25 juin 2019 - 13 h 52 min

      La Constitution Allemande est venue de l’organisation fédérale Allemande qui en est le moteur.
      Le niveau intellectuel Allemand n’est pas issu de l’école fondamentale.

        Anonyme
        25 juin 2019 - 16 h 31 min

        Le fédéralisme allemand, ce n´est pas du régionalisme.
        Le Bavarois se considère d´abord Allemand, ne dira jamais ailleurs qu´en Allemagne, je suis Bavarois.
        Le fédéralisme allemand a été pensé comme moteur de la reconstruction et du développement de l Allemagne après la guerre, en toute solidarité.
        Le fédéralisme allemand, c´est 1+1 fait + de 2 et non moins de 2. comme il en serait en Algérie, parce que nous autres Algériens, on ne fait pas la part des choses.
        Je te concède que pour le fédéralisme, on ne dispose pas encore du niveau intellectuel des Allemands.
        Il faudra donc attendre encore et, jusque lá, travailler à améliorer les indices de développement.

      Apache
      25 juin 2019 - 18 h 47 min

      Pouvez vous nous donner la recette du » comment choisir trois representants du Hirak issus de chaque Wilaya? »

        Anonyme
        25 juin 2019 - 21 h 16 min

        les marcheurs se retrouvent tous les vendredis dns chaque wilaya.
        Ils se donnent rendez-vous sur une place.
        les candidats peuvent prendre la parole.
        Auparavant on aura biensur crée une app pour voter.

    Zyriab
    25 juin 2019 - 10 h 46 min

    La prise de conscience aussi bien de la Société Civile que de l’Opposition commence à prendre effet Effectivement Tous les économistes appellent à l’action et l’action ne peut avoir lieu hors du champ politique Donc obligatoirement retour à la légalité institutionnelle La seule et unique solution Rapide et efficace c’est la participation de toutes les forces politiques à cette stabilisation Que les batailles politiques reprennent plus tard c’est la norme Le Hirrak qui n’arrive pas à prendre la mesure des choses et de toute évidence n’en prendra jamais restera sur sa faim mais sera obligé d’accepter le fait accompli .Le train prendra le départ sans eux et plus tard ils reviendront pleurnicher « Ils n’ont pas voulu de nous » Il faut savoir saisir la chance et pour le moment elle est là Voir à ne pas la rater

    Tin-Hinane
    25 juin 2019 - 10 h 41 min

    On prend les mêmes et on recommence. A part Djamila Bouhired, les autres on les connait ils ont fait partie des gouvernements précédents et je ne vois pas clairement ce qu’ils pourraient apporter de plus, de nouveau. Certains d’entre eux nous ont laissé un très mauvais souvenir. Sont ils si différents de l’ancien président et de son gouvernement?

    Quelle tristesse ! On n'apprend pas de nos erreurs
    25 juin 2019 - 10 h 39 min

    Même si je salue l’initiative, je suis sidéré par ceux que vos nommés « Une belle brochette de personnalités de poids », 80 ans d’âge moyen, des réchauffés du circuit politique qui ont eu aussi une part de responsabilité dans la passif à un moment ou un autre. Cela va être le Jurrassic Park congrès avec en plus le RCD, le PT et des partis Islamistes, bonjour l’avenir de l’Algérie. Comment allons nous construire un pays radieux, prospère économiquement, démocratique, ouvert et tolérant en réchauffant du « vieux » (individualité et/ou partis inclus) pour décider de notre avenir. Tout ceux cités dans l’article sont obsolètes et hors sol.Je vois les perspectives de façon très sombre d’autant plus que les problèmes économiques vont venir compliqués l’équation. On n’a pas appris de nos erreurs, la jeunesse, les femmes, les intellectuelles, les vrais compétences (ceux que l’on ne voit jamais nul part) sont encore écartés !!!! Veux t-on une société encore plus conservatrice avec une économie hybride entre l’économie de bazar et celle très gauchisante et dogmatiques dont les postes clefs et stratégiques reviendraient encore une fois à la gérontocratie. Va t-on encore reperdre 20-30 ans pour finir à un suicide collectif. Je finis sincèrement par penser que le problème n’est pas seulement le système mais aussi les cerveaux qui sont bridés, limités voir impossible de se renouveler, se régénérer tellement que le mal est profond. THINK OUT THE BOX !!!!!

    Djazaïri
    25 juin 2019 - 10 h 33 min

    Tu parles poids lourds…aussi lourds que des dinosaures!! Ahmed-Taleb Ibrahimi, Mokdad Sifi, Sid-Ahmed Ghozali, Ahmed Benbitour, Mouloud Hamrouche, Abdelaziz Rahabi Waouh!!!! Que de nouvelles têtes!!! Un vraie machine à remonter le temps !! Bienvenue dans les années 60-70 et 80-90!!!

    batata44dz
    25 juin 2019 - 10 h 30 min

    finie la scandaleuse algerie vache a traire …..ensemble unis pour une algerie plurielle pour accumuler les succes…..

    ABDEL
    25 juin 2019 - 10 h 22 min

    «  »prolongement du mandat actuel de « MR HAPPY »…..ce n’est pas moins, que la feuille de route imposée par boureflika avant sa démission ,pour une transition décidée par le clan seulement par eux et non pas, par la volonté du lpeuple qui manifeste !!

    Karamazov
    25 juin 2019 - 9 h 45 min

    Acculé dans ses derniers retranchements le Système se débat dans ses contradictions comme il peut. Le Hirak ,lui, a épuisé ses semelles et s’achemine tristement vers une sortie sans gloire, faute renouveau.

    L’épisode du drapou a fait le bruit que font les pétards dans l’eau et a vécu le temps que vivent les roses avant de se faner.

    Alors, quand le vieux ne veut pas mourir et que le nouveau ne peut pas naître on recycle les vieilleries et on repart comme avant.

    Comme si Mon général ne savait pas où trouver toutes ces vielles carnes si tenté qu’il ait besoin de leur avis, ceux-ci entendent ajouter à la diversion et à la cacophonie leurs couacs.

    D’ici qu’on aura épuisé toutes les ressources et les alternatives , sans aboutir nulle part, on s’en rendra peut-être compte que notre société ne peut donner que ce qu’elle a : c’est à dire rien !

    Mais ça , il n’est pas question de l’admettre.

    Alors ,après tout, pourquoi pas une république patriarcale ?

    Sidna Nouh président !

      3ATEF
      25 juin 2019 - 10 h 25 min

      Cher kamaradZov
      Apprends ce qui est le plus simple
      Il n’est jamais trop tard
      Pour ceux dont le temps est venu !
      Apprends l’ABC, cela ne suffit pas, pourtant
      Apprends-le ! Ne te laisse pas rebuter,
      Commence ! Tu dois tout connaître.
      Car tu dois diriger le pays.
      Apprends, homme à l’hospice !
      Apprends, homme, en prison !
      Apprends, femme, en ta cuisine !
      Apprends femme de soixante ans !
      Car tu dois diriger le pays.
      Va à l’école, sans-abri !
      Procure-toi le savoir, toi qui as froid !
      Toi qui as faim, jette-toi sur le livre ; c’est une arme.
      Car tu dois diriger le pays.
      N’aies pas peur de poser des questions, camarade !
      Ne te fie à rien de ce que t’on dit,
      Vois par toi-même !
      Ce que tu ne sais pas par toi-même,
      Tu ne le sais pas. Vérifie l’addition,
      C’est toi qui la paies,
      Pose le doigt sur chaque somme,
      Demande : que vient-elle faire ici ?
      Car tu dois diriger le pyas.

      Ould Baba Ali Chérif
      25 juin 2019 - 11 h 12 min

      Cher Karamazov
      Vous avez superbement exprimé ce que je pense ; 3ATEF vous a répondu par un poème joliment troussé, à la hauteur de votre billet ! Je sais, les poètes ont tous les droits amis mais je reprocherai à 3ATEF une certaine ambiguïté ! Ceci-dit j’ajouterai que le gouvernement par les peuples – démocratie – n’a jamais existé, n’existe nulle part et n’existeras jamais ! Toujours et partout sur cette Terre une minorité de crapules gouvernera la majorité ! Salutations ….

        3ATEF
        25 juin 2019 - 13 h 15 min

        Cher Ould baba, vu d’une lointaine contrée je souhaite simplement vous dire que ce pays L’ALGÉRIE (comme aimait à le tonner feu le PRÉSIDENT BOUDHIAF) est un joyau que nous n’avons pas le droit d’abandonner aux « faux dévot » de tous bords et obédiences qu’ils soient…
        Nous ne cesserons jamais de croire et œuvrer à l’avènement d’un état de DROIT…C’est l’expression MAJORITAIRE de la génération post62…
        yours faithfully

    FAID
    25 juin 2019 - 9 h 38 min

    Bon commençons par le commencement le seul poids lourds qu’ils traînent c’est la somme des échecs qu’ils ont accumulé tout le long de leurs carrière politique à l’exception de certain que tout le monde connait parmi le groupe.

    Mais on a besoin d’eux « un bon chemin n’a pas besoin d’un début mais juste d’un point de départ ».

    MELLO
    25 juin 2019 - 9 h 33 min

    Les poids lourds ? Oui, les poids lourds qui ont porté chacun a sa manière ce pouvoir durant des années. Chacun d’eux a façonné la trajectoire de ce pouvoir , comme pour faire un semblant de changement. Ne parlez surtout pas de Sid Ahmed Ghozali dont l’impact est important , de la victoire du FIS en Decembre 1991. En 1992 , le mois de Juin , il laissa feu Mohammed Boudiaf se deplacer seul a Annaba pour y laisser sa vie.
    Le mouvement populaire est tres clair : yetnahaw gaa3, ce n’est pas aujourd’hui que ces éléphants doivent revenir pour détourner les voeux de la jeunesse. Parler d’un dialogue avec les tenants du pouvoir , il est hors de question puisque le dialogue peut avoir lieu entre des Algeriens, sans jamais faire assister les tenants de ce pouvoir. La conférence aura a proposer des personnalités pour diriger la transition , avec un gouvernement de salut national . L’assemblée constituante reste un passage obligatoire afin de réviser la Constitution de Bouteflika qui donne trop de pouvoir au President.
    Pour cette deuxième République , il est indispensable de passer a une Republique fédérale , sortie de cet Etat Jacobin, comportant Six regions , assez autonomes dans les domaines de la santé, de l’education nationale, de la justice, du commerce, de l’agriculture et de la jeunesse.

    Anonyme
    25 juin 2019 - 9 h 27 min

    ne sont considérer comme poids lourd que ceux qui on atteint et dépasse les 120 kg a jeun , nu et rien dans les mains

    Zina
    25 juin 2019 - 9 h 10 min

    Ne tuons pas dans l’œuf toute initiative susceptible de sortir le pays de l’impasse politique actuelle. Ne rejetons pas systématiquement toute proposition sans le recul nécessaire ! Okay, ces « poids lourds » étaient aux commandes du pays il y a 40, 30 ou 20 ans… Néanmoins, leur expérience et leur maturité pourraient être mises à profit dans le but d’amorcer un tournant salutaire pour l’Algérie. Les retombées de cette situation de blocage vont bientôt se faire sentir déjà que la conjoncture économique n’est pas des plus favorables. Ceci étant, rien n’interdit que ce comité ne soit rejoint par des représentants désignés par le mouvement Hirak. En tant que citoyenne algérienne, je souhaiterais que toutes les parties parviennent rapidement à un consensus pour regarder ensemble vers le futur. Le Monde ne nous attend pas.

      MELLO
      25 juin 2019 - 14 h 00 min

      A réfléchir de plus près , pourquoi pas . Les bonnes initiatives sont les bienvenues. Mais est ce la meilleure solution ? Sachant que ce régime a dix milles cartes sous la main pour pouvoir se regenerer .

    Anonyme
    25 juin 2019 - 9 h 03 min

    Poids lourds!!! Le peuple veut du poids léger, du nouveau, des jeunes intellectuels, mondains et actualisés, ainsi nous voulons une Algérie déchargée du lourd passé d’un système politique qui a fait plus de mal que de bien, nous voulons une nation unie multiculturelle ou l’extrémisme n’à pas de place, un état fort, proche de sa région méditerranéene de son maghréb plein dedans dans sa vraie culture que celles importées du golf et l’arabie soumiseTrump l

    Elephant Man
    25 juin 2019 - 8 h 57 min

    PS : loin de moi l’idée de remettre en cause leur initiative.

    Fettou
    25 juin 2019 - 8 h 50 min

    Franchement c’est la désolation
    Surtout pas les anciens premiers ministres
    il faudra des représentants de la société civile un représentant de chaque parti politique en dehors de l’alliance présidentielle et nos anciennes figures du mouvement national a l’image de madame Bouhired, ighilahriz, yacef Saadi, bougraa , cdt azzedine ect …afin Qu’ils servent de témoins et suivre le déroulement des discussions avec les représentants de l’armee Et arrivé au passage de témoin à la nouvelle génération et remettre le pouvoir de l’armee aux civils pour qu’après se lancer dans différentes opérations ( nouvelle constitution, divers élections ect …..).

    Anonyme
    25 juin 2019 - 8 h 42 min

    En quoi une constituante gène les négociateurs et pourtant si on veut une solution politique a notre problème politique car il est que politique faut bien un cadre et des règles claires écrites dans une nouvelles constituante cela dis la constitution actuel est tellement usé et abusé quelle devrait être jeté complètement. Pour ce qui les tacites du pouvoir je penses sincèrement qu’ils sont très utiles en ce moment de part leurs expériences et leurs déboires avec ce même système ou ils se sont trouvés bloqué comme la pays a cause d’une constitution caduc avec mes respect

    icialG
    25 juin 2019 - 8 h 37 min

    ILS PEUVENT dialoguer on ne pas les empêcher mais sans le peuple que vous ignorez ,le peuple vous ignore aussi ,essayez quand même de trouver une porte de sortie en quittant les lieux merci de laisser les institutions plus propres que vous les trouver et ne vous attendez pas a de la reconnaissance et bon vent et a tout jamais
    je me permet de rappeler que dialoguer avec les résidus du systèmes c est, a coup sur, son retour, la preuve en est la Tunisie

    Elephant Man
    25 juin 2019 - 8 h 17 min

    Je réitère qu’attend le patriote Ramtane Lamamra lui qui a sillonné la planète entière pour organiser des élections présidentielles et dernièrement à Madagascar avec succès, pour organiser les élections dans son pays et se présenter à l’élection présidentielle par là même.

    Lyes-DZ
    25 juin 2019 - 8 h 05 min

    Plus vite il rentreront chez eux mieux ça vaudra, excepté , le grand et compétent diplomate Monsieur Abdelaziz RAHABI, trois fois ambassadeurs au Mexique, Allemagne et Espagne, qui véhicule une grande compétence diplomatique et discrète, qui n’a jamais cautionné la politique de BOUTEFLIKA, celui- ci a mis fin à ses fonctions en tant que ministre de la communication, j’y crois aux prémices d’une sortie de crise pour dire que l’institution militaire accepte enfin le compromis.

    AMMI ROUCHE
    25 juin 2019 - 7 h 46 min

    Retour des caciques du régime sous une autre forme. Mis à part Youcef Khatib, tous les autres sans exception ont goûté aux sauces du regime. D’emblée ils font dans l’exclusion. Pas de discussion sur la constituante. De quoi allez-vous discuter? De votre sort dans la dictature à venir? Je ne pense pas que vous puissiez imposer quoi que ce soit à notre cher Armée car, ils vous connaissez tous. Vous parlerez sur la démocratie? Dès lors que vous imposez un ordre du jour et vous refusez de parler d’un point , vous n’êtes plus démocrates. Le peuple vous vomit, il ne veut plus de tous ceux qui ont participé d’une manière ou d’une autre au pouvoir autoritaire et négationniste. J’espère que le chef vous rejette comme le peuple vous a rejetés. Vivement les jeunes au pouvoir!

      FAID
      25 juin 2019 - 9 h 51 min

      Tous les gouvernements de 1962 à 1979 était composé de jeunes.

      Voila la recette:
       » Pas trop jeune pour faire des erreurs, pas trop vieux pour être sage »
      La connaissance s’acquiert par l’expérience tout le reste n’est que de l’information. A.Einstein

        AMMI ROUCHE
        25 juin 2019 - 14 h 12 min

        Le concept d’expérience a une signification chez ceux qui savent réfléchir et raisonner. Chez nous le mot expérience veut dire ancienneté, un joueur médiocre qui n’a jamais fait partie de l’équipe nationale et qui a joué dans un seul poste durant 20 ans, on te le présente comme un expérimenté, un agent d’état-civil qui remplit des fiches individuelles et actes de naissance uniquement durant 25 ans, on te le présente comme expérimenté, un technicien supérieur à la conviction qu’il peut devenir ingénieur par expérience ( entendez par ancienneté). Arrêtons de parler de toute cette liste et il y en a d’autres. Qu’est-ce qu’ils ont fait pour la démocratie? Pour que l’économie du pays vole de ses ailes? Aujourd’hui des gens sont arrêtés pour un port de drapeau culturel exhibé dans plusieurs pays, un drapeau qu’on a toujours vu dans les stades par milliers, surtout durant la décennie noire et personne de ces pseudo-sauveurs ne condamne. Un politichien qui regarde les droits des autres citoyens bafoués et n’en dit mot, j’ai pas entendu ces politichiens condamner la mort du Dr Fakhar après avoir souffert dans les geôles,est-ce que ce gars n’est pas un être humain? Si ces gens aboient sur un étranger qui tue un autre étranger, ami soit-il, pourquoi il se tait quand c’est algérien d’une autre rite ou d’une autre langue qui meurt suite aux offenses ou balles de ce regime? La chose la plus noble que ces caciques peuvent faire avant de s’en voyer as pâtres, c’est d’encourager la jeunesse et les universitaires, non abreuvés dans l’idéologie arabo-islamiste ou séparatiste, à représenter le peuple dans ses revendications.

      Zyriab
      25 juin 2019 - 10 h 34 min

      Tout le monde veut avancer La meilleure façon de bloquer c’est de vouloir imposer une constituante Cela voudrait dire que l’Algérie n’a pas existé depuis le 5 juillet 1962 Quand aux jeunes on les attend toujours Pour le moment Le Hirrak ne veut surtout pas de jeunes au pouvoir il se refuse à toute évolution alors quand aux élections il ne sait même ce que ce la veut dire .Qu’ils élisent leur représentant et on verra leur capacité lors de cette réunion

      Algerien ounass
      25 juin 2019 - 18 h 19 min

      Mangeur de cashir, vous cassez tous ce qui peut arrimer l’algérie à la modernité. vous êtes l’exemple parfait de ce qu’on le doubab el ilikrouti. Et comme je vous l’ai écrit précédemment laissez Amirouche tranquille vous salissez sa mémoire et choisissez plutôt bachagha boualem ça serait vraiment conforme à ce que vous écrivez cireur de bottes naguère française et maintenant dictatoriales. Allez au diable chayatte.

    Anonyme
    25 juin 2019 - 7 h 40 min

    Faire discuter les poles opposés que sont les autonomistes et le régime arabe, ca oui ca serait un dialogue.

    Anonyme
    25 juin 2019 - 7 h 39 min

    C’est des hommes du régime, qui feignant d’etre opposant puis re-proposent les thèses du baath Fln. Le régime discute avec les siens. Poids lourds?

    DJILLO
    25 juin 2019 - 7 h 39 min

    Decidement, c’est comme si l’algerie est trop vieille. On nous presente des « poids lourds » comme des sauveurs alors qu’ils ont tous fait leurs essais et apprentissages dans l’arene du systeme dechu (RCD inclu) et leur temps est bien sur revolu. Si ces « poids lourds » etaient de vrais « poids lourds » quand ils etaient aux commandes, Boutef n’aurait pas eu sa chance d’exister en tant que monarque jusqu’a ruiner le pays.

    Djemel
    25 juin 2019 - 7 h 28 min

    C’est de la contre-révolution des partis politiques dont on ne connait pas par qui ils ont été financés sous le régime de Bouteflika. Le Hirak peut designer des représentants pour organiser les élections.

    selma
    25 juin 2019 - 7 h 23 min

    pas de Taleb ibrahimi, ni de Mokdad Sifi
    Rhabi, Benbitour, Bouhired Dourari et Mebtoul suffisent

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